L'Homme De La Forêt (2/2)

Le délicieux nectar de mon quinqua du jour coulait dans ma gorge tandis que je le fixais avec de grands yeux impressionnés.
S'il m'avait rempli la bouche de son jus le plus précieux, mon visage n'était pas en reste et quelques jets bien garnis m'avaient copieusement arrosés. Je bandais fortement et cet aperçu de puissance m'avait donné l'envie d'être embroché et baisé intensément. Ces quelques secondes succédant l'orgasme de mon partenaire furent extrêmement intense. Une fois remit de ses émotions, je le sentais capable de m'emmener au septième ciel. Ses longs mois de frustrations sexuelles avaient révélés la petite dévergondée qui sommeillait en moi.

Je constatais que la queue de mon étalon quelques minutes après la jouissance restait bien plus grosse que la mienne en pleine érection. Je sentais ma virilité s'éteindre au fur et à mesure où je restais dans cette maison en présence de mon hôte mais aussi de plus en plus excité. Mon grand gaillard m'invita à le suivre en me prenant doucement par la main. Ce geste plein de douceur me préparait émotionnellement, psychologiquement et physiquement aux longues heures qui suivirent. Je sentais mes sphincters se détendre et mon sillon s'humidifier par l'excitation.
Le fait de parcourir ces quelques mètres avec mon coéquipier de sexe me rendait dingue. arriver dans sa chambre et découvrir l'endroit où il allait me prendre et où j'allais abandonner toute pudeur, toute restriction, toute honte était un orgasme en soi. Découvrir ce lit impeccablement fait, cette odeur de lessive et ce parquet lustré me faisait me dire "Où va t-il me faire du bien? Comment va t-il me prendre?". J'avais hâte de téter une nouvelle fois son sexe énorme. Personne ne nous dérangerait, personne n'était là pour nous voir ou pour m'entendre couiner lorsqu'il m'enfila la quasi intégralité de son majeur sur le pas de la porte.

Aucune résistance ne s'opposait alors à son doigt charnu. Alors que nous prenions place sur le lit et qu'il badigeonnait mon petit opercule de lubrifiant, je repris sa queue en bouche mais il prenait un malin plaisir à me l'enlever des lèvres.

Frustré et toujours excité, mon quinqua additionna très vite les doigts dans mes fesses et sentit qu'il était temps de porter l'estocade.
Me trouvant à genoux sur son lit, il me poussa et me fit rouler sur le dos et s'allongea sur moi de tout son poids. Je prenais vraiment conscience de sa puissance et de sa taille. Tout en m'embrassant, il bougeait son bassin pour me faire ressentir sa massive queue au niveau de mon bas-ventre. Il se positionna doucement entre mes jambes et je relevais naturellement les miennes. Celles-ci s'établirent sur ses larges épaules tandis qu'il me serait les bras pour s'équilibrer et placer sa queue vaillante face à mon trou dilaté et implorant.
Il n'eut aucun mal à glisser les premiers centimètres de son gland qui m'arrachèrent un cri de plaisir. Mon dos se courba légèrement, puis je me cambrai alors, oscillant entre plaisir et inconfort. L'homme de la forêt me maintenant les bras en faisant le tour de mes biceps avec ses grandes paluches, réduisant encore un peu plus ma virilité à néant. Ma bouche était béante comme mon cul. M'évitant la douleur, il était très attentif au moindre spasme ou grimace sur mon visage. Il contrôlait la pénétration et mon plaisir comme s'il s'agissait du sien. Je crois que c'est l'art des vrais maîtres de la baise.

Cette position n'est pas vraiment la plus confortable pour encaisser l'immense queue d'un homme mais elle a le mérite de partager très vite les rôles. Au-dessus de moi, immense, puissant et m'enfonçant bien plus de vingt centimètres dans les entrailles, mon boss était magnifique. Tremblant, transpirant, contorsionnant mon corps mince au rythme des coups de bites que je recevais, je faisais beaucoup d'effet à mon partenaire mais je subissais chacun de ses choix.
Il me fallut une bonne dizaine de minutes pour encaisser convenablement sa hampe et pour commencer à rechercher exclusivement du plaisir. Bien initié au sexe de mon vis-à-vis, je commençais à bouger mon bassin de plus en plus.
Mon quinqua menait la danse parfaitement; dès qu'il me sentait trop enthousiaste, il se retirait d'un coup et voyait mon visage étonné.
Ces quelques phrases comme "tu jouiras quand je l'aurais décidé" ou bien "Tu vas me supplier de te faire jouir" faisaient écho en moi. Ses coups de reins et sa façon de me prendre me rendaient doucement soumis à son bon vouloir. Je sentais mes yeux me piquer, vouloir se fermer sans même me sentir fatiguer. Je sentais mon cœur et ma respiration s'accélérer, mes fesses devenir trempées.
Il n'avait quasiment pas touché à ma queue et pourtant j'allais jouir. Je ne me rendais même pas compte que j'entrais dans un état second. Et d'un coup, plus rien. Mon quinqua s'interrompait et me frustrait à me rendre fou.
"Continue s'il te plait.. vas-y je t'en prie.. baise-moi encore.. vas-y mets la moi encore plus fort s't'eu'plait" Je me mettais à supplier un homme de me baiser ! incroyable..

Après une troisième frustration de sa part, il s'allongea. "Fais-moi voir tes talents !" me dit-il avec un grand sourire.. Aussitôt demandé, je positionnais une jambe de chaque côté de ses hanches pour me retrouver les fesses juste au-dessus de son chibre. J'avais peur de glisser et de m'empaler. L'objet était toujours immense et tendu comme à son habitude mais mon cul montrait déjà des signes de fatigues. Sa queue était un vrai objet de fantasmes. Une fois empalé sur son manche, je trouvais vite un angle qui satisfaisait ma prostate. De petits mouvements stimulants bien mon point G allaient me faire venir rapidement.
Cependant , il en avait décidé autrement. Agrippant ma queue d'une main et ma bouche de l'autre, il me dit calmement "Ah non non, ça c'est trop facile"
Par quelques coups de reins aidés de ses mains, il me fit comprendre qu'il attendait une grande amplitude sur les va-et-viens. Je commençais à fatiguer et mon cul n'avait pas grande expérience des grosses queues. Ses requêtes s'avéraient un peu plus compliquées physiquement mais m'amenaient un plaisir bien plus grand.
Je me sentais stimulé partout et profondément. Après avoir frôlé l'éjaculation une nouvelle fois, il me fit changer de sens et je lui tournais désormais le dos. Il dictait la cadence et je me soumettais à la volonté de mon baiseur.

Je n'avais plus tellement de souffle pour crier comme au début de notre coït. Pourtant, je ressentais intensément chaque mouvement de sa queue en moi. A certains moment, je réussissais péniblement à lui dire tout mon plaisir, à lui signifier que sa queue au fond de mon cul me comblait.
Les positions s'enchaînèrent et je n'en pouvais plus. Alors qu'il me baisait debout contre un mur, je lui dis "S'il te plait, fais-moi jouir j'en peux plus, s't'eu plait".
Il me fit basculer sur le lit en levrette et ramena mon torse vers le sien. Je sentis son gland proéminent appuyer sur ma prostate alors qu'il me donna un baiser fougueux. Ses mains parcouraient mes hanches, ma gorge et en quelques puissants coups de reins, je sentis mon rythme cardiaque et mon souffle s'emballer une nouvelle fois. Je craignais une énième frustration mais mes encouragements ne semblaient pas le freiner, bien au contraire. "Encore ! Ouuiii !! Ah comme ça !! Encoooore !!! Heeeiiinn putaaiiiiinn ouaiisss"

Ses grognements se faisaient aussi plus rapprochés et je sentais la fin pour nous deux. Je commençais à perdre notion de tout ce qui se trouvait autour de nous à ce moment là. Mes râles se faisaient l'écho de ses puissants coups de bite et mon visage se para d'un immense sourire lorsque mon sexe évacua une quantité impressionnante de sperme sur le lit suite à l'orgasme. Mes jambes étaient pleines de spasmes, mes bras et mon torse aussi. Je semblais possédé. J'avais tellement espéré cela et il m'avait tellement frustré que mes testicules étaient devenues de véritables cocottes minutes. Lorsque j'exploserai, j'exploserai en masse et le lit allait déguster.
Mon abandon total et soudain de moi-même avait été si intense que les lumières de la pièce me semblaient bien trop puissants.
J'avais fermé les yeux si fort que j'en avais les larmes aux yeux. Sa queue m'avait fait pleurer de bonheur et mon plaisir avait été si fort qu'au moment où je reprenais conscience, je n'avais pas fait attention que mon quinqua venait lui aussi de jouir en moi. Je ne sentais plus ses doigts pétrir mon torse et mes hanches, ni même son obélisque décharger tout son désir. Epuisé, je m'effrondrais, le corps encore parcouru de spasmes et de tremblements. L'orgasme en lui-même fut suivi par de longues minutes de plaisir silencieux et planant.
Tout mon corps s'abandonnait, comme celui de mon homme de la forêt.

Après avoir fait une belle sieste post-coit en compagnie de mon partenaire, nous firent connaissance de nos intellects respectifs et une chose était évidente, c'était qu'il allait me revoir très vite. Après m'avoir stimulé physiquement et sexuellement, il m'avait intéressé intellectuellement. Quel plaisir de parler avec un homme cultivé et respectueux..
Je repartis difficilement de chez lui mais le remercia plusieurs fois pour ce moment.. et j'attendais le prochain avec une impatience non dissimulée..

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