En Famille... Fin

En famille
Fin
Nous sommes souvent revenus faire l'amour dans ce coin. Peut-être y avait-il d'autres voyeurs? Mais aucun ne s'est jamais plus manifesté. Par contre Véro a pris l'habitude de me doigter quand nous faisions l'amour.
Un jour, je lui ai demandé si je pouvais la prendre par derrière. Elle a dit oui avec un sourire assez ambigu. Le lendemain, nous avons acheté notre premier god et la nuit même, j'ai salement dégusté quand elle l'a inauguré dans le cul. Il y a une sacrée différence entre des doigts et un god. Mais je ne pouvais rien dire puisque, elle, n'avait rien dit quand ma bitte lui avait défloré l'anus.
Le god à définitivement remplacé ses doigts quand nous faisions l'amour. Je n'avais plus mal du tout. Nous étions devenus de gros consommateurs de vaseline et lubrifiants divers.
Un soir pendant que je l'enculais très doucement, elle m'a dit qu’elle aussi, avait envie de me sodomiser. C'est comme cela qu'un nouveau god à lanière celui-ci, a fait son entrée dans notre foyer. J'ai eu un choc quand, elle l'a mis sur sa chatte. Une femme avec un sexe d'homme. Un corps si féminin avec une excroissance tellement masculine. Cela avait quelque chose d'inquiétant. Il était plus gros que le précédent. C'est elle qui l'a enduit de gel lubrifiant devant moi, dans un silence inquiétant et un regard ambiguë vers mon anus.
Elle s'est comporté comme un homme et m'a possédé comme j'aime la prendre. Mais cette fois-ci, c'était moi qui étais à quatre pattes, le cul tendu. Le god était gros et même avec le gel et l'excitation, je l'ai senti m'ouvrir. Elle m'a dit que c'était fabuleux de mettre quelqu'un. Au fil de ses coups de reins, mon trou s'est moulé à la taille bien plus conséquente que notre précédent jouet. Elle est devenu le mâle et moi sa femelle. Je me laissais enculer par ma femme. Je me suis branlé en même temps. Nous avons crié de plaisir ensemble. Elle a jouit uniquement grâce au frottement du god sur son clitoris.


Longtemps, nous n'avons utilisé que les godes. Jusqu'au jours, ou j'ai loué une cassette bisexuelle. Nous l'avons regardé au lit. J'avais le god enfoncé dans mes reins et ma femme me branlait. Sur l'écran un mec était en train de se faire enculer par un autre devant sa femme.
- Véro? A quoi tu penses?
- A ça.
Elle m'indiquait l'écran du menton. J'ai vite compris.
- Non Véro pas ça
- Pourquoi?
- Je ne veux pas. J'ai pas envie d'avoir un mec avec nous.
Elle a poussé le god au fonds de mon cul.
- Marc chéri, j'aimerais voir une bitte à la place du god.
- Mais je ne veux pas qu'un autre mec te touche.
- Ça, il n'en est pas question. Non je veux un mec juste pour toi.
J'ai joui. Elle a pris cela pour un accord et je ne l'ai pas détrompé. Elle a nettoyé mon ventre de sa langue pointue. Nous n'en avons plus parlé, mais l'idée était dans ma tête et comme je n'ai jamais rien pu lui refuser, je savais que j'abdiquerais tôt ou tard.
oooOOooo
- Eh Marc, à quoi tu penses ?
Je suis revenu à la réalité du moment. Xavier regardait mon sexe. Je commençais à bander.
- Mais t'as l'air d'aimer çà toi. … Viens
Je l'ai suivis. Il marchait souplement malgré sa carrure. Il avait même des poils sur les fesses. Nous nous sommes retrouvés dans la chambre d'ami. Il m'a laissé passer devant lui. M'a donné une tape sur une fesse.
- Fous-toi sur le pieu ma poule.
Il bandait. Moi aussi. Je me suis couché à plat ventre sur l'édredon, jambes bien écartées. Il s'est couché sur moi. Le lit à grincé sous notre poids. J'ai deviné qu'il enduisait sa bitte de salive. Il était lourd, très lourd. Sa queue cherchait mon trou. Elle l'a trouvé rapidement.
De la salive sur mon anus. J'ai sentis son gros gland collé contre ma corolle.
- On y va ma poule
Son torse écrasait mon dos, ses grosses paluches agrippaient mes épaules. Je restais inerte sous lui, attendant son bon vouloir. Son gland m'a ouvert lentement le fion.
J'ai serré les dents. La bitte entrait en moi. Sa salive ne lubrifiait pas assez mon trou. J'ai poussais de petits gémissements de douleur.
- Fais pas ta mijaurée salope. Ton cul est aussi ouvert qu'une chatte de femme. Je vais te la mettre à fonds mon pote.
Sa bitte occupait mon fondement. Ouvrait mes reins. Trouvait son chemin dans mes intestins humides. Me possédait au plus profonds de mon intimité. Elle me semblait interminable. Mon cul l'avalait avec difficulté. Son gros gland allait de plus en plus loin dans mes reins offerts.
- T'a le trou vachement profond. On sent que tu as l'habitude.
Enfin, son pubis s'est collé contre mes fesses. Il était empalé en moi jusqu'aux couilles. Son corps écrasait le mien. Ses poils grattaient mon dos. Il n'a plus bougé.
oooOOooo
Cela est arrivé dix jours après notre conversation. Au cours d'un week-end à la campagne. Un samedi en début de soirée. Nous étions lovés l'un contre l'autre devant le feu qui brûlait dans la cheminée quand on a frappé à la porte. Notre maison était isolée et personne ne devait venir. J'ai été ouvrir. Un type m'a expliqué qu'il était en panne et demandait l'autorisation de téléphoner. Je l'ai fait entrer. Véro l'a dévisagé.
Pendant qu'il parlait au téléphone, Véro lui a servis un verre. Il s'est assis sur le canapé car un garagiste devait le rappeler. Le destin était l'ami de ma femme.
Je n'ai pas compris tout de suite pourquoi Véro souriait. Et quand je l'ai compris, il était trop tard. Sur le guéridon, devant la cheminée, il y avait un tube de gel et le god. Elle avait oublié de le cacher. Peut-être qu'elle n'avait pas voulu le cacher. Vas savoir. Le type l'a regardé mais n'a rien dit. Il ne semblait même pas gêné.
Le garagiste a rappelé. Je savais déjà que le dépannage serait impossible ce soir. Je l'aurai parié. J'aurais aussi gagné si j'avais parié que ma femme l'inviterait à rester. Et j'aurais encore gagné quand il a accepté avec empressement.
Le destin se liguait contre moi. Les dés étaient jetés. Face à tant de signes, je ne pouvais plus rien faire et m’inclinais.
Nous avons été des hôtes parfaits. Douche, repas, chambre d'ami, et beaucoup d'alcool. Mais le god était toujours là. Aucun sous-entendu dans la conversion. Nous avons fait connaissance. C'était un gars bien. Personne ne l'attendait. Il était bien foutu, avait de la conversation et du charme. Il convenait parfaitement à ma femme. Je n'avais vraiment pas de chance.
Nous nous sommes couchés en silence. La chambre de notre invité était en face de la nôtre. Il nous avait demandé l'autorisation de prendre une douche. Nous avons attendu que le silence prenne possession de la maison.
Véro est partie dans le salon chercher le god. Elle était uniquement vêtue d'une de mes vieilles chemises qui lui arrivait au ras de la touffe. Elle est vite revenue. Nous nous sommes regardés en silence. Elle les yeux brillants et moi l'air plutôt abattu.
Je me suis mis à plat ventre sur notre lit conjugal. Elle a enduit l'engin de gel ainsi que ma raie. Elle m'a ouvert les fesses d'une main et m'a planté le god de l'autre. Je pouvais prendre l'engin en moi sans aucune difficulté. Elle l'a mis en marche. La bitte artificielle s'est mise à vibrer en moi dans un doux bourdonnement. Elle l'a fait coulisser entre mes fesses. Mon cul s'est dilaté. Les vibrations gagnaient mon corps. L'intérieur de mon ventre vibrait aussi. Elle a poussé l'engin au maximum. Jusqu'à ce que ma bague anale se referme sur une partie avec une circonférence moins importante. Le god ne pouvait plus sortir tout seul. C'était un nouveau modèle que j’'étrennais.
- Reste comme çà Marc. Ne bouges pas je reviens de suite.
- Non chérie, ne fais pas ça.
J'entendais bien que ma voix manquait de conviction.
- Chut laisses moi faire. J'ai tellement envie. C'est le ciel qui nous l’envoi. Je suis sure qu'il sera d'accord.
Il faisait noir dans la chambre. Elle est partie.
Je suis resté sans bouger. J'avais la tête vide. Je savais que cela lui ferai plaisir. Qu'elle réalisait son fantasme. Mon corps vibrait au rythme de l'engin bien planté dans mon fion ouvert. Je bandais dur.
Elle est revenue et n'était plus seule. Le type avait accepté. Aussi incroyable que cela paraisse, elle l'avait convaincu. Ils m'ont rejoint sur le lit. Des mains inconnues m'ont caressés les fesses, ont trouvés le god fiché en moi. Une exclamation vite étouffée.
- Vous pouvez y aller. Il est à vous.
- Et vous?
Voix mâle pleine d'assurance et sure d'elle.
- Non. Moi, je regarde. Faites attention quand même c'est la première fois. Allez-y doucement.
- Il faudrait au moins me branler un peu.
Elle le fait. Cela dure à peine deux minutes.
- Allez-y maintenant. En douceur
- Avec ce qu'il a dans le fion. Cela ne devrait pas poser de problème. J'aimerai que ma voiture tombe en panne plus souvent.
Rires de mec. Mon cul brusquement libéré. Un corps sur le mien. Massif, puissant, viril Rien à voir avec le corps de Véro. Odeurs inconnues. Des halètements sur mon cou. Je suis très tendu. Le mec m'écrase en silence. Je devine que c'est sa bitte qui coure entre mes fesses, le long de ma raie. Il trouve le chemin avec l'aide de la main de ma femme. Chaleur contre mon anus dilaté.
- Vous êtes sure que vous voulez que j'encule votre mari?
- Allez-y
Il s'enfonce en moi en soupirant. C'est moins épais que le god. Je le prends sans problème. II m'empale d'un trait jusqu’aux couilles.
- Ca y est. Je vous avais dit que cela irai tout seul. Je continue ?
- Oui
Une vraie bitte se met à coulisser dans mes reins. C'est chaud, doux et dure. Rien à voir avec un god. La chaleur gagne tout mon corps. Je sens le pieu grossir dans mes entrailles. Ma bitte grossi encore. Le sexe gonflé de notre invité coulisse parfaitement. Je me laisse enculer par un mec devant ma femme. Nous nous regardons. Ses yeux brillent dans le noir. Son visage s'approche du mien.
Véro m'embrasse à pleine bouche. Elle se caresse la chatte. Je me laisse sodomiser par cet inconnu. Ses coups de bassin deviennent violents et rapides. Sa bitte très dure me défonce les reins. Je gémis dans la bouche de Véro. Ma femme prend une de mes mains et la plaque sur sa chatte toutes mouillée. Je la caresse et enfonce mes doigts dans sa toison bouclée. Je lui masse le bouton. La bitte continue de frapper mes intestins. Ma bitte frotte contre les draps rêches. Je vais jouir. Je sens que Véro va exploser aussi.
Le type accélère la cadence et jouis. Mon cul se rempli d'un liquide chaud. Ma bitte va cracher sur les draps. Véro se retient. Je fais de même. Le type me donne encore quelques coups de reins avant de se retirer.
- C'était bon!
Il se couche à ma droite. Je me retourne sur le dos. Ma bitte est dressée vers le plafond. Véro m'enfourche. Le type veut la caresser, participer. Elle refuse énergiquement et me chevauche comme une folle. Nous sommes déchaînés..
Nous jouissons avec fureur. Il regarde. Je la sens frissonner de plaisir sur moi. Elle s'est couchée à ma gauche.
- Je peux rester avec vous?
On ne répond pas. Nous avons dormi les trois ensembles sans même nous laver. Mon cul coulait.
oooOOooo
- Dommage que ta femme ne puisse pas voir son mec se faire tringler par son beauf. Je suis sûr qu'elle apprécierait le spectacle.
Il n'avait pas tort. Je le regrettais moi aussi. Cela l'aurait vachement excitée. C'est à elle que je pensais pendant qu'il m'a tringlé une deuxième fois. Mon cul lâchait des pets sonores qui le faisaient rire. Il rajoutais régulièrement de la salive. Au bout de quelques minutes, j'avais les intestins en feu. Son pieu dévastait mon intérieur. Je criais mais il s'en foutait et accélérait de plus belle ses coups de bélier. Il grognait, reniflait, haletait. Une vraie bête déchaînée. J'avais du mal à respirer sous lui. Il me dépassait de partout. Le lit dévasté grinçait furieusement.
- Je vais te remplir sale pute. Remue ton cul de poufiasse..… Vas-y bouge ton cul. C'est ça, ondule du cul poufiasse !
Je l'ai fait. La douleur avait disparue. J'ai pu profiter de cette pine qui me remplissait complètement. Je me sentais empalé par ce pieu. Jamais un sexe d'homme ou un god ne m’avait à ce point comblé. J'avais l'impression que ce pieu avait sa propre vie entre mes fesses. Xavier était infatigable. Ecrasé par sa masse, je subissais la loi de sa queue. La salive et son sperme agissaient comme lubrifiant. Il se servait de mon corps. Son gland tapait au fonds de mon ventre régulièrement. Il me claquait les fesses dès que j'arrêtais de tourner mon cul autour de sa hampe.
- Elle est bonne hein?
Voix vulgaire de macho
- Vas-y pétasse dis-moi qu'elle est bonne.
- Oui elle est bonne
- C'est ça. Tu vois quand tu veux. Je vais te casser le cul.
Il m'a tiré m'obligeant à relever mes fesses. Il grognait comme un fauve. Je bandais comme un malade.
- Je vais lâcher la purée
Il s'est vidé pour la troisième fois et ses jets semblaient interminables. Véro aurait bien joui à me voir ainsi brutalisé. Il m'a libéré et a quitté la piaule.
- Viens te laver, elles vont pas tarder à revenir.
J'ai jouis dans ma main avant de le rejoindre. J'avais le cul en compote. Aucune séance avec ma femme ne m’avait laissé dans un tel état. Nous avons pris une douche et nous sommes rhabillés. Il n'a pas cessé de me caresser les fesses.
- Tu suces?
- Non jamais.
- La prochaine fois tu prendras un biberon mon pote.
Son rire gras a résonné dans la pièce. Il y aurait donc une prochaine fois. Après tout pourquoi pas. Une demi-heure après les femmes sont revenus et nous ont trouvés devant la télé entrain de siroter une bière.
Nous avons pris l'apéritif ensemble avant de les quitter. Xavier ne m'a pas regardé une seule fois. Moi non plus. Nous nous sommes salués comme d'habitude. Ce type avait un contrôle de lui-même surprenant. À la maison, Véro m'a montré ses achats. Essentiellement des vêtements. Parmi eux, il y avait des sous-vêtements féminins très excitants. Notamment un string noir très ajouré devant avec juste une ficelle derrière, et des bas assortis. Elle me les a montrés.
- C'est jolis hein?
- Ouais et très excitant
- C'est Sam. qui les a choisis... Il parait que son mari adore ce genre de lingerie.
J'ai rigolé. Un rire nerveux.
- Pourquoi tu ris?
- Pour rien... J'ai du mal à imaginer Sam. avec ce genre de truc.
- C'est pas pour Sam mon chéri.
- Je sais bien. J'ai hâte de te voir avec.
- Mais c'est pas pour moi non plus mon chou.
- Je ne comprends pas. Pour qui tu les a acheté alors?
Les yeux brillants, elle s'est assise sur le lit à côté de moi. M'a mordillé l'oreille, me faisant frissonner. J'avais peur de ce qu'elle allait me sortir. Je savais que quand elle avait ce comportement avec moi, c'était pour me faire découvrir de nouveaux horizons de jouissance.
- C'est pour toi mon chéri. Il aimerait bien te voir les porter Samedi prochain.
J'ai sursauté, de stupeur.
- Qui?!
Elle m'a à nouveau mangé le lobe avant de rajouter.
- Mais cette fois-ci, Sam. et moi seront là. On ne voudrait pour rien au monde rater ce spectacle.
Elle a éclaté de son rire magnifique. Ainsi donc, elle avait tout manigancé avec sa sœur ! J'étais complètement décontenancé. Elle riait toujours en me caressant les cheveux. J'ai ri aussi. Un peu jaune. Mais j'étais soulagé.
- J'espère qu'ils sont à ta taille. Je suis sure que Xavier va t'adorer comme cela.
Elle avait tout organisé de manière magnifique et sa sœur avait suivit et organisé les choses avec son mari.
Ma queue a grimpé dans mon fut. Elle l'a sortie et nous avons fait l'amour sauvagement. Nous avons jouis ensemble et avons remis cela sans tarder. La queue de Xavier dansait devant mes yeux. J'étais impatient d'être au Samedi suivant.
Elle m'a demandé de lui raconter mon après-midi. Je l'ai fait sans problème. Nous étions encore plus excités. Quand je me suis enfoncé dans ses reins, c'est la bitte de mon beauf qui s'enfonçait dans les miens. J'ai éjaculé dans le cul de ma femme.
Nous avons pris un peu de repos en mangeant. Elle voulait qu'on sorte et que je mette mon jog. Je lui ai dit en souriant que j'étais un peu fatigué après l'après-midi que je venais de passer. Mais pour ne pas la décevoir, je me suis mis à plat ventre sur le lit. Elle a ajusté autour de sa taille un double gode que nous avions acheté en Indes. Elle m'a enculé très doucement. L'autre côté était plongé dans sa chatte.
Cela a duré longtemps, très longtemps.
Ma femme est vraiment formidable.

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