Collection Cocu. Comment Ai-Je Pu Faire Ça (2/3)

• Au revoir les s, au revoir ma chérie, les s soyez sage avec maman, elle aussi a le droit de se reposer.
Luce, je compte sur toi, à 13 ans tu es une grande fille.

C’est par ces mots que nous avons vu partir Lionel mon mari dans sa nouvelle voiture que je lui ai offerte pour ses 40 ans.

Nos trois s Luce 13 ans Luc et Lucas 8 ans jumeaux comme toute la famille sont blonds.
Pour nous amuser entre nous nous disons que nous sommes la bande des 5 L.

Une fois seule, je les emmène à la plage, plus particulièrement au club des Licornes où les jumeaux vont apprendre à nager.
À mon côté vient s’installer un homme la cinquantaine, les cheveux poivre et sel.
De retour à notre villa en fin d’après-midi, il se présente à moi, c’est Louis le petit-fils de nos vieux voisins.
Il est en France j’ignore pourquoi mais il a le temps de se présenter comme ayant une entreprise de maçonnerie au Brésil.
Les s toujours les s gagent le plaisir que j’avais à parler avec cet homme.

Quand je les ai couchés et après avoir pris une douche fraîche, c’est simplement recouvert de mon peignoir en voile léger offert par Lionel que je sors admirer le ciel étoilé.
Sur l’arrière de la villa, là ou le chemin de sable conduit à la plage, passe peu de monde surtout la nuit.
Je sursaute quand je me sens apostrophé, c’est Louis qui comme prend le frais et me voyant s’est approché de chez nous.
Dans la clarté de la pleine lune, je suis dans l’obligation de voir qu’il se présente à moi nu.
Que voit-il de mon corps à travers le voile qui me recouvre, sans avoir envie de jouir ça m’émoustille ?
Je devrais reculer mais deux mots bloquent mon raisonnement « glace pilé ».
Pour la forme je me sers de mes s pour essayer de m’échapper, mais il a réponse à tout avec un élément massue, si mes s se lèvent, nous verrons la lumière.

• Regarde d'où je t’ai vu sortir, nous au Brésil, hormis que nous sommes nus, nous aimons dormir à la belle étoile lorsque les chaleurs sont écrasantes comme ce soir.


J’ai acheté un hamac, je me balançais mollement quand je t’ai vu.
Allonge-toi, essaye comme c’est agréable.

C’est là qu’il me sort l’argument qui allait engager mon avenir.

• Regarde, tu vois la fenêtre de ta cuisine s’ils allument tu pourras foncer les retrouver, voilà un verre de cette boisson de mon pays.

Il m’aide à m’asseoir dans son hamac et me tend un verre qu’il vient de prendre sur la table à côté et où les livres qu’il lisait sur la plage se trouvent.
C’est vrai, c’est frais, ça sent le citron, j’adore, j’en mange souvent sa blanchies les dents.

• Il y a de l’alcool, je n’en bois jamais.
• C’est très peu alcoolisé, je vois que tu aimes, tient.

Il prend un broc à moitié plein et me ressert, ma langue semble se délier, le tutoiement que nous employons me semble naturel.

• Tu es marié au Brésil.
• Non, mais je vivais avec une femme plus jeune que moi, je l’ai rencontré sur la plage de Copacabana.
Quand j’ai vu Léandra passer près de moi, même de dos, elle était celle qui m’était promise, je l’ai rejointe dans l’eau et quand un homme sait être persuasif, j’ai su finir la journée avec elle.
• Tu en parle avec une intonation dans ta voix qui ne me dit rien de bon.
• Tu as raison, ça fait 4 ans que je suis avec cette jeune fille qui a maintenant 25 ans mais qui m’a quitté.
• Merde, pardon, mince, c’est con, c’est irrémédiable.
• Laisse-moi un peu de place, je me sens couillon à te parler debout près de toi.

Est-ce le léger balancier, est-ce le troisième verre de cette boisson plus traite qu’il n’y paraît, mais je me pousse légèrement pour qu’il prenne place à mon côté.

• J’ai fait un peu de dépression.
Louisette ma grand-mère l’a appris et comme il me fallait des vacances avec un changement d’air, elle m’a invité.
De chez eux ils m’ont proposé leur villa dont ils n’auront pas besoin cet été.


Je me rends compte que je plane légèrement, peu d’alcool mon œil, insidieusement ce vil séducteur a su m’amenez-moi l’honnête mère de famille à tomber dans ses filets.
Je vois bien que mon voile s’est retiré de mes seins, il fait un peu de fraicheur à cette heure et mes mamelons se dressent fièrement.
Il me regarde, prend mon verre et le pose sur la table, sa main vient empaumer mes seins comme de gros pamplemousses ronds et ferme.
(Ce détail « rond et ferme », c’est pour Anne ma muse, depuis qu’elle m’aide dans mon travail chaque fois que les seins sont ronds, en poires mais surtout fermes c’est sa patte.)
Pamplemousse et ferme donc, je devrais le repousser, surtout qu’hier Lionel m'a fait divinement l’amour, je ne suis donc pas en manque, mais je laisse faire, il faut dire qu’un peu plus bas, je sans ma chatte qui mouille.
J’ignorais que je suis une salope potentielle, une queue qui commence à se redresser à mon côté et je suis prête à succomber.

• Je crois que j’ai vu bougé dans ma cuisine l’un des s semble s’être levée.
• Arrête de paniquer, évite de prendre tes s à témoin.
Tes seins et ta chatte que je viens d’atteindre me montrent que tu veux que je te prenne.
Tu verras sur un hamac c’est divin, en plus je bande tu ne vas pas me laisser comme ça le restant de la nuit.

Il pivote, c’est sûr, je suis une salope, je tourne ma tête et écartant mes cuisses, je l’embrasse.
Il vient sur moi donnant un mouvement de balancier à notre couche et sans aucune pudeur je me laisse pénétrer.
Lionel, c’est Lionel qui est en moi, impossible que ce soit cet homme de 50 ans, mais dans la nuit au risque de réveiller mes s, je fais entendre quand l’orgasme me submerge.
Je suis en eau, lui aussi, il récupère mon verre et me redonne à boire.
Je bois une grande gorgé quand je sens un glaçon sur mon sein puis mon nombril, puis sur mon vagin.
Qu’ont-ils tous à vouloir sucer de la glace dans ma chatte, est-ce un nouveau jeu érotique à la mode, mais comme hier je jouis sous la langue qui me fouille ?
Il se redresse, sa verge est de nouveau tendue, il l’approche de ma bouche et sans aucune forme d’appréhension je me mets à le sucer.

C’est la première fois qu’une bite est dans ma cavité buccale, Lionel est classique sur ces choses mais s’il me l’avait demandé c’est sans problème que je l’aurais sucé comme je suce Louis à la limite de le faire éjaculer.

Envolé mes s, je suis une chienne lubrique qui attend la nouvelle saillie, ce qu’il fait dans la foulée malgré qu’il ait déjà déchargé une fois, il revient en moi.
Depuis combien de temps mon corps n’a pas été autant à la fête un nouvel orgasme me submerge.

• Louis quelle heure est-il ?
• Un.

Mon amant dort encore quand j’émerge, il fait jour.
Un, deux, trois, huit, neuf, fois la pendule dans la salle à manger ouverte égraine ses heures.

• Neuf heures, c’est la catastrophe, les s doivent être debout, comment vais-je entrer chez nous, je n’ai que ce voile sur mon corps.
• Levons-nous et restons calme, j’ai une idée, mets cet imper de Lucien mon grand-père, il cachera ton corps.

Je l’enfile, par chance Lucien est environ de ma taille et toujours pieds nus, je cours chez moi.
Je me sens poisseuse, du sperme couler certainement de ma chatte, j’ai été folle.
Heureusement que j’ai un stérilet, il ne manquerait plus que je tombe enceinte à 38 ans.

• Maman ou étais-tu ?
• Je suis allé vous chercher des croissants, mais la boulangerie était exceptionnellement fermée, vous aurez des céréales au petit déjeuner.
• Je leur en ai déjà donné, il regarde un dessin animé à la télé.
• Merci ma fille, je vais dans ma chambre, j’y suis allée les pieds nus et ils sont tous sales.
• Tu es drôle avec cet imper.
• J’avais tellement envie de vous faire plaisir, que je suis parti sur un coup de tête ma chérie.

Ouf sans plus d’explication, Luce tourne les talons et va rejoindre ses frères.
Je prends une bonne douche, je soigne principalement ma chatte qui a joui comme jamais depuis bien longtemps même si Lionel est un mari prévenant.

Comment ai-je pu faire ça avec le voisin ?
Sur le bureau de Lionel je prends un papier et une enveloppe faisant à Louis une lettre lui disant que notre moment de folie cette nuit aura été le seul.
Je passe mon maillot noir qui séchait dans la salle de bains, discrètement je sors et je renvoie l’imper par-dessus la haie de séparation avec dans la poche ma lettre.
Il atterrit au pied de la terrasse et du hamac où il brille par son absence.
Je passe une petite robe et rejoins les s.

• Préparez-vous, on va faire les courses si vous voulez manger ce midi.

Nous repassons par le chemin, la maison de Louisette et Lucien est entièrement fermé, le hamac a été enlevé, là où j’ai jeté l’imperméable, il brille par son absence, mon amant l’a récupéré.

• Regarde maman, la boulangerie est ouverte…

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