La Servante Du Manoir Des Grands Pins. Suite 2

• Chère Madame, je vais devoir vous laisser. Voici la posologie qu’il vous faudra respecter. Votre mari prendra un verre de lait maternel le matin et le soir, pas plus. Vous pouvez stocker le reste au refrigérateur. Vous veillerez surtout à ce qu’Eloïse tire tout son lait après chaque tétée.
• Bien sûr Docteur, ce sera fait. Madame de Sage le raccompagna jusqu’à la porte.
• Je rencontre demain Le Pr Delatour. Il vous contactera pour la collecte.
Cela fait une semaine que le docteur Desmond est passé et, comme il le lui a indiqué, Eloïse tire son lait régulièrement tout au long de la journée, ce qui engendre quelques tiraillements dans sa poitrine, signe que ses mamelles réagissent bien à cette nouvelle demande de production. Madame de Sage avait prit l’habitude d’apporter à son mari matin et soir, un verre du lait fraîchement tiré des mamelles d’Eloïse.
Mr de Sage apprécie ce doux « médicament » que le dr Desmond lui avait prescrit. La présence nouvelle d’Eloïse dans la maison ne l’avait pas non plus laissé indifférent. Malgré sa santé précaire et un appétit vacillant, il n’avait rien perdu de son appétit sexuel. Eloïse, au fil des jours, s’en était rapidement aperçu. Comme chaque matin, elle devait venir faire son lit, lui prodiguer un brun de toilette et faire un peu de ménage dans la chambre. Pendant la toilette Mr de Sage avait déjà complimenté Eloïse pour sa gentillesse et notamment pour le doux breuvage qu’elle pouvait lui offrir. Puis, au cours des soins, ses mains amaigries et fragiles s’approchaient de plus en plus de son corsage bien garni. Eloïse était un peu gênée même si le vieil homme était très aimable et sympathique. Plusieurs fois elle s’écarta de lui pour éviter le contact mais un matin, ne souhaitant pas davantage le faire languir, elle resta sans bouger et laissa les mains fraîches et fébriles se glisser dans le corsage blanc. Madame était parti en ville pour la journée et elle se dit qu’après tout Mr de Sage pouvait avoir droit à un peu plus de douceur.

Elle défit deux boutons pour l’aider à faire glisser le haut du corsage et dégrafa chacun des bonnets du soutien-gorge. Aussitôt deux seins blancs volumineux apparurent. Le regard du vieil homme s’illumina comme celui d’un émerveillé devant un cadeau tant désiré. Ses mains se posèrent sur les globes majestueux dont on voyait par endroit les veines bleutées serpenter à fleur de peau. Eloïse, malgré la froideur tactile ne détestait pas ces caresses nouvelles. Elle le laissa mesurer de ses doigts le moelleux de chacune de ses mamelles et presser les tétons épais brun foncé qui contrastait sur sa peau blanche. Une petite goutte de lait ne tarda pas à s’y former. Il l’effaça du bout de son majeur en l’étalant sur l’aréole toute aussi brune.
Après environ dix minutes, Eloïse agrafa les bonnets et remit en place son corsage, promettant au vieil homme qu’elle lui accorderait une autre fois ce petit extra.
A 18 h Eloïse entendit que l’on entrait. Elle s’empressa d’aller accueillir Mme de Sage qui arrivait les bras chargés.
• Je vous ai trouvé quelques petites choses Eloïse. Vous allez essayer ce nouveau soutien-gorge. C’est un 90E, je pense qu’il vous faut bien cela maintenant
• Oui Madame, celui-ci me serre un peu. Je peux le mettre tout de suite ?
• Bien sûr.
Elle Déboutonna son chemisier, le déposa sur la chaise et dégrafa son soutien-gorge, libérant deux seins énormes.
• En effet, ils ont encore bien grossis. Je pense que cette nouvelle taille sera un minimum pour vous.
Cela faisait maintenant deux semaines qu’Eloïse se servait de la petite trayeuse, recueillant à présent environ deux litres et demi de lait chaque jour. Les biberons commençant à occuper une grande partie du frigo.
Lorsque Madame de Sage annonça à Eloïse qu’elle devrait à nouveau s’absenter Mardi prochain, celle-ci ne put s’empêcher de penser à la toilette de Monsieur qui, très certainement, prendrait à nouveau une tournure un peu coquine…
Eloïse, en entrant dans la chambre aperçut Monsieur déjà bien éveillé dans son lit, attendant avec impatiente qu’elle s’occupe de lui.
Nul doute qu’il savait que sa femme était absente à ce moment.
Eloïse, comme à l’accoutumée, descendit les draps au bas du lit afin qu’il puisse plus facilement aller au fauteuil. Mais à cet instant, Il prit sa main, la dirigea vers son bas-ventre et la posa à l’endroit où elle avait bien crut remarquer tout à l’heure une proéminence. Eloïse ne s’attendait pas du tout à cette nouvelle demande et par réflexe, retira rapidement sa main de la sienne.
• Monsieur, s’il vous plaît, je dois faire votre lit. Je vous en prie, allez dans le fauteuil. Je...Je vous promets qu’ensuite je serais encore avec vous.
Monsieur de Sage, déçu par ce refus marmona quelques mots et se décida enfin à rejoindre le fauteuil.
Après dix bonnes minutes Il put regagner son lit. Eloïse l’aida à s’allonger et, puisqu’elle lui avait promis, elle s’asseya sur le bord du lit, déboutonna son chemisier, ouvrît les bonnets du soutien-gorge et le laissa approcher ses mains pour profiter de ses jolies mamelles…
Mais lorsque Mr de Sage, de nouveau, lui prit la main elle eut un sursaut.
Monsieur, non. Je ne pense pas que je puisse faire cela…
Allons Eloïse, ne soyez pas gênée. Vous savez, je ne souhaite pas vous importuner. Seulement, depuis près d’un an, avec ces sacrés problèmes de santé, ma vie n’est vraiment pas rose. De cette chambre, j’en connais tous les murs et les recoins. J’aimerais encore un peu profiter des petits plaisirs que l’on oserait bien vouloir m’accorder…
Eloïse était très touchée par les paroles de Mr de Sage, avec sa voix faible et éraillée.
Le vieil homme prît à nouveau la main d’Eloïse, l’amena sur son bas-ventre. Elle n’avait pas vraiment le choix. Il lui tenait fermement le poignet et puis de toute façon, n’était-elle pas simplement une bonne qui devait être totalement à son service ? Elle devinait sous ses doigts, au travers du tissu du pyjama, le membre en semi-érection. Ce contact n’était pas sans lui rappeler des souvenirs de son ancien compagnon de foyer, père de sa petite Gina.
Un contact chaud, agréable et doux avec un membre qu’elle sentait gonfler progressivement. Elle l’enserra davantage entre ses doigts pour mieux le stimuler et en cerner bientôt le vrai volume. Un soupir lui fît savoir que cette caresse était appréciée.
A présent, le membre se dressait, droit sous le tissu du pyjama. Eloïse le laissa maintenant prendre sa liberté. Mr de Sage baissa son pantalon, dévoilant une magnifique bite coiffée d’un gland épais violacé. Elle ne s’attendait bien sûr pas du tout à cela et ramena sans tarder le drap sur lui.
• Non, Monsieur, s’il vous plaît, je dois y aller.
On entendait les pleurs du bébé depuis quelques minutes. Eloïse finit rapidement de
border le lit et rejoignait sans plus tarder la chambre située à l’autre bout du couloir
Dans la soirée, pendant qu’elle tirait son lait, elle repensait à cette bite, superbement dressée et dont la taille l’avait très impressionnée. Elle n’imaginait pas non plus qu’un homme de l’âge de Mr de Sage pouvait encore avoir une telle érection. Cette pensée était loin de la laisser indifférente. Cela faisait maintenant plus d’un an qu’elle n’avait pas eut de relation avec un homme et de voir ce bel engin réveillait en elle un certain désir…

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