Les Fantasmes De Damien (6): Sophie Fait Un Check-Up Complet Chez Le Médecin

Après une digression sur mes premiers rapports sexuels et ma rencontre avec l’homme qui est devenue mon mari et le père de mes s me voilà de retour pour vous racontez mes dernières aventures.

Je suis donc rentrée de ma formation sur Paris. Comme Damien n’a pas tellement tilté sur la disparition de ma toison intime, je ne lui ai pas avoué mes deux nuits, très chaudes, avec Pascal notre voisin. Pour l’instant j’ai décidé que ça resterait mon jardin secret. Même si je sais qu’il a très envie de me voir dans les bras d’un autre je ne me sens pas encore prête à me faire baiser devant lui par un autre.

Par contre nos ébats, à mon retour ont été très chaud et different de ces dernières années. Ca peut vous paraitre étrange mais depuis mon aventure avec mon voisin je me sens encore plus proche et amoureuse de mon homme. En plus maintenant je lui autorise l’accès à mes fesses du coup ces derniers temps, il me parle de moins en moins de candaulisme.

Evidement, même si Pascal avait bien ouvert le chemin, je ne l’ai pas laisser me sodomiser directement. Dans un premier temps, alors qu’il me faisait un cunni je l’ai laisser me lécher le petit trou. J’ai senti à ses coups de langue, qu’il était étonné que je lui laisse me bouffer le cul contraire à ses centaines de tentatives précédentes.
La fois suivante, quand son index pointait contre ma rondelle, je n’ai pas protesté.

J’ai profité d’une soirée bien chaude, pour « céder à ses caprices » et lui offrir mon petit orifice. Son premier coup de bite a été moins douloureux qu’avec Pascal, peut être parce que ce n’était pas ma première fois ou parce que la bite de mon homme et moins dure et moins imposante… Même si les sensations ont été très différentes d’avec mon voisin, j’ai pris énormément de plaisir surtout quand en plus de faire coulisser son sexe entre mes fesses, il me triturait le clito.

En fin de compte, ma vie a repris son cours normal.

Je dois vous avouer que j’avais peur que Pascal fasse le lourd lors de nos rencontres entre voisins. Mais je n’avais pas pensé qu’il avait aussi peur que moi, que sa moitié découvre le poteau rose. Par contre, je commence à me poser de plus en plus de questions sur la fidélité de Damien. C’est, sûrement, le revers de la médaille!

Depuis cette écart à Paris, je ne suis plus jamais allé voir ailleurs. Même si, encore aujourd’hui, je chéris ces deux nuit passées avec mon voisin, je suis uniquement la femme de mon homme. Je suis vraiment heureuse avec lui et quand je suis dans ses bras, j’ai envie de personne d’autre. Je pense que c’est pour ça que je n’ai pas de scrupule à l’avoir trompé mais que j’ai du mal à envisager de réaliser son fantasme de candaulisme. Quand je suis en présence de mon mari plus aucun autre homme ne compte.

Même si je suis infirmière dans un hôpital, je suis suivi par un médecin généraliste qui pratique en libéral. Comme j’ai besoin d’un certificat médical pour ma formation suivante, je prends un rendez vous. Cela fait plus de 10 ans que je suis suivi par le docteur M. Il doit bien avoir tout juste une cinquantaine d’année. Il est comme le bon vin, il vieillit très bien. Ses cheveux grisonnant avec ses yeux bleus durs lui donnent un charme fou. Pour un homme, il est pas trop grand (il est à peu près de ma taille), mais il entretient bien son corps.

Immédiatement après mon travail, je file chez le médecin. Cela fait un quart d’heure que je suis dans la salle d’attente quand le patient avant moi rentre en consultation. Le temps me parait extrêmement long. Je ne sais pas du tout comment s’est venu mais je repense à Pascal et à ma nuit chez lui. Je dois dire que j’ai beaucoup aimé avoir les yeux bandés et les mains attachées, être à sa merci. J’aimerai bien renouveler cette expérience avec mon mari mais je ne sais pas comment amener le sujet.

Je suis perdue dans mes pensées, qui commence à me faire mouiller, quand je suis interrompu par la voix familière de docteur M.
Il me fait entrer dans son cabinet et je prends place de l’autre côté de son bureau.
« Alors Sophie, qu’est ce qui vous amène? Vous souffrez de quelques part? »
Je lui explique que je suis en formation pour monter en grade à l’hôpital et que j’ai besoin, pour mon dossier, d’un certificat médical. Je lui tends le papier à remplir.

Il l’inspecte rapidement, me pose quelques questions que j’ai l’habitude de poser à mes patients puis me demande de me déshabiller. Je suis un peu gênée de me retrouver en sous vêtements devant lui. Mais je suis un peu rassurée quand je me rends compte que mes pensées, dans la salle d’attente, m’ont beaucoup fait mouiller que je le croyais. J’ai une toute petite tâche de mouille sur le triangle de ma culotte, je la cache avec ma main. Quand il me demande d’aller sous la toise, j’ai pas l’impression qu’il a rien remarqué. Après m’avoir peser, il me demande de me tenir bien droite devant la table d’occultation.

Il inspecte mon dos et me demande de descendre mes bras jusqu’à mes pieds sans plier les genoux. Il inspecte mes jambes puis quand il regarde mon dos, il se met pas face à moi comme le fait chaque praticien, mais derrière moi. Je sens nettement son sexe contre mes fesses, soit il est monté comme un cheval, soit il bande! Je suis choquée mais aussi flattée, j’espère surtout que la tache sur ma culotte ne va pas être trop voyante après ça.

Ensuite, il me demande de m’assoir sur la table devant moi. Quand il pose son stéthoscope froid sur mon dos, je frissonne. Je respire à fond comme il me demande. Il passe devant moi et pose l’objet un peu moins froid, sur mon sein gauche. Il fait une drôle de tête puis me demande d’enlever mon soutien gorge pour mieux entendre.

Il sait très bien que je suis infirmière donc il sait très bien que je sais que mon soutien gorge ne dérange en rien. Pourtant je ne réagis pas et dégrafe l’attache dans mon dos. Quand je retire ma brassière, je passe instinctivement un bras devant mes seins et un autre dessous.
Immédiatement, il me demande si j’ai des douleurs à la poitrine. Je lui réponds que non mais je me vois pas lui dire que j’ai honte de mes seins que je trouve trop petits et pendants.

« Bon on verra ça après! »
Il écoute mon coeur et ma respiration et régulièrement ses doigts effleure ma poitrine, des fois plus précisément mes tétons qui commencent à durcir. J’ai jamais imaginé mon médecin de famille sexuellement mais je crois qu’il souhaite inverser la tendance. Flattée je me laisse totalement faire.

Ensuite il tâte mes aisselles, puis ses deux mains se posent sur mon sein gauche. Il le palpe de façon très professionnelle mais bien plus longtemps que nécessaire. Ensuite il passe au droit et je dois dire que j’apprécie de plus en plus son petit jeu. Alors que ses mains sont toujours sur ma poitrine, il me dit:
« Je ne sens rien de se côté là, tout va bien. »

Il me demande de m’allonger et je repense à la tache sur ma culotte. J’ai pas le temps d’être gênée car il enchaine ses questions:
« Vous voyez régulièrement votre gynécologue?  C’est qui? »
« Je vais chez docteur S. »
« Vous savez qu’elle prend sa retraite? »
« Oui? »
« Vous avez déjà trouvé un nouveau gynécologue? »
« Je pense aller voir docteur A, elle travaille dans le même hôpital que moi, je ne sais pas si vous la connaissez. »
« Non, ça ne me dit rien, mais si vous voulez je peux m’occuper de vos examens gynécologiques. »

Je n’ai pas le temps de lui répondre qu’il installe déjà les étriers sur la table. Comme je n’ai pas réagit, il me dit sur un ton plutôt directif:
« Il va falloir que vous enleviez votre culotte par contre! »
Je proteste pas, j’enlève le dernier rempart à ma nudité complète et je replis ma culotte en boule que je garde dans ma main. Pendant que je rentre mes jambes dans les étrillés, il va chercher un spéculum qu’il réchauffe avec de l’eau chaude.

Je n’ai jamais eu de gynéco homme, pourtant je ne suis pas du tout gêné d’exposer mon intimité devant docteur M, je me sens même de plus en plus excitée par la situation.
En plus depuis mon aventure parisienne, je me rase très régulièrement donc ma chatte est toute lisse et propre. Mon élixir, dû à mes pensées salaces permet au spéculum de rentrer très facilement. Comme il est tiède la sensation est plutôt agréable pendant qu’il l’écarte.

Il inspecte l’intérieur de mon corps, avec sa lampe frontale. Il me fait un frottis et après avoir enfermé l’échantillon il revient entre mes cuisses. Il retire le spéculum et le pose sur le plateau à côté de nous. Je dois vous avouer que de le voir brillant par ma mouille m’excite encore plus. Je ne sais pas si ça a le même effet sur docteur M, mais quand je referme mes jambes, il m’interrompt:
« Attendez, j’ai pas fini! »

Cela fait bientôt 30 ans que je consulte des gynécologues et c’est la première fois que l’examen de mon entrejambe ne s’arrête pas là. Mais cette occultation est très particulière parce que c’est aussi la première fois qu’un médecin pose ses doigts autour de mon clito. Il tire sur ma peau pour le faire ressortir et dit à voix haute:
« Le clitoris est bien placé et de taille normale. »

Je ne lui dis rien sur sa palpation et je réagis pas non plus quand un doigts ganté caresse mes grandes lèvres avant de s’introduire en moi. Son geste reste très technique mais commence à encore plus réveiller la femme adultère qui s’est endormie. Il palpe ma paroi interne et s’arrête en dessous de mon clito et me demande:
« Ton mari a trouvé ton point G? »
J’ai du mal à lui répondre que non car je suis en train de me mordre la lèvre pour ne pas gémir.

Tout en continuant à le stimuler avec son doigt, il enchaîne:
« Je suis dessus. »
Comme je ne dis pas un mot, ça l’encourage à encore plus me masser le point G et je décolle très rapidement. J’ai du mal à retenir les mouvements de mon corps sous le plaisir qu’il me donne. Avec un voix rauque et très sensuel, il ajoute:
« Laisse toi aller! »

Je n’en reviens pas qu’il soit passé au tutoiement, effectivement, cette consultation est pas ordinaire. Je commence à gémir en espérant qu’il y a pas de futurs patients dans la salle d’attente. Mon bassin se met à onduler tout seul, mon corps est pris de convulsion. Je sens mon sexe chauffer de plus en plus et une boule de plaisir naître dans mon ventre avant d’irradier le reste de mon corps. Mon médecin de famille vient de me faire jouir avec son doigt en quelques minutes.

Il ne retire pas son index, au contraire il l’enfonce encore plus et commence à le faire tournoyer dans ma chatte. Apparement la consultation est pas finie et heureusement parce que la Sophie de Paris fait son retour. Et encore plus quand un deuxième doigt me pénètre. Il les fait tâter ma paroi interne, tournoyer, bouger dans des sens différents l’un de l’autre, il les fait entrer et sortir entièrement.

Je n’ai pas eu le temps de reprendre mes esprits que je suis de nouveau en face de décollage. Non seulement sa main est vraiment experte dans ce domaine mais en plus j’adore cette situation. Moi l’infirmière complètement nue sur une table d’osculation en train de me faire doigter par mon médecin de famille. Je me demande depuis combien il a envie de s’occuper de moi ainsi.

Alors qu’il se redresse pour m’admirer prendre du plaisir, avec toujours ses doigts qui s’agitent en moi, il me lance:
« J’arrive pas à plonger assez en toi pour inspecter ton col, il va falloir que je trouve une autre méthode. »
Dès qu’il finit sa phrase, je remarque sa main de libre déboutonner sa blouse puis ouvrir sa ceinture et son pantalon avant de le baisser à ses pieds avec les même mouvements que ceux de ses doigts en moi.

Evidement, je jette un coup d’oeil sur son entrejambe, il porte un slip noir bien rempli. Je vois même son gland faire son apparition en dessous de l’élastique. Il retire délicatement ses doigts et me les donne à lécher. Je me jette dessus et j’imagine que c’est sa bite que j’ai en bouche. Ma langue passe sur chaque centimètre de son index et de son majeur. Quand il les a glissé entre mes lèvres, ils étaient brillant de mon nectar et maintenant ils le sont de ma salive.

Docteur M me quitte et quand il revient, pose des préservatifs à côté du spéculum sur le plateau. Au passage j’empoigne sa tige qui est en demi molle, il s’immobilise et se laisse faire. Alors que je le branle pour le décalotter et le faire grandir, je donne des coups de langue sur son gland. Je sens un liquide perler de son méat, je m’empresse de le lécher et l’avaler.

Je l’attire plus vers moi pour gober son champignon violet et faire tournoyer sa langue. Je plaque sa queue contre son ventre et je vais lécher ses couilles totalement lisse. J’adore vraiment qu’un homme soit rasé à ce niveau. J’aspire ses bourses l’une après l’autre, mon médecin se met à gémir de plus en plus fort. Alors que ma main droite malaxent ses boules, ma langue remonte lentement le long de sa tige pour ensuite entièrement l’avaler.

Je fais coulisser mes lèvres autour de sa queue qui ne s’arrête pas de grandir depuis quelques minutes quand je le recrache pour admirer son engin. En bouche son sex me semblait énorme tellement qu’il me déformait les lèvres mais en fin de compte il est monté à peu près comme Pascal. Par contre son érection m‘épate tellement il raide. Dommage que Damien soit plus mou c’est dernier temps.

J’ouvre la bouche pour de nouveau l’avaler, mais mon docteur se recule et retourne entre mes cuisses. Cette fois, il ne porte plus de gant et le contacte de sa peau dans ma chatte me fait encore plus de bien. Alors que son index et son majeur passe de mon point G à tournoyer en moi, je sens ses lèvres se poser sur mon clito. Pendant qu’il l’aspire alors que sa langue le titille, ses doigts se mettent en crochet en moi et viennent masser le point sensible qu’il a réveiller tout à l’heure.

Je sens mon petit bouton gonfler et se gorger de sang. J’ai pas envie qu’il retire sa bouche parce qu’elle me fait trop de bien mais j’aimerai le toucher car j’ai l’impression qu’il a doublé de volume. Comme la première fois, je décolle à plein gaz. Mais en même temps que la boule de plaisir, j’ai comme une envie d’uriner qui nait.

Alors que je crie mon plaisir et que je sens ma mouille dégouliner sur mes fesses, le médecin retire sa bouche. Je profite de cette pose pour toucher mon clito, effectivement il est énorme. Je suis en transe, je me malaxe fermement le petit bouton devant mon médecin qui me doigte avec son annulaire, son majeur et son index.

Alors que mon orgasme explose d’une puissance encore inconnue pour moi, j’ai l’impression de sentir comme une contraction d’avant accouchement. Je me redresse, je vois mon ventre s’agiter tout seul. Docteur M est complètement nu et se déchaîne sur mon entrejambe. Une nouvelle contraction vient et je vois un jet très liquide et transparent être expulsé de mon mont de Vénus. Puis un deuxième tout aussi puissant et libérateur de plaisir et enfin un troisième moins fourni mais tout aussi agréable.

Alors que ses doigts se calme en moi, mon médecin me dit:
« Je vois à ta réaction que comme la plupart des femmes tu ne savais pas que tu étais une femme fontaine. Vous l’êtes pratiquement toutes mais il faut savoir le déclencher. »
Alors que ses doigts tournoient gentiment en moi, il se penche pour lécher ma peau recouverte du liquide que ma chatte vient d’expulser.

Il retire ses doigt un à un puis vient me pénétrer un moment avec sa langue. Une nouvelle vague de plaisir commence à monter mais il se relève. Il a att une des capote sur le plateau et pendant qu’il la déroule, il me dit:
« Maintenant que tu es bien lubrifiée, je vais pouvoir inspecter ton col. »
Il retire mes pieds des étriers, plaque mes jambes contre son torse presque imberbe et pose son gland plastifié entre mes grandes lèvres.

Il empoigne son sexe et me caresse la vulve en remontant jusqu’à mon petit bouton. Je sens que je dégouline mais aussi mon sexe qui s’ouvre de plus en plus. Je ne sais pas si c’est sa volonté ou si je l’ai aspiré en moi mais ma chatte se remplie complètement par sa bite qui vient taper mon col. Ca y est, il a palpé tout mon intérieur.

Au lieu de me ramoner, comme l’aurait fait n’importe quel autre homme, il se retire. Il att le tabouret, le relevé au maximum et repose son gland sur à l’entrée de ma grotte. Il me pénètre tout doucement mais pas dans le sens de mon vagin, il rentre droit, sa tige s’enfonce pas beaucoup plus que son gland qui vient taper surnom point G. Alors qu’il est collé à ma paroi interne, il s’enfonce un peu plus ce qui me masse.

Il se retire complètement réitère la même opération. J’adore sentir mon sexe s’ouvrir par son gland qui me pénètre avant de stimuler mon point G d’une nouvelle façon. En à peine une quelques minutes de ce traitement, je jouis encore une fois. Je sais pas si c’est la situation, la nouveauté ou le talent de mon amant mais j’enchaine orgasme après orgasme.

Pendant qu’il laisse mon point sensible se reposer, il lime l’entièreté de mon con. Les sensations de cette pénétration sont elles aussi différentes. Bien que docteur M me semble pas plus large que mon amant et mon mari, j’ai l’impression qu’en coulissant en moi, il me stimule encore plus. Quand mes muscles commence à se contracter, il se retire immédiatement et se rassoit sur le tabouret.

Il me retourne pour me mettre à 4 pattes sur la table. Il pose sa langue sur mon petit bouton, la passe entre mes lèvres intimes, fais quelques allers retours dons mon con, continue sa course sur mon périnée pour la finir sur ma rondelle qu’il masse. Puis sa bouche prend le chemin inverse et ainsi de suite jusqu’à réussir à me sodomiser avec sa langue.

Après avoir bien ouvert mon cul, sa bouche abandonne mon entrejambe et il se relève. Pendant que son gland se balade du haut de mes fesses à son clito, je me tiens prêt à me retourner pour lui interdire l’accès à mon cul. Sans que je dises rien, il s’enfonce d’un coup sec dans ma chatte et commence à me ramoner très lentement. Avec une de ses mains il écarte mes fesses alors que le pouce de l’autre commence à me sodomiser tout aussi doucement.

Une fois que son doigt rencontre sa tige, il s’active de plus en plus énergiquement dans ma grotte. Déjà que j’avais l’impression de couler à grandes eaux mais avec le bruit que fait ses rentrées et sorties j’ai l’impression d’être une vraie fontaine. Heureusement que je couvre tout ça par des petits cris qui l’encourage à être encore plus sauvage.

Il me ramone tellement vigoureusement que son ventre claque à chaque fois contre mes fesses, quand il plonge en moi. Je n’ai même pas besoin de me caresser qu’un nouvel orgasme arrive, je crois que mon médecin est dans le même état que moi vu comme il se met à grogner. Il m’att fermement par la taille et me lime de toute sa longueur jusqu’à me faire jouir.

Mes muscles se contracte autour de sa bite mais je ne le sens pas jouir pour autant. Au moment ou un feu d’artifice de bonheur explose dans mon corps j’ai l’impression d’encore plus dégouliner mais pas comme quand j’ai « éjaculé ». Quand mes muscles se relâchent, il calme le rythme et se retire délicatement. Il me replace sur le dos et retire sa capote, heureusement par ce que je commence à avoir les parois internes irritées.

Quand il pose sa tige sur ma vulve, j’ai une appréhension, j’ai pas envie qu’il éjacule en moi, mais il ne fait que se frotter. Son gland vient buter contre mon clito ce qui me fait frissonner. Avec sa main il plaque bien son sexe contre le mien en faisant attention de ne pas me pénétrer. Ses vas et viens accélèrent progressivement et quand je sens ses veines se contracter contre mes petites et grandes lèvres je contracte mon périnée pour essayer de l’enserrer.

Je sens sa bite tressaillir, ses veines grossissent encore plus et un premier jet vient me tapisser le ventre. Il appuie sur son gland et les giclées suivantes tapent mon petit bouton. Sentir cette puissance de sortie jumelée à la chaleur du sperme, sur mon clito me fait presque jouir à nouveau. J’ai du mal à quitter le septième ciel mais pourtant il faut bien que je redescende.

Alors que je reprends mes esprits, toujours allongé sur la table, il remet uniquement sa blouse et sans même la refermer il retourne derrière son bureau. Alors que son corps perle de sueur, il reprend sa consultation comme si de rien était. Une fois mon certificat médical complètement rempli, il revient vers moi alors que je sens son jus couler le long de ma vulve pour atteindre le bas de mes fesses.

Il me tend le questionnaire en me disant:
« Voilà, je vous ai tout rempli. Comme je vous ai dit, si vous voulez que je continue votre suivi gynécologique, n’hésitez pas à m’appeler. Je vous recevrai enfin de journée, pour être tranquille. »
Je me relève en relisant qu’il est revenu au vouvoiement et lui réponds:
« Merci docteur. »
Je cherche du papier pour m’essuyer mais il m’indique une porte ou il y a une salle de bain et ou je peux me doucher. Il me sort une serviette et me laisse seule.

Une fois rhabillée, ça me fait étrange de lui remplir un chèque. J’ai plus l’impression de payer la séance de baise que la consultation. Quand je quitte son cabinet, nous nous serons la main mais il dit avec un petit sourire pervers:
« A très vite. »
Voila un nouveau secret que je ne suis pas encore prête à partager avec mon homme…

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