La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1282)

Camélia au Château - (suite de l'épisode précédent N°1281)-

C’est pourquoi j’ouvris donc ma boite mail et commençais à taper mon message adressé au Maître en écrivant, effaçant et réécrivant à plusieurs reprises pour être sûre de ne rien omettre :

‘Bonjour Maitre Vénéré, Daignez-me lire. C’est avec bonheur et plaisir que je me permets de Vous écrire ce message. Je souhaiterais tout d' abord Vous remercier et Vous exprimer ma très grande reconnaissance de m'avoir permis de Vous rencontrer par cette incroyable surprise et de devenir par la suite une de Vos soumises. Pour ne rien Vous cacher, depuis notre rencontre, rien que de penser à Vous et à Votre noble personne, j’en ai mes sens tous émoustillés. Je ne serais pas totalement franche si je ne Vous disais pas le trouble qui m’habite quand je me suis soumise à Vous à l’intérieur de Votre bureau, dans la fameuse tour Part Dieu. Même s'il est vrai que vu mon assez grand orgueil, je ne sais pas si Vous l’avez encore remarqué, mais je me doute vu Votre très grande connaissance de la psychologie humaine, que cela ne Vous a pas échappé. Sachez, ô Maître vénéré, que je saurais faire taire cet orgueil qui n’est pas digne d’une soumise car tout orgueil ne peut cohabiter avec la condition d'une soumise. En rentrant de mon rendez-vous avec Votre très noble personne, dans les transports en commun, je n’ai pu m’empêcher de penser à Vous et à la merveilleuse surprise de Vous avoir rencontré. Je n’ai pu que constater une excitation montante, flagrante mentalement et physiquement générant une humidité assez abondante au niveau de mon entrejambes. Je ne peux pas donc Vous cacher plus longtemps que j’en mouille pour Vous, rien que de penser à Vous, comme la chienne que je suis et que Vous voulez faire de moi. Veuillez recevoir Monsieur le Marquis, mes salutations les plus respectueuses et sincères de la part de Votre nouvelle chienne et soumise.’’

Je relis le mail plusieurs fois et je réfléchis quelques minutes puis ne voyant finalement rien à changer, je décidais de l’envoyer.

Après l’avoir fait, je sortis pour me rendre dans le Parc de la Tête d'Or pour aller rejoindre une amie et boire un coup dans le bar de ce célèbre parc. Après cette journée bien remplie, en rentrant chez moi, je regardais ma boite mail pour vérifier si j'avais reçu un message ou mail en réponse de la part du Maître. Je ne savais pas s’Il attendait pour me répondre ou si c’était de Sa volonté de me faire patienter… C’est à ce moment-là que le Noble de Son bureau, assis dans Son fauteuil en cuir, prit connaissance de mon mail. Et Il ne put s’empêcher de sourire. En effet, Il ne fut pas surpris car dès nos premières échanges et donc depuis si longtemps, Il avait décelé ma vraie nature de chienne-soumise et mon mail ne fit que confirmer ce qu'Il savait déjà… Pour Sa grande Dominance, Il avait décelé ce que j’étais viscéralement mais Il n’avait pas encore réussi à réellement estimer mon véritable potentiel à la soumission... Après avoir lu mon mail, Monsieur le Marquis décida d’attendre pour me répondre et de me laisser prendre du temps pour me rendre compte de ma nouvelle réalité et de ma nouvelle condition à Ses pieds. C’est ainsi que mon quotidien se poursuivit, je continuais à suivre Ses exigences pour Le satisfaire, des choses qu'Il me faisait faire et parvenir soit par mail ou le plus souvent par Skype. Et que je devais exécuter dans le seul but de Le satisfaire. Je savais que la prochaine rencontre serait dans Son Château mais je ne savais pas encore quand. Je dois bien avouer que cette perspective n'était pas pour me déplaire et que j’en étais toute excitée...

Quinze jours passèrent, c'est alors que je reçus un message du Maître et je ne pus m’empêcher de réprimer un sourire quand j’en découvris son contenu. En effet, celui-ci disait :

‘‘La petite chienne en devenir, Rendez-vous jeudi à 16h dans Mon Château. Il est temps que tu sois en Ma Demeure pour Me servir. Je te veux en forme et pas la peine de mettre de soutien-gorge ni de culotte, cela est superflu et ne te servira à rien…’’

C est ainsi que les jours passèrent et j’avoue que ce fut long d’attendre jusqu’au jeudi, jour du rendez-vous.
J’avoue aussi que j’étais aussi excitée que stressée et j’avais vraiment hâte de Le rencontrer dans Son Château. C’est alors que je pris la route avec ma voiture pour me rendre à l’adresse qu’Il m’avait indiquée. Pour calmer mon stress, je décidais de mettre la musique pour me détendre en conduisant. C’est ainsi que j’arrivais dans le village où le Château était situé et dès l’entrée dans le bourg, je vis un panneau fléché indiquant ‘‘Château des Evans, 3 kms’’. Je pris alors la départementale indiquée puis je la quittais pour prendre un petit chemin menant à Sa noble Demeure. Je me retrouvais donc devant le haut et impressionnant portail, tout en fer forgé, de Son Château. Je respirais et me mis à sonner à l’interphone-vidéo. Une voix masculine me répondit et je me doutais qu’il devait s’agir du Majordome. C’est après m’être présentée que le portail s’ouvrit automatiquement. C’est ainsi que je rentrais dans ma voiture et parcourais la grande allée centrale menant jusqu’au Perron du Château entouré d’une large cour aux graviers rouges et à l’immense parc aux pelouses impeccablement entretenues. Je sortis donc de la voiture et un peu hésitante en montant les marches du perron, j’allais frapper à la grande et massive double-porte au vernis impeccable. Puis je me mis en position prosternée comme le Maître me l’avait enseigné et j’attendis ainsi dans cette position Son bon vouloir. C’est ainsi que la porte s’ouvrit et Walter, le Majordome, apparut en haut des marches et me lança sans attendre et très directement, clairement sans détour :

- À poil, la chienne. Tu ne penses quand même pas entrer dans la noble Demeure de Monsieur le Marquis en étant habillée ? dit-il d'un ton sec.
- Non mais… je …
- Il n'y a pas de ‘mais je’ … Déshabille-toi et si tu n’es pas d’accord, tu ferais mieux de repartir tout de suite… Personne ne te retient et ne te retiendra, ici…

Malgré mon stress, il était hors de question de repartir car j’avais trop besoin de me retrouver aux pieds du Maître.
Alors je me déshabillais sans aucune pudeur et posais mes habits sur le côté. Après cela, je me mis à quatre pattes, tête baissée et attendais son bon vouloir. C’est à ce moment-là qu'il me passa une laisse et me fit entrer dans le Château. Il stoppa dans le grand hall d’entrée et m’observa attentivement tandis que je conservais ma tête baissée et mon regard au sol. Il tourna doucement autour de moi et me scruta des pieds à la tête et caressa de sa main vicieuse mon échine jusqu’au creux de mes reins puis ses mains passaient sur mon fessier arrondi. Je frissonnais n’osant pas bouger. Ensuite, il se remit en marche, me menant toujours en laisse en quittant le grand hall. Je ne pus prendre le temps d’observer les nombreux et luxueux couloirs, trop occupée à me concentrer sur ma démarche en quadrupédie, pour suivre Walter. Je le vis à ses pieds et au bout d’un moment s’arrêter devant une porte en bois massif. Il frappa et attendit. J’entendis un ‘entrer’ alors il tira un coup sec sur la laisse pour me faire entrer à sa suite. Je pénétrais donc à quatre pattes dans le bureau de Monsieur le Marquis. C’est alors que Celui-ci s’exclama :

- Ah mon bon Walter ! Mais que me ramènes-tu, là ? Ah voilà ma nouvelle chienne. Quel plaisir de la retrouver. Bien Walter, tu peux nous laisser et je ne veux pas être dérangé sous aucun prétexte.
- Bien Monsieur le Marquis, il sera fait selon Vos exigences, dit-il en quittant la pièce en s’inclinant avec un respect évident

C’est alors que je me retrouvais enfin seule avec Lui, attendant à quatre pattes, tête baissée selon Son bon Vouloir. J’attendis comme cela plusieurs minutes dans un total silence, en ayant bien du mal à cacher mon excitation grandissante avec ma mouille qui dégoulinait le long de mes cuisses. C’est à ce moment-là que Monsieur le Marquis décida de se lever :

- Bien Ma chienne, c’est aujourd'hui que j’ai décidé de prendre possession de ton corps car comme tu le sais déjà celui-ci ne t’appartient plus, il est Ma propriété absolu, il M’appartient.
Mais visiblement, la salope que tu es, est déjà trempée alors que je ne t’ai encore fait, me dit-Il en baladant Ses doigts autour de mon corps. Change de position, je te veux allongée sur le dos, les cuisses bien écartées, les mains derrière la tête. Regarde comme tu m’excites, la chienne, avec la bosse qui se forme sous mon pantalon.

Il sortit alors Son membre viril et volumineux de Son pantalon. Jamais je n’avais vu une telle verge si grosse si épaisse et si longue.

- Je vais te posséder par tes deux trous de chienne en chaleurs pour prendre possession de ce qui M’appartient. Tu n’es pas autorisée à jouir pour le moment. Si tu cries ou émets le moindre bruit, tu seras punie, que ce soit clair, je ne veux pas t’entendre …

Je sentis d’un seul coup Sa verge me pénétrer sans préambule et d’un coup sec, elle prit possession de ma chatte déjà trempée et avec ses virils coups de reins puissants et profonds, ma chatte dégoulinait littéralement de mouille. Jamais je n’avais être aussi excitée ni ressentait autant de divines sensations. Le Châtelain accéléra la cadence et j’eus toutes les peines du monde à ne pas crier de plaisirs et à n’émettre aucun bruit. J’étais là, telle une salope bonne à baiser, jambes écartées, ma cyprine dégoulinante et le regard pétillant et si heureuse intérieurement. Je me sentais à ma place, à être utilisée pour Son plaisir. Je sentis que Ses va-et-vient s’accéléraient encore plus jusqu’au fond de ma chatte quand Il décida, tout d’un coup, de sortir Son Vit de mon sexe affamé. Ne pouvant m’empêcher de pousser un soupir de mécontentement, souhaitant être encore prise ainsi comme une chienne. Je sentis alors deux claques cuire mes fesses.

- J’ai dit que je ne voulais entendre aucun bruit, dit-il d’un ton d’autorité. Reçois Ma noble semence sur ton corps de salope, dit-il, tout en m’éjaculant sous mes seins, sur le ventre et fais attention de ne pas en faire tomber par terre, la chienne.

Après m’avoir éjaculé dessus, Monsieur le Marquis se rapprocha de ma croupe pour l’inspecter :

- Alors ton cul est vierge de toute pénétration salope ?, s’exclama-t-il d’un ton enjoué. Bien ce n’est pas grave nous allons remédier à ça...

Le Châtelain commença à mettre un doigt, puis deux, puis trois, jusqu’à atteindre l’ouverture qu’il voulait de mon anus qui commençait à bien se dilater. Puis, il attrapa un gel lubrifiant et en passait sur Ses doigts pour continuer à faire le passage, à m’élargir l’anus. Une fois le résultat escompté le Noble enduit Sa noble verge, redevenue droite et gonflée, du même gel lubrifiant et l’enfonçait dans mon cul avec des va-et-vient tout d’abord en douceur, très doucement afin que Sa queue prenne sa place le plus profond possible et puis enfin de plus en plus vite. Paradoxalement au départ, je ressentais une certaine douleur même si celle-ci était très atténuée grâce à la lubrification puis très vite ladite petite douleur fut remplacée par un bien-être immense ainsi qu'une certaine excitation de mon sexe, je dois bien l'avouer. Je savourais désormais Ses coups de reins dans mon anus et j’en étais tellement excitée que je profitais de ce moment le plus intensément possible. Peu de temps après, le Noble jouit dans mon cul sentant Son sperme couler dans mes entrailles. En sortant Son membre de mon anus, Il se rendit compte que quelques gouttes de Sa semence avait coulé sur le sol. Alors Monsieur le Marquis me releva d’un coup pour me mettre à quatre pattes sans ménagement. Voyant Son regard insatisfait, je me doutais que la punition ne tardera pas à tomber, j’avais laissé échapper quelques gouttes de Son précieux sperme sur le beau parquet ciré…

(A suivre …)

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