Echec A La Dame

Quelques heures après la visite de Robert chez moi, je retrouvai Marielle dans son studio à la pause du déjeuner, pour lui rendre sa culotte durement gagnée. À la suite de ma séance du matin, j’avais dû me changer, mon nouveau tailleur bleu étant entièrement sali et taché. Vêtue d’un pantalon de marque Caroll large « merlin » en coton d’une grande élégance, taille basse de couleur « Camel » et d’une chemise à col fluide et classique en soie de couleur jaune boutonnée dans son milieu avec deux poches poitrines à rabat, j’affichais un look business casual chic. Conformément, aux instructions de Robert, j’avais également gardé les marques de rouge à lèvres sur mes fesses. Bien evidement, Marielle me demanda de lui narrer les événements, ce qui avait eu pour conséquence de l’exciter et pour résultat de me sauter dessus pour me faire l’amour. Étant également très fétichiste, elle m’avait bâillonnée avec une boule de latex, et recouverte la tête de sa culotte qui était dans un état déplorable à la suite de mes aventures au club. Elle me baissa mon pantalon à mi-cuisse me laissant juste mon tanga bleu. À quatre pattes sur le lit, elle s’équipa d’un gode ceinture pour me prendre violemment. J’étais donc positionnée en levrette afin de me faire prendre par un immense gode. Elle pouvait voir ma croupe bouger sous ses coups de reins, m’encourageant à bouger mes fesses.
- Vas-y ma boniche, bouge ton gros cul, plus vite, plus fort, oui continue tes vraiment une bonne soumise. Si tu es sage, je te défoncerai ton petit trou avec mon énorme gode. T’aimes que je te claque le cul, boniche, elles sont encore toutes rouges t’as du prendre une sacré dérouille avec mon Robert …. En tout cas, t’as un gros cul très photogénique ma pouliche, regardes la belle photo que j’ai reçue... Lis moi ce qui est écrit dessus, j’ai du mal à deviner…
Tout en me saccageant les fesses avec son gode, elle me mettait sous les yeux son téléphone me forçant à lire à voix haute me claquant le cul bien fort afin de me rendre obéissante….


- Ohhhhh, non Marielle, ahhhhhhh, Ouiiiiiiii, encore, Ouiiiiiiiii ; JE SUIS UNE ohhhhhhh SALOPE, Hummmmm ANAL GRATUIT….. Ohhhhhhhh GROS CUL A PRENDRE……
Elle me fit jouir fort et vite, pour ensuite intervertir les rôles et me mettre à sa place, et la prendre de la même façon. Elle jouit également, mais pas rassasiée me força à lui appliquer un cuni, pour finir d’apaiser son appétit sexuel démesuré. Je la suçais comme une hystérique plongeant ma langue au plus profond de ses cuisses… Enfin, épuisées toutes les deux nous restions allongeaient sur le lit.
- Au fait ma belle, tu sais que tu as tapé dans l’œil du marquis ???
- Ahh bon, je dois avouer que les circonstances n’étaient pas trop à mon avantage
- Il t’a trouvé très à son goût en tout cas.
- Vraiment ? Tu le connais bien ? Oui, Robert est en affaire avec lui et je crois savoir qu’il veut aussi investir dans le projet commun avec Richard
- Tu es sur Richard ne m’en a jamais parlé, faut dire que depuis la dernière soirée chez toi, il ne me raconte plus grand-chose.
- En tout cas, le marquis m’a demandé d’interférer auprès de toi afin de vous inviter à une soirée chez lui dans son manoir, nos hommes pourraient discuter affaires librement et nous nous amuser un peu, en plus sa demeure est sublime ?
- Ohhhh Marielle, qu’as-tu encore derrière la tête, soit honnête
- Disons que cela me rendrait service que tu sois gentille avec lui et en plus c’est un homme charmant, je suis sûr que tu vas adorer ses manières de gentleman.
- Tu sais pour être franche, j’ai déjà eu affaire à lui et il ne m’a pas laissé le souvenir d’un vrai gentleman - Faisant référence à la vente aux enchères du caveau.
- Oui, c’est un adepte de jeu de soumission, tu verras ses soirées sont extrêmement originales. Si en plus il se met d’accord avec ton mari, cela fera d’une pierre deux coups.
Elle savait activer la carte du business, sachant que nous avions besoin d’investisseur sur le long terme afin que notre projet d’extension soit viable.
Et pour cela, le marquis était le candidat idéal, très riche, avec un carnet d’adresses conséquent. J’en parlais quelques jours plus tard à Richard à son retour de Pologne, qui me confessa connaître le marquis et qu’il lui avait déjà manifesté son intérêt pour notre société…
- En plus, je crois que le marquis en pince pour toi…
- Richard, j’espère que tu ne me demandes pas…
- Non, ma chérie, c’est juste une petite fête sûrement coquine, et puis il n’y a pas de mal à se faire plaisir… Qu’en penses-tu ? Dis donc, je vois que tu as remis ton beau tailleur bleu, c’est pour mieux accueillir son homme… Viens sur la table de la cuisine, je sais que t’as envie d’une bonne petite levrette rapide ma salope….
Il me bascula sur la table de la cuisine, dans la même position que quelques jours auparavant, et me baisa de la même façon que Robert et l’inconnu… Pantalon à mi-cuisse, slip écarté, il me pilonna pour jouir sur mes fesses rapidement… À la vue de l’enthousiasme de Richard, je prévenais Marielle, qui ne tarda pas à nous proposer une date pour la semaine d’après, m’indiquant aussi quel devait être mon dress code… Un carton d’invitation nous fut adressé quelques jours plus tard. Le carton très bourgeois faisait référence à une soirée mondaine, avec tenue de circonstance de couleur noire, apéritif dînatoire au champagne, et nombreuses activités… Je me préparais en conséquence, me doutant que j’allais être l’objet de toutes les convoitises, et que Richard n’hésiterait à me partager avec ses futurs associés, cette pratique restant son plus grand fantasme.
Conformément, aux instructions de Marielle, j’optais pour une Robe Blazer noire fourreau Col V, avec leggins absolument opaque à l’aspect cuir et une couture décorative au-dessus du genou pour un look parfait tendance et remarquablement confortable le tout perchée sur des escarpins noirs de 12cms. La robe ne manquait pas de caractère. D’une matière sophistiquée avec une coupe structurée, elle était rehaussée de détails androgynes avec un look très guerrier.
Six boutons d’inspiration militaire à l’avant sur 2 bandes et un revers soyeux avec poches, je la portais avec des talons hauts et une pochette pour un look de luxe digne des années 80. Elle offrait un décolleté sexy qui dévoilait ma poitrine d’une façon sensuelle sans tomber dans la vulgarité tout en laissant deviner mes dessous toujours d’une élégance ultime qui était la pièce essentielle de ma tenue. Mon Soutien-gorge, corbeille de la collection de lingerie Soir de Venise Lise Charmel avec une broderie délicate réalisé en dentelle Leavers de Calais accentuait mon look chic, bourgeoise très tendance et désirable à outrance, et cela, malgré mes 50 ans passés.

Nous nous rendîmes au manoir, ou le marquis avait invité trois autres couples, Marielle et Robert, Jean-Marie qui était accompagné d’une Russe Bimbo blonde d’une trentaine d’années et le garagiste venue seul. Je constatais que Marielle était habillée comme moi, mais en blanc, et que chacun des couples était soit en blanc soit en noir. J’avais eu avec chacun de ces hommes une aventure, espérant seulement qu’ils soient discrets devant mon mari, qui malgré ses goûts partageurs n’apprécierait sûrement pas ces écarts sans consentement. En plus des couples, le marquis disposait d’une batterie de serviteurs composés de 5 hommes, un cuisinier et 1 femme pour faire le service dont le dressing code avait attiré mon attention, 4 étant étaient déguisés en pièce d’échec. Les 2 hommes blancs étaient habillés en blanc, l’un en costume de cavalier, l’autre en costume de fou du roi blanc et rouge à motifs losanges et rayures, le visage masqué d’une cagoule. À l’inverse, les 2 autres hommes noirs étaient avec les mêmes costumes, mais de couleur noire. La femme portait un costume d’époque de marquise avec une perruque de couleur blanche, qui compléter avec beaucoup de goût le costume de style Renaissance. Le marquis quant à lui avait opté pour un costume d’époque blanc et également une perruque.
Le Château construit sur un domaine de 10 hectares, se caractérisait par la présence d'une tour rappelant les châteaux-forts du Moyen Age située devant le bâtiment avec une architecture paysagiste du domaine dont le parc et ses écuries donnaient des perspectives convergentes toutes vers le château.

À l’intérieur, le rez-de-chaussée d’une surface de plus de 500m2 se composait d’une grande entrée avec départ d’escalier de type renaissance. À droite, une bibliothèque et une pièce de réception de 120m2 avec de confortables canapés et sa merveilleuse cheminée sculptée. À gauche un grand salon, une salle à manger avec sa grande table pour 12 convives et son immense cuisine. C’était un lieu appétissant d’une grande convivialité. Une bâtisse noble, pleine d’histoire élégante, confortable où l’on ressentait tout le charme du 16éme siècle.
Nous prenions l’apéritif dans la grande pièce de réception décorée en style renaissance. Richard, Robert et le marquis s’étaient isolés dans la bibliothèque pour parler affaires, et je pouvais deviner au visage l’emballement et l’intérêt de mon mari. Nous écoutions avec, je l’avoue, un peu de moquerie les histoires de notre Bimbo russe qui avec son accent et son français très approximatif nous racontais ses opérations esthétiques, dont notamment la dernière pour se faire gonfler la poitrine pour faire plaisir à Jean-Marie…
- Moi pour ma part, je préfère les grosses poitrines bien matures et naturelles renchérissait le garagiste…
- Oui, moi aussi, j’aime bien, confirma Jean-Marie en riant, mais une petite jeune avec une poitrine bien dure, c’est bon aussi…
La conversation continua sur les mêmes thèmes, pendant laquelle je sentais bien les allusions des 2 hommes… Les déguisements de soubrette, être vendue aux enchères… Jouait au poker… Rien ne me fut épargné… Marielle et la bimbo s’absentèrent quelques minutes pour se remaquiller me laissant seule avec mes deux violeurs. Jean-Marie et le Garagiste qui partagèrent un MMS de Robert…
- Regardez-moi ce que ce salaud de Robert m’a envoyé… Il s’est encore tapé une belle bourgeoise…. dit Jean-Marie.
- Montre…. Ouuuuaaaa, mais quel cul…. Hahahahaha, regarde Patricia, ce qu’il lui a écrit sur le cul… « JE SUIS UNE SALOPE, ANAL GRATUIT, GROS CUL A PRENDRE. »
- Ouiiii, elle a des fesses presque aussi bonne qu’une bourgeoise que je connais bien… En tout cas, elle est très élégante avec son tailleur bleu, ce n’est pas banal comme tenue, on devrait la reconnaître….
Ils riaient aux éclats en regardant la photo de mes fesses marquées aux rouges à lèvres… Alors que les filles revenaient… Se doutait-il qu'il s'agissait de moi ?
De loin, j’observais les autres dans la bibliothèque en train de discuter. Ils riaient ensemble tous les trois, et je sentais aussi leur regard se tourner vers moi, comme si j’étais le sujet, de la conversation et leur rire. Le marquis nous rejoignit enfin avec Robert et mon mari…
- Dites-moi Marquis, quel est donc le thème des costumes de nos élégants serviteurs… Est-ce que cela a un rapport avec notre dress-code ?
- Ahhhh je vois que notre amie Patricia est intéressée. Il s’agit d’un jeu auquel nous allons jouer à la fin du repas… Une partie d’échec en grandeur nature… Chacun de vous va prendre une pièce et sera responsable de sa victoire, mais aussi des conséquences de sa défaite…
- Marquis vous êtes un vrai diable quel suspense… Ajouta Marielle
- Je vous promets que vous trouverez tous, le jeu à votre goût… Mais attention, vous êtes dans un domaine historique et ancestral, donc sans pitié pour les perdants…
Nous passions à table, Richard près de moi me glissa à l’oreille… « Sois bien docile ma chérie, on va passer une très bonne soirée… »
- Merci de respecter le plan de table mes amis. Vous trouverez d’ailleurs à votre emplacement une pièce d’échec qui sera votre personnage…
Nous prenions place, j’étais en bout de table avec à ma gauche Richard, et à ma droite le Marquis qui présidait. En face de moi Marielle et Robert. À coté de mon verre je trouvais une pièce d’échec qui était une Dame Noire pièce d’échec sombre alors que Marielle était la dame blanche. Richard, était en charge des pions noirs, Jean-Marie le Roi Noir, le garagiste en charge des pions blancs, la bimbo s’occupait des tours noires, et Robert des tours blanches… Les serviteurs avaient en charge les cavaliers et les fous.
- Et vous Marquis, quelle pièce avez-vous
- Le Roi, ma chère Patricia, Le Roi Blanc qui représente le symbolisme du combat d’Arjuna “blanc” au côté de Krishna “noir”, respectivement au mortel et à l’immortel tels qu’ils sont dépeints dans le poème de la Bhagavad-Gitâ.
- Alors nous sommes des adversaires marquis ?
- Et oui chère amie… Mais soyez sans crainte, je saurais être indulgent dans votre défaite…
Sur mon assiette, je trouvais aussi un masque asymétrique de colombine noir avec de fins ornements et d'énormes plumes blanches, que le Marquis nous me demanda de porter, ainsi que pour Marielle. Le dîner démarra avec nos serviteurs qui s’affairaient à nous servir.
Le menu était digne des grandes tables, avec un petit clin d'œil à Paul Bocuse : soupe aux truffes noires, un plat créé pour le Palais de l’Elysée, suivi d'une volaille truffée sous la peau et cuite dans une vessie de porc. Je continuais au champagne alors que les autres convives dégustaient les plus grands crus sortis tout droit de la cave du marquis, unique dans toute la région. Richard dégustait tout particulièrement un Pomerol La Fleur Petrus.
Alors que nous dégustions l'entrée, le marquis fit un signe de la main et les deux fous du roi ainsi que la femme en costume de marquise se glissèrent sous la table. Marielle commenta tout de suite :
- Monsieur le Marquis nous a prévu une surprise apparemment....
- Marielle, vous savez que vous n'êtes jamais déçue
La discussion continuait sans que personne ne prête attention aux trois personnes en dessous de la table, mais très vite, je sentis quelqu'un prés de moi, qui d'autorité m'écartai mes jambes. Je sursautais avec un petit gémissement craintif, quand la main de Richard se posa sur mon bras...
- Sois sans crainte ma chérie, laisse-toi faire...
- Mais Richard, il met sa main entre mes cuisses, glissais-je dans l'oreille de mon mari
- Voyons Patricia, tout va bien vous appréciez la soupe. Vous savez que Paul Bocuse à crée se plat en 1975. Il s'agit d’un plat créé pour le Palais de l’Elysée, à l’occasion de la remise du titre de Chevalier de la Légion d'honneur à Paul Bocuse par le Président Valéry Giscard d’Estaing.
- C'est délicieux Marquis, tout à fait raffiné, essayant de maîtriser ma surprise et ma gêne.
Sous la table, nos serviteurs s’activaient, je pouvais deviner à la vue de Robert qu'il était en train de se faire sucer et que Marielle devait profiter de son serviteur qui vraisemblablement explorer son entre cuisses. Pour ma part, je sentis l'homme me prendre la jambe droite et l'écarté pour positionner mon escarpin sur les genoux du marquis, alors que ma jambe gauche, écartée vers la gauche, était prisonnière de la jambe de Richard qui avait toujours sa main sur mon avant-bras. Une main se posa entre mes cuisses au dessus de mon leggins, et me massa le sexe. Doucement mécaniquement, sensuellement. Les caresses étaient douces mais suffisamment prononcées pour me faire réagir, alors que je continuais à déguster la Soupe de Truffe. Je sentais la main du marquis qui me tenait mon pied-droit et qui m'enleva mon escarpin, pour le poser sur la table...
- Notre Dame Blanche, perd déjà ses plus belles armes avant le commencement de la bataille...
L'assemblée riait à la blague du marquis alors qu'il mettait de plus en plus difficile à retenir ma jouissance sous les caresses du "Fou du Roi". Le marquis frottait, et massait mon pied nu sur son sexe que je sentais grossir... Alors que la main du "Fou" se plongea sous mon leggins et mon string pour s'emparer de ma chatte... Je pouvais deviner aussi le manège de la femme sous la table qui passait d'un homme à l'autre les suçant, en prenant garde de ne pas les faire jouir. Tous étaient occupés à savourer ce dîner succulent, amis aussi à subir les caresses du dessous-de-table. Notre Bimbo s'était écroulée sur la table ne pouvant retenir ses orgasmes... Marielle me regardait droit dans les yeux, mais je devinais à son regard qu'elle jouissait aussi alors que je pouvais deviner sa main droite s’occuper du sexe de Robert... Pendant ce temps, le marquis avait glissé son sexe sous mon leggins et se frotter le long de ma jambe sous le faux cuir de mon pantalon... Le plus surprenant de la situation est que le repas continuait sans que personne ne fasse la moindre allusion à ce qui se passait sous la table ou la réaction des convives qui se faisait besogner... J'avais deux doigts dans ma chatte qui coulissaient afin de me faire jouir, pendant que le sexe du marquis se branler contre moi, et Richard qui avait pris ma main gauche pour le masturber... Le marquis cessa, gardant mon pied contre son sexe en me caressant la jambe... L'expérience de l'endurance je suppose, alors qu'il continuait à me parler pendant que je perdais mes sens tout en continuant à manger...
- J'espère que vous appréciez la volaille chère amie, c'est d'un raffinement exquis...
- Ouiiiii Marquis, Vooouusss nous gâter… Ses mains sont un vrai délice, dans un lapsus très révélateur…
- La volaille chère Patricia, vous parlez de la volaille
- Ouiiiii, biennn sur Marquis….
Je jouis plusieurs fois. Alors que Richard se faisait sucer à son tour, il me passa la main sous la table afin que je tienne sa maîtresse par les cheveux... Il profita de ce moment afin de joindre sa main à celle de mon serviteur. Je me retrouvais avec plusieurs mains entre les cuisses dont je ne pouvais dire qui était qui...
Pour le désert, le marquis annonça un fondant au chocolat, arrosé de son nectar de dieu... Le cuisinier m'apporta mon assiette et la posa devant moi. J'avoue que j'avais du mal à rester concentrée à la vue de l'activité en dessous de la table et toutes ses mains qui continuaient à jouer entre mes cuisses. Une fois, tout le monde servi, Marielle réagit...
- Jolie fondant Marquis, mais je ne vois pas de nectar, à moins qu'il soit à l'intérieur du gâteau...
Le marquis s'adressa aux deux hommes qui n’étaient pas sous la table ainsi qu'au cuisinier toujours à mes côtés... 'Messieurs, à vous de combler ces dames et d'arroser de nectar ces délicieux fondants... Le cuisiner obéit instantanément et sortit son sexe qu'il s'empressa de me fourrer dans la bouche. J'étais donc assise avec un homme déguisé en pièce d'échec en dessous de la table jouant avec mon vagin, mon mari à mes côtés se faisant sucer, le marquis jouant avec mon pied toujours posé sur ses cuisses, et pour finir un cuisinier que je suçais alors qu'il me tenait la tête pour gérer lui-même mes mouvements de bouche... Les autres femmes subissaient le même sort que moi, avec les autres serviteurs... Je le pompais alors qu'il se masturbait dans ma bouche. Je ne sentais aucun désir dans son sexe, juste une envie de décharger sa bitte dans la bouche d'une bourgeoise soumise.... Et j'étais cette bourgeoise...
- Monsieur Dupont, votre femme est une vraie experte de la fellation... Une vraie butineuse…
- Oui, profitez bien, c’est une suceuse de première… Une vraie pro de la pipe…
Je pouvais observer Marielle terminait son serviteur, qui gicla sur le fondant au chocolat encore chaud, de grande traînée de sperme recouvrant le biscuit... Le cuisiner fit de même et se vida sur mon gâteau... De grands jets recouvraient le fondant... Il se rhabilla et retourna en cuisine.
- Bonne dégustation Madame Dupond....
- Allez Mesdames déguisait votre dessert, et pour messieurs, je vous propose une trêve la soirée est encore longue, et nous allons bientôt démarrer notre vrai challenge... Bernard, j'espère que vous êtes prêt pour endosser le rôle du Roi noir... Ce soir, c'est votre revanche...
- Marquis, je suis prêt et je dois avouer j'ai beaucoup progressé, je vais vous surprendre...
- Je n'en doute pas et avec une reine comme Patricia, vous ne pouvez pas perdre....
Je dégustais mon fondant recouvert de foutre, pendant que cette conversation continuait et que les serviteurs quittaient le dessous de la table, laissant enfin mon vagin en paix, mais en feu.... Pensant avoir terminé mon dessert, je reposais mes couverts
- Chère Amie, il reste un peu de nectar....
Le Marquis ramassa une grande trace de foutre dans mon assiette, avec son doigt, qu’il me fit lécher afin de tout nettoyer… Bernard, le garagiste, ne put s’empêcher un commentaire salace…
- Patricia, quelle gourmande vous faites, une vraie affamée....
Une fois le repas terminé, le marquis me rendit mon escarpin et nous invita à rejoindre la grande pièce de réception.
Entre les coïts à répétition, le goût du foutre dans ma bouche, et le champagne, j'avais perdue toute retenue, et me dirigeait vers la grande pièce au bras du marquis alors que Richard me suivait au bras de la "princesse blanche"... Les serviteurs disposaient un grand tapis au motif blanc et noir représentant un échiquier géant. Les pièces furent également positionnées sur le jeu à l’exception des deux reines et des deux rois, dont l’emplacement restait vide.
- Patricia, Marielle prenez place... La dame est la pièce la plus puissante du jeu. Chaque camp en possède une placée à côté du roi, la dame blanche sur la case centrale blanche, la dame noire sur la case centrale noire. Soyez forte, vous serez l'objet de toutes les convoitises, et devrais payer le prix pour chaque défaillance...
Tout le monde se positionnait autour du jeu, chacun ayant la responsabilité de bouger ses pièces, les choix du jeu étant sous la responsabilité du Roi, Bernard pour les « noirs » et le marquis pour les blancs. Nous étions tous les 4 sur l’échiquier et le jeu commença.
Les blancs débutèrent la partie, avec l'avantage d’un coup d'avance sur les noirs et un objectif de contrôler le centre de l'échiquier et de prendre l'avantage dans la partie. Je sentais la concentration du Marquis dans cet enjeu important de l'ouverture. Chacun des rois annonçait les cases et les responsables des pièces les déplaçaient en suivant les instructions. Pion Blanc en E4, Pion Noir en D5, Pion Blanc en E5, Cavalier Noir en C6, Cavalier Blanc en G4, Fou Noir en G4, Pion Blanc en C3, Fou Noir prend le Cavalier Blanc...
- Échec à la Dame Blanche par le fou... Patricia, vous connaissez le prix. Monsieur le Fou, la reine est à vous pour un premier assaut... Jusqu'au prochain coup des noirs...
La partie venait juste de commencer et j'étais déjà menacée. L'homme déguisé en fou noir se dirigea vers moi et m'attrapa par la taille. Son bras me tenait fermement contre lui, alors que de son autre main, il s'attaqua à ma poitrine, me caressant au travers de ma robe veste militaire.... Nous étions debout sur le jeu d'échec, et alors que la partie continuait, je me faisais peloter les seins par un homme inconnu, devant mon mari, et les autres invités. C'était à Bernard de jouer pour les blancs et afin de me sortir de cette position. Il prenait anormalement son temps, laissant le temps à mon oppresseur de s'occuper de ma poitrine voluptueuse.
- Bernard, dépêchez vous de jouer s'il vous plaît...
- Ohhh Patricia, je comprends votre empressement, mais je dois être sur de ma stratégie... Dit-il en riant, et me regardant me faire caresser devant tout le monde...
Pion Noir prend fou noir en G3, Cavalier Noir en E5, dit le marquis me libérant enfin du fou. Pion Blanc en B4, Cavalier Noir en F6. Le fou m'avait ouvert la robe, laissant mes gros seins au vue de tout juste protégé par mon SG Lise Charmel. J'en profitais pour me rhabiller, me doutant que ca risquait de se reproduire. Cavalier blanc en B3, Pion Noir en E6, Pion Blanc en F4, Cavalier Noir en G6, Dame Blanche en A4 et échec au roi, Pion Noir en C6, Fou Blanc en H3, Cavalier Noir en F4, Fou Blanc en G3, Cavalier Noir en D3, échec au roi.... La partie continua... Dame Noir en H4, Pion Blanc et F3 et Cavalier Noir en F3. Échec au roi et à la dame blanche...
- Messieurs le Fou et le cavalier occupaient vous d'elle, ordonna le marquis.
Pour la seconde fois, je fus possédée, mais cette fois, ils étaient deux, et s'occupaient de mes fesses et de mon sexe. Leurs mains étaient partout sur mon corps, passant sous mon leggins et mon string afin de s'emparer de ma chatte, alors que la partie continuait allégrement... Les cavaliers continuaient à mettre en échec notre Roi, alors que j'étais toujours en échec par la dame, la fin était proche, et je sentais le marquis faire durer le plaisir, laissant les deux hommes s'occupaient de moi. Au troisième coup, le marquis s'adressa à mes tortionnaires...
- Punissait cette catin, et que vos claques résonnent sur sa croupe de vaincue...
Toujours debout en plein milieu du jeu les deux hommes me penchèrent en avant pour m'appliquer une fessée, tout en ayant baissé mon leggins à mi-cuisse. Les claques s'abattirent sur ma croupe... 1, 2,3 .... Chacun leur tour me faisant rougir les fesses... Ils alternaient les claques sur ma croupe et les caresses viriles entre mes cuisses ou sur mes gros seins... La fin sonna au coup suivant, achevant ma défaite totale et me promettant une nuit compliquée... La dame blanche prend la dame noire en A4...
- La reine noire est vaincue, elle est donc ma prisonnière... Messieurs préparez-la avant de l'emmener dans mes appartements, elle est à vous comme trophée de guerre...
Les deux hommes me sortirent du jeu me portant comme un vulgaire sac de patates. L'un me tenant par les jambes et l'autre par la taille, ils me portèrent pour me poser sur le canapé, ou ils continuèrent à s'occuper de mon corps, pendant que la partie se terminait... J'étais assise et maintenue par le fou et le cavalier qui jouait avec mon corps de leurs mains affamées. Le fou sorti son sexe alors que le cavalier poussa ma tête vers le sexe, afin que le prenne en bouche... Son sexe s'engouffra dans ma bouche alors que j'étais tenue par les cheveux m'obligeant à sucer cet homme dont j'ignorais l'identité...
- Ohhhhhh, ma tata, t'es toujours la meilleure des suceuses continue ma belle, avant qu'on te prenne en sandwich ma reine....
Sébastien !!!! Il s'agissait de Sébastien, il avait réussi à s'introduire dans mon cercle d'amis, et il profitait de ma situation abusant une fois de plus de mon corps et de mes formes... Je le suçais, écoutant sa voix ajoute à ma défaite...
- Allez ma reine, soyez une bonne butineuse, la reine des abeilles qui va butiner tous les beaux dards de la soirée....
- Oui, Tata, suce moi bien, après tu suceras mon ami Jérôme, mais je crois que tu le connais bien c'est le cousin du garagiste, il travaille chez toi... C'est grâce à lui que je suis là....
Alors, tout était clair, mon collaborateur Jérôme, a qui j'avais déjà eu affaire chez Marielle déguisée en soubrette, avait contribué à aider Sébastien. J'étais donc à leur merci à tous les deux. La partie d'échec était perdue pour les blancs, le marquis annonça la fin, invitant tous les invités à se détendre dans le salon. C'était un appel à l'orgie, dans lequel mon mari faisait parti. Pour ma part, il demanda à mes tortionnaires de m'emmener dans ses appartements... Une fois de plus, ils me soulevèrent et me transportèrent à l'étage dans la chambre du marquis. Je fus alors jeté sur le lit, et j'entendis le marquis...
- Allez, messieurs elle est à vous prenez de toutes les façons possibles.
J'étais couchée sur le lit, avec le fou me tenant les bras écartés, alors que le cavalier entre mes jambes, écartait mon leggins. Il déchira le simili cuir dans mon entre-jambe laissant juste mon vagin protégé par mon string. Pas pour longtemps, il tira violemment sur la dentelle pour me l'arracher et me le plaça dans la bouche... J'étais bâillonnée avec ma culotte. Le fou se coucha sur le dos me forçant à venir le chevaucher. Il me prit comme une bête, et se mit à coulisser en moi... Il écarta ma robe libérant mes gros seins passant de l'un à l'autre suçant l'un tout en palpant le second. Il accélérait les mouvements de reins alors que le cavalier se plaça devant moi pour m'enfourner son sexe dans la bouche me forçant à le sucer, tout en me tirant par les cheveux... Je sentais le marquis derrière moi devinant ses intentions...
- Votre royal anus va devoir subir la pénitence pour sa défaite belle Patricia...
- vas-y, ma tata ouvre ton cul pour bien te faire enculer ma salope... Hummm, depuis que je t'ai défoncé le cul la semaine dernière, je n'arrête pas de me branler en pensant à toi...
- Allez patronne, une petite gâterie à votre employé, et je vous promets une bonne note à l'enquête de satisfaction "Great Place to Work"
Le marquis me sodomisa... J'étais prise en sandwich, par ses 3 hommes dont l'un était mon neveu et l'autre travaillait pour moi. Prise, défaite, démunie, sans défense, je ne pouvais que les laissait faire, me faire prendre comme une bête, sans défense. J'étais capturée, soumise et utilisée... Ils me défoncèrent pendant de longues minutes. Le marquis accélérait le mouvement claquant ses mains sur mon gros fessier. Il était comme un général vainqueur sur le champ de bataille abusant de sa prisonnière, une bête féroce, un prédateur, qui violait sa proie la donnant en offrande à ses troupes. Je jouissais sous les coups de reins de mes agresseurs qui s'étaient emparés de mon corps avec un accès direct à leur plaisir au travers de mon leggins déchiré. Une poupée, un jouet, un accessoire sexuel dont mes assaillants utilisaient chaque partie pour leur simple plaisir et désir... Le marquis me maintenait les bras dans le dos alors que son sexe coulissait dans mon anus, alors que le cavalier continuait de me tirer les cheveux pendant que son sexe labourait la bouche. Mon neveu se délectait de la situation me limant le vagin me tenant par les fesses et me suçant mes grosses mamelles qui ballotaient devant son visage.
- Ohhhh Marquis, on se la farcit bien cette bourgeoise... Tenez-lui bien les mains.
- Ouiiii, elle est étroite la Dame Blanche, toute serrée
- Hummmmm, Ramone bien ta tante, elle aime ça
- Ouiiiii, je lui prends bien la croupe, je me retiens, faut pas jouir tout de suite...
- Vas y aspire la bitte, rentre bien tes dents la reine.... Ohhh Marquis, je ne vais pas pouvoir me retenir....
- Allez y Jérôme, jouissez, je veux qu'elle avale votre foutre jusqu'à la dernière goutte.
- Buoooorgggg, Glouprggggg, .... Beurkkkk
- Ohhhhh ton cul ma reine, que tu es bonne... Tu sens la chaleur de mon sexe au fond de ton cul, je vais t'inonder, tu vas jouir comme une folle, ma reine...
- Laisse-lui ta bitte dans la bouche qu'elle ne puisse pas crier, retiens-toi ne jouie pas tout de suite...
- Tu mouilles comme une chienne... t'aime te faire enfiler salope... Ohhh une vraie fontaine, tu aimes qu'on te bourre tes petits trous...
- Hummmmmmm, Ouiiiiiiii, prenez moiiiii gluprggggg, jouissais moi dessus, je veux votre sperme, punissez-moi, je suis votre catin ! Dites-moi des mots cochons ! Ca m'excite...
- Tiens Salope ! Prends-ca, ca va te chauffer le cul... Tu es une vraie pouliche à la croupe épanouie, qui aime se faire monter par des sexes énormes et bien raides... Sens la bien au fond de ton ventre
Je me cambrais sous les coups de ces soudards... Ces ignobles individus continuaient à r de mon corps... J'étais défaite, jouissant comme une folle, alors que Jérôme avait sorti son sexe pour se vider sur mon visage. La bouche grande ouverte, j'attendais en le regardant se finir de se masturber quand les liquides de spermes se répandirent dans ma bouche.... Me voyant avaler le sperme de mon employé, le marquis, surexcité, se vida sur mon cul, alors que Sébastien continuait à me sauter... Il était toujours aussi endurant, et déchargea en dernier entre mes jambes et sur mon leggins détruit...
Ruinée, détruite, recouverte de sperme, je fus rendue à mon mari, qui avait l'air aussi défait que moi. J'allais pouvoir rentrer chez moi après cette soirée magique et cette orgie totalement folle. Je savais que Sébastien et Jérôme ne tarderaient pas à se manifester...
Richard épanouie avait enfin un deal avec le marquis, et me glissa à l'oreille qu'il m'avait observé me faire prendre par ces 3 hommes caché derrière une glace sans teint, tout en se faisant sucer par la fausse princesse.

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