Le Manoir Du Péché (4)

La Comtesse

Je regardais distraitement les acteurs qui s’agitaient sur l’écran de la télévision, attendant patiemment la venue de la Comtesse. Il était un peu plus de dix-sept heures quand j’ai entendu un coup de klaxon provenant du côté du portail. Par acquis de conscience j’ai regardé par la fenêtre pour savoir s’il s’agissait bien de ma patronne. J’ai tout de suite reconnu le museau de sa voiture. J’ai enclenchais le système d’ouverture des grilles, et j’ai attendu que la voiture pénètre les lieux pour refermer, comme je le faisais à chacune de leur venue et cela depuis trois ans. Depuis que je suis devenu le régisseur de cette magnifique demeure ou trône dans son milieu un manoir du XVI siècle, situé à quelques kilomètres de Paris. Une demeure que la Comtesse, et pas moins patronne a reçue en héritage.
Après avoir constaté que les grilles s’étaient refermées, je me suis avancé en direction de l’hautaine demeure hissait entre ses tourelles. Et cela en essayant d’atténuer le crissement de mes pas sur le gravier. Je n’aime pas faire du bruit. Encore quelques mètres, et j’ai contourné l’angle pour m’engager sur l’esplanade donnant accès au perron. Là-même où la Comtesse a stationné la voiture. Elle était au téléphone quand je suis arrivé à sa hauteur. Elle m’a reçue avec un sourire, et d‘un petit signe de main. Elle a attendu de couper sa communication pour ouvrir sa portière.
- Vous allez bien Alain ?
- Parfaitement Madame ! Et vous la route ?
- J’n’ai pas à me plaindre, ça à bien rouler.
Pour s’extraire de l’habitacle de sa luxueuse voiture, elle a ouvert le compas de ses jambes. Je n’ai pas pu m’empêcher de jeter un œil dans l’ombre de sa jupe, et d’y apercevoir une merveilleuse culotte en tulle, mais aussi plus bas, moulant ses cuisses des bas couleurs chair. Après lui avoir serré chaleureusement la main, je me suis intéressé aux bagages couchés dans le fond du coffre. Ils étaient aux nombre de deux valises, que je me suis empressé de monter dans sa chambre, au second niveau.


En entrant dans la vaste chambre au plafond de poutres apparentes, où trônait dans un angle un vaste lit, somptueux et désuet avec son baldaquin garni de lourd rideaux qui formaient une cage de velours autour de lui comme pour l’isoler du reste du monde, j‘ai regardé mon reflet dans le miroir fixé au mur. Une légère transpiration lissait mon front. J’ai mis ça sur le compte à la tension nerveuse qui m’habitait à l‘approche de mon rendez-vous avec la voisine, Mauricette.
À ma descente, la Comtesse m’attendait dans la cuisine appuyée contre l’évier buvant un verre d’eau. Je l’ai trouvé une fois n’est pas coutume ensorceleuse dans sa position. Tenant à la perfection son rôle de Comtesse mais aussi d’épouse d’homme d’affaires. Sachant très bien recevoir. Elle était rousse pas vilaine du tout. Avec des yeux de vicieuses. Toujours bien coiffé. Avec un nez coquin.
Elle a étouffé un bâillement sonore, et a posé le verre dans l‘évier.
- Si nous passions dans le salon. Je crois que vous avez pas mal de chose à me dire.
Chacune de nos retrouvailles, commençaient toujours par la même chose, un topo sur ceux qui s’est passée dans la semaine pendant leur absence. C’était un moment privilégié entre le patron et employé. Une mise au point du travail effectué et à venir.
Elle s’est effacée pour me laisser fouler le tapis de la salle de séjour adjacente à la cuisine, dont les larges portes-fenêtres offraient une vue imprenable sur une parcelle gazonnée. La pièce était la plus grande de la bâtisse. Hormis de nombreux meubles, qui en occupaient une bonne surface, se tenaient aussi deux canapés de cuir blanc et trois fauteuils de la même matière qui entouraient une grande télévision.
Elle m’a invité de m’asseoir en me désignant le canapé. Elle s’est posée à mes côtés en laissant échapper un petit rire bref. Nos genoux se touchaient presque.
- Alors cette petite main ? Questionna-t-elle.
- Je l’ai trouvé comme je vous en ai fait part lors d’une communication.

- Oui, Claire c’est ça ?
- Parfaitement, madame.
Elle a croisé les jambes machinalement sans paraître remarquer que son mouvement offrait une vue imprenable sur sa cuisse droite. Elle a repoussé mécaniquement la mèche de cheveux roux qui balayait son front. Je l’ai regardé droit dans les yeux, tout en faisant l’exposé sur la nouvelle venue. Me gardant bien de lui dévoiler le passage où avec Claire nous avions fait amplement connaissance.
- Et le peintre ? Fit-elle.
- Il est revenu tout de même remettre une couche sur la porte comme vous le désiriez.
Elle a laissé échapper un rire de bon cœur.
- Il n’a pas fait trop la tête de devoir revenir ? Répliqua-t-elle, en me fixant. L’un de ses sourcils relevé en accent circonflexe. Alors qu’elle décroisait les jambes. Faisant crisser délicieusement le nylon de ses bas. Il ne m’en fallait pas plus pour qu’une brusque bouffée de chaleur monte en moi.
- Heu... Non… Non pas trop. Bafouillais-je, avant de pouffer de rire, qui eut pour effet d’entraîner le sien.
- Bon ! Rien d’autre... Alain ?
- Non... Je ne vois rien d’autre, madame.
- Alors vous pouvez disposer.
- Merci madame.
Alors que j’allais prendre congé, elle m’a interpelé :
- Alain, j’ai une amie qui doit venir me rejoindre en début de soirée. Vous seriez gentil de lui ouvrir. Je lui ai dit de klaxonner une fois devant la grille.
- Je reste aux aguets, madame.
- À ce soir pour les volets. Lança-t-elle.
- A ce soir madame.
Alors que je m’apprêtais à entrée dans ma loge, j’aperçus Mauricette sortir à bord de sa voiture du domaine. Il m’en fallut pas plus pour repenser à la future soirée que nous allions passer ensemble. Des images me sont martelées la tête. Plus cochonne les unes aux autres. Comme un automate actionné par une force incontrôlable. À en oublier même la fameuse amie qui n’était toujours pas arrivée.
Une demi-heure avant l’heure dite du rendez-vous j’ai avalais un comprimé de Cialis de 20mg.
Un stimulant sexuel très efficace. Vous donnant une bonne érection et cela pour une durée de vingt-quatre heures. Seulement si vous êtes excité bien sûr, comme je l‘étais sur le moment. Si vous épluchez des pommes de terre pour une purée, cela ne marche pas (Avis d‘expert).
Avec tout ça, toujours pas d’amie. Je pris le risque de m’absenter quelques minutes de la fenêtre pour aller prendre une douche. J’ai même poussé le luxe de me passer une chemise blanche pour l’occasion. À quelques minutes du rendez-vous toujours pas de nouvelle de l’amie. Et cela a commencé à m’inquiéter fortement.
C’est alors que le téléphone intérieur s’est fait entendre par sa sonnette. J’ai décroché pour entendre la voix de la Comtesse me dire :
- Pouvez-vous venir Alain ?
- C’est...
- Tout de suite... Alain... C’est un ordre…
Dit comme ça je n’avais pas le choix que m’exécuter. D’ailleurs elle avait déjà raccrochée. C’était très agacé que j’ai pris le chemin me menant jusqu’au manoir. La Comtesse m’attendait dans la cuisine, appuyée contre le chambranle d’une porte. Un verre de ce qui semblait être un kir à la main droite. En voyant le rouge sur ses pommettes et le flou dans son regard, j’ai compris qu’elle avait abusé sur l’alcool. Elle s’est lentement passée la langue sur les lèvres, l’air vaguement songeur.
- Mon amie a eu un empêchement. Attaqua-t-elle. Elle ne viendra pas.
- Oh ! C’est ennuyeux !
- Qu’avez-vous prévu pour cette soirée ? Souffla-t-elle d’une voix éteinte, à peine audible.
- J’avais prévu de dîner avec...
- ... Moi, répliqua-t-elle.
- C’est que je ne peux pas.
- Comment ça vous ne pouvez pas ? Je vous fais remarquer que je suis votre patronne. Et vous me devez le respect. Alors quand je vous dis que vous allez dîner avec moi c’est que vous allez le faire. C’est même un ordre. Comprenez-vous mon cher Alain ?
- Oui madame.
- Fabienne s’est décarcassée à me préparer à dîner.
Puis de dresser une merveilleuse table pour deux, avec porcelaine et cristal. Elle a même couronné le tout en mettant des chandelles. Soyez tout de même ravie de manger à ma table. Vous savez, je ne le ferais pas avec tout le monde.
- Sachez madame, que je suis très touché de votre attention pour moi, mais c’est que j’avais déjà une invitation.
- Eh bien ça attendra demain...
- Oui mais elle avait tout préparé.
- Elle le fera réchauffer, voilà tout. Maintenant le sujet est clos et veuillez me faire l’amabilité de venir vous asseoir à ma table.
Elle m’a guidé jusqu’à la table du dîner.
- Servez nous le vin, vous voulez bien.
- Avec plaisir madame.
Il y avait dans cette invitation quelque chose qui ne tenait pas la route. D’ailleurs c’était la première fois qu’elle venait seule dans le domaine. Elle avait jusqu’alors toujours était accompagnée de son mari. Ensuite il y a la fameuse amie qui se décommande. Et maintenant l’invitation de partager son dîner. Il y avait anguille sous roche. Je pense que j’allais en savoir plus dans les prochaines minutes.
Plongeant ses yeux dans les miens, elle me lança :
- Triquant Alain ! Vous le voulez bien ?
- À la votre madame.
- À la votre Alain.
« Clin » fit le cristal en se rencontrant.
- Je vous choque, peut-être, Alain ?
J’ai souris en soutenant son regard.
- Non, madame, vous ne me choquez pas. Je comprends que je...
- Qu’est-ce que vous comprenez Alain ?
- Enfin… que vous ne veuillez pas dîner toute seule.
- Vous croyez réellement que c’est pour cela que je vous ai ordonné à me tenir compagnie ?
- Oui… enfin je crois.
- Et bien mon cher Alain vous êtes loin du compte.
Elle a balayé l’air d’un revers de main. Pour brusquement se saisir de la mienne et de me tirer hors de ma chaise pour m’attirer dans les escaliers pour me mener jusqu‘à sa chambre.
- Vous savez ce que c’est ça Alain ? Me fit-elle en me désignant la pièce de sa main.
- Oui... Votre chambre...
- Non ! C’est la chambre d’une femme pleine aux as. Une chambre où le mari de la femme plein aux as ne l’a pas culbutée depuis maintenant cinq ans... Ni aucun homme d’ailleurs. Ça va peut-être vous paraître ridicule, reprit-elle, mais je ne l’ai jamais trompé une seule fois depuis que nous sommes mariés. Et cela bien que notre vie conjugale ne soit que désert...
Elle a noué ses bras autour de mon cou et s’est laissé aller contre moi. Instinctivement, je l’ai enlacé.
- Je ne voudrais pas que vous me jugiez mal Alain, murmura-t-elle à mon oreille. Mais aujourd’hui je sens que si je trompe mon mari pour la première fois. Que si je prends du plaisir avec un autre homme, je serais capable ensuite de me résoudre à ce que j’aurai dû faire depuis longtemps. C’est-à-dire de prendre un amant.
Elle s’est écartée légèrement de moi et m’a regardé. J’ai lus dans ses yeux, un saisissant mélange de profonde tristesse et d’espoir fou.
- Alain, murmura-t-elle en se soutenant mon regard. On se connait depuis combien de temps ?
- Je suis à votre service depuis trois ans, madame.
- Et le salaire vous convient ?
- J’n’ai pas trop à me plaindre. Même si je ne serais pas contre une augmentation.
- Combien ? Me demanda-t-elle.
- Je ne sais pas moi... Cent euros...
- Je vous donne trois euros de plus par mois et vous, en échange vous devenez mon amant. Cela vous va ?
- Madame si je peux me le permettre. Il serait mieux qu’en discute de cela demain.
- Pourquoi demain ? Vous croyez que je suis saoule. J’ai pu seulement pour me donner du courage. Qu’est-ce qu’il y a ? Je ne vous plais pas ? Je suis trop vielle pour vous. C’est sûr je pourrais être votre mère.
- Non pas du tout. Loin cette pensée.
- Alors quoi ?
- Enfin, à vrai dire c’est envers monsieur !
- Monsieur ! Ah vous me faites bien rire Alain. Si je pourrais je vous apprendrez bien des choses. Alors entre nous, ne vous préoccupez pour lui.
- Vous ne savez sans doute pas. À-t-elle poursuivit. Mais à chaque fois que vous venez fermer les volets je me caresse sous mes draps en vous regardant vous affairez. Une fois que vous sortez du lieu, j’imagine le même scénario celui qu’un jour vous sauterez sur moi pour me violer, et là vous pouvez me croire que la jouissance est au rendez-vous. Qu’avez-vous dire à cela ?
- Pas grand-chose !
- Je vous comprends. Vous n’en avez rien à foutre !
- Je n’ai pas dit cela ?
- Mais vous l’avez si fortement pensée que j’ai pu l’entendre. - Confession pour confession, comme vous ne savez pas qu’à chaque fois que je me rends dans votre salle de bain je me saisis de votre petite culotte pour l’humer.
- En voilà une drôle de chose ? Pour votre gouverne, dès lundi vous aurez votre augmentation si vous me dite oui. Si c’est non, je vous demanderez d’entrée chez vous, et cette conversation n’aura jamais existé.
Je suis resté un moment silencieux. Accusant le coup. Ce n’était pas peut-être très orthodoxe comme situation. Une lueur sale s’est allumée dans ses yeux. Ce fut elle qui presque timidement a avancé ses lèvres à la rencontre des miennes. Ce fut tout de même un instant très agréable, que j’avais envie de prolonger. Pris au jeu de cette divagation des sens, je me suis laissé aller au plaisir de posséder ma patronne et de devenir son amant. L’effet Cialis faisait déjà des siennes. Et cela n’a pas échappé à la vue de madame. Qui fixait d’un œil intéressé la bosse qui déformait mon pantalon.
Tranquillement elle a fait sauter les deux premiers boutons de son corsage. Ses seins lourds, un peu affaissés apparurent, dans les lignes croisées du soutien-gorge.
- Si je m’attendais à ça... Souffla-t-elle comme si elle se parlait à elle-même. Humer mes culottes !
S’en est suivis un épais silence. Elle était dans l’expectative. Les secondes se sont étalées interminablement, avant qu’elle prenne l’initiative d’effleurer mon pantalon. Caressant le tissu du bout d’un doigt sans avoir l’air d’y toucher, puis a dérivé à tâtons vers mon entrejambe. Ce qui lui a arraché un petit sourire de contentement.
J’ai retenu ma respiration. Très lentement, elle a fait baisser la fermeture éclair, et a incrusté sa main dans mon slip. J’ai sentis ses doigts cajoler ma verge gonflée. Avec dextérité elle m’a prit à pleine main.
- Vous bandez très fort, mon cher Alain, chuchota-t-elle, admirative. Alors c’est oui ou c’est non ?
- Oui madame, pour vous...
J’avais maintenant envie de faire l’amour avec la Comtesse. Dans cette chambre et sur-le-champ. Elle, la bourgeoise qui avait caché jusqu’à présent son amoralité foncière sous le vernis de sa bienveillance. Elle, qui me fixait dans l’instant, d’un regard plus brillant. Un tel clin d’œil du sort était un présage et ne pouvait se refuser. J’en oubliais même Mauricette. Je voulais offrir à la femme que j’avais près de moi, des sensations fortes, pas banales. Quelque chose bouillonnait en moi. Quelque chose qui me rendait fou que si cela ne sortait pas. Et il fallait que ça sorte.
  Je n’ai pas hésité de m’agenouiller devant la Comtesse qui restait debout. Plaquant mes mains sur ses fesses, je fis glisser sa culotte en tulle autour des cuisses en prenant soin de ne pas dégrafer les jarretelles qui me causaient un grand émoi. J’ai caressé ses jambes à travers ses bas, dont j’ai perçu le crissement léger. Sous ma caresse, elle a fermé les yeux, ondulant son corps sous mes tendresses. Mes doigts ont frôlé l’intérieur des cuisses. Elle minauda :
- Vous allez croire que je suis une débauchée. Mais ce n’est pas vrai. C’est vous qui m’avez mis dans l’état où je me trouve.
Je l’ai délestée de sa culotte, mon majeur a erré à travers un système velu. A trouvé l’entaille de sa féminité que j’ai remonté en un imperceptible effleurement jusqu’à l’infime protubérance du clitoris. Que fus mon étonnement plus bas de rencontrer une petite chaînette entre mes doigts.
Je me suis redressé à sa hauteur. Elle m’a regardé. Je l’ai embrassé doucement. Sa langue était brûlante. Je suis descendu, pour embrasser ses seins tendus, léchant les tétons, les aréoles. Elle a gémit sous ma langue tout en caressant ma tête. Je l’ai couvert de baiser, avant de revenir à son ventre. Elle a posé une jambe en appui sur mon épaule, m’encourageant à m’occuper de son sexe. J’ai découvert de visu son sexe. Ainsi que le triangle poivre et sel de sa toison. J’ai penché ma tête en avant. J’ai éprouvé comme une espèce de vertige. Elle avait eu un léger sursaut lorsque ma bouche s’est posée sur son intimité. L’odeur qui se dégageait était très forte. Un peu âcre. Mélange d’urine et de transpiration. Je n’ai pas hésité à me rapprocher pour embrasser goulûment cette friandise. D’abord sur les côtés. Puis dans les plis des cuisses. Poursuivant ma voie sur les lèvres. J’ai donné des petits coups de langue sur son clitoris, j’ai embrassé de nouveau ses lèvres duquel pendait la chaînette. Je me suis mis à tirer dessus pour la faire passer sur ses lèvres gonflées. Puis j’ai embrassé son sexe, jouant avec ma langue sur son gros bourgeon pour la seconde fois. Elle a salué mon initiative d’une plainte. Son goût était exquis, un peu salé. Elle est devenue folle, tout en se contorsionnant. J’ai passé ma langue le long de sa fente récoltant sa mouille. Entre de deux doigts, je me suis saisi de la chaînette et j’ai tiré lentement. J’ai vu alors approché de l’entrée du vagin une petite sphère de couleur or. La coquine portait des boules de Geisha. Dès la sortie de la première, elle a salué mon geste par un soupir rauque. Je me suis jeté sur la sphère pour la nettoyé à l’aide de ma langue. J’ai pesé de nouveau sur la chaînette pour faire sortir la jumelle. Que j’ai enfourné dans la bouche. La suçant comme je l’aurai fait avec une sucrerie. Puis j’ai placé plaçais ma bouche sur son sexe, buvant a sa source.
Ses mains se sont crispées sur mes cheveux, alors que ma langue s’est activée sur son intimité. M’enfonçant profondément entre ses lèvres, puis dans son vagin. Elle s’est tordue, en donnant des petits coups de reins au rythme de ma langue.
L’odeur âcre avait disparu. Laissant place à une saveur légèrement salée, délicieuse. Très vite, sous ma caresse buccale, je l’ai senti venir. Elle s’est crispée avant d’être prise de spasmes orgasmiques. Il s’en est écoulé un jet de liquide chaud. Légèrement salé. Plus onctueux que précédemment. Elle a jouit sur ma langue.
Pas le temps de la laisser respirer, que déjà je la fis se mettre à quatre pattes sur le tapis. Me plaçant à hauteur de son anus. Un léger filet de liquide blanchâtre, dernière trace de son orgasme, coula entre ses fesses, douces et luisantes de sueur. Je n’ai pu me retenir d’envoyer mon nez à la découverte des parfums de ce dernier.
- Mais c’est sale, Alain. Me fit-elle, alors que j’étais en train d’humer bruyamment son derrière. Toujours au comble de l’excitation, je n’ai pas pu résister à la tentation de lui embrasser frénétiquement les fesses, avant de titiller son anus de ma langue.
Léchage après léchage, son muscle anal s’est complètement relâché. J’ai pu introduire ma langue sans peine. Et pour ma plus grande satisfaction, elle semblait aimer cela. Au point de jouer avec. Le contractant et relâchant successivement son muscle anal. Ma langue était donc tour à tour happée par le petit trou, puis expulsée, avant d’être de nouveau avalée. Ce petit jeu a duré de longs moments. Avant que je décide de la remplacer par ma queue.
Quelle sensation étrange, vertigineuse, de voir mon gland s’engloutir dans le cul de ma patronne. Et surtout... Oui surtout, d’avoir sentis la chair céder, s’écarter avec une infâme connivence. J’ai poussais plus fort. Engloutissant d’un coup toute ma queue. Alors qu‘elle grogna comme une bête blessée.
Je me suis retiré, pour mieux la lui remettre. Je l’ai senti trembler d’une affreuse extase. J’ai recommencé de plus en plus vite. Chaque fois que j’ai enfoncé ma queue, elle a poussé une étrange plainte étouffée. J’ai accélérai de plus en plus vite. Une vraie bielle. Mon bas ventre claquant son fessier. Brusquement elle s’est cambrée davantage et a lâché un feulement rauque. J’ai donné encore quelques coups de reins et avec un grognement sourd, je me suis allé à la jouissance tout en maintenant difficilement contre moi ma patronne dont le corps se tordait dans des sursauts spasmodiques.
Nous sommes restés quelques instants allongés sur le sol. Le temps de reprendre notre souffle. Elle a ensuite insisté pour que je partage son dîner. Ce que j’ai accepté…

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