Samia - 40 Mi-Ours, Mi-Chenille.

40 - Mi-ours, mi-chenille

L'homme me prend par la main pour me faire tourner sur moi-même, en disant :
— Tu me plais, toi.
Ensuite, il me pelote à la fois les seins et les fesses. S’il avait une troisième main, je serais sûre d’avoir trois doigts dans la chatte. Quand un inconnu vous met une main au cul et sur les seins, que fait une honnête femme ? La vôtre par exemple ? Non ! Mauvais exemple, la vôtre, ça lui plairait. Alors, qu’une femme convenable pousserait des cris... Même moi, je trouve qu’il y va fort. Qu’est-ce qu’on avait dit ? Ah oui, faire contre mauvaise fortune bon cœur. Merde, Samia, tu savais que tu allais coucher avec un inconnu et tu étais prête à le faire, où est le problème à te faire peloter en public ? C’est vrai, mais c’est surprenant. Bon, je tends un peu les fesses, quand il lève ma jupe pour mater mon derrière en disant :
— Super cul !
— Merci M’sieur...
Les autres regardent amusés et admiratifs devant le sans-gêne de leur patron bourré. Mon beau-père finit par dire :
— On doit y aller, Messieurs. Samia, va dans ta voiture avec Monsieur Rosdan. Tu as un chauffeur ?
— Oui, Monsieur
On sort... Rosdan me tient par la taille. Je suis un peu étourdie par tout ce qui se passe. Mon chauffeur sort de la voiture et nous ouvre la porte en enlevant sa casquette. Bien. Je le garderai à mon service, celui-là... On est trois à l’arrière, Rosdan moi et un Malais. Je suis le jambon du sandwich... Non, mauvais exemple à nouveau, ils sont sans doute musulmans. Je suis le miel ou le Nutella de la double tartine...
En voyant son fils en uniforme de chauffeur, mon beau-père a levé les yeux au ciel, mais, bien. Il ne devrait pas trop faire le malin, Sylvain : il file doux quand sa femme ramène des amants à la maison, mais c’est elle qui a l’argent et qui est présidente du conseil d’administration. Dieu le Père, quoi...
Le gros homme me prend la main et la pose sur sa bite ! Oui, mais.

.. il ne va pas me faire sucer ici, quand même. Il prend quelque chose dans sa poche et me tend une petite boîte, en disant :
— Comme je suis un peu entreprenant (pas un peu !!), voici un petit cadeau.
J’ouvre la boîte et je vois... une bague avec un saphir qui m’a tout l’air d’être vrai. Bon, il n’est pas gros comme un œuf de pigeon, mais cette pierre est joliment montée. Je lui dis :
— Oh, merci Monsieur Rosdan, on dirait un vrai saphir.
Il rigole, puis répond :
— Mais c’est un vrai saphir, petite ! J’ai une mine de saphir.
Dans ce cas, il peut se permettre quelques privautés, non ? Je l’embrasse sur la bouche avant de lui demander :
— Oh, merci... vous voulez que j’enlève ma culotte ?
Il éclate de rire. Manifestement, je l’excite et je le fais rire. La femme idéale, quoi. Mon chauffeur s’étant garé, il dit :
— On est arrivés au restaurant, Madame.
— Bien, Julien.
Je traduis en anglais pour mon nouvel ami. Il m’aide à descendre en glissant sa main sous ma jupe pour la plaquer sur mes fesses. C’est plutôt inconvenant, mais bon, le saphir brille à mon doigt, alors je glousse un peu et je me tortille sur sa main. Mais il ne faudrait pas que ça dure trop longtemps, vu que j’ai la dalle. J’ai entendu dire qu’on allait dans le meilleur restaurant de Lille...
Effectivement, on est accueillis par un pingouin ou alors quelqu’un habillé en pingouin. Rosdan va devoir se conduire convenablement dans le restaurant... ou pas, car le pingouin nous conduit dans un coin tranquille de la grande salle à manger. La table est dressée pour 7 personnes... Une jolie serveuse vient nous apporter du champagne... On boit, surtout les Malais. Rosdan, mon gros chevalier servant, m’assied sur ses genoux. Il picole sec ! Il faudrait le brancher sur un tonneau de champagne... euh... ça existe, ça ? Je refroidis un peu ses ardeurs en lui murmurant :
— Tu me feras tout ce que tu veux quand on aura mangé, mon chéri (Samia, tu es une vraie pute !).
Mais, j’ai trop faim.
Gros comme il est, il me comprend et me repose sur la chaise à côté de lui. Cela n’a pas grand intérêt, mais je vous dis mon menu : un tourteau bien rempli, c’est-à-dire avec du corail plein la tête, c’est délicieux. Ensuite une grande sole et pour terminer, un moelleux au chocolat avec de la crème anglaise.
Après ce dessert, j’ai une petite moustache de chocolat au-dessus de la lèvre supérieure, mon gros voisin trouve ça "trop mignon". On passe aux alcools. OK, mais pas pour moi : ça pique ! Je sais que j’ai plus 8 ans, mais ça pique quand même. Le gros insiste et j’accepte un alcool de framboise, ça pique moins.
Quand il a fini d’engloutir tous les desserts qu’il a commandés, mon beau-père nous dit :
— Mes amis, j’ai retenu une grande chambre pour que nous puissions discuter plus facilement de nos affaires.
Ouais et surtout se faire sucer et nous enfiler ! Là, je me colle à mon gros voisin pour lui dire :
— J’ai un aveu à vous faire et quelque chose à vous demander.
D’abord un peu méfiant, il croit peut-être que je vais lui demander de l’argent, il finit par répondre :
— Vas-y petite.
— Le chauffeur, c’est mon mari.
— Sérieux ?
— Je vous jure. Je voudrais qu’il vienne avec nous. Il suce bien et à poil, on dirait une fille, à part un tout petit détail. Et puis, on a mis au point une technique de fellation à deux, vous allez adorer.
Il faut que tout ça rentre bien dans son cerveau alcoolisé ! Ça y est, il visualise des langues léchant ses points sensibles. Il me fait un grand sourire et répond :
— D’accord, va le chercher.
Visiblement agacé, mon beau-père me demande :
— C’est quoi, ce plan, Samia ?
— Je vais chercher Julien, mon chauffeur, Monsieur. Il ne va pas passer la nuit dans le garage et c’est d’accord avec Monsieur Rosdan.
Oh qu’il n’aime pas ! Du coup, il me dit sèchement :
— Rejoins-nous au 7e étage, chambre 722.

Je vais au parking de l’hôtel. On peut me critiquer, mais je suis quand même une bonne épouse, non ? Je veux qu’il mange... Oui, bon, qu’il lèche un peu des culs aussi. Je ne dis pas que je n’ai aucun défaut : je suis parfois infidèle et je le punis sans raison. Mais, j’aime faire ça, alors... Il est assoupi dans la voiture, pas très correct pour un chauffeur, on en reparlera. Il est tout content de me voir (vous voyez !). Je lui annonce :
— Sors, tu vas jouer avec nous.
Il sort de la voiture et balance sans doute la queue comme un chien qui va avoir un os. Mais bon, ça ne se voit pas. Il répond :
— Merci Samia.
On monte à la chambre 722. Je toque et j’entre. Ils ont déjà commencé à "discuter" : les filles sont à poil et les hommes les... lutinent. Rosdan m’attend. Je vais devant lui et je lui dis :
— Je vous présente mon mari.
— C’est vrai qu’il est mignon... déshabillez-vous.
Oui, il est direct. Quand Julien est nu, Rosdan le regarde et le fait tourner sur lui-même, comme moi tout à l’heure. Il donne quelques pichenettes à son petit zizi (on ne peut pas appeler son sexe, une bite !) en rigolant. Oh, voilà Julien qui bande ! Allez, c’est presque une bite de garçonnet, maintenant. J’explique à Rosdan :
— Il va manger quelque chose et puis on vous montre notre numéro.
Je donne la carte de ce qu’il y a moyen de commander dans la chambre à Julien, en lui disant :
— Commande quelque chose
— Merci Samia.
Maintenant, je dois remercier mon gros ami. Fastoche, j’enlève ma robe, mes beaux sous-vêtements et je prends des poses devant lui. Bras levés, reins cambrés, la panoplie. Il aime... Je lui dis :
— À votre tour cher Rosdan, je vous aide à vous déshabiller.
Il se lève de son fauteuil assez souplement pour un mec qui doit peser 130 kg et qui a bu énormément. Je l’aide à se déshabiller. Ça va vous sembler bizarre mais j’aime les gros hommes, j’aime soulever le ventre pour voir le sexe.
En plus, il est très poilu, ça doit être un métis, pas un pur Asiatique. Il a un sexe de belle dimension, qui émerge d’un buisson de poils...
Nu, il ressemble à une énorme chenille très poilue. C’est mignon, enfin... si on aime les chenilles king size... ou les ours. Oui, il ressemble plutôt à gros ours noir. Je le fais se rasseoir et je m’assieds sur ses genoux, en mettant mes bras autour de son cou et mes nichons sous son nez. Je vois Julien finir le club sandwich qu’il a commandé. Faut pas qu'il mange trop pour bouffer le cul du gros et avaler son sperme. Bon, comment va-t-on faire.... parce que j’ai dit qu’on avait une technique mais... euh... je me suis un peu avancée. Première étape, je dis à Rosdan :
— Couche-toi sur le lit.
Le lit tient le coup, ouf ! Je vais m’installer délicatement tête-bêche, non pas sur une peau d’ours, mais sur l’ours entier. Je mets ma chatte pas loin de sa bouche, s’il a envie d’y glisser la langue, je ne vais pas crier au harcèlement ! À deux mains, je replie une de ses jambes, puis l’autre. Il est maintenant dans la position du bébé mammouth qu’on va langer. Je dis à Julien :
— Viens ici et lèche !





Je lui tends la bite de Rosdan que j’ai en main, parce qu’en tirant sur la peau pour découvrir le gland, je me suis aperçue qu’il sentait un peu trop le mammouth sauvage à mon goût. Je veux que Julien le lave avant moi. Aussitôt, Julien le prend entre ses lèvres et sa tête va et vient entre les piliers poilus des cuisses. Quand j’estime que la bite est bien lavée, je lui dis :
— Lèche-lui le trou du cul et enfonce bien ta langue.



En fait, je suppose que le gros a un trou du cul, parce qu’on ne le voit pas sous les poils noirs. Je tire encore sur les grosses cuisses et le mince visage de Julien disparaît entre les fesses. Ah, il doit avoir trouvé l’orifice, parce Rosdan a un petit tressaillement. J’entends la langue de Julien faire "lap, lap, lap"... Après le club sandwich, je vous concède qu’il y a mieux comme dessert que le trou du cul d’un gros Malais, résultat d’un croisement entre un ours noir et une chenille. À moi. Je prends la bite de Rosdan en main. Elle est toute propre maintenant, bravo Julien ! Je la mets en bouche et en même temps, je sens une langue me laper le sexe. Tu peux y aller, le Malais, ma chatte est impeccable, juste mouillée ce qu’il faut. Voilà, la machine est lancée : je lèche le gros qui me lèche tout en se faisant lécher le cul par Julien. Je crois que j’ai réussi quelque chose de pas mal, car j’aperçois les autres qui viennent admirer notre performance. Sylvain me donne une bonne claque sur les fesses en disant :
— Pour une fois, tu n’auras pas volé ton argent, petite pute !
Eh ! C’est un compliment ça ? Je ne critique pas la claque, ça m’excite, mais je ne vole personne ! Enfin, pas pour le moment. Qu’il aille se faire enculer par les Malais, nous, on continue pendant un moment à nous sucer les uns les autres... Puis je sens le gros gigoter sous moi et sa bite gonfler. Je la sors de ma bouche pour dire Julien :
— À toi de jouer, vite !
Oh qu’il obéit bien : il quitte l’anus du gros pour lui pomper la bite.

Juste à temps ! Je le vois déglutir plusieurs fois. J’imagine le sperme du Malais envahir la gorge de mon mari, puis glisser dans son estomac. Le gros me file aussi un claque sur les fesses en disant :
— Tu as raison, c’était super.
— Merci Monsieur Rosdan, j’ai été ravie de sucer votre bel outil...
Un compliment, ça ne fait jamais de tort. Il me dit :
— Ton mari fait tout ce que tu lui dis ?
— Tout ! Je dis : « Saute » il demande : « À quelle hauteur ? »
Faut un moment pour que mon "client" comprenne. Quand ça y est, il me dit :
— Jolie formule... Bon, je vais boire un coup et commander quelque chose à manger, j’ai un petit creux.
Oh ! Le goinfre ! Je me sers une coupe de champagne. Julien me regarde avec des yeux implorants, je fais un signe de tête et il se sert aussi.
Je regarde le groupe formé par les autres... Pas mal ! Un autre Malais est couché sur un tapis épais, Lisa est assisse sur sa bite et penchée en avant. Derrière elle, Keiko lèche tout ce qu’elle a sous le nez : les couilles du gars, sa bite qui monte et qui descend et enfin l’anus de Lisa. Le deuxième homme est à genoux derrière elle pour la prendre en levrette. Joli tableau.
Sylvain, mon beau-père, nous observe... Il me fait signe du doigt de venir m’asseoir sur ses cuisses. Après tout, c’est aussi mon patron, donc je dois lui obéir. Il me complimente :
— Julien, c’était pas une mauvaise idée...
— Merci Monsieur.
— Il t’obéit vraiment au doigt et à l’œil.
— Il a intérêt !
Beau-papa hésite un moment, puis il me dit :
— Je veux la même chose que le gros.
Oh putain, quel vicieux ! Je réponds :
— Si je comprends bien, vous voulez que votre belle-fille vous suce la bite, pendant que votre fils vous lèche le trou du cul ?
Ça a de l’allure, dis comme ça, non ? Mais bon, vous pensez bien que je vais refuser, c’est scandaleux de vouloir une chose pareille.

A suivre.

Si vous voulez me joindre, je suis ici : mia.michael@hotmail.fr

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