Paul, Le Mari Candauliste D'Éva 3

À rapprocher des histoires déjà parues :
- Mon premier voyage de femme libre,
- Paul, le mari candauliste d'Éva 1 et 2.

Comme vous le savez si vous avez lu l'épisode 2, Yassine, lecteur assidu de mes récits est attiré par le candaulisme. Il a souvent été l'heureux élu choisi pour donner du plaisir aux femmes devant leur mari.

Très excité par le récit précédent dans lequel il était acteur, Yassine m'a proposé d'écrire une suite en me précisant les points clés de cette nouvelle histoire.

Voici le message qu'il m'a écrit : "Savez-vous pourquoi Eva va revoir Yass ? Parce qu’elle sera en manque ; elle a aimé la zone rouge dans laquelle il l’a emmenée.

Paul
Mon petit doigt me disait qu'Éva reverrait très certainement son nouvel amant qui savait la combler.

Pendant quelques jours, et quelques nuits, nous évoquâmes Yassine, son gros sexe et sa capacité à nous donner du plaisir. Nous faisions l'amour en pensant à cet amant performant. J'agrémentais nos ébats de la venue de Yassine et je sentais bien qu'Éva était encore plus excitée que d'habitude.

De mon côté, je profitais de l'absence d'Éva pour regarder toutes les images saisies lors de le venue de notre ami et je me branlais tout excité de revoir Éva avec son amant.

Voyant le manque d'Éva de retrouver son amant, celui qui l'avait emmenée dans la zone rouge, je finis par le contacter.

Il n'est pas aussi facile pour un mari candauliste de voir sa femme en manque de son amant. J'avais malgré tout un petit pincement au cœur. Et si Éva s'accrochait à son amant ? Je n'y croyais pas vraiment. Yassine était un baiseur, un homme à femmes, un queutard. Et il le savait le bougre. Je me rappelais ses paroles : "Ma force : aimer le sexe ; privilégier le plaisir de l’autre ; les femmes aiment les mecs virils ; ça les fait mouiller".
Je le croyais bien volontiers.

Yassine était totalement dispo pour nous retrouver.

Il était tout excité à cette idée. Il attendait mon appel avec impatience. Aussi, nous convînmes de nous retrouver le samedi suivant ; même lieu, même heure.

Nous attendions Yassine avec impatience ; surtout Éva qui avait fait un bond de joie quand je lui ai dit que Yass voulait la revoir et qu'il serait là samedi. Ma femme était toute stressée. Elle ne savait pas quoi mettre pour le recevoir. Elle devait aller faire un tour en ville pour s'acheter une robe spéciale pour son amant.

Tout cela m'excitait avec toujours une pointe de jalousie. Mais, d'une part, j'adorais voir Éva se comporter comme une ado amoureuse, et, d'autre part, le plaisir d'aller faire les magasins et les cabines d'essayage avec ma douce.

Nous allâmes en ville. Éva toujours nue sous sa robe, ce qui faciliterait les essayages. Moi, avec mon appareil photo prêt à saisir mon Éva dans des situations d'exhibition.

Nous fîmes de nombreuses boutiques. Éva n'était jamais satisfaite de ce qu'elle essayait. Je voyais qu'Éva s'encanaillait, de boutique en boutique. Les vêtements devenaient de plus en plus transparents et indécents. De plus en plus chers aussi.

Je profitais de chaque séance d'essayage pour caresser et photographier ma femme qui me demandait : "Tu crois qu'elle plairait à Yassine ?" Je ne sais pas si c'était le fait de faire allusion à son amant, mais sa vulve était trempée….

Finalement, elle opta pour une robe blanche originale, ouverte devant, derrière et sur les côtés avec des boutons pression. Un tissu léger et agréable au toucher : du crêpe.

Ensuite, il fallut acheter des chaussures. Des escarpins qui devraient lui affiner les jambes et lui relever le cul en lui accentuant la cambrure des reins...

J'adore acheter des chaussures avec Éva, surtout qu'elle néglige bien souvent de porter tout sous-vêtement. Je me rappelle. Nous étions entré dans un magasin de chaussures mixte avec des vendeurs homme et femme.
Dès que nous sommes entrés, c'est un homme qui est venu au-devant de ma femme. Après lui avoir demandé quel genre de chaussures elle recherchait, il la fit asseoir un peu à l'écart des autres clients déjà installés.

Il revint avec 4 ou 5 boîtes qu'il ouvrit devant ma chérie. L'homme prenait son temps pour s'occuper d'elle. J'étais installé dans un angle intéressant et j'avais mon petit appareil photo dans les mains ; discret et performant.
Je voyais le vendeur qui s'appliquait à défaire ses chaussures. Chaque geste était une caresse légère. Je voyais Éva frissonner. C'était un pro. Il prit son temps pour glisser le pied de mon épouse dans les escarpins. Je voyais clair dans son jeu. Ses mouvements amples avaient aussi pour objectif d'écarter ses cuisses. Éva me regarda avec un grand sourire que je lui rendis. Elle joua le jeu. Elle amplifia alors chaque mouvement du vendeur, ce qui eut pour effet d'avoir les cuisses suffisamment ouvertes pour que le vendeur ait une vue directe sur sa vulve épilée. Je n'en ratai pas une miette et mon appareil photo mitraillait cet instant magique d'exhibition.

Le vendeur rougit et continua comme si rien n'était. Ses caresses devinrent plus appuyées et ses mains montèrent un peu plus haut que nécessaire. Eva était troublée. Elle ferma ses yeux pour profiter de l'instant et des sensations qui lui traversaient le corps. Le vendeur toussa pour lui faire reprendre ses esprits car elle devait se lever et marcher pour se décider. Il lui tint la main un poil trop longtemps. J'assistais à une danse érotique improbable dans un endroit public. Éva fit semblant de trébucher et je vis sa main se poser sur l'entre-jambe du vendeur qui sursauta surpris de l'audace de sa cliente. Il me regarda inquiet. Je le rassurais d'un clignement d'œil. Dans un autre contexte, je pense qu'Éva lui aurait demandé de visiter les réserves….

Ma femme se décida pour les escarpins blancs et au moment de payer, je demandai au vendeur :
- Avez-vous la même paire en rouge ? Même pointure évidemment.

- Je vais vérifier tout de suite.
Éva me fixa d'un regard interrogateur. Je la tranquillisais d'un mouvement de tête.
Le vendeur revint tout essoufflé.
- Non, je suis désolé, mais je peux les commander.
- C'est parfait. Je vois que je peux vous faire confiance. Vous ne voudriez pas décevoir ma femme ?
- Heuuu. Non bien sûr.
- Bien. Je paie la totalité et je vous saurais gré de les amener à ma femme dès que vous les aurez réceptionnées. Cela vous convient ?
- Heuu. Oui bien sûr. Avec grand plaisir. L'homme retrouvait peu à peu son assurance.
- Voici notre adresse et le téléphone de mon épouse. Elle attend votre appel.

Nous sortîmes en riant, complices du jeu qui venait de se dérouler.

Mais, ce n'était pas terminé. Il restait encore le coiffeur et l'esthéticienne pour enlever tous les poils superflus.

Je rentrai crevé à la maison, mais le résultat en valait la peine. J'avais toujours un peu cette pointe de jalousie. Éva ne se mettait pas autant en beauté avec moi, mais j'en récoltais les fruits et cela nous sortait de notre routine.

Une bonne journée aussi pour moi, le photographe… Je pris un moment pour travailler mes images sous Photoshop et je me fis un plaisir à en envoyer quelques-unes à Yassine…

Samedi.
Éva était vêtue de la robe blanche à ouvertures multiples et chaussée de ses nouveaux escarpins blancs. Elle marchait difficilement, mais pour quelques moments à la maison, c'était parfait. Une petite touche de rouge à lèvres Christian Dior ; un beau carmin. J'étais scotché de voir ma belle ainsi parée. Je pris mon appareil photo pour immortaliser ce moment. Nous n'avions pas encore terminé les photos que nous entendîmes la voiture de Yassine arriver.

Éva se précipita vers le miroir pour faire quelques retouches. Mon ange était prêt.

Cette fois, c'est mon épouse qui ouvrit la porte et qui alla au-devant de son amant. Il n'eut pas le temps de descendre.
Éva l'embrassait déjà et je voyais que le coquin lui caressait les fesses nues.

Enlacés, les amants s'approchèrent de la maison. J'entendais Éva qui parlait à son chéri sans ambages :
- Que je suis contente que tu sois venu. Tu m'as manquée.
- Tu ne crois pas que c'est ma grosse queue qui t'a manquée…
- Oui, peut-être….
- Comment ça peut-être ?
- Oh oui !! Elle est trop bonne et j'ai hâte que tu me la mettes bien profond.
- Voilà qui est bien dit.
- Bonjour mon ami. Comment vas-tu ? Je t'ai manqué aussi ?
- Bien évidement. Nous avions un manque depuis ton départ et nous te retrouvons avec beaucoup de plaisir, de désir et d'excitation.

Le temps était doux. Nous nous installâmes sur la terrasse. J'avais préparé un petit apéro.
Je m'éclipsais pour aller chercher le champagne. Je laissais Éva et Yassine seuls un moment.

De la cuisine, je pouvais voir les amants sur la terrasse. Yassine semblait s'amuser de la robe d'Éva. Il jouait avec les boutons. Ma femme riait comme une adolescente qui découvrait l'amour. Ma main était dans mon boxer. Je me caressais. Ma queue était déjà bien dure.

Éva eut envie de passer aux choses sérieuses. Elle avait hâte de retrouver la grosse queue de son amant qui lui avait tant manquée. Elle se mit à genoux, ouvrit la braguette de Yassine et prit le pal à pleines mains. Je la voyais embrasser le gland et lécher celui-ci comme elle ferait avec une glace. Elle prenait son temps et son plaisir. Notre ami, les yeux fermés, se laissait faire.

Après l'avoir bien mouillée, à force salive, Éva s'appliqua tant bien que mal à absorber cette tige de chair dans sa gorge. Je voyais sa bouche monter et descendre le long de la queue. Quel plaisir de la voir avec son amant !!!! Je me dis que nous allions passer une excellente soirée.
Je laissais ma femme profiter encore de son objet de désir avant de revenir avec le champagne.

Yassine attrapa Éva qui se relevait pour l'asseoir sur ses genoux. Mon épouse saisit l'occasion pour venir s'empaler sur le vit tendu de son amant. Les yeux fermés, elle se laissa descendre doucement jusqu'au fond de son vagin. Elle était remplie et satisfaite de l'être.

- Regarde mon chéri comme Yass me remplit la chatte avec sa grosse queue. Elle m'a tellement manquée. J'en rêvais toutes les nuits. Je me réveillais chaque matin la main entre les cuisses et ma vulve trempée.

Yassine était bienheureux de se savoir si désiré. Il avait un sourire béat sur le visage et je le comprenais bien. Ma femme était si épanouie. Elle rajeunissait au contact de son amant.

Nous trinquâmes à l'amour et au plaisir. Éva ondulait tout doucement, empalée au plus profond de son intimité. Je voyais Yassine s'amuser avec les boutons pour mettre à nu certaines parties du corps de ma femme. Sa main gauche empaumait un sein d'Éva. Ses doigts pinçaient son téton durci d'excitation. Sa main droite lui caressait habilement son clitoris.
Je voyais le visage d'Éva qui exprimait le plaisir de la queue qui la remplissait et des ondulations de ses hanches, la douleur de son téton martyrisé, la jouissance proche du clitoris en ébullition….

J'avais enlevé mon pantalon et je me caressais le sexe en la regardant planer au pays des plaisirs et de la jouissance. Éva se mordit les lèvres. Sa jouissance était imminente. Sa tête allait de gauche à droite. Elle montait et descendait plus rapidement sur la bite de son amant et, tout à coup, un cri puissant déchira le silence qui nous entourait. Éva jouit puissamment. Sa jouissance perdura longtemps. La redescente parmi nous prit quelques minutes…

Quel plaisir de la voir ainsi dévastée par le plaisir intense que son amant venait de lui offrir.

Je me rappelais ce que m'avait dit Yassine lorsque nous nous étions rencontrés la première fois : - Je baise super bien ; sans aucun tabou !!! Ma force : aimer le sexe ; privilégier le plaisir de l’autre ; les femmes aiment les mecs virils ; ça les fait mouiller !!!

J'avais trouvé Yassine un peu fanfaron quand il m'avait confié cela, mais à l'épreuve, je dois avouer qu'il assurait vraiment. J'étais jaloux de le voir donner autant de plaisir à ma femme. Je ne lui arrivais pas à la cheville. C'était difficile de l'accepter, mais en même temps, quelle satisfaction d'offrir cet épanouissement sexuel à mon épouse. Combien de femmes ne connaitront jamais cela !!!!

Yassine et moi, pour une fois n'avions pas encore joui. Nous nous gardions en réserve pour la suite.

Le soleil commençait à baisser et la température devenait frisquette, aussi nous décidâmes de rentrer.

Une fois à l'intérieur Yassine se déshabilla et demanda à Éva de venir s'allonger sur nos cuisses. Éva s'exécuta. Elle trouva ma queue près de son visage et me la prit en bouche pendant que Yassine flattait ses fesses qui se trouvaient devant lui. Il ouvrit la robe d'un coup en faisant sauter les boutons pressions. Le cul d'Éva était complètement dénudé et son amant pu jouer avec ses globes et son intimité.

- J'adore ton cul tu sais ?
- Non….
- Si. Tu as un très beau cul.
- Paul dit que c'est mon fonds de commerce le coquin.
- Il a bien raison

Yassine promenait ses mains sur ses fesses et paf une claque fit tressauter Éva.

- Tu as un cul à fesser ma belle. Je vais alterner caresses et claques sur tes jolies fesses.
- Heuuuu. Doucement alors s'il te plait.
Paf. Une nouvelle claque retentit sur le postérieur d'Éva qui cria : Aie.
- Je pense que tu n'as pas bien compris. Je ne te demande pas ton avis. Laisse-toi faire et je te promets que tu en redemanderas.
Ainsi pendant quelques minutes se succédèrent claques et caresses. Les doigts de Yassine s'égaraient dans les orifices d'Éva qui se trémoussait de douleur mélangée au plaisir.

- Alors ma chérie ? Tu aimes ton fesseur ?
- Oui, j'adore tout ce que tu me fais. Je suis ta soumise. Tu es mon Maître. Je ferai tout ce que tu veux. Claque-moi encore.

Alors là !!! Je n'en revenais pas. J'avais devant moi une nouvelle femme. Celle-ci était devenue une vraie salope sous l'emprise de son amant. Elle était prête à tout pour lui.
Ce Yassine était trop fort. Et moi, je bandais devant ce spectacle nouveau et terriblement excitant et Éva me suçait la queue.

Éva était rouge d'excitation. Et ses fesses… Encore plus rouge violacées sous les claques de son amant.

Yassine la fit se lever et lui demanda de revenir s'asseoir sur lui. Éva obtempéra et s'empala sur son pieu toujours aussi raide. Contrairement au début de ses ébats, elle allait et venait rapidement sur le sexe de son amant. Après quelques minutes de cet exercice, ma femme sortit et positionna son anneau contre le gland de son partenaire. Celui-ci s'ouvrit et accueillit aisément le gland puis toute la colonne de chair. Une fois les fesses sur ses couilles Éva ondula. Yassine lui caressait le clitoris d'une main et son téton de m'autre. Quel expert cet homme !!!
Éva, bien en place commentait la situation.

- Oh mon salaud, tu me défonces le cul. Ta queue est trop grosses pour moi.
- Tu veux sortir ? Tu veux que je rentre chez moi ?
- Non…
- Qu'est-ce que tu veux alors ?
- Je veux ta grosse bite rien que pour moi. Je veux qu'elle me défonce par tous mes trous. Viens.
Elle sortit la queue de son cul pour se l'enfoncer dans son vagin.
Après quelques aller et retours elle revint la placer dans son fourreau étroit. Elle était déchaînée, endiablée.
- Je veux ta queue…prends-moi…fesse-moi…encule-moi…branle-moi…je suis ta chienne…je suis ton garage à bites…je mouille du cul pour toi…

J'étais estomaqué par toutes les insanités que pouvait crier Éva. Je ne l'avais jamais entendue parler ainsi avec des mots aussi crus. Ce n'était plus ma femme. Yassine me l'avait ensorcelée.

Éva éjecta la bite de son cul pour la prendre dans sa bouche.

- Viens. Donne-moi ta crème. Je vais te boire jusqu'à plus soif. Je vais te sécher.

Je vis ma petite Éva endiablée qui branlait son amant, qui léchait sa queue recouverte de cyprine et de jus des intestins de Yassine avec une passion et une fureur inconnues.

A ce rythme-là Yassine ne tint pas bien longtemps. Il lui lâcha plusieurs jets de sperme bien blanc et épais. Ma salope ne perdait rien.

Je prévins Éva que j'allais venir et elle vint aussitôt placer sa bouche sur mon gland pour avaler ma crème qui se mélangeait avec celle de son amant.

Nous dûmes tous les trois faire une pause pour reprendre nos esprits. L'atmosphère sentait le foutre et la cyprine à plein nez.

Un peu d'eau et quelques fruits frais nous firent du bien.

Je proposais à Éva et à Yassine de monter dans notre chambre où nous serions plus confortables.

Yassine s'allongea sur le dos et demanda à Éva de s'occuper de lui.
- Ma bite te plait toujours ?
- Ouiiiii
- J'ai envie que tu viennes t'occuper de ma queue et de mes couilles. Je me suis épilé pour toi. Touche comme elles sont douces. Tu devrais demander à ton mari de s'épiler les couilles. Viens me sucer et me les lécher.

Yassine releva ses cuisses dans une position très indécente. Éva comprit et obéit avec plaisir. Elle s'allongea et plaça sa tête entre les cuisses de son amant. Sa bouche et sa langue jouaient avec sa grosse queue.

Je voyais sa langue qui léchait ses boules. Éva les gobait à pleine bouche. Sa langue tournoyait et descendait jusqu'à son anus. Yassine se tendait de plaisir. Ses muscles étaient tendus.

- Tu aimes quand je te lèche les couilles.
- Ouiiiii. J'adore. Continue. Oui, là… Plus bas. Là oui !!! Bouffe-moi le cul. Pénètre-moi avec ta langue !!!!

Je bandais comme un bouc tandis que je regardais ma femme lécher l'anus de son amant, puis de l'ouvrir pour le pénétrer à coups de langue. Je la vis faire ventouse avec sa bouche sur son fondement ; elle le dévorait, le léchait comme jamais.
Jamais je n'aurais imaginé la voir aussi salope et soumise. Yassine était un "Maître".

Éva remonta vers la hampe de son partenaire et goba son gland violacé par le plaisir qu'elle lui donnait. Elle cracha à plusieurs reprises sur sa verge pour préparer une gorge profonde comme elle en avait le secret. Afin d'exciter encore davantage son amant, elle introduisit un doigt, puis deux dans son anus jusqu'à lui caresser la prostate.

Éva eut un haut le cœur au même moment. La queue de Yassine ayant encore augmenté de volume sous la caresse diabolique de son amante.

Éva me fit un geste pour m'inviter à l'accompagner dans ses caresses buccales, ce que je fis avec grand plaisir. Alors qu'elle se dégageait de la queue de son amant, elle m'embrassa, sa bouche pleine de ses odeurs de sperme, de sa salive et de ses effluves annales, puis elle me passa le relais. Sans hésiter je me mis à mon tour à prendre plaisir à lécher, à sucer et à mordiller les attributs de mon ami. Je m'amusais à tenter une gorge profonde mais ne put aller bien loin. Je n'avais pas la dextérité de mon épouse.

- Oui les cochons, allez-y. Sucez-moi la bite. Léchez-moi les couilles. Bouffez-moi le cul.

Éva et moi nous appliquâmes à le satisfaire.

- Allez les coquins. Passons aux choses sérieuses. Paul, allonge toi et Éva mets-toi au-dessus de ton mari en 69. Occupe-toi de sa queue pendant que je vais te baiser.

J'étais ravi de sentir la bouche suave de ma femme sur mon gland. Pendant ce temps, je pouvais lui lécher la vulve. Le sperme de son amant s'écoulait encore de son anus. Un vrai régal.

Après quelques secondes, Yassine se plaça derrière Éva pour la baiser. Sa queue frôla ma bouche pour pénétrer ma chérie en levrette. Je sentis Éva se tendre de plaisir par la pénétration puissante de son amant. La vulve détrempée de ma femme lâchait un flot de cyprine à chaque aller-retour de la queue de notre ami. Celui-ci avait une idée derrière la tête car il profitait de ma position pour m'enfoncer sa queue dans la gorge en alternance avec la chatte d'Éva.

Il était trop gros. Il m'étouffait.

Satisfait de son jeu, il changea d'orifice pour baiser chatte et cul de ma femme, et aussi ma bouche quand il le souhaitait.

- Tu sais que je baise la bouche de ton mari en même temps que je t'encule ?
- Non …
- Si. Et il aime ça.
- Vas-y alors lâche lui ta purée dans sa bouche.

Je n'en menais pas large, Yassine se déchaînait. Chaque pénétration dans ma gorge me semblait plus profonde. A chaque visite sa queue me paraissait encore plus grosse. Jusqu'au moment où je sentis véritablement son gland grossir juste avant qu'il me déverse ses flots de sperme dans la bouche. J'ai failli m', me noyer sous son flot de sperme. Je comprenais enfin ce que pouvait ressentir Éva lors d'une fellation.

Au même moment j'éjaculais à mon tour dans la bouche de ma douce qui me suçait divinement…

- Maintenant, lèche-moi bien tout mon sperme. Applique-toi. Ajouta Yassine.
- Tu peux faire aussi bien qu'Éva.

Épuisés, nous nous assoupîmes tous les trois.

Je m'endormis avec toutes les images de jouissance et de déchaînement de ma femme dans la tête, ainsi que ce que Yassine m'avait fait découvrir à moi aussi. Ma queue se redressait. Quel bonheur.
Je remerciais mon ami Yassine en silence.

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