Soirée À Lyon

Cela faisait deux ans que j’avais envie de son corps, on s’embrassait parfois à l’occasion à des soirées.
Il m’invita enfin à un apéro tous les deux, il avait tout prévu, la bouteille de rouge, de quoi grignoter, un plaid pour s’installer. Il m’a regardé et m’a dit qu’il avait envie de m’embrasser. Pour toute réponse, je lui tendais mes lèvres et colla mon corps au sien. Je profitais pour passer mes mains sous son pull.
Je sentais mon cœur battre dans mon vagin. J’avais envie de le déshabiller. Il ressentit mon désir et me dit qu’il était tant de rentrer de chez lui. Sur le trajet, j’avais hâte et j’étais stressée.

J’avais très envie de lui, j’avais déjà imaginé ce moment. Depuis qu’il bandait son regard était différent.
Je sentais son sexe en érection à travers son pantalon. J’avais envie de me branler contre son érection alors je frottais mon clitoris contre sa bosse et je la sentais grossir.
Sa bouche et sa langue partait en exploration de ma bouche avec avidité.
On avait tous les deux très envie l’un de l’autre, ça se sentait, c’était électrique.
Arrivés chez lui, il a commencé à embrasser mon cou, il m’a enlevé mon t-shirt et mon pantalon, j’entrepris de le déshabiller pour que l’on soit à égalité.
On s’allongeât sur le lit. Il m’embrassa les seins, il mordilla mes tétons, j’aimais ça.
Puis il descendît, avec des bisous jusqu’à mon pubis et ma culotte qu’il enleva.
J’écartais les cuisses pour qu’il puisse y mettre sa bouche. Il y mit aussi ses doigts, j’avais très envie de sentir plusieurs de ses doigts en moi.

J’avais envie d’enlever son caleçon alors on s’est redressé. J’ai embrassé son torse, j’ai touché sa verge pour la première fois, elle était belle, elle me donnait envie.
J’ai commencé à caresser sa verge d’une main et de l’autre, je tenais ses couilles.
D’abord, je ne léchais que son gland, je jouais avec son bourrelet, les contours de son gland.

Cela me faisait saliver d’envie. Il me regardait faire disparaitre sa verge dans ma bouche et je sentais mon sexe s’humidifier.

Il mit un préservatif et s’allongea sur le dos pour que je puisse maitriser la pénétration.
Je promenais sa verge le long de ma fente, je jouais avec, retardait le moment où il allait être en moi.
Je l’enfonçais centimètres par centimètres en le regardant dans les yeux. On se dévorait des yeux. Entièrement en moi, il m’a serré fort contre lui, on savourait ce moment où nos corps se répondait si bien. On entendait que mes gémissements et nos respirations.
Puis il m’a mise sur le côté et continua à me pénétrer, je mordillais son cou, j’étais comme en transe. Je sentis son corps se contracter, il fermait les yeux, il jouissait dans un dernier mouvement en avant.
Il est resté encore une minute en moi. Je n’aime pas trop le moment où les corps se détachent alors j’évite de l’initier.
Puis il est allé jeter le préservatif et je me suis lovée dans ses bras.
Il sentait bon le corps qui a chauffé. On ne se parlait plus, plus besoin de mots quand les corps se comprennent si purement.
Il mettait les mains sur mes fesses et chaque pression de ses mains sur moi m’électrisait. J’étais toute sensible de ce qu’il venait de se passer, mes seins avaient la chair de poule.
Il vint se replacer entre mes cuisses pour me lécher la vulve. Avec mon bassin, j’accompagnais les mouvements de sa bouche. Il m’embrassa le creux de cuisse, je ne tardais pas à jouir par des spasmes, des mouvements non maitrisables qui partaient de mon vagin.
J’avais les lèvres gonflées de désir.

Puis une vague de sommeil m’engourdissait le corps et je m’endormis contre lui. Le corps apaisé et cotonneux.

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