Stéphanie (1): Julien Et Moi Profitons De Ma Voisine Qui Bronze À Poil Sur Son Balcon

Dans l’immeuble où j’habite, tous les appartements ont des balcons. Mais ils ne sont pas tous identiques, certains, sont plus profond que d’autres. Je ne sais pas si c’est parce que je suis au dernier étage mais les miens sont les moins larges, par contre j’en ai dans chaque pièce. C’est vrai que je les utilise surtout comme cave mais j’ai mis une table et des chaises dans celui du salon et deux petits transat dans celui de ma chambre.

J’aime beaucoup m’y poser pour lire, fumer ma clope, téléphoner… ou même simplement profiter de la vue. En effet du côté de ma chambre, je n’ai pas de vis à vis grâce à de hauts arbres qui nous sépare de l’immeuble d’en face et derrière j’ai les montagnes. C’est d’ailleurs pour ça que je me ballade souvent à poil. D’un autre côté, dans le salon j’ai du vis à vis et je me ballade aussi à poil.

Il y a environ un moins mon voisin du dessous à quitter son appartement. Depuis que sa femme est décédée, il n’a plus tellement le goût à la vie. Ses s ont préféré, le mettre dans une maison de retraite plutôt que de le laisser dépérir seul chez lui. Je vais vraiment le regretter car comme il était sourd, il ne s’est jamais plein du bruit venant de mon appartement.

J’ai de bon rapport avec ses s, qui m’ont propose de reprendre l’appartement de leurs parents. Certes le loyer est un peu moins cher mais franchement la différence ne vaut pas la peine et tout déménager même si ce n’est que d’un étage. Du coup, j’ai un, une ou peut être même des nouveaux voisins mais je les ai jamais vu. Un jour je suis aller sonner à la porte du dessous avec une bouteille de vin mais personne ne m’a répondu. Enfin, tout ça pour dire que j’ai toujours pas rencontré le nouveau locataire.

Hier soir, je suis rentré de déplacement, comme j’ai voyagé pendant plus d’une semaine j’ai le droit à une journée de récupération. Ce qui me fait un week end de 3 jours puisque nous sommes vendredi. Après une grasse matinée bien méritée, je vais à poil sur mon balcon pour boire mon café, fumer ma clope et profiter du soleil.



Une fois ma clope écrasée, je m’appuie sur la barrière du balcon et je remarque que celui du dessous est occupé. Non seulement je découvre ma nouvelle voisine mais en plus, elle se fait bronzer toute nue sur un transat. Comme je suis plus en retrait, je peux reculer et toujours bien l’observer, au moins comme ça je me ferai pas chopper.

La femme qui a emménagé en-dessous de chez moi est magnifique. Elle doit avoir une petite quarantaine d’année, j’en ai 34 à l’époque. C’est une brune aux cheveux ondulés avec la peau déjà bien halée. Elle a de longues jambes fines mais pas trop, une ventre plutôt plat et une poitrine bien généreuse, je pense que ses seins rentrent bien dans mes grandes mains. Son mont de Vénus est entretenu et surplombé d’un fin ticket de métro très foncé.

Je reste un moment à l’admirer alors que ma queue se raidie de plus en plus même si je me suis envoyé en l’air hier avant de partir à l’aéroport. Comme ses yeux sont caché par des lunettes de soleil, je ne vois pas si elle m’a remarqué ou pas. Dommage, j’aurai su si elle aime s’exhiber ou pas. Une fois mon café finit, même si elle est toujours sur sa terrasse, je rentre. En voyant mon portable sur le lit, je l’att et ressors discrètement pour faire une photo.

Je vais prendre une douche, j’enfile un jean noir avec une chemise bleue, qui met bien mes yeux en valeur. J’att une bouteille de vin dans ma réserve et je sors de chez moi pour descendre d’un étage. Je vais taper à la porte en dessous de la mienne mais personne ne me répond. Du coup je sonne mais toujours rien. Je remonte chez moi en vitesse pour vérifier le balcon d’en dessous, il est vide.

Un peu déçu, je prépare une liste de course, comme je vais rester une dizaine de jours sans voyager. Avant de partir je prends une feuille et j’écris:
« Bienvenu dans l’immeuble. Je suis Romain, votre voisin du dessus. En cas de besoin n’hésitez pas à venir sonner chez moi. Au plaisir de faire votre connaissance.
 »
En descendant, je le pose avec la bouteille de vin devant la porte de ma nouvelle voisine.

Quand je rentre du supermarché, la feuille et le vin ont disparu et je trouve un mot coller sur ma porte:
« Romain merci pour votre accueil et la bouteille de vin. Buvons la ensemble la semaine prochaine pour faire connaissance. Stéphanie. »
En plus d’être magnifique, ma nouvelle voisine à l’air plutôt sympathique, le sujet est à creuser.

Pendant que je range mes courses mon portable sonne, c’est Julien. Vous savez mon pote pour qui j’ai servi de chauffeur, qui m’a fait participer à ma première partouze… (voir les histoires précédentes). Nous discutons un peu de mon voyage mais surtout des plans du week end. Quand il me dit qu’il n’a pas baiser depuis bientôt deux semaines je repense à ma voisine du dessous.

Je lui raconte la situation, il arrête pas de me répéter que je lui mens. Comme je ne supporte pas d’être traiter de menteur, je lui envoie la photo que j’ai prise. Quand j’entends son téléphone faire un petit bruit, je lui dis:
« Regarde la photo que je viens de t’envoyer. »
« Deux secondes je suis en voiture. »
Il profite d’un feu rouge pour regarder et je l’entends crier:
« Oh putain! En plus elle est bonne. »

Je lui raconte l’histoire de la bouteille de vin et l’échange de messages et il conclu par un:
« Tu es un malin, toi! Elle est toujours sur ton balcon, parce que j’ai le temps de passer! »
Je pose le téléphone pour ne pas faire de bruit et je vais vérifier. Le grand balcon du dessous est vide et le matelas replié. Julien est déçu par ma réponse négative mais du coup il m’annonce que le lendemain, il vient boire son café chez moi.

Le reste de l’après midi, je jette des petits coups d’oeil depuis le balcon de ma chambre, mais il y’a personne. Ce qui est surement normale vu que le soleil illumine l’autre partie de l’immeuble. Je passe sur le balcon d’en face mais elle y est pas non plus.
Le soir je n’entends aucun bruit dans l’appartement du dessous, quand je me penche du balcon de la chambre ou celui du salon, il y a pas de lumières.

Le lendemain matin c’est le soleil qui me réveille. Très franchement, j’ai totalement oublié Stéphanie, ma voisine du dessous, mais ça ne dure pas longtemps car Julien sonne à la porte et me lance directement:
« Alors? »
Je mets quelques secondes avant que les imagines de Stéphanie bronzant complètement nue me reviennent.

Apparement, je mets trop de temps à lui répondre car il me bouscule et file jusqu’à ma chambre, je le suis. J’ai pas le temps de le rejoindre qu’il revient déjà vers moi avec un grand sourire et me dit:
« Oh, putain! Elle est là! »
Je le connais bien, je suis assez étonné qu’il ne reste pas la mater mais il m’explique qu’elle a bougé alors il a eu peur de se faire repérer.

Nous allons dans la cuisine préparer le café mais mon copain ne tient pas en place alors il m’abandonne pour retourner sur le balcon. Il revient un moment après encore plus excité et me dit avant de repartir:
« Elle a de ces seins! »
Alors que je prépare les tasses dans un plateau avec des petits trucs à grignoter, il me rejoint encore une fois pour me demander:
« Tu as déjà vu son cul? »

Quand je me retourne pour lui répondre que non, je remarque qu’il a une belle bosse au niveau de l’entrejambe. Avant de lui répondre que je l’ai vu que de face je rigole un bon coup en pointant mon doigt vers sa queue. Nous retournons vers le balcon de ma chambre mais je lui précise encore une fois d’être discret. J’adore Julien, nous sommes amis depuis des décennies, mais des fois il ne se rend pas compte que ses actes peuvent avoir des conséquences sur sa vie et celles des autres.

Quand je me penche à mon balcon pour regarder en dessous, Stéphanie me semble encore plus belle que la veille. J’adore sa belle poitrine mais surtout ses aréoles beaucoup plus foncées, que le reste de son corps, avec ses tétons bien gonflés.
C’est vrai que mon ancien voisin était calme mais ma nouvelle voisine à beaucoup d’autres arguments.

Vu qu’elle ne bouche presque pas, je pense qu’elle dort. Avec Julien nous commentons son corps à voix basse. A force d’admirer le corps de Stéphanie, je me mets aussi à bander. Elle tourne un peu sur le côté et nous dévoile sa fesse gauche, on se décale un peu pour mieux la voir. Son cul semble magnifique, lui aussi, il est bien rebondi et très généreux. Julien commence à s’astiquer à travers son pantalon.

Stéphanie remue de plus en plus sur son grand transat, j’ai peur qu’elle se réveille alors je nous fais tous les deux reculer. Julien est trop impatient et se penche de nouveau, il se tourne vers moi et dit, un peur trop fort:
« Elle dort toujours, elle est vraiment bonne! »
Je suis bien d’accord avec lui mais j’ai pas envie d’avoir des problèmes de voisinage.

Cependant, elle est vraiment agréable à regarder, alors je ne peux m’empêcher de jeter un coup d’oeil. Même si elle ne s’agite plus, je n’arrive pas à voir, derrière ses lunettes de soleil, si ses yeux sont ouverts ou pas. Elle s’agite encore une fois et quand elle agite ses bras, elle caresse ses tétons qui pointent. Je bande encore plus et Julien à rentrer sa main dans son pantalon pour mieux se branler.

Une de ses mains descend le long de son ventre et s’arrête au niveau de son entrejambe. Ses mouvements sont trop explicites, j’entraine mon pote vers l’arrière et lui murmure qu’à mon avis elle ne dort plus. Après une petite hésitation, il me demande:
« Tu crois pas qu’elle essaye de nous allumer? »
Son idée n’est pas si idiote que ça, je le maintiens en arrière et me penche tout doucement.

Stéphanie se caresse le sein gauche et sans aucun doute qu’elle s’occupe aussi de son clito. Je me remets contre le mur et je raconte à Julien ce que je viens de voir quand je suis interrompu par une voix féminine:
« Alors les garçons! »
Elle fait une pause, je débande complètement et j’ai une boule dans la gorge. Elle enchaîne:
« Vous préférez pas me rejoindre au lieu de vous branler tout seul? »

On se regarde un instant puis je me penche vers l’étage du dessous et je dis un peu gêné:
« Bonjour Stephanie. »
Elle me fait un petit signe de la main.
« Je suis Romain. »
« Au lieu de discuter comme ça, tu ne veux pas descendre me rejoindre. »
Je rougis un peu et lui réponds par un simple ok.

Alors que je rentre dans ma chambre, je l’entends rajouter:
« Amène ton copain avec toi! »
Je lui lance un ok de loin alors que j’enfile un t-shirt et des claquettes. Julien m’attend devant la porte et me speed. J’att mon trousseau de clé et nous descendons, la porte de ma voisine est entrouverte. Je tape et nous rendrons après avoir eu l’autorisation de Stéphanie.

Elle avance vers nous très sensuellement, toujours complètement nue. Ses seins se tiennent bien droit et elle a de magnifique yeux verts avec des petites rides autour qui lui donnent encore plus de charme. Mon pote choisit toujours ce genre de moment pour être bien lourd:
« Alors comme ça on aime allumer ses voisins? »
Heureusement qu’elle est vraiment cool car elle lui répond avec un grand sourire:
« C’est plutôt vous qui joué aux voyeurs! »

Elle dépose rapidement ses lèvres contre celle de mon pote et rajoute:
« Je préfère m’appliquer à vous éteindre qu’à vous allumer! »
En disant ça, elle empoigne mon paquet à travers mon caleçon avant de se tourner vers moi. Elle m’embrasse aussi sur la bouche, mais plus langoureusement et ensuite elle me remercie pour la bouteille de vin alors que Julien se met directement à poil.

Elle att nos queues et nous tire jusqu’à un clic clac déjà ouvert. Elle me déshabille entièrement en passant ses mains sur mon corps de façon très excitante. Quand elle fait tomber mon caleçon, elle att à deux mains ma bite qui remonte comme un ressors. Elle fait deux ou trois allers retours sur toute ma longueur puis m’allonge, avec mon pote, sur le lit ouvert.

Elle pose ses mains sur nos cuisses et les remonte tout doucement jusqu’à empoigner fermement nos tiges. La bite de Julien est plus long que la mienne de presque 2 centimètres mais je suis bien plus large que lui. Elle nous branle quelques instants et ses mains remontent vers nos torses qu’elle caresse alors que je reçois un coup de langue sur mon sexe. Vu comme Julien gémit, il a du recevoir le même traitement.

Elle redescend lentement ses bras jusqu’à serrer, de nouveau, nos queues entre ses doigts. Elle nous masturbe énergiquement et se penche vers moi pour gober mon gland, sa langue tourne autour plusieurs fois avant de se pencher sur mon pote. Quand elle revient vers moi, elle m’avale un peu plus jusqu’à ce que ses lèvres titillent mon frein. Elle retourne vers mon pote pour lui administrer le même traitement.

Quand son visage, revient vers mon entrejambe, sa main me quitte et cette fois elle me rentrer dans sa bouche jusqu’à ce que mon gland tape sa glotte. Lorsqu’elle se penche vers Julien ses deux m’empoignent pour monter et descendre furieusement en utilisant la salive qu’elle a laissé. Pendant un long moment, je sens sur ma bite passer sa bouche puis ses mains, sa bouche puis ses mains…

Avec Julien nous nous regardons et attrapons Stéphanie pour la monter sur le lit et nous occuper d’elle. Nous l’installons sur le ventre et caressons à 4 mains ses jambes, son dos puis ses fesses. Nous la retournons dans l’autre sens pour cajoler ses hanches, son ventre, ses seins mais plus spécialement ses tétons et enfin son sexe décoré d’un ticket de métro.

Alors que je remonte vers elle pour l’embrasser à pleine bouche, mon pote se glisse entre ses jambes pour dévorer cette magnifique vulve aux lèvres légèrement pendantes. Je l’entends avaler la mouille de notre copine de jeu alors que ma langue danse avec la sienne. Rapidement, elle abandonne mes lèvres et me redresse pour pouvoir me sucer. Alors qu’elle reprend sa pipe, comme si elle ne s’était pas arrêté, je m’occupe de sa magnifique poitrine.

Quand mon ami d’enfance et moi allions échanger nos places, Stéphanie nous arrête et demande à Julien d’aller chercher une boite de préservatif en lui indiquant une commode. Elle continue de me sucer et mon pote revient la bite déjà protégée. Il s’agenouille entre ses cuisses et la tire vers lui pour bien la pénétrer. Son mouvement me fait encore plus pénétrer dans la bouche de ma voisine et même rentrer dans sa gorge.

A chaque coup de rein, Stéphanie se déchaîne de plus en plus. Elle n’arrive plus à me sucer alors elle me recrache pour me branler. Assez rapidement, elle tourne la tête vers moi et me dit, entre halètements:
« A ton tour! »
Mon pote ressort doucement, Stéphanie, m’allonge sur le dos, me coiffe d’une capote et vient s’empaler sur moi.

Je l’att par la taille, je la fais monter et descendre sur moi de plus en plus rapidement alors qu’elle prend appuie sur mon corps. Après quelques minutes d’aller retour, elle s’assoit bien sur moi, vient plaquer sa grosse poitrine contre mon torse et lance ses mains en arrière. Elle écarte bien ses deux fesses et demande à Julien de lui ouvrir le cul.

Pendant que la langue de mon pote s’agite sur son petit trou, je sens son con se contracter autour de ma tige. Elle ondule du bassin pour continuer à m’activer en elle et couine sous la plaisir de ma bite et de la bouche de Julien. Je sens un premier doigt venir s’appuyer contre ma tige, puis un deuxième. Stéphanie se redresse légèrement et reprend ses montées et descentes alors que ses deux trous sont plein.

Quelques minutes après qu’un troisième doigt vient lui envahir les entrailles, elle tourne la tête pour dire à mon ami:
« Maintenant je veux vous sentir tous les deux en moi! »
Il met ses doigts autour du préservatif qu’il porte toujours et se branle un peu pour bien se refaire durcir. Stéphanie revient contre mon corps en maintenant ses fesses bien ouverte.

Alors qu’elle est immobile sur moi, elle pousse des petits cris. Je mets un moment à sentir le gland de Julien contre ma tige, à travers la membrane qui nous sépare. Plus il s’enfonce en elle, plus il me caresse la bite avec la sienne, plus ma voisine manifeste son euphorie. Quand il est bien planté dans son magnifique cul, nous restons tous les trois immobile un petit moment.

Stéphanie remue son corps, ce que nous prenons pour un top départ. Je mets mes mains sous ses fesses pour la soulever un peu, Julien décule légèrement. Quand je soulève mon corps pour bien plonger dans sa grotte, qui dégouline déjà sur mon corps, mon pote s’enfonce dans son cul. Nous la limons de plus en plus rapidement et en rythme, j’adore sentir la queue de mon ami frotter la mienne.

Puis nous la limons en décaler, pendant que j’envahie complètement son con Julien ressort et vice versa. Stephanie, se déchaîne totalement, je sens ses ongles pénétrer ma chaire. C’est chaud, ça brule mais qu’est ce que c’est bon! Je me plante bien au fond de son sexe alors que mon voisin d’orifices lui martèle les entrailles. Ses mouvements sont tellement violents que ses couilles viennent taper les miennes.

Notre co-baiseuse s’agite, des pieds à la tête, dans tous les sens. Je vois sa belle chevelure voler de gauche à droite, ses seins ballotent de la même façon, son bassin onduler… Alors que nous sentons ses trous se resserrer autour de nous, elle se met à gueuler:
« C’est trop bon les garçons… Continuez comme ça… Eclatez moi… »
J’essaye de la défoncer aussi bestialement que le fait mon pote jusqu’à ce que ses orifices nous immobilise en elle.

Stéphanie démarre une symphonie de jouissance, ses ongles me griffent les flancs alors que ma queue frétille dans son con. Elle a la chaire de poule et est prise de convulsion en hurlant des:
« Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii »
Quand elle commence à se calmer, l’étreinte autour de nos sexes se desserre et nous nous remettons à nous agiter en elle mais plus calmement.

On entend la sonnette retentir. Julien et moi nous figeons et sortons de ses orifices, l’un après l’autre. Dans le grand silence qui règne nous entendons un bruit de serrure. Nous nous levons pour attr nos habits mais Stéphanie empoigne nos queues même si elles commence à rétrécir par le stresse. Quand la porte s’ouvre, elle branle mon pote et ses lèvres sont sur mon gland.

Alors que Julien et moi fixons l’entrée, Stephanie s’occupe de nous comme si de rien était. On voit arriver un mec un peu plus petit que nous mais bien baraqué. Comme si tout était normal, Stéphanie nous lance:
« Les garons je vous présente mon homme. J.F. Ca c’est Romain mon voisin du dessus. »
Je suis sur le cul par la situation mais encore plus quand elle se tourne vers Julien et lui demande:
« Au fait comment tu t’appelles? »

Très gêné, mon pote se présente alors que ma voisine continue de nous branler et que son mec avance vers nous en se déshabillant….

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