(54) Caroline En Vacances Offerte À Son Amant Par Son Mari : Baisée En Ville En Auto Et Au Bureau Par Son Etalon Black.

Episode 3 :
Pour vous aider à suivre, je vous propose un résumé des récits précédents :
Je m’appelle Caroline, hypersexuelle, je suis mariée à Éric, mon petit mari Candauliste.
En 2010, nous avons rencontré notre « Amoureuse » Sandrine avec laquelle nous formons « un trouple ». C’est merveilleux !!! Je profite de chaque instant… Je suis en amour avec deux magnifiques personnes !!!
Etre avec deux personnes au lieu d’une, ça signifie d’abord et avant tout deux fois plus d’amour, d’entraide, de soutien, de complicité. Et, en fin de compte, qui n’a pas envie d’être aimé davantage ?
Mes aventures que je me permets de vous resti se déroulent avant notre rencontre avec Sandrine.
Mais c’est à sa demande que j’écris : « Ma semaine de vacances particulières » du 17 au 24 octobre 2009.
A cette période, Éric a de nombreux fantasmes.
Parmi une très longue liste de trente-quatre…Un certain nombre, ont été réalisés, soit totalement, soit partiellement.
Bien sûr, celle qui les fait vivre, c’est moi !!!
Si je ne veux pas réaliser l’un des fantasmes, il restera à l’état de fantasme.
Après avoir réalisé beaucoup de choses en huit ans, Éric souhaite que je sois « l’Objet Sexuel » d’un homme, c’est-à-dire que cet homme puisse avoir tous les pouvoirs.
Que je sois la « chose » de cet homme.
Il pourra me caresser en public, m’embrasser, me masturber, me demander des fellations dans la rue…
Cet homme pourra m’offrir à ses amis, ses clients, sa famille ou autre sous réserve d’acceptation de ma part.
Nous avons fait la connaissance de Simon (voir épisodes précédents), nous sommes arrivés avec Éric dans le Var le samedi 17 octobre, celui-ci repartant au boulot en Normandie dès le lendemain.
Après un premier « Duo torride au soleil », pour le début de mes « vacances » où les corps se sont bien échauffés sur la terrasse de Simon sous le regard de son voisin retraité qui a semblé apprécier nos coquineries…
Nous visitons ensuite « Hard-emment » la belle maison provençale de Simon, voir l’épisode précédent : « Sexe hard aux quatre coins de la maison Provençale »…
Donc avant de poursuivre, si vous n’avez pas lu les épisodes précédents je vous recommande de les lire.


Je vous propose la suite de cette semaine un peu folle, je dois vous l’avouer.
Le 18 Octobre : Baisée en ville en auto et au bureau par mon Etalon Black
Après une nuit bien courte, nous devons nous lever tôt, pour accompagner Éric, mon petit mari à la gare Saint-Charles de Marseille. Les coquineries d’hier ont été particulièrement intenses et viriles, ma petite minette a pourtant bien digérée le sexe XXXL de Simon.
Éric doit regagner ce dimanche notre Normandie, car il a une semaine particulièrement chargée. Il est surtout heureux de réaliser son fantasme : je suis l’objet sexuel de Simon pour la semaine.
Éric est très en forme ce matin, en ce qui me concerne, j’ai du mal à faire surface…
Éric nous propose de conduire la voiture de Simon jusqu’à Marseille, de faire un tour dans sa voiture en plein centre-ville.
Éric, jamais à court d’imagination, souhaite être notre chauffeur pour nous guider à travers les rues pendant que je sucerai mon Amant à l’arrière de l’auto.
Bien évidemment, nous acceptons tout sourire et avec joie !!!
Mission du chauffeur cocu : faire un sexe-tour coquin en ville puis nous amener à la gare.
Éric aime l’idée de nous conduire, il adore conduire, mais ce n’est pas ce qu’il préfère, car ce qu’il aime plus que tout est de me voir avec d’autres hommes et ment, en conduisant, il en perd une bonne partie.
Ça le frustre quand même pas mal. Mais il n’a pas le choix, car pour me voir encore coquiner avec Simon c’est la seule solution avant de prendre son TGV.
D’autant plus qu’il appréhende pour la Go Pro qu’il a installé dans la voiture et qu’il va nous laisser toute la semaine, celle-ci vient déjà de lui faire défaut deux fois.
Quant à moi, j’aime beaucoup. Depuis le visionnage du film de David Cronenberg, Crash ou un couple dont la vie sexuelle s'essouffle quelque peu, va trouver un chemin nouveau et tortueux pour exprimer son amour grâce aux accidents de voiture. A la suite d'une violente collision, ils vont en effet se lier avec des adeptes des accidents.
..
Donc le sexe en voiture avec mari cocu chauffeur, me stimule bien !!!
Niveau fantasme, j’aimerai baiser dans une voiture décapotable roulant sur une artère principale en pleine journée pour allier l’adrénaline de l’exhibition au libertinage.
A l’arrière de la voiture, malgré la très grande taille de Simon et en ce qui me concerne, je ne suis pas petite non plus, 1m74, fellations, caresses et doigts s’enchaînent.
Cet épisode et la vidéo tournée pour l’occasion ne sont définitivement pas en faveur de la sécurité routière, puisque Simon et moi ne sommes pas attachés et mon chéri n’est pas hyper concentré.
Il ne résiste pas à l’envie de jeter un œil par-dessus son épaule aux feux rouges ou dans les ralentissements. Nous sommes arrivés à Marseille.
Nous ne roulons vraiment pas vite et sommes en plein centre-ville. Il y a de la circulation et des passants. En même temps, l’habitacle clos de la voiture est un vrai cocon protecteur. C’est très excitant !!!
Éric prend quelques risques avec les horaires de départ de son train et joue les guides à Marseille. Le GPS de la voiture ne s’est pas montré particulièrement participatif, il nous a conduits à deux reprises sur des sens interdits.
Face à l’échec de la navigation, et l’heure de départ du train arrivant, nous prenons une bonne fois pour toute la route de la gare.
Je vais vous faire une confidence, que je n’ai révélée à mon chéri que quand je suis revenue à notre domicile une semaine plus tard.
Cela faisait une vingtaine de minutes que je suçais mon amant black à l’arrière de la voiture enchaînant gorges profondes et fellations guidées voire es… quand j’ai décidé d’ouvrir ma fenêtre.
Mes hommes ont pensé que j’avais trop chaud, ce que j’ai affirmé sur l’instant pour ne pas casser l’ambiance très sexe dans l’auto.
La vérité vraie : j’ai le mal des transports si je ne reste pas concentrée sur la route. Quand je dois faire la copilote, je suis nauséeuse au bout de trois minutes.

Alors là, je ne vous raconte pas, mais…J’avais une de ces nausées !!!
J’ai d’ailleurs eu mal au cœur pendant toute la première partie des coquineries sur le lieu de travail de Simon et j’avais mon petit « bidou » ballonné !!!
Nous arrivons enfin au parking. Sur le chemin de la gare, mon amant exhibe mes fesses et l’as de pique posé dessus.
A un moment, on entend Éric faire des bruits bizarres entre sifflements et râles.
Nous comprenons qu’il n’a pas une brusque et violente montée d’excitation au point d’en gémir dans le parking, nous nous retournons et nous voyons arriver les soucis !!! Oups !!!
Nous voilà grillés, des gens arrivent. Nous poursuivons malgré tout jusqu’à l’ascenseur du parking où les fellations s’enchaînent.
Éric, teste une dernière fois sa GO Pro et son caméscope avant de nous confier son matériel pour notre semaine HOT. Et le matériel n’a pas chômé !!! Et moi aussi !!!
Le parking de Marseille a été témoin de fellations guidées voire e par Simon, ce qu’Éric et moi aimons vraiment beaucoup !!!
Mon petit mari adore littéralement me voir suffoquer avec le sexe d’un autre homme (ou le sien) en bouche, les yeux larmoyants de plaisirs tout en faisant des bruits de troll des cavernes !!!
Pour ma part, j’adore me sentir brusquer, maîtriser, humilier.
Lorsque je commence à avoir besoin d’air ou de repos, je me dégage et je reste finalement totalement maîtresse du jeu.
J’y consens à 2 000 % bien sûr, je préfère préciser, car ce sont des pratiques qui peuvent paraître hard.
Simon à un gros sexe et la sensation de remplissage de la bouche et de la gorge est bien présente !!!
Mon Amant n’hésite pas à me pincer le nez pour renforcer cette sensation d’ et d’emprise.
Les coquineries se poursuivent à la sortie de l’ascenseur du parking près d’un muret, ainsi une bonne dizaine de minutes entre pipes, biffles, (j’adore ça) et caresses de fesses !!!
C’est vraiment chaud et je me serai bien vue prise debout contre le muret si nous avions eu le temps.

Si Simon n’avait pas été aussi bien membré, je lui aurai proposé de me baiser ainsi en ayant vue sur le boulevard. Mon Chéri mouille d’excitation et je vois des petites perles de désirs teinter le beige de son pantalon.
Il est grand temps de prendre la direction de la gare.
Je quitte mon chéri en l’embrassant tendrement.
Éric renouvelle ses recommandations à Simon :
- Caroline est ton objet sexuel pour la semaine. Tu as tous les pouvoirs. C’est ta chose, mon ami… Tu peux tout faire avec elle, chez toi, dans les rues des villes et tu auras tous les droits sur elle. Tu peux la caresser en public, l’embrasser, la masturber, lui demander des fellations dans les ruelles. Tu peux l’offrir à tes amis, tes clients, ta famille ou autre, sous réserve d’acceptation de sa part.
Et s’adressant à moi tendrement :
- Tu vas te retrouver pendant une semaine dans son lit, aux bras de cet homme comme si tu étais sa compagne attitrée. Tu dois me faire un reportage photos et résumer les coquineries de la journée et surtout filmer un maximum de choses pour moi que je me délecte à ton retour.
Nous nous embrassons très fort encore, Éric me recommandant de bien m’éclater !!!
Après avoir quitté mon petit chéri, excité par nos coquineries du « sexe-tour-coquin » piloté par notre chauffeur cocu, j’ai très, très envie de continuer de jouer.
Nous nous retrouvons à la terrasse d’un café à Marseille sur un boulevard dont j’ai oublié le nom. Je ne suis pas retourné dans cette ville depuis un certain temps…
Mon Amant à ma gauche. Je suis très bien entourée, car la table voisine composée de six hommes déborde légèrement sur la nôtre !!!
Assez rapidement, les caresses s’enchaînent sous la table, cuisses ouvertes et offertes, bas apparents et sans culotte. Nous sommes un dimanche en fin de matinée, il fait beau et il y a du monde. Mon amant a le regard qui pétille : c’est l’effet “partage complice d’instants coquins”, car mon voisin direct doit voir mes hauts de bas apparents avec ma mini-jupe rouge.
Simon a pris une bière pression et moi, une mauresque. Je vais vous faire une confidence :
Je déteste boire de l’alcool avant de coquiner, car j’aime rester complètement lucide, mais le pastis a l’amusante vertu de me dilater le sexe. Vodka, Champagne, Tequila, Chartreuse… aucun autre alcool n’a cette faculté.
Connaissant la taille du chibre de Simon, j’ai préféré prendre un petit pastaga avec de l’orgeat histoire de faciliter toute expédition spéléologique vaginale !!!
ment, qui dit boire, dit faire pipi…Simon ouvre le bal et constate que les toilettes hommes sont “jouables”.
J’enchaîne, suivi peu après par mon Amant qui me rejoint aux toilettes et me guide dans la partie “mâle”. Il nous faut impérativement filmer pour Éric. Voilà déjà cinq minutes de fellation dans la Go Pro.
Pendant qu’Éric est dans le TGV pour regagner notre Normandie, Simon se fait sucer dans les toilettes du café.
On entend aller et venir des hommes aux pissotières se trouvant juste à côté du toilette.
Les bruits de fellation sont sans doute audibles, car nous entendons les “pipis”.
Mon Amant prend une photo qu’il envoie à mon Homme pour lui montrer ô combien je suis sa salope à black aujourd’hui.
Situation extrêmement excitante !!! Nous décidons de quitter le bar peu après pour trouver un coin où s’amuser en extérieur.
Nous déambulons bras dessus-bras dessous, nous constatons que “notre couple de la semaine” avec Simon ne laisse pas les gens indifférents, tous les hommes nous regardent avec gourmandise et les femmes ont un petit regard critique pas très sympathique !!!
Nous longeons un jardin public et décidons d’y rentrer : mission, trouver un coin pour coquiner.
Nous trouvons un petit endroit plus ou moins discret dans le jardin.
Nous sommes à peu près cachés à côté de la cabane des jardiniers, même si la large ouverture sur le parc ne permet pas une réelle discrétion.
Nous nous embrassons à pleine bouche, Simon pose le caméscope d’Éric avec le meilleur angle possible sur un muret pour filmer.
S’enchaînent fellations et tentatives de gorge profonde. J’ai beaucoup de mal à tout gober tant le sexe de Simon est imposant. C’est super hot le jardin public à Marseille !!!
A genoux ou accroupie, je me délecte du gros membre de mon Amant presque sous le regard de quelques joggeurs passant à dix mètres de nous.
Simon prend encore quelques photos qu’il envoie de suite à mon Cocu de Mari qui doit prendre un énorme plaisir dans le TGV. Ce plaisir à me partager avec d’autres hommes. C’est que du bonheur et de l’excitation !!!
Simon me « biffle », en me déclarant que je suis une sacrée salope qui adore le sexe en ville et en plein jour. C’est une première pour lui !!!
Je suis honorée !!! C’est super excitant.
Il nous faut trouver un endroit impérativement et rapidement. Une quinzaine de minutes plus tard nous partons en direction des bureaux de Simon.
C’est la seule solution d’après lui car j’ai vraiment besoin de me faire baiser maintenant après tant d’excitation.
Ses bureaux ne sont pas très loin, il pense que l’on va pouvoir s’amuser à l’infirmerie de l’établissement.
Arrivés à l’entreprise, et au poste de garde, Simon me fait passer pour sa compagne…
Puis il part dans la partie administrative de la société en éclaireur pour s’assurer qu’il n’y a personne pendant que je reste sagement dans la voiture sur le parking.
Puis, nous avons rejoint l’antre de nos ébats.
Arrivés à l’infirmerie qui se trouve au même niveau que le bureau de Simon, ment après notre petite virée, nous avons envie de faire pipi !!!
J’ouvre le bal, quand Simon me rejoint aux toilettes.
Il exige que je crache, sur son chibre et le suce, pendant que je suis sur le « trône » attendant que ma pluie tombe sur le plastique ivoire (pour ceux qui hésiteraient sur le sens de cette phrase : je suis en pleine pause pipi !!!).
Je m’exécute, excitée par la situation inattendue et imprévue !!!
Les petites commissions terminées, nous rejoignons l’infirmerie et le lit « médicalisé ».
C’est la classe car il est réglable en hauteur. Je me remets à l’œuvre : donner du plaisir à la belle queue de mon étalon black.
Assise sur le lit, je me délecte de son membre, tantôt à mon rythme tantôt au sien. Il guide ma tête et impose la cadence.
Simon est passionné par la voile, mais nous sommes bien loin d’être dans une galère. Nous naviguons sur un océan de délices parcouru d’un courant de plaisirs et d’une houle de virilité.
Mais avant tout cela, Simon installe le caméscope et la Go Pro, pour enregistrer un maximum d’images de la partie coquine.
Comme pour me récompenser d’être une bonne salope à black, mon amant m’offre un délicieux « cunni » accompagné de doigts rythmés pendant une bonne dizaine de minutes.
Je pense à Éric quand il découvrira ces images, il devrait se régaler de me voir ainsi entreprise.
Nous entendons de temps en temps quelques bruits, mais je pense que c’est à l’étage inférieur.
Après cela arrive le moment fatidique : est-ce que ça va rentrer ?
Mon amant m’a bien préparée et dilatée en mettant jusqu’à trois doigts dans mon sexe.
De mon côté, avec beaucoup de lubrifiant, j’ai continué en me doigtant. A côté de ça, j’ai de toutes petites mains.
On prend notre temps, aucun de nous n’a envie que ça fasse mal ou que ça se passe mal.
Je fais un petit coucou à mon chéri en fixant le caméscope. Puis Simon lui envoie une photo.
Nous imaginons facilement l’instant il la scrute entre appréhension et excitation, il rêve de me voir remplie encore une fois par ce gros sexe.
Qui veut aller loin ménage sa monture !!!
Je ne dirai pas que c’est rentrer comme dans du beurre, ça a été un peu laborieux, un peu douloureux les premières minutes et après, ça a été de mieux en mieux. Heureusement qu’il y avait eu une véritable entreprise de dilatation avant.
Ma minette s’habitue au calibre XXXL de mon amant.
Mon amant m’a ensuite demandé de me mettre en levrette.
Il s’est glissé toute en douceur avant d’entamer une véritable baise entre coups de reins profonds et positions “imposées” (je mets des guillemets à “imposées”, car j’y consens pleinement !!!).
Il n’hésite pas à me prendre en main, il ose ce que peut d’hommes osent. J’adore ça.
Je n’affectionne pas les rencontres libertines câlines, j’aime les rapports virils et la baise hard et Simon n’hésite pas sur ce point.
Il m’impose la cambrure, me claque jusqu’à empourprer mes fesses d’un feu ardent, tire mes cheveux, m’étrangle…
Il me présente son pied pour que je le lui lèche juste avant de me le poser sur le visage. Il tient mes poignets à l’arrière de mon dos pour me maîtriser complètement.
J’aime me sentir sa “chose”, son “jouet sexuel”, sa “salope” dans les mains de ce bel adonis entreprenant et plein d’assurance.
Quelque chose que nous avons beaucoup apprécié avec Éric, Simon n’a jamais tenté d’aller au-delà d’une limite donné.
Il a respecté scrupuleusement toutes les consignes que mon homme avait indiqué avant notre rencontre de la semaine : pas d’anal sauf si vraiment je le désire, mais possibilité de fessées, gifles, rapports hard, étranglement…
C’est suffisamment rare pour le noter.
Dans l’excitation certains tentent de franchir un interdit.
Au mieux, ça passe par une courte réflexion, puis ça brise une limite. Au pire, ça casse toute envie et on n’est plus du tout dedans.
Les positions s’enchaînent et les pénétrations varient, tantôt profondes, tantôt plus superficielles.
Je suis pleine de son sexe et il peut faire de moi ce qu’il veut ou presque.
Prise dans l’excitation, je lui demande d’ailleurs s’il souhaite me cracher dessus pour m’humilier, ce qu’il accepte avec grand plaisir.
Les fesses rougies et en feu, la bouche engourdie par les fellations, le sexe dilaté et irrité par les assauts virils, je commence gentiment mais sérieusement à fatiguer.
Je donne mes dernières forces, mais je sens que je ne vais plus tenir.
D’ailleurs si mon chéri était présent, il dirait à Simon :
- Elle ne va plus tenir bien longtemps !!!
Je le connais bien mon petit mari et lui aussi.
Me voyant à bout de force, Simon décide de m’offrir sa jouissance sur le visage. J’adore ainsi être couverte de sperme, c’est particulièrement exaltant et enivrant.
La toute fin des coquineries se termine là où elle avait commencé : aux toilettes !!!
Mais pour cela, nous devons sortir de l’infirmerie pour rejoindre les toilettes et la douche au fond d’un long couloir, nue, juste vêtue de mes bas Wolford.
Simon dans un dernier élan décide de m’offrir son jus d’Or.
Agenouillée dans la douche, je reçois des vagues d’urine sur le visage et le corps au point que ça en rentre dans mon nez. Je frôle la noyade et me retrouve, bien malgré moi à goûter à sa pluie d’or au moment, où je dois reprendre ma respiration.
Le seul petit souci, nous sommes venus ici, « les mains dans les poches », nous n’avons rien pour nous essuyer !!!
Nous avons passé un moment fantastique avec Simon, un Amant idéal : beau, joueur, très sympa, respectueux, bien pourvu par Dame Nature… Nous n’avons pas vu le temps passer et pourtant, la coquinerie a duré plus de deux heures sans temps mort et sans le moindre ennui. Ça n’a été que du bonheur !!!
Il est plus de 15h30, nous allons déjeuner, nous sommes toujours à Marseille, Éric va arriver plus vite en Normandie que nous, au domicile de Simon.
Justement revenu chez lui, à Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, après une bonne douche, je m’installe nue sur sa terrasse pour rédiger mon « journal coquin » et faire le compte rendu pour chéri ainsi que l’envoie de photos.
Pendant ce temps Simon prépare les réjouissances de la semaine…Le programme va être chargé.
Je suis bien, au calme, dans cette belle région, la maison de Simon est très agréable
Pour le coup, je suis régulièrement nue au jardin en bonne voisine sexy sans trop me préoccuper du vis-à-vis.
Après un long appel téléphonique avec Éric, nous passons une soirée très agréable avec Simon.
Nous papotons en plaisantant, j’ai décidé d’être calme, car ma « minette » a besoin de repos, si veux être en forme toute la semaine.
Car demain nous passons la soirée avec un ami de Simon, j’ai découvert Vincent en photo, il est très mignon…La soirée devrait être agréable et coquine.
Et puis Simon est en train d’organiser deux autres rencontres…Deux petites pluralités masculines…
La semaine de vacances dans le Var ne devrait pas être de tout repos.
C’est la fin de l’épisode trois, un peu de patience, pour découvrir la suite de ma folle semaine.

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