Toutes Les Femmes S'Appellent Marie Fin : La Nouvelle Vie De Marie Noëlle

Il est bien plus de treize heures quand je me réveille. A mes côtés, Marie sommeille toujours. J’admire un instant sa silhouette étalée. Un rayon de soleil tombe sur sa croupe et donne des envies de caresse.
J’appelle sans bruit la réception qui m’annonce monter le plateau dans quelques minutes. Quand le garçon d’étage vient le déposer dans le salon, je laisse volontairement la porte de la chambre grande ouverte et je note amusé le regard qu’il lance vers le lit où Marie est toujours étalée impudiquement. Je lui souris pour bien montrer que j’ai suivi son regard et il sort sans plus de commentaire.
Je réveille ma partenaire par des baisers et des caresses, puis nous mangeons sans prendre la peine de nous habiller.
Après un bon bain relaxant dans l’immense baignoire à bulles, nous sortons nous promener au bord de la plage et dans les petites rues de la station, quasi déserte en cette période. Marie ne connaît pas du tout Biarritz, aussi je me fais le guide de cette visite.
Sur la terrasse du casino de la grande plage nous prenons un rafraîchissement en regardant les autres se promener. Je laisse Marie aller sur le sable et s’approcher de l’eau pour tremper les pieds. Tout en admirant sa silhouette et sa démarche, et je ne suis pas le seul. Je laisse errer mon regard et c’est là que je repère la terrasse au dessus club. Jusque là, je ne l’avais jamais remarquée. La bâtisse est remarquablement située et vaudrait une fortune si elle était à vendre.
Il est un peu plus de dix huit heures lorsque nous rentrons à l’hôtel. Apparemment le directeur a renseigné le personnel et nous sommes reçus comme de vieux habitués. Le réceptionniste nous annonce que « Monsieur le directeur vous attendra au bar de l’hôtel vers dix neuf heures »
Nous montons nous préparer. Pour ma part, c’est assez vite fait. Une douche rapide, un bon rasage et je laisse ma place à Marie qui s’enferme dans la salle d’eau. Elle n’en sortira que peu avant l’heure du rendez-vous.

Superbement maquillée et ayant revêtu un manteau qui cache sa tenue.
Au bar, nous retrouvons le directeur en compagnie d’une superbe jeune femme noire, qui je dois dire, me subjugue. On se présente : Marie, Jean – Patrice, Jenny. Enchanté, de même…. Les propos habituel. Nous les accompagnons pour déguster une bouteille de champagne que le barman vient d’ouvrir sur un signe du patron.
« On va en profiter, dit celui-ci, puisque chez Martha il y a d’autres boissons plus … vivifiantes. Jenny adore les bulles !
Nous aussi ! » Réplique Marie, décidément très à l’aise.
La bouteille vidée, nous partons tous les quatre bras dessus, bras dessous. Patrice comme nous, a son badge spécial anniversaire. Aucun autre participant ne sera accepté ce soir. Le badge ouvre la porte et Mouammar nous accueille avec le sourire. Quand Marie enlève son manteau, le silence se fait. Patrice ouvre des grands yeux et je ne dois pas être très différent. La tenue prêtée par Claudie est d’une sensualité torride ! Une guêpière rouge bordée de dentelle noire, qui retient des bas à jarretelles. Les seins sont quasiment sortis des bonnets. Autour du cou un collier de satin orné d’une fleur rouge elle aussi. Les talons sont vertigineux. Marie est une bombe !
Que dire de Jenny ? Sa tenue est au moins aussi affolante ! Une combinaison en résille blanche dont les mailles sont découpées aux seins et à l’entre jambes. Un vrai pousse au viol ! Les deux femmes portent un string ridicule et c’est là que je me rends compte que celui de Jenny est légèrement gonflé par une bite. Jenny est un transsexuel !
Nous entrons tous les quatre dans la grande salle où nous sommes accueillis par Martha, qui me saute au cou et m’embrasse. Claudie s’approche et vient embrasser Marie. Les deux femmes échangent un baiser torride.
« Tu es magnifique ma chérie ! lance la gérante. Dès que je peux, je te veux !
Merci à toi. Ta tenue est géniale !
Je savais qu’elle t’irait. Garde-là.
Sur moi elle ne vaut rien.
Ta femme est toujours aussi belle dit Martha à Patrice. Il me tarde de jouer avec son clito !
Arrête ! Espèce d’obsédée ! Rigole mon voisin. Elle va exploser son string et faire des envieux et envieuses ! Je ne vais plus la voir de la soirée !
C’est cela oui ! Tu pourras t’amuser ailleurs comme ça et je suis sûr que ta belle cliente va subir tes assauts ! Obsédé toi-même ! »
Nous rions tous alors que Claudie nous tend des verres de cocktail. Nous flirtons gentiment tout en parlant. On se laisse imprégner de l’atmosphère de la soirée, sachant qu’elle sera longue.
Un homme entre alors. Il tient en laisse deux femmes à genoux. Elles sont nues à l’exception d’une sorte de selle autour de la taille et équipées d’un gode planté dans leur anus supportant une queue de cheval.
Personne n’est étonné, à part Marie et moi peut-être, car le « baron » est connu pour ses frasques et ses jeux sado-maso. Derrière cet équipage, un homme seul, ce qui est rare dans ce lieu. Il se dirige vers notre groupe et salue Martha.
« Gilles ! Je suis heureux que tu ais pu venir ! Mes amis, je vous présente Gilles dit « The Sword », ou « Sword »
Je n’aurais manqué ton anniversaire pour rien au monde ! Voilà un petit cadeau pour toi ! Martha se presse d’ouvrir la petite boite, dont elle extrait un « rosebud » dont la pierre magnifique brille de tous ses feux.
Tu es fou mon Gilou ! Tu veux bien me le mettre en place ?
Avec plaisir ma chère ! » Martha lui donne le bijou, puis m’appelle pour se pendre à mon cou.
Relève mon vêtement. Tiens-moi bien. tu vas sentir ça, quand tu vas me baiser tout à l’heure ! Tu vas bien me baiser n’est-ce pas ?
Mais bien sûr ma chère ! J’y compte bien !
Tu es un chou ! Dis, est-ce que tu accepterais de le faire devant tout le monde sur l’estrade ? Pour mon anniversaire ce serait le pied ! Bon je comprendrais, si tu ne veux pas.
Tu es folle ? Bien sûr que oui ! Je vais te baiser dans la lumière espèce de naine perverse et obsédée du cul !
Ouille – Gilles a enfilé le bijou dans le cul de Martha – Merci mon chou ! Tu es encore plus pervers que moi, vieux salaud qui ne respecte même pas mon handicap !
Et toi, tu respectes le mien ?
Je respecte ta bite, que tu vas me mettre bien profond ! »
Pendant notre dialogue surréaliste, j’observe que Gilles est particulièrement sensible au charme de Marie.
Martha redescend du perchoir de ma taille et va maintenant de table en table voir ses invités. Sa démarche de naine est un peu plus prononcée que d’habitude à cause du rosebud dans ses fesses !
Voyant que la patronne est occupée, Marie propose à Claudie de l’aider au service. Les deux femmes sont très complices d’un baiser échangé, elles scellent leur accord.
Je poursuis alors la discussion avec Gilles, Patrice et sa femme Jenny. Celle-ci me déclare que Marie lui plait beaucoup :
« Je suis très « bi ». Vous croyez que je peux la solliciter ?
Elle est aussi très bi et je crois qu’elle serait très heureuse ! Mais moi aussi je suis très bi et je serais heureux de participer !
Eh bien, ajoute son mari, nous sommes quatre bi alors nous pourrons nous amuser.
Avec plaisir ! Pour l’instant elle est occupée, mais la soirée est loin d’être terminée et si ce n’est pas ce soir nous aurons sûrement une autre occasion. »
Gilles, lui aussi, apprécie Marie. Je lui indique qu’elle a l’intention de faire un petit show avec Claudie et qu’il devrait se régaler.
Les invités sont maintenant tous servis en boisson. Un buffet est dressé où ils peuvent trouver des toasts et le cocktail. Max arrête la musique et annonce un spectacle sur la petite scène. Il éteint la salle et deux gros projecteurs blancs créent un faisceau sur l’un des podiums de « lap dance ».
Claudie et Marie traversent la salle main dans la main et se retrouvent sous les feux des projecteurs. Elles commencent une danse érotique dans laquelle, à tour de rôle l’une s’agrippe à la barre et l’autre la caresse.
Les deux femelles deviennent de plus en plus lascives, encouragées par les spectateurs enthousiastes. Les caresses se font plus précises, les strings ont quittés leurs propriétaires depuis un moment et ont été jetés dans la salle. Elles entament alors un soixante neuf torride. Marie en position supérieure, plonge trois doigts dans la chatte baveuse de sa partenaire.
De sa langue et attaque le clitoris turgescent. Claudie a bien du mal à lui rendre la pareille. La mouille de Marie suinte et coule dans la bouche gourmande. Le cul de cette dernière est bien mis en valeur par la guêpière et les bas. Cela donne des idées au public qui s’est rapproché à toucher les deux femmes.
C’est Gilles qui est parvenu le premier à se faufiler. Il s’est déshabillé et je découvre alors pourquoi on le surnomme « sword » ! En anglais cela signifie « épée » Son sexe est impressionnant ! Plutôt fin, mais trente centimètres de long ! Légèrement courbé il fait penser à l’arme blanche !
Il s’approche derrière Marie, qui ne voit rien. Claudie, qui le connaît, saisi le sceptre, en profite pour le prendre en bouche un moment, puis pointe le bout menaçant sur la chatte de Marie. Le silence s’est fait dans la salle. Max a même arrêté la musique. Tout le monde attend la réaction de Marie.
Peu à peu le redoutable membre, s’enfonce dans les chairs onctueuses. Les trois quart de la bite ont maintenant disparu. C’est alors que Martha s’approche de moi et m’agrippe par la manche.
- « Moi je ne peux en accepter plus. Au delà c’est douloureux. Ce sont mes limites physiques. Je suis sûr que ta chérie va se régaler ! Mais dis-donc ! J’ai l’impression que ça te plaît ! » Martha a posé la petite main sur le devant de mon pantalon et y trouve une bosse intéressante. Aussitôt, elle s’attaque à la fermeture et sans mal, parvient à baiser mes vêtements. Elle se met face à moi et pendant que je contemple le spectacle, me taille une pipe monumentale.
Sur la scène, Marie se rend compte que ce sexe qui la pénètre n’est pas très habituel. Elle tente de relever sa tête, mais Claudie, la lui maintient sur sa chatte dégoulinante. Elle-même s’abreuve du jus intime qui coule de la fente taraudée par le pal énorme.
Gilles, de temps en temps, se retire complètement du fourreau, ce qui permet de voir l’extraordinaire organe rendu luisant et plus menaçant encore. Marie exprime alors sa désapprobation de se voir privée de ce « jouet » qu’elle apprécie. Quand il replonge d’un coup au fond de sa matrice, c’est un autre soupir, de plaisir cette fois qu’elle pousse.
Face à ce spectacle, la salle est en transe et beaucoup de groupes se sont formés. Martha, qui n’a pas arrêté, reçoit mon sperme dans sa bouche. Je n’ai pas pris garde à la montée de ma sève, pris par le spectacle. J’éjacule alors en criant, ce qui ne dérange personne autour de moi. Martha reprend aussitôt son ouvrage sur ma bite qu’elle compte bien utiliser à son compte. Marie ne se retient plus elle ne s’occupe plus de la chatte de Claudie qu’avec ses doigts car elle est à la recherche d’air. Elle jouit en continue alors que l’épée la transperce toujours en cadence.
Enfin, « Sword » jouit à son tour et permet à sa partenaire de retrouver son calme petit à petit. Son calme est un bien grand mot, car elle est littéralement écroulée sur Claudie, qui se console en léchant goulûment la bite de Gilles couverte de mouille et de sperme.
La salle applaudit alors. Gilles se relève et galant aide les deux femmes à faire de même. Marie a les jambes qui flageolent un peu. Max a rallumé la salle et remis de la musique. Marie se dirige vers moi, me prend dans ses bras et m’embrasse.
« Mon dieu c’est fou ! Je n’ai jamais rien senti comme ça ! J’ai honte !
Tu ne dois pas ! Tu étais très belle ! Et ça ne m’étonne pas ! On peut dire qu’il a dû atteindre des zones inexplorées !
Mais … comment ?
Tu n’as pas vu son sexe ? il est très long, très fin ! C’est pour ça que Martha l’appelle « Sword » Tu as été comme transpercée par une épée ! »
Gilles s’est aussi rapproché de nous et pose son bras sur l’épaule de Marie, la remercie et lui indique qu’il a beaucoup aimé la baiser, qu’il est rare qu’une femme l’absorbe comme elle et y prenne du plaisir.
« Je crois que si j’avais vu avant, je n’aurais pas osé ! C’est … terrible !
Je ne vous ai pas fais mal au moins ?
Oh non ! Mais je n’avais jamais…
Je suis heureux que ça vous ait plu ! Moi-même ai beaucoup aimé. Votre chatte est une merveille ! Peu de femme m’ont accepté ainsi dans leur vagin ! »
J’ai l’impression que ces deux là sont faits pour s’entendre. Après une petite toilette, les deux femmes reprennent leur activité de barmaids. Elles sont aussi très complices.
Je passerai sur cette soirée qui restera un grand moment. Peut-être que je la conterai plus tard mais je reviens à Marie.
Claudie ce soir-là, a beaucoup apprécié non seulement le coup de langue de ma partenaire, mais aussi son service au bar. La semaine suivante, après en avoir parlé avec Martha, elle a invité Marie. Je n’étais pas disponible, aussi l’a-t-elle logée. Au cours de ce week-end, elles lui ont proposé de l’employer au club. Martha, ayant appris ses compétences en comptabilité, lui a offert un emploi à temps plein. Un salaire doublé par rapport à celui de caissière.
Marie m’en a parlé dans la semaine. Les horaires étant le vendredi et le samedi de vingt heures à quatre heures du matin. Le dimanche de dix huit heures à deux heures. Le reste de la semaine, repos, libre à Marie de tenir la comptabilité quand elle le désire. Ce travail lui prenant trois ou quatre heures par semaine. L’été, quelques soirées spéciales sont organisées.
Pour le logement, Martha possède un immeuble à proximité avec deux appartements et lui propose un loyer correspondant à ce qu’elle paye actuellement.
Marie est très tentée, surtout qu’elle a découvert ce monde du libertinage qui lui plaît beaucoup. Son souci provient de sa fille et de la réaction de celle-ci.
Je la convainc que sa fille ne verra aucun inconvénient à vivre au bord de la mer, d’autant qu’elle effectue ses études à proximité et qu’elle ne tardera pas à voler de ses propres ailes. Pour la question du travail, elle n’est pas obligée de donner tous les détails, sans lui cacher toutefois la nature un peu « spéciale » du Freedom. La réputation du lieu n’est plus à faire !
Ses craintes se sont révélées inutiles. Sa fille connaissait le club et si elle a été surprise, elle a encouragé sa mère à accepter.
Deux mois plus tard Marie aménageait à Biarritz dans le superbe appartement. Elle s’est très vite intégrée à l’équipe. Bien sûr je la retrouvais régulièrement pour quelques week-ends, ou quelques jours. Nous avons eu l’occasion retrouver Patrice, le patron de l’hôtel avec sa « femme » Jenny. Nous faisions partie des rares amis à connaître la « particularité » de cette dernière, et surtout d’en profiter.
L’autre Marie a bien sûr voulu savoir comment se passait mon histoire. Le vendredi suivant je la retrouve chez elle pour une soirée au sauna. Ayant appris l’identité de l’autre et son prénom elle a beaucoup rit. Puis,
« Alors ? Elle est comment ? Enfin, au lit quoi…
Au lit, contre l’évier, sur la moquette, sur le divan, elle est bonne !
Plus que moi ?
Pourquoi veux-tu que je compare ? C’est différent, c’est aussi très bien.
C’est une cochonne ?
C’est sûr qu’elle n’a pas froid aux yeux !
Et… avec les femmes aussi ?
Toi tu es intéressée ! Cochonne toi-même ! Toi aussi tu as envie de te taper une autre Marie !
C’est pas ça …. Bon, si tu veux… Alors ?
Alors… Oui ! Elle aime aussi les femmes et se gouiner avec. Tu as tes chances, si en plus je suis avec.
Quand c’est que tu nous présente ?
Pas ce week-end en tous cas. Elle est repartie à Biarritz. »
Je n’en disais pas plus ce jour-là. De toute façon, rien n’avait été encore prévu sur la future carrière de Marie dans le monde libertin. Il a fallu tout de même que je raconte notre week-end précédent sans toutefois rentrer dans le détail. J’ai simplement raconté que nous avions été dans un club libertin et promis de l’y amener un jour.
Deux mois plus tard donc, après avoir quitté son travail de caissière, Marie déménageait et prenait ses fonctions de barmaid-comptable. Bien qu’ayant son appartement, elle reste souvent chez Claudie et Max, surtout les nuits des vendredis et samedis, entre les soirées.
Gilles « sword » est devenu un assidu du club. Entre Marie et lui, le courant est vite passé et les sentiments ont pris le pas sur le sexe. Le travail de Gilles l’amène à se déplacer souvent à l’étranger et aucun des deux ne veut se priver de changer de partenaire. Néanmoins, quand « Sword » est là, Marie ne dort plus chez le couple de gérants sauf avec Gilles. Sa fille a vite accepté le nouvel homme de sa vie, d’autant qu’il est charmant, lui a trouvé des stages pour ses études et surtout il a un neveu dont elle est amoureuse. Ce que nous ne savons pas, c’est s’il a les « caractéristiques physiques » de son oncle.
Bref, Marie est heureuse ! Je vais régulièrement au Freedom où je suis invité par Martha. Avec elle nous ne baisons quasiment qu’au club devant les clients, rarement chez elle, sauf quand Gilles est avec Marie et que nous les laissons un peu seuls. Martha adore aussi, depuis que je lui ai révélé la présence du voyeur, que je la prenne sur la terrasse au dessus du club sous le regard du voisin.
J’alternais ainsi les deux Marie, voire les trois, pendant plusieurs mois. A l’automne suivant, après une saison estivale particulièrement fatigante, Marie est partie en vacances avec Sword. L’homme a des moyens financiers importants et le couple a passé un mois dans le sud est asiatique, Maldives, Seychelles. Une escapade au Japon pour le travail de Gilles, puis une traversée des Etats Unis avant le retour sur la côte basque.
Pendant ce temps, le club était fermé pour travaux. Le changement était en route. Claudie et Max ont eu l’opportunité de créer un établissement similaire aux Antilles. Martha et eux on pensé naturellement que Marie était la mieux placée pour devenir la gérante du Freedom biarrot. Je dis biarrot car l’établissement de Saint Martin portera le même nom.
La plus difficile à convaincre aura été Marie. J’ai même été sollicité par Martha pour argumenter. Elle voulait se retirer et a vendu le club au couple sous couvert d’héritage. Elle a vendu son immeuble à Marie en viager. Argument ultime, comme elle doit donner la recette du cocktail à ses neveux pour le club antillais, elle la donne aussi à Marie ! C’est vraiment la preuve de confiance car nous savons très bien que le succès du club est en grande partie dû à ce fameux cocktail.
Bref, en moins de deux ans, Marie est passée du statut précaire d’une femme abandonnée obligée d’effec un travail ingrat et mal payé, à celui de gérante d’un club renommé, bien payée et amoureuse de son homme qui en plus la satisfait sexuellement.
Marie me dit toujours que c’est grâce à moi et qu’elle gardera toujours une place pour moi « dans son cœur et dans son cul » Nous avons d’ailleurs fait quelques trios avec Gilles et elle. J’ai pu goûter et apprécier son sexe fabuleux, parfois sous le regard de Martha « jalouse » de ne pouvoir le recevoir si pleinement.
La prise de fonction de Marie approchait Max et Claudie étaient déjà partis et le chantier se terminait. Martha avait lancé les invitations pour l’inauguration du nouveau « Freedom ». J’ai proposé de venir, accompagné d’une amie et d’un couple libertin qui voulaient découvrir le lieu. Les deux femmes ont bien sûr accepté venant de moi, curieuses aussi de connaître cette amie.
En fait, Marie (Françoise) et le couple d’enseignants palois, Jean et Marie, n’étaient pas au courant. Plusieurs fois Marie m’avait interrogé sur ma liaison avec cette autre femme. Depuis que l’autre Marie avait quitté Sauveterre, je lui avais dis que je ne la voyais plus. L’itinéraire de la nouvelle gérante du Freedom lui était inconnu, comme mes rapports avec Martha. J’avais néanmoins envie de lui faire connaître cette ambiance et par là même ce volet caché de ma vie. J’avais envie aussi de leur faire découvrir cette ambiance de club libertin, différente de celle des saunas.
Je leur présentais la chose un soir où nous étions tous les quatre à batifoler chez nos amis. Nous faisons une pause dans nos jeux lorsque j’orientais la discussion vers les clubs. Aucun n’était « chaud » car ces établissements ont mauvaise réputation et ils avaient surtout peur d’y être reconnus.
«Je connais un club à Biarritz. On pourrait l’essayer ? On pars un samedi dans la journée, le soir on dort là-bas et on a le dimanche pour récupérer.
Ah bon ? Tu connais ça toi ? » Interroge Marie.
« Tu sais bien que tu ne connais pas tout de moi !
C’est vrai. Mais tu ne crois pas que…
Ecoutez. Vous allez au sauna pour coquiner. Je vous assure que la clientèle de ce club est beaucoup plus agréable que certains lourdauds qu’on a rencontré ici. Là-bas personne ne vous connaît et faites-moi confiance vous allez aimer !
Bon, si tu le dis », réplique l’autre femme, « moi je suis d’accord, mais pour la tenue, on fait comment ? C’est chic non ?
Je crois mes coquines que dans vos tenues, il y en a qui vont très bien convenir. Si vous êtes d’accord, je m’occupe de tout, car il faut s’inscrire à l’avance.
D’accord répondent-ils en cœur. Et pour dormir ?
Ça aussi je m’en occupe. Vous ne serez pas déçus ! »
Dans la semaine je confirme notre venue à Marie, j’appelle Patrice à l’hôtel pour réserver. La suite n’est pas disponible, mais il nous garde deux chambres communicantes. Il me confirme qu’il sera aussi à la soirée et que d’autres chambres ont été réservées par des habitués !
Avec Marie, nous partons le vendredi soir. Il y a longtemps que l’on ne s’est pas retrouvés seuls tous les deux. Je l’ai convaincue de profiter de ce moment.
En roulant en direction de Biarritz, je lui révèle que le club où nous allons est dirigé par Marie (Noelle) la mystérieuse femme à laquelle j’apportais du champagne et qui n’était autre que la caissière du supermarché, ce que je ne lui avais jamais révélé ! Dans ce club, j’y suis aussi très connu, notamment par la propriétaire dénommée Martha et qui est une naine.
« Et la naine, tu la…
Je la baise, oui !
Et ça ne te dérange pas ?
Je t’ai déjà dis que j’étais un vicieux et franchement, ça ne me gêne pas du tout et Martha n’est pas repoussante, tu verras par toi-même.
Tu en as d’autre comme ça ?
D’autre quoi ?
Ben… je sais pas moi, des surprises…
Sûrement ! Tu trouves que je suis trop pervers ?
Non, c’est pas ça. Tu es surprenant ! » Je me marre et Marie n’a pas l’air si choquée que ça
Arrivés à l’hôtel, Marie est là-aussi surprise. Il faut dire que le Bellevue est un quatre étoiles. Le prix consenti par Patrice n’est évidemment pas le prix affiché, mais Martha a le bras long.
Deuxième surprise pour Marie. C’est le directeur qui nous accueille en me tutoyant « Décidément, tu es très connu par ici » Me glisse ma compagne. Patrice appelle sa femme qui travaille dans le bureau juste derrière la réception et la présente à Marie. J’ai l’impression que cette dernière flashe sur Jenny. Pour m’amuser je ne vais pas lui révéler son véritable sexe.
Je vais garer la voiture au sous-sol et nous montons directement à la chambre par l’ascenseur. Après avoir fait admirer la vue depuis le balcon de la chambre, nous sortons dîner en ville. A table, je taquine un peu Marie.
« J’ai l’impression que la femme du directeur t’a fait de l’effet, je me trompe ?
Mais… Non… Enfin… Elle est très belle !
Et très coquine ! Vu comment elle t’a regardée je crois qu’elle a envie de s’amuser avec toi demain soir !
Ah parce que elle sera au club ?
Oui ! Elle et son mari sont des habitués.
Et… Elle aime les femmes ?
Elle aime autant les femmes que les hommes et tu ne devrais pas être déçue !
Parce que tu crois que…
Je ne crois pas, je suis sûr qu’elle va te brancher. Toi qui aimes les femmes, tu vas te régaler !
Tu m’as l’air de la connaître bien ! C’était bien avec elle ?
Génial ! C’est une bombe ! »
Après le repas, nous rentrons tranquillement à pied en longeant la plage déserte à cette période, puis rejoignons notre chambre. Le concierge nous dit au passage que « Monsieur Patrice a fait ouvrir la porte entre les deux chambres ». Nous jetons un œil en rentrant pour découvrir une chambre jumelle à la nôtre, seule différence : il n’y a pas de balcon.
La salle de bain étant immense et la baignoire à bulles, nous prenons un bain commun, prélude à notre nuit. Il y a longtemps qu’on ne s’est pas retrouvés ainsi tous les deux seuls. Nous profitons de cette soirée pour faire l’amour tendrement, redécouvrant le plaisir et les caresses. Le lit est immense. A travers la vitre de la baie on devine l’océan et ses lumières. Le corps musclé de Marie est un délice à caresser. Connaissant la réactivité de ses seins, je suce les tétons et la fait partir plusieurs fois avant qu’elle ne demande grâce et me supplie de la pénétrer. Je n’ai pas fini avec elle et le veut aussi goûter à son suc. Je glisse vers son ventre. Elle a épilé soigneusement son bas ventre. Ses jouissances précédentes embaument la pièce et je plonge dans ses lèvres humides pour me régaler. J’adore son parfum de femme et que dire de son suc dont elle m’abreuve.
Marie n’en peut plus. Je remonte sur elle et la pénètre sans difficultés. Pendant quelques instants elle est inerte, mais très vite se reprend et participe à notre coït. Dans cette ambiance feutrée de la chambre luxueuse, elle se lâche vraiment. N’hésite pas à crier, voire hurler. C’est la première fois que je la vois ainsi. Elle a noué ses jambes dans mon dos me réclamant encore plus fort, encore plus vite, si bien que je ne me retiens plus et la rejoins dans un ultime orgasme.
« Tu es complètement fou ! » lance-t-elle en riant « Tu m’as tuée ! Je vais être claquée pour demain !
Cà je ne crois pas ! Tu vas très vite être en forme ! J’ai adoré tes cris ! Tu étais magnifique en jouissant !
J’ai crié ? Je ne me suis pas rendue compte ! Que vont penser les voisins ?
Ce soir nous n’en avons pas puisque Marie et Jean n’arrivent que demain, mais c’est bien isolé ici. C’était génial ! Tu t’es lâchée comme jamais ! Si tu fais comme ça demain, tu vas être une vedette !
Je n’oserai jamais !
Tu verras, dans l’ambiance, tout est différent ! »
Douche rapide et après une bonne nuit, je me réveille frais et dispo. J’appelle la réception pour qu’ils montent le petit déjeuner. Le room service arrive vite et le garçon a le temps de se rincer l’œil. Marie n’étant pas réveillée et dormant nue, étalée sur le drap. Je lui fais poser le plateau à ses côtés. Il me remercie de l’aubaine et ressort doucement.
Je la réveille alors. Après un petit baiser sur les lèvres, elle réalise que quelqu’un est entré pour porter le petit déjeuner.
« Mais… Tu as fait rentrer ?
Le jeune homme a été très heureux de te regarder de près !
Tu n’as pas fais ça tout de même ?
Bien sûr que si ! Je l’ai même incité à poser le plateau sur le lit pour qu’il te détaille bien et respire un peu ton parfum !
Tu es complètement fou ! Que va-t-il penser ?
Que tu es une très belle femme mûre, vu qu’il doit avoir vingt ou vingt cinq ans ! Il doit être habitué et il y a sûrement quelques clientes qui lui font des propositions !
Je… Je…
C’est ça, ne dis rien et mangeons. »
La matinée se passe en traînant dans la chambre et dans la salle de bains. Nous attendons Marie et Jean qui doivent arriver pour déjeuner. Il est quasiment midi lorsqu’ils entrent dans la chambre voisine. Ayant laissé la porte de séparation ouverte, nous les rejoignons aussitôt dès que le garçon d’étage les laisse. Ce que ne sait pas Marie, c’est que c’est celui qui l’a vue ce matin. Un petit clin d’œil de connivence de ma part le fait sourire.
Les retrouvailles sont chaleureuses. Les femmes parlent chiffons et tenues pour la soirée. Je les rassure en indiquant que je connais une adresse pour ce qui peut leur manquer. Je propose de déjeuner à l’hôtel qui a une bonne table pas trop chère.
Au dessert, Patrice vient saluer nos amis. S’amuse de la similitude de nos prénoms et complimente la femme de Jean, s'assurant qu’il espère bien la retrouver un moment ce soir au club.
« Tu as une touche ! Dis-je quand il est parti. Mon cher Jean, entre ta femme qui plaît au directeur et ma Marie qui plaît à sa femme, je ne sais pas si nous allons profiter de nos moitiés pendant la soirée !
Ah bon ? La femme du directeur est … ? s’amuse-t-il
Elle est plus que ça ! Je suis sûr qu’elle te plaira aussi !
C’est une bombe ! Ajoute Marie.
Que pensez-vous mes amis de profiter d’une petite sieste avant de nous promener et nous préparer pour la soirée ?
D’accord dit Jean mais on échange nos femmes !
Mais chéri, tu ne nous a pas demandé notre avis ! rétorque la sienne.
Je le connais ton avis ! Tu adore te faire bouffer la chatte par ce salaud ! »
Quelques clients autour de nous, qui surprennent notre conversation sont pour certains amusés et pour une femme totalement outrée ! »
Je rappelle mes amis à plus de discrétion et en riant nous quittons le restaurant bras dessus, bras dessous, ayant déjà changé de partenaire.
Le corps voluptueux de la femme de Jean est un régal des yeux. Marie est bronzée et épilée intégralement ce qui ajoute à son charme. Ses fesses callipyges sont une invitation permanente à la levrette et la sodomisation dont elle raffole. C’est aussi une coquine voyeuse, aussi lorsque nous en avons fini avec un premier round, elle me demande de la prendre debout dans l’ouverture de la porte de communication, face au lit où son mari est en train d’enculer Marie qui crie son bonheur. Nous sommes les quatre face à face, observant l’autre couple qui copule joyeusement. Nous finissons tous dans leur grand lit pour une petite sieste réparatrice, bien nécessaire avant la chaude soirée qui nous attend.
Finalement, les femmes ont apporté ce qu’il faut dans leurs bagages et les achats se limitent à des bas auto-fixants et un peu de maquillage.
Le club ouvrira à vingt deux heures, mais nous sommes invités avant pour un lunch, avec quelques amis. Patrice et Jenny, et bien sûr Gilles « Sword »
L’heure approchant, mes amis deviennent tendus. J’ai beau les rassurer, cette première expérience en club les rend nerveux. Les femmes ont peur de ne pas être assez jeunes et Jean de ne pas assurer. Discrètement pour lui, je lui donne une pilule « miracle », même si je suis persuadé qu’il n’en aura pas besoin, cela renforcera ses moyens autant physiques que moraux.
Les dames se sont enfermées dans la salle de bain pour une toilette poussée. La toilette et l’habillement vont durer une bonne heure. ça rigole entre filles. Nous sommes prêts depuis un long moment, lorsqu’elles font leur entrée.
Maquillées et en tenue sexy nos « femmes » sont superbes ! Je leur confirme qu’elles ne dépareront pas à la soirée. Pour éviter tout problème, même si le club est à proximité, la nuit est fraîche, elles enfilent un manteau, ce qui évitera aussi un attentat à la pudeur.
Nous quittons l’hôtel par le parking souterrain et gagnons à pied le « Freedom »
A l’entrée, je suis chaleureusement accueilli par Mouammar le videur qui récupère le vestiaire. Notre entrée dans le club est tout sauf discrète. Martha, tout d’abord, me saute dans les bras et m’embrasse chaudement. Lorsqu’elle en a fini et que je la repose à terre, je lui présente mes amis
- « Décidément tu as toujours bon goût » me dit-elle
- C’est une première pour eux, même s’ils fréquentent les saunas.
- Alors bienvenue ! Amusez-vous bien ! »
Arrivés au bar, Marie, la nouvelle patronne est en plein travail. J’aperçois à un bout du bar « Sword » que je vais saluer. C’est alors que Marie nous rejoint.
« Tu nous présente ?
Oui. Alors, mes amis, je vous présente la patronne du club : Marie et son ami « Sword ». Je vous expliquerez si besoin ! Marie, voici Marie et Marie. »
Tout le monde se marre !
« Tu es abonné à ce prénom !
En fait, Il y a Marie-Françoise, Marie Noëlle et Marie.
Chantal dit la troisième
Quoi Chantal ?
J’ai horreur qu’on m’appelle comme ça mais moi c’est Marie-Chantal !
Décidément trois Marie… quelque chose , mais vous avez autre chose en commun !
Et quoi donc ? Dit la patronne en distribuant le fameux cocktail.
Marie… Pardon … couche toi là !
Salaud ! Crient-elles toutes trois en riant.
Trois Marie mais aussi une Martha ! Déclare alors la naine en se joignant à nous. »
La soirée va être « chaude » Les deux nouvelles seront impressionnées par « Sword » et comprendrons alors le surnom elles seront aussi très intéressées par Martha, lorsque, au cours de la nuit, je la baiserai assise sur un tabouret de bar.
Je n’avais pas prévenu mes amis des « qualités » du cocktail et ce n’est que le lendemain qu’ils comprendront leurs sensations de la nuit.

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