Week-End Dans Un Spa... Et Rencontre Inattendu - Dans La Chambre...

Je suis encore confus de l’ambiguïté de la situation. Je la vois saisir son téléphone, le montrer à son mari. Elle saisit quelque chose, il lui fait signe que oui, puis elle repose le téléphone sur la table. Je sens le mien vibrer dans ma poche. Ils ont un petit sourire complice. L’air de rien je regarde discrètement l’écran du mobile : « Vous avez déjà participé à un trio ? ».
Je ne peux m’empêcher d’afficher un large sourire. Et sans lever le regard de l’écran j’écris rapidement : « Non ». Je relève la tête, je vois mon message s’afficher sur l’écran du téléphone de Lise, et je dis :
- Ok pour un dernier verre dans votre chambre alors...

Nous sommes tous les trois silencieux, hormis des formules d’usage et des indications banales nous échangeons peu. L’hôtel a mis le diner sur nos notes d’hôtel, Arthur m’a indiqué l’étage lorsque nous sommes rentrés dans l’ascenseur.
Je regarde intensément Lise, sa robe noire est si sexy... J’imagine ce que je vais trouver dessous. Je repense à elle l’après-midi, en maillot de bain. J’ai envie de voir son sexe, de le gouter. Je veux voir ses fesses, je veux caresser sa peau, glisser mes doigts dans son intimité chaude. Je veux tirer sur le nœud de sa robe, dans sa nuque, pour révéler ses seins. J’ai envie d’elle, mais je ne suis pas sûr de comment va se passer la soirée.
Nous arrivons devant leur chambre. Arthur ouvre doucement la porte, je laisse passer Lise qui me lance un regard brulant. Puis je la suis à l’intérieur. Arthur rentre et ferme la porte derrière nous.
La chambre est bien rangée, comme s’ils s’attendaient à avoir de la visite. Lise s’excuse immédiatement pour aller à la salle de bain. Arthur me propose de rejoindre le balcon. En traversant le pièce je scrute chaque détail... Le lit est fait, rien n’est posé dessus. Le fauteuil à coté est libre également. Dans un coin un sac est posé, entrouvert. Du sac déborde des sous-vêtements féminins, en dentelle, je crois reconnaître un string.

Cela m’excite encore plus.
Sur une table sont posés des préservatifs, et une bouteille de lubrifiant. Bien en évidence, comme pour afficher leur intention.
J’arrive sur le balcon. Arthur me propose à boire... « Nous avons ramené une bouteille de champagne, si cela te tente... ».
- Avec plaisir.
Il sert trois coupes, m’en donne une, et prend une gorgé de la sienne.
- Lui : Lise vous plait ?
- Moi : Elle est très sexy.
- Lui : Je trouve aussi mais je ne suis pas objectif.
- Et sa robe noire la met vraiment en valeur.
- Content de savoir qu’elle vous attire.
- Vous n’êtes pas jaloux ?
- Jaloux que ma femme soit belle et sexy ? Au contraire, j’adore ça.
- Oui présenté comme ça...
- Je sais qu’elle m’aime, tout ce qui peut se passer ce soir n’y changera rien.
- Vous invitez souvent des hommes dans votre couple ?
- Vous êtes le premier.
- Ah ?
- Mais nous en avons beaucoup discuté.
- Je comprends.
- La seule chose, si elle ou moi disons non, ça veut dire stop.
- Je comprends.
- Sinon laissez-vous aller, elle, elle va se laisser aller.
- Et vous ?
- Je vais me laisser aller aussi.
Sur ces mots il me fait un large sourire, et Lise sort enfin de la salle de bain. Elle n’a rien changé, elle porte toujours sa robe noire et ses escarpins.
Elle nous rejoint dehors. Arthur lui donne sa coupe, elle la prend, en boit une gorgé puis l’embrasse à pleine bouche. Je les regarde faire, envieux.
Lise se retourne alors vers moi, toujours son sourire irrésistible... Elle se rapproche doucement et m’embrasse. Ses lèvres se posent sur les miennes, je n’ose pas lui rendre franchement son baiser au début. Je sens sa langue glisser sur mes lèvres fermées. J’ouvre doucement la bouche et ma langue va rencontrer la sienne. Je sens la chaleur de son corps près du mien, je sens la chaleur de sa langue contre la mienne. Je peux enfin la gouter, mon sexe durcit immédiatement.
Je pose une main dans son dos, l’autre tient toujours la coupe de champagne. Elle passe sa main libre dans mes cheveux. Notre baiser se fait de plus en plus intense, ma main la serre de plus en plus contre moi. Nos langues glissent l’une sur l’autre. Ma main descend sur son cul. Je la presse contre moi, contre ma bite gonflée dans mon boxer. Lorsque je relâche un peu la pression elle se recule un peu, me regarde. Je regarde ses yeux, sa bouche humide, son décolleté et sa poitrine. Elle boit son champagne, doucement mais sans s’arrêter, elle finit sa coupe. Sans même m’en rendre compte je fais de même. Je vois la main d’Arthur se glisser sur son ventre, il est collé derrière elle, il l’embrasse dans le coup. La main glisse sur une cuisse, puis disparaît. Lise se rapproche de nouveau de moi. Elle prend ma coupe vide des mains et la pose ainsi que la sienne sur une table à coté de nous. Puis nous reprenons notre baiser passionné. Mes mains se posent directement sur ses fesses. Le tissu de sa robe glisse sur la peau de son cul, je devine rapidement qu’elle porte un string. Une main descend sur ses cuisses pour caresser le nylon de ses jambes. Elle remonte sous sa jupe. Lise porte des bas, et ma main se retrouve donc sur la peau d’une fesse.
- Elle : Alors, tu ne m’enlève pas ma robe...
- Moi : Je n’ose pas, je savoure le moment.
- Elle : Vas y...
Ma main remonte doucement dans son dos, puis sa nuque, j’att un bout du nœud de sa robe et tire dessus. Je me recule un peu pour laisser descendre la robe qui laisse apparaître ses seins... Ils sont magnifiques !
Arthur att le bas de la robe et le remonte, sûr de lui... « Il faut la retirer par en haut ». Et voilà Lise debout devant moi, en string dentelle noir, bas et talons. Une vision exquise.
Lise me sourit, visiblement satisfaite de l’effet qu’elle me fait. Arthur l’embrasse de nouveau par derrière, ses mains glissent sur son ventre. Il semble éviter intentionnellement de lui caresser les seins, comme pour me laisser les contempler davantage.

Lise se retourne finalement pour l’embrasser, elle met ses bras autour de son cou et s’abandonne à se long baiser. Moi je découvre son cul, uniquement habillé du string. Ses fesses sont rebondies, magnifiques. Arthur place ses mains dessus, pour la tirer contre lui. Ce faisant il lui écarte les fesses comme pour laisser voir le mince tissu longer la raie de son cul, et à peine couvrir son petit trou.
Ma bite presse de plus en plus dans mon boxer, mais je n’ose pas me déshabiller, pas encore.
Sur un ton très pragmatique, Lise demande à Arthur :
- Alors, comment tu nous vois faire ça...
- Lui : Au feeling.
- Moi : Je suis là pour vous faire plaisir...
- Elle : Un peu comme un jouet sexuel.
- Moi : oui voilà.
Lise se retourne nouveau vers moi, j’admire son magnifique corps, ses seins, sa chatte voilée par la dentelle du string, ses jambes habillées de bas, les escarpins à talons... Je bande, cette femme m’excite terriblement, je suis prêt à faire tout ce qu’elle me demande pour avoir une chance de jouir avec elle.
Elle s’approche de moi et m’embrasse de nouveau. Ses mains glissent rapidement sur mon pantalon, qu’elle déboutonne habillement pour le baisser. Elle fait un pas de recul et baisse doucement mon boxer. Mon excitation est nette. Ma bite se dresse devant elle. Avant de s’en préoccuper elle prend le temps de me retirer totalement mon pantalon et mon boxer, et j’en profite pour retirer ma chemise. Je suis nu, et je bande pour elle.
Sa main se pose doucement sur ma bite, cette fois je ne me réveille pas, je ne suis pas en train de rêver, ses doigts se referment autour et elle commence à me branler doucement. Une sensation divine m’envahie. « Ohh oui Lise c’est trop bon ».
Elle se redresse face à moi, toujours en me branlant, son regard dans le mien. Mes mains se posent enfin sur sa poitrine, je sens ses tétons durs sous mes pommes. Je me penche et commence à en sucer un. Sa peau est délicieuse.
Arthur est juste à côté, il me regarde faire, Il est nu lui aussi mais je n’y prête guère attention. Je dévore ces seins, je la laisse me branler, je caresse aussi son cul, je veux toucher à tout, gouter à tout.
Au bout de quelques instants, ou quelques minutes, je me redresse. Je sens que je pourrais jouir rapidement en continuant ainsi, et je préfère me préserver. Je fais un pas en arrière, pour la contempler.
Arthur lui demande de se retourner. Et de s’appuyer sur la barrière du balcon. Je me rends compte qu’on est toujours à l’extérieur mais la douceur de la nuit nous le permet.
« Cambre-toi bien pour qu’on puisse bien voir ton cul ».
Elle s’exécute, et mets son cul en arrière. Ses fesses s’écartent légèrement et on distingue bien le string dans sa raie.
Arthur lui claque une fesse. « Alors Chérie, de quoi as-tu envie ? »
- Qu’on me lèche !
- Lui : Alors demande lui.
- Elle : Lèche-moi !
- Lui : Ce n’est pas très précis...
- Elle : Lèche-moi les fesses, lèche-moi entre les cuisses, lèche-moi la chatte...
- Moi : Oh oui Lise.
Je m’installe derrière elle, à genoux, mes mains remontent de ses pieds à ses fesses, j’adore le contact du nylon. Ma langue se pose sur le haut de sa cuisse, puis l’autre, je lèche une fesse. Je les écarte légèrement et ma langue glisse dans sa raie, sur le tissu du string.
Je me déplace entre ses jambes, je suis littéralement à ses pieds, et je constate qu’Arthur est en train de lui lécher les seins. Sa chatte est juste à ma portée. Je sens déjà sa chaleur. Je lèche le haut de la cuisse, au bord du string. Je la sens frissonner. Elle me regarde, elle attend que j’ose prendre possession de son intimité.
Arthur me regarde également.
Délicatement je descends le string, je découvre se sexe bien épilé. Je le retire totalement et j’admire se trésor. Déjà j’en ai l’eau à la bouche. « Oh oui lèche-moi ». Ma langue glisse entre ses lèvres, d’abord doucement, puis j’y retourne franchement. Je commence à dévorer sa chatte, je lèche sa mouille qui coule entre les lèvres, je mordille se clito gonflé de désir. Elle ne tarde pas à gémir. Elle m’encourage à continuer. Arthur l’embrasse, lui murmure des mots d’amour, et je m’applique à la tâche. J’aspire, je lèche, je morts, je me délecte de ce sexe offert.
Je sens qu’elle a du mal à tenir sur ses jambes. Elle se redresse, embrasse son mari. Fais quelques pas de côté pour me permettre de me relever. Elle m’embrasse à mon tour, ses seins contre ma poitrine. Ma bouche encore chaude de son intimité ne la gêne pas.
Sa main att ma bite, comme pour vérifier que je suis toujours aussi excité. Elle se baisse doucement et se retrouve accroupie devant moi. Elle me branle doucement, puis sa langue commence à caresser mon gland. Arthur semble surexcité. La bouche de Lise enveloppe mon sexe, qui disparaît puis réapparait. Elle aspire mon gland, me suce de plus en plus vite. Arthur est juste à côté de moi... « Et moi ? ».
Lise att sa bite d’une autre main et la goute à son tour. Elle nous branle en même temps, relève la tête pour nous regarder...
- Arthur : Tu es belle ma chérie, et tu suces trop bien.
Elle nous suce comme ça quelques minutes, un coup l’un, un coup l’autre, puis estime qu’elle en a fait assez et se relève.
Elle va s’allonger sur le lit, les jambes écartées. « Aller, viens me faire jouir ».
Je me précipite entre ses cuisses, ma bouche retrouve sa chatte, toute mouillée. Visiblement elle a aimé nous sucer. « Ohh que c’est bon »
- Lui : Tu aimes ça ma belle ?
- Elle : Oui j’adore, c’est trop bon.
- Lui : Mets-toi à 4 pattes.
Sans demander d’explication elle s’exécute, Arthur me fait signe de continuer à lui lécher le clito, et il att le lubrifiant qui était posé sur la table.
Il en prend un peu sur un doigt, et sans se poser de question, le glisse dans le petit trou de Lise. L’effet est immédiat, elle pousse un long gémissement, contracte ses cuisses contre ma tête. « Oh oui ça vient, oh oui oh oui » « Plus fort ma chérie, on ne t’entend pas bien » « Oh que c’est bon », elle commence un crie qu’elle étouffe dans la couette du lit, puis se relâche doucement.
Je me relève et l’observe. Son cul brillant face à nous, sa chatte offerte qui n’attend, selon moi, qu’à accueillir un sexe long et dur.
Arthur a la même idée. Il att un préservatif et me le donne. Je l’enfile rapidement, et me met à genoux derrière Lise.
Elle tourne la tête et se voit dans le miroir de la penderie. Elle observe cet inconnu qui s’apprête à la pénétrer. Elle regarde cette bite gonflée de désir pour elle qui se présente devant son sexe. Un dernier coup d’œil à Arthur qui ne rate aucun détail de la scène. Tout est figé, en attente que je pénètre doucement cette femme offerte à moi.
Mon gland glisse entre ses lèvres. Il disparaît peu à peu en elle. Elle gémie de plaisir alors que je m’enfonce totalement. Avec des mouvements de bassins elle encourage mes vas et viens. Elle semble se régaler de ce sexe inconnu qui lui fait découvrir un plaisir nouveau, différent. Arthur fait le tour de la scène, il admire sa femme s’offrir à moi. Il présente sa bite devant sa bouche pour qu’elle le suce, mais après l’avoir prise en bouche une première fois elle préfère se concentrer sur mes coups de reins.
Pour moi le plaisir est immense, je sais que je ne tiendrais pas longtemps comme ça.
- Moi : Je vais bientôt jouir.
- Elle : Fais ce que tu peux, moi je prends mon pied.
- Lui : Tu veux jouir comme ça, ou tu préfères autrement ?
- Moi : Sur ses seins ?
- Lui : Lise, mets-toi sur le dos.
Je me retire de son sexe, non sans apprécier la vue de ma bite glisser en elle et ressortir. Elle s’allonge sur le dos et me regarde enlever le préservatif.
Arthur, sans rien dire, est venu entre ses cuisses pour la prendre à son tour. Il la pénètre d’un coup, et, lui tenant bien les jambes écartées, semble exulter de plaisir. Je me suis rapprocher de Lise pour me branler sur ses seins. Elle me regarde faire et prend elle-même mon sexe en main.
Elle me branle au rythme des coups qu’Arthur donne contre ses cuisses. Mon plaisir monte vite devant cette scène inédite pour moi, comme pour eux.
Quelques instant plus tard, mon sperme gicle entre ses seins. Arthur gémie de plaisir et arrête ses coups. Lise nous regarde, satisfaite d’avoir fait jouir deux hommes cette nuit. Elle me branle encore un peu puis se relâche, ses seins couverts du fruit de mon plaisir.
Elle a l’air sereine, comblée.
Arthur se retire et regarde sa poitrine couverte de mon sperme. Il me remercie sincèrement pour cette soirée et m’invite à les laisser seul.
Au moment de franchir la porte j’entends Lise me dire quelques mots :
« J’ai adoré notre rencontre, on se reverra surement demain ».
Je referme la porte derrière moi.

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