Collection Zone Rouge. Poupette. Fin De La Saison Iii (30/30)

Je suis montée coucher le sénateur qui demain va me rendre encore plus riche que je ne le suis déjà depuis que j’ai osé faire tomber Bob de sa terrasse.
Suis-je folle, l’héritage de Bob et maman est assez substantiel pour qu’Abby et moi passions le restant de notre vie les doigts de pieds en éventail sur une plage paradisiaque ?
Sans oublier un boy noir et une jolie pute blanche nous ventilant entre deux moments de plaisir qu’ils vont nous apporter.
Depuis que j’ai fait passer de vie à trépas mon beau-père et que je me suis aperçu de mon pouvoir de persuasion sur le sénateur grâce à une simple baise, j’ai appris à l’aimer.
L’aimer pas le sénateur, le pouvoir bien sûr, même si j’arrive à faire croire à mon amour pour ce déchet autour de moi.

Pépère est en pyjama faisant ses comptes et me propose de prosti Abby ma petite femme chérie.
Abby qui vient de me montrer sa bonne volonté en suçant puis avalant le sperme de Trevor ancien flic que je viens d’engager comme garde du corps.
Pour me venger je propose à Miguel de prosti Nadia la propre femme de son neveu Steve.
Comme un vieux vicieux, qu’il est, ça semble l’intéresser.

- Ces plans sont judicieux mais demain exceptionnellement Fred vient m’aider à me préparer de bonne heure, je vais ranger mes registres.

Miguel se lève et semble avoir un malaise, il s’appuie sur son bureau pour éviter de tomber.

- Laisse, je vais les remettre dans notre coffre, va t’allonger.
- Non, ça va c’est passé, tu me donneras mes cachets pour la tête avec mes autres médicaments.

Je les avais presque en mains ces maudits registres, mais à quoi me serviraient-ils avant mon mariage aussi je le laisse les remettre à leur place.

- Bonne nuit Miguel, je redescends chez Abby pour lui dire que nous allons en faire une pute.
- Arrête de dire des conneries, je t’ai dit que tu t’occuperas d’elle après notre mariage.


Tu en as besoin demain puisque c’est elle que tu as choisie comme témoin, évite les impaires avant, va, laisse-moi dormir.

Il se retourne et je coupe la lumière.
Le sénateur vient de me donner une nouvelle idée.

- Abby ou es-tu mon cœur, devine la nouvelle trouvaille du sénateur.
- Si tu parles du sénateur ça doit avoir à faire avec son organisation d’habitude tu dis mon cœur ou mon futur ou encore pépère.
- Oui, dès que la cérémonie aura eu lieu il souhaite que je t’amène à te prosti car il manque de filles à ce qu’il m’a dit.
- Et tu vas le faire.
- Tu le verras bien.
- La fellation avec Trevor c’était la première étape et c’est pour éviter que je ne sois amoureuse que ce soir tu veux me prouver que c’est un simple tombeur.
- Arrête de fantasmer, si tu veux baiser pour du fric avec un mec on le fera, j’ai assez d’expérience pour lever deux clientes potentielles.
Ignorer qui va te baiser un instant après par moments ça m’existait.
En attendant as-tu eu les clefs de la voiture.
- Elles sont là, c’est Cristopher qui les a apportés, si j’avais su j’en aurais fait mon premier homme pour 1 000 $.
- 1 000 $, tu surestimes ton cul, une passe nous rapporte en moyenne 500 $, je le sais bien, j’ai très souvent mis l’argent dans mon sac avant de les remettre à Bob.

Sur cette boutade nous descendons.
Pour une voiture discrète, la mini est discrète,
Sur son capot avant et sur ses deux portières d’énormes chiffres du numéro de course de la Cooper bien rouge sur blanc sont inscrits « 5 ».
Si ce que m’a dit Tex sans savoir qu’il m’apporte un renseignement important pour une nouvelle fois gagner mon pari, Abby prend le volant.
Trop tard pour en changer, nous verrons bien la suite.
Nous roulons et nous garons non loin de la maison de Trevor.
Nous voyons la Mustang, elle est restée décapotée, tient, bon point pour moi, il aime tellement sa voiture que risquer de la voir remplie d’eau en cas d’orage, c’est anormal.

21 heures, 21 h 30, il y a de la lumière dans la maison.
Celles du rez-de-chaussée s’éteignent, celles de l’étage s’allument.
Elles s’éteignent et de nouveau le bas s’illumine.
22 heures, la lumière au-dessus de la porte se met à briller.
Trevor sort en boxer et va jusqu’à sa voiture.
Il serait bizarre qu’il sorte en slip ce qui est le cas quand après avoir fermé la capote sort et retourne à l’intérieur.
21 heures 55 les lumières s’éteignent.
22 heures 10.

- On rentre, je viens de gagner 1 million de dollars.
- Attendons jusqu’à 22 heures 30 et je reconnaîtrais ma défaite.

J’ignore pourquoi, mais mon flair de chien de chasse refuse qu’il ait perdu.
Les minutes sont longues et je suis de plus en plus persuadée que je viens de perdre mon pari.

- Cette attente et cette défaite m’ont donné soif, amène-toi je connais un bar sympa.

Bob m’y a emmené un jour avec maman de toute urgence, ils étaient paniqués.
Je pense qu’ils étaient en manque et sont venus se ravitailler car j’ai vu mon beau-père suivre un homme dans les toilettes.
Maman avait les yeux qui brillaient, elle était pressée de rentrer.
Après avoir bu un verre nous sommes retournées chez nous.

- Que bois-tu ?
- Pour fêter ma nouvelle richesse, je t’offre une coupe de champagne.

Il est 23 heures 10 quand je vois s’asseoir au bar alors que nous sommes assises sur des canapés Trevor tenant par la taille une magnifique blonde.
Abby le voit, je la retiens pour éviter qu’elle ne fasse un scandale ou aille leur arracher les yeux.
Il commande des whiskys et leur verre fini après plusieurs baisers bien profonds, sorte de la salle sans nous avoir vus.
Tout au long du moment où ils sont dans le bar, je prends mon portable et fais des clichés.
Nous nous levons payons et les suivons, Abby voit la voiture rouge la capote ouverte partir.
Nous les suivons.


- Ma chérie, je suis de nouveau propriétaire d’un million de dollars et tu viens de récupérer un gage.
- Je vais le comme ton sénateur qui veut que je baise avec des pourris de mâles imbus de leurs sexes.
- Abby, je suis là avec toi, je te rappelle que ce qui est à moi est à toi et que j’ai besoin de ce mâle comme tu dis pour nous protéger, laisse-moi gérer.
Regarde ce salopard, pourquoi continu-il, il est passé devant sa maison.
Abby, j’ai une vague idée où il va, j’ai déjà fait ce chemin.
Le salop il va la baiser chez nous, quelle conne il sait où sont les clefs, laisse rentrons.
Je viens de faire une dernière photo au moment où ils rentraient, par chance, il a allumé la mauvaise lumière, celle au-dessus de la porte, je les voyais très bien.

Nous retournons chez Abby et vers 8 heures après de nombreux bisous sans aller plus loin, je me réveille au son de mon portable.

« Il est l’heure, bouge ton cul. »

Je l’arrête avant qu’il réitère son ordre, il faut que je pense à changer ce disque débile chargé un jour où j’avais moi aussi bu quelques whiskys.
Il me faut réveiller Abby qui dort d’un sommeil de plomb.

- Réveille-toi, ma biche, c’est le grand jour où nous allons gagner le gros lot.
Bouge ton cul comme le dit mon réveil, la coiffeuse nous attend.
- Laisse-moi dormir, je rêvais que je me faisais mon premier client.

En même temps qu’elle dit ces mots elle se lève comme si un serpent l’avait mordu.

- Es-tu sûr que j’ai simplement rêvée ?
- Comment dois-je te le dire, arrête tu m’énerves et si tu continues je téléphone à un de mes meilleurs clients dont j’ai le numéro et tu pourras passer du rêve à la réalité.
- Merde, le salopard, il en a sauté une autre, je suis maudite quand je te dis que les hommes et moi ça fait deux.
- Au contraire avec les photos tu le tiens, tu baises avec pour le fun et le reste du temps chacun chez soi.


Je serais bien soucieux d’appeler quiconque, premièrement parce que Bob me faisait travailler dans le Nevada et qu’il s’occupait de me fournir mes clients.
Mais cela marche, Abby va dans la salle de bain en ressort beauté à faire bander mon clito et s’habille en un tour de main.
Il est l’heure quand nous entrons chez la coiffeuse d’où nous ressortons après être passée dans la partie soin de beauté.
J’assiste à sa transformation de sa chatte que l’esthéticienne rase à mon goût, au massage relaxant.
Elle a bien besoin après l’angoisse que je lui ai créée en lui faisant savoir que le sénateur voulait la prosti, sans compter ce mâle qui est du genre à faire passer sa queue avant l’amour d’une femme.
Coiffure bouffante avec une frange rebelle suivant la photo que la coiffeuse m’a montrée.

- Tu es sûr que je dois me coiffer avec cette tête-là !
Madame qu’en pensez-vous cela fait un peu pute !
- Il y a de jolie prostituée, j’en ai plusieurs dans ma clientèle, si c’était le cas vous seriez la plus belle de toute.

Je rigole intérieurement car j’adore taquiner Abby et il est vrai qu’au moment où j’ai vu la photo de cette fille qui la présentait le mot de pute m’est venu à l’esprit mais j’étais sur du résultat surtout avec le maquillage ou sa bouche d’un rouge vif appelle à la mordre.
J’ai hâte de là voire dans sa robe fendue blanche surtout avec la tache de sang, c’est moi qui ai choisi ce rouge et je m’aperçois que c’est exactement « rouge sang » que cette jolie femme a choisi.
Pour la rassurer, un peu mais sans trop, quand on me maquille je choisis le même rouge.

De retour à l’appartement j’entends du bruit dans la cage d’escalier nous regardons par la fenêtre et nous voyons mon fiancé monter dans sa limousine en sortant d’un fauteuil roulant.
J’ai fini de me préparer, il est l’heure de rejoindre celui qui va me permettre de faire de grandes choses et faire exploser mon compte en banque.

Voilà, fin de la saison III dans quelques jours, Chris71 vous proposera la suite de mes aventures, le temps de les mettre noir sur blanc et qu’elles traversent l’Amérique et l’atlantique.
Elles seront certainement plus courtes, bien que chaque fois que Chris71 écrit de nouvelles portes s’ouvrent devant lui…

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