Max (6): Rencontre Avec Candauliste Et Dominateur, La Suite


Cet été, j’ai trois semaines de liberté parisienne et je décide d’en profiter à fond. C’est grâce à une annonce que j’ai passé sur internet que je rencontre Marc et Anne, un couple sexagénaire. Ils sont tous les deux bi et ont beaucoup de plaisirs communs avec moi. Nous nous rencontrons dans un supermarché, pas très loin de chez moi, pour être sûrs que nous nous plaisons physiquement. Une fois tous d’accord nous sortons pour discuter du plan.

Alors qu’ils vont déjeuner, je rentre chez moi pour me préparer. Une fois que je reçois leur texto, je les attends à genoux et bouche ouverte dans mon pavillon. Comme Anne me l’a demandé, je porte une robe noire avec un string et des bas assortis. C’est elle qui s’occupe de moi en premier, j’en viens même à oublier la présence de son mari. Une fois que je suis à 4 pattes à me faire malaxer les fesses par madame, il rentre dans la danse en m’offrant son costume 3 pièces à lécher.

Je prends beaucoup de plaisir à m’occuper de sa queue bien droite et ornée d’un magnifique gland et d’un méat bien plus ouvert que la normal. J’adore aussi cajoler ses couilles, totalement rasées et qui pendes comme j’aime. Pendant ce temps Anne prépare ma belle chatte pour la queue de son mari.

Pendant qu’il me sodomise de plus en plus sauvagement, je m’occupe du sexe de sa femme. J’arrive à la faire jouir, au moins, à deux reprises. Marc s’en donne à cœur joie dans mes entrailles surtout quand sa femme utilise son chouchou pour me faire un cockring. Il me ramone jusqu’à se faire jouir, grâce au préservatif ultra fin qu’il porte je sens bien ses veines palpiter contre ma paroi interne. Je ressens aussi très bien chacune de ses giclées même si je ne profite pas de son sperme qui tapisse mes entrailles.

Dès qu’il décule, il remplace sa queue par ses doigts et ouvre en grand ma chatte très accueillante. Je suis extrêmement dilaté, Anne a aucun mal à me fister. Sa main me fait tellement de bien que j’arrive rapidement au point de non-retour, surtout que son mari me masturbe énergiquement.

Comme lui aussi veut me fister je leur conseil d’échanger avant qu’il soit trop tard.

Pendant que sa main me pénètre, ma bite se tend au maximum. Dès qu’il est entièrement en moi je lâche une première giclée qui arrose totalement l’extérieur du canapé. Avec le deuxième jet mon sphincter se referme, sa main et mon cul ont du mal à se désolidariser. Une fois mes entrailles enfin libérées, j’ai besoin de reprendre des forces alors je vais nous préparer une grosse salade et d’autres chose à grignoter.

Comme mon jardin est entouré de murs hauts, nous sortons manger dans le plus simple appareil. Ce qui nous permet de profiter de la vue des corps des autres mais aussi, assez régulièrement, avoir les mains baladeuses. C’est surtout le couple qui me tripote aussi bien les tétons, que la tige, les couilles et mon cul. Mais je profite aussi du corps d’Anne et Marc.

La pause est beaucoup moins longue que prévu car madame se remet à mouiller alors que nos queues se remettent à gonfler. Alors qu’elle branle son mari pendant que je pince ses tétons, son regard et attiré par un abri de jardin dont les portes sont ouvertes. Elle se lève et nos mains n’ont pas d’autres choix que de quitter son corps. Elle rentre dans l’abri et commence à tourner autour des cordes qui retenaient l’ancienne balançoire.

Anne att la plus longue des deux cordes dans ses mains et s’y pend en tendant bien son corps. Ses formes ressortent encore plus et elle me semble d’autant plus belle. Marc et moi rentrons dans l’abri pour la rejoindre mais surtout encore mieux l’admirer. Alors que nous tournons autour d'elle, son mari repère des branches de saules très sèches. Il en ramasse une et donne un petit coup sur les fesses de sa femme, ce qui lui laisse immédiatement un trait rose sur un de ses globes.

Anne reprend une meilleure prise sur la corde, pend son corps et un nouveau coup, plus violent, fouette l’air puis son cul. Elle en pousse un petit cri de plaisir et demande des coups plus forts.
Je ramasse, moi aussi, une branche et aide son mari à marbrer ses fesses et lui donner du plaisir. J’ai l’impression que plus son cul rougit plus nos queues se dressent.

Son corps se met à perler de transpiration et son odeur envahit de plus en plus la pièce. Ses deux globes sont de plus en plus écarlates et ses cris nous excitent à chaque fois un peu plus. La bite de Marc, comme la mienne, est bien raide et bien dure. Au bout de quelques minutes, Anne se laisse tomber à terre.

Elle prend quelques instants pour se remettre de ce plaisir intense et nous fait signe d’approcher. Elle empoigne nos sexes et pendant qu’elle me caresse délicatement, sa bouche laisse les premiers honneurs à son mari. Quand ses lèvres se posent enfin sur mon gland, elle l’aspire tout de suite. Sa bouche vient titiller mon méat puis s’occupe de mon gland. Je ne peux m’empêcher de pincer mes tétons pour encore plus profiter du bonheur que je reçois.

Après avoir aussi cajolé mon frein, sa bouche retourne sur la queue son mari qu’elle avale presque entièrement. Pendant qu’une de ses mains coulisse le long de ma tige, l’autre s’occupe de mes couilles, l’une après l’autre. Elle les malaxe, les pince et même les écrase dans la paume de sa main. Ensuite elle les prend les deux ensemble et les compresse l’une contre l’autre. Je pousse des petits cris qui l’encouragent à y aller encore plus fort.

Quand elle relâche sa prise, sa langue se pose sur mes bourses. Elle en fait le tour, les avale l’une après l’autre puis remonte doucement en faisant tout le tour de ma queue. Mes mains reprennent leur travail sur ma poitrine surtout quand elle me fait glisser de plus entre ses lèvres. Marc qui remarque que je m’occupe de moi-même, remplace mes mains par les siennes. Après avoir titillé mes tétines dans tous les sens, ce sont ses ongles qui les pincent pendant que je rentre dans la gorge de madame.

Mon sexe est de plus en plus tendu, j’en ai presque mal.
Je sens que mes couilles gonflent mais je n’ai pas envie de finir ainsi, surtout que mes entrailles réclament de l’action. Je ressors de la bouche de madame pour me mettre à genoux et m’occuper du membre de monsieur. Anne nous quitte un instant et revient avec une badine dans la main.

Alors que la bite de Marc coulisse à toute vitesse entre mes lèvres pendant que mes mains malaxent ses couilles, elle se rapproche de nous. Je n’ai même pas le temps de me demander où est ce qu’elle est allée la chercher que je reçois un premier coup. Elle veut prendre sa revanche parce que son premier coup est bien plus violent que ce que je lui ai assené au début avec la branche de saule.

Pour encore plus profiter, je me mets à 4 pattes. Ainsi je peux continuer à lécher les couilles, la tige, le frein, le gros gland et le large méat de Marc alors que mon cul, bien cambré, nargue la badine d’Anne. Le morceau de bois s’abat encore sur mes fesses, malgré ma bouche pleine je pousse un petit cri. J’accentue encore plus loin le vise en écartant bien mes jambes. Elle en profite pour aussi viser l’intérieur de mes cuisses mais oublie pas mes couilles et ma tige bien raide.

Alors que je continue à m’en donner à cœur joie sur le costume 3 pièces de son homme, elle s’agenouille derrière moi. Ses mains se glissent au niveau de mon entre-jambe et empoigne ma bite et mes couilles en même temps. Elle les compresse bien, tous ensemble, puis se met à tirer vers le bas. La douleur fut tellement fulgurante que je suis obligé de recracher Marc pour manifester ce mélange de souffrance, humiliation et plaisir intense.

Pendant que sa femme tire de plus en plus fort, j’ai l’impression qu’elle risque de tout m’arracher, monsieur att mon visage pour me baiser furieusement la bouche. Je suis aux anges d’être utilisé de cette façon par ce couple. Je ne suis pas le seul à prendre du plaisir car je sens la bite de Marc tressauter dans ma bouche. J’agite encore plus ma langue et rapidement ses veines palpitent, ma bouche se remplit de son jus.
J’avale le tout dans un hoquet de douleur ce qui rend mon humiliation encore plus profonde.

Alors que je nettoie la bite de Marc, Anne continue de tirer sur mon costume 3 pièces pendant que son autre main titille mon frein et mon gland avec le liquide qui coule de mon méat. L’élongation de ma tige et la situation m’aurait suffi pour jouir, mais là je gicle au bout de seulement quelques secondes. Mon champignon baigne dans mon jus qu’Anne récupère dans sa main en coupelle sous moi.

Elle me trait encore un peu pour être sûre de récupérer les dernières gouttes. Elle relâche la pression au niveau de mon entrejambe et vient mettre sa main devant mon visage en me disant sur un ton autoritaire:
« Lèche! »
Trop excité par la situation, je ne réfléchis pas une seconde et tire la langue pendant qu’elle me traître de petite pute et de cochonne. Je lape le tout et c’est comme ça que je goûte pour la première fois à mon sperme.

Nous avons, les deux hommes, joui mais Anne en demande encore car elle n’a pas eu le droit à un nouvel orgasme. Comme nous ne rechargeons pas aussi vite qu’à nos 20 ans nous allons la satisfaire avec un bon cunni. Alors que son mari s’installe entre ses jambes pour commencer à la lécher, je m’occuper de sa poitrine. Je la caresse, la malaxe puis me concentre sur ses tétons que je pince, tire, aspire, titille avec ma langue… et même mordille.

Anne crie de plus en plus fort, ses mains se baladent sur nos deux corps. Elles nous caressent, malaxent, frottent et même tapent. Alors que Marc la fait atteindre le septième ciel uniquement avec sa bouche, elle att mon visage et me dit:
« Toi, ce sera avec les doigts. »
Elle me roule une pelle bien baveuse pendant que son mari se dégage.

Quand elle relâche ma tête, je vais m’installer entre ses cuisses. Alors que ma langue passe sur sa vulve, je masse son clito entre mon majeur et mon pouce. Elle dégouline directement entre mes lèvres en poussant des gémissements de plus en plus puissants. Quand je lève la tête, pour remplacer ma langue dans sa chatte par mes doigts, je vois son mari s’occuper de ses seins et embrasser son cou.

Je plonge deux doigts en elle et tâte sa paroi interne, J’ai l’impression qu’elle est faite d’encore plus d’aspérités que tout à l’heure. Rapidement elle me demande d’y mettre plus de doigts. J’introduis mon index pour qu’ils soient 3 en elle, je les fais tournoyer dans son con alors que ma bouche cajole son petit bouton. Mon auriculaire n’a pas de mal à les rejoindre, sa mouille m’aide à bien les faire coulisser.

Quand mon pouce vient rejoindre ses amis, je mets mes doigts en poire et martèle de plus en plus vigoureusement sa moule trempée. Je la ramone mais j’hésite à faire plus rentrer ma main. Bien qu’Anne couine comme une cochonne, elle me gueule dessus:
« Appuie! »

Au début ses lèvres intimes ne se dilatent pas assez pour que je puisse la fister. Je fais tourner ma main pour bien la lubrifier avec sa cyprine mais aussi encore plus ouvrir son sexe. Sa grotte se dilate de plus en plus du coup je n’ai même pas besoin de forcer, mes doigts sont aspirer dans son antre. Pour la laisser reprendre sa respiration, j’immobilise ma main et ne bouge que le bout des doigts.

Plus je m’agite en elle plus son corps se cabre. Je sens ses parois internes réagir à mon massage et commencer à s’agiter. Elle coule de plus en plus et une petite flaque se forme sous ses fesses. Mes doigts s’affolent en elle alors qu’elle gueule de plus belle. Elle s’agite dans tous les sens et me demande de ressortir. Je fais encore un peu tourner ma main en elle et la retire d’un coup sec.

Anne pousse un énorme hurlement suivi de courts cris pas beaucoup moins forts. Sa chatte est grande ouverte et se referme doucement alors que ses lèvres intimes se contractent et se décontractent. Un filet de nectar transparent coule en permanence de son mont de Vénus. J’admire se spectacle qui refait durcir ma bite.

Marc me fait me décaler, j’avais presque oublié sa présence. Il caresse sa tige qui a repris toute sa forme. Il la pénètre vigoureusement et la ramone comme un fou. Malgré tous les efforts de son homme j’ai l’impression que cette pénétration ne lui fait pas grand-chose. Par contre monsieur réagit bien car en à peine quelques minutes, d’allers retours très sauvages, il remplit le con de sa femme de sperme. Au même moment j’éjacule sur sa poitrine.

Nous sommes tous bien repus par ce long moment de jouissance. Après avoir repris nos esprits, nous décidons d’en rester là pour aujourd’hui mais nous convenons de nous revoir pendant le week end prochain pour que les festivités continuent. Croyez-moi ça en valait le coup mais ça je vous le raconterai plus tard…

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