Balade En Poney-Slave

Les clochettes tintaient, la jeune pouliche tirait sa charrette dans l'obscurité totale au grand trot. Ce n'était que le crépuscule, pas encore l'obscurité totale, mais la jeune elfe poney-slave était totalement aveuglée par le masque qui recouvrait le haut de son visage. Ce masque faisait parti du savant assemblage de brides entrelacées qui permettait à son Maître de la diriger, à l'aide du mors qui blessait sa bouche. L'homme qui la conduisait était vigilant face aux obstacles susceptibles de l'égratigner.
Elle était déjà venue à plusieurs reprises dans cette partie de la propriété, mais elle n'en avait pas conscience.
Elle était harnachée depuis quelques heures maintenant et son esprit était obsédé par une sorte de transe extatique, la soumission à son Maître. Elle n'était consciente que des rênes qui blessaient son corps et qui servaient à la contrôler.
Elle n'avait même pas conscience ni temps qui s'écoulait, ni de sa fatigue.
Elle était incapable d'enregistrer correctement les évènements extérieurs à sa situation d'esclave harnachée comme une jument.
Elle était complètement équipée. Le masque qui l'aveuglait la rendait totalement dépendante des rênes grâce au mors et aux sangles.
Le mors était en métal brillant, enveloppé de cuir seulement où il était mordu par l'esclave.
Les sangles autour de sa tête la maintenaient fermement en place, la forçant à se soumettre.
Une courte bride plate en cuir reposait sur la langue. Le goujon qui perçait sa langue passait dans un trou de la bride.
L'assemblage sécurisé rendait sa langue immobile.
À cause de cet appareillage dans sa bouche, la jeune elfe poney-slave ne pouvait pas s'empêcher de baver sur ses seins généreux.
Un effort intense pouvait même faire mousser la salive de l’elfe, une humiliation à laquelle les poney-slaves humaines n'étaient pas sensibles.
Il y avait deux jeux de rênes contrôlant la jeune pouliche.


Les deux premiers rênes étaient fixés aux anneaux de chaque côté du mors, et servait à diriger la pouliche.
Les autres étaient fixés aux anneaux qui perçaient ses mamelons.
Cet équipement supplémentaire améliorait le contrôle de l'allure et occasionnait une excitation sexuelle pour la femelle.
À cause des efforts qu'il lui faisait subir ce jour-là, son Maître l'avait dispensé de porter le corset, vêtement d'usage courant pour ces femelles enchaînées, mais inapproprié pour tracter la charrette pendant plusieurs heures.
Le harnais fixé sur le torse permettait un excellent travail, et soulignait en plus sa magnifique et pulpeuse poitrine transpercé.
D'ailleurs, en l’arnachant, il s'était amusé un moment avec ses globes charnus, les soupesant, les palpant avant de les gifler cruellement à plusieurs reprises.
Le harnais permettait aussi de sécuriser les bras dans son dos. La légèreté physique des elfes, ajoutée aux exercices d'étirement pratiqués pendant des mois, lui permettait de la contraindre les bras croisés dans le dos, les avants-bras étroitement ligotés des poignets aux coudes. Aucune femme humaine ne pouvait souffrir un tel traitement plusieurs heures par jour, ni courir à toute allure les yeux bandés en faisant une confiance totale au Maître qui la possède.
Mais pour la jeune elfe, l'exercice n'était même pas inconfortable.
Le ventre de la pouliche était nu, à l'exception d'un anneau dans son nombril et de la chaîne légère qui le traversait en entourant sa taille. Au-dessous de la chaîne, une large ceinture de cuir bouclait ses hanches, laissant ses fesses et son pubis exposés.
Sur les côtés étaient attachés les deux bras du léger sulky à deux roues que tractait la jeune poney-slave.
À ses pieds, des bottines à talons qui s'arrêtaient à mi-mollet, suffisamment ajustées pour soutenir la cheville, lui permettaient une course rapide, ce qui était impossible aux jeunes femmes humaines.
Les bottes d'apparat portées habituellement avec le corset étaient à talons aiguilles et montaient à mi-cuisse, mais elles ne convenaient pas pour la course rapide.

Les bijoux de l'elfe ont été conçus pour l'embellir et attiser son appétit sexuel.
Ses lobes d'oreille étaient percés de trois trous, chacun paré de petits clous d'argent ornés de brillants.
À cause des rênes, le conducteur de l'attelage ne souhaitait pas qu'elle utilise ses boucles d'oreilles pendantes, symbole de son clan.
Par contre, une boucle plus volumineuse ornait le septum nasal de l'elfe.
Les mamelons de l'elfe pointaient à l'avant de son torse et les tétons percés étaient ornés de gros anneaux.
Il n'y avait pas que les rênes fixés à ces anneaux démoniaques.
Chacun supportait un balancier orné de clochettes qui tintaient joyeusement pendant qu'elle courait.
Une chaîne légère reliait les deux anneaux. Les répercussions du balancement de la chaîne et des clochettes pendant qu'elle trottait envoyait des sensations depuis les tétons de la fille esclave jusque dans sa chatte, et à travers tout son corps.
Aux grandes lèvres de sa chatte pendaient deux paires d'anneaux, reliés entre eux par des chaînettes légères.
Pendant qu'elle courait, les chaînettes qui pendaient jusqu'à mi-cuisse s'agitaient fortement.
De plus, un gros anneau était fixé au piercing ornant son clitoris.
La conjugaison de tous ces artifices suspendus aux zones érogènes de la jeune elfe poney-slave la maintenaient dans un état d'excitation permanente. Insuffisant pour la faire jouir, mais elle était constamment disponible pour le désir de son Maître.
Jouer à la femelle asservie était l'activité préférée de la jeune elfe. La discipline et le harnachement suffisaient à l'exciter.
Les accessoires que son Maître ajoutait, au gré de ses humeurs, ne faisaient qu'agrémenter l'expérience.
En plus des clochettes attachées à ses mamelons et celles entourant sa taille, elle en avait aussi aux chevilles.
Ses longs cheveux noirs étaient attaché en queue de cheval qui descendait jusqu'à la taille.
L’ensemble était complété par une autre queue de cheval, plus courte mais tout aussi noire que celle de l’elfe, fixée à un gode bien ancré dans son rectum.
Une sangle remontait la queue de cheval du gode à l'arrière de son masque.
Cette sangle remplissait la double fonction de maintenir la queue de cheval en place et de limiter les mouvements de tête.
Le bibelot dans son anus avait été inséré à sec. Son Maître aimait tout particulièrement la faire souffrir inutilement.
Son jeu préféré, c'était de l'exciter, de la maintenir dans un état d'excitation sexuelle avancé, et de lui interdire de jouir.
La jeune esclave devait trouver en elle-mêle les ressources morales pour s'empêcher d'exulter.
Il ne se gênait pas pour l'utiliser sexuellement, mais elle n'avait plus eu droit à un orgasme depuis plus d'un mois!
Cette excitation sexuelle et ce tourment rendaient la jeune esclave extrêmement soumise, ruisselante de mouille sous le harnais, et son Maître appréciait l'idée qu'il pourrait la garder comme ça éternellement.
Cependant, bien qu’il adorait conduire cette magnifique poney-slave, il avait d’autres projets ce jour-là.
Avoir cette elfe en contrôle, la dominer, c'était très excitant pour lui, surtout en pensant au supplices sexuels qu'il lui infligeait.
Il tenait les rênes depuis plus de deux heures maintenant, la guidant le long des sentiers au plus près des obstacles.
D'un geste sec sur les rênes, il lui fit contourner un obstacle. Une souche d'arbre qui allait la faire tomber et la blesser.
Elle obéissait instantanément à la commande, ignorant même qu'un obstacle était là.
Son dressage parfait, ses entraînements quotidiens et son excellente forme faisaient d'elle une pouliche de concours.
Cette obéissance instinctive ne pouvait exister qu'au prix d'une confiance absolue envers le conducteur.
C'est la raison pour laquelle il avait dû attendre plusieurs années avant de la conduire avec les yeux bandés.
Il se souvenait de son impatience, de l'intransigeance de son père qui refusait de lui prêter sa plus belle femelle.
Mais maintenant, il comprenait pourquoi il l'avait fait attendre, et il savourait son bonheur de maîtriser cette esclave.

Cela ne faisait guère plus d'un an qu'il était autorisé à diriger l'elfe, ou toute autre poney-slave de l'écurie familiale.
Le conducteur et la pouliche s'étaient si bien habitués l'un à l'autre, qu'il délaissait les autres pouliches de l'écurie.
Son regard s'attardait sur la croupe saillante qui s'agitait sous ses yeux, et son esprit vagabondait vers quelque chose de spécial.
Le conducteur n'était majeur que depuis une semaine, et la détresse sexuelle de l'elfe enflammait son imagination.
Il tira sur les rênes pour arrêter la pouliche. Il détacha l'elfe du sulky, mais sans la libérer de ses entraves.
Il la fit tourner lentement autour du chariot en la tenant par son licol, le temps qu'elle reprenne son souffle.
Puis il la fit s'agenouiller devant lui, cuisses écartées. Brièvement, il regretta qu'elle soit si bien harnachée, il aurait pu se faire sucer.
Puis il l'allongea sur le dos et elle resta dans la même position, les jambes repliées et écartées.
Sa chatte frissonna d'émotion lorsqu'elle réalisa ce qui allait lui arriver.
Elle entendit le froissement de ses vêtements qu'il quittait, puis il s'allongea sur elle.
Il la toucha entre les jambes pour écarter ses plis, et elle comprit instantanément que ce n'était pas un doigt qui se présentait à l'entrée de son puits d'amour. Bien qu'elle soit déjà trempée d'excitation, elle aurait aimé qu'il consacre un instant à la câliner.
Rapidement, d'une seule poussée, il pénétra cette vulve déjà trempée.
Le fourreau s'ouvrit pour l'accepter puis se resserra sur lui avec plaisir. Il commença à baiser son esclave gémissante sous lui.
L'elfe balançait son bassin, synchronisant ses mouvements avec ceux du Maître, elle sentant le plaisir gronder dans ses reins.
Elle espérait avoir le temps, elle escomptait qu'il durerait assez longtemps. Elle fut déçue.
Dans un dernier effort, le Maître l'imprégna de sa semence en se bloquant au fond d'elle, puis arrêta son exigence.
L'elfe gémissait de frustration en travaillant ses muscles internes, tirant les dernières gouttes de sperme.
Elle geignit pitoyablement tandis qu'il se retirait d'elle.
Ce n'était rien de plus qu'un simple viol d'esclave, elle le savait et elle connaissait la règle.
Il avait pris son plaisir en elle, mais ne l'avait pas prise en considération,
Elle n'était pas là pour prendre du plaisir, elle était là pour servir son Maître, du mieux qu'elle le pouvait.
Elle avait désespérément besoin de jouir, alors elle mendia pathétiquement, soulevant sa chatte en direction du Maître, quémandant un coup de bite supplémentaire.
Mais elle n'était qu'une esclave sexuelle, un simple jouet pour distraire les hommes, et elle ne nécessitait aucune récompense.
En fait, elle le savait, il se délectait de la situation! Sous son masque, une larme roula sur sa joue.
Submergée d'émotion, elle sanglotait pathétiquement quand le Maître la saisit par la bride pour la remettre sur ses genoux.
Il se saisit de sa crinière pour nettoyer sa verge car il ne pouvait pas utiliser sa bouche.
Elle a continué à se lamenter tandis qu'il se rajustait, puis la fit lever pour l'enchaîner à la charrette.
Quand il relança l'équipage, elle recommença à trotter, mais sa posture était médiocre, et sa démarche hésitante.
Clac! La longue cravache cingla son dos nu. L'elfe poussa un cri et se redressa immédiatement.
Aussitôt, elle agita ses jambes correctement, levant haut ses genoux pour faire claquer ses talons sur le sol.
Elle devait être, elle voulait être, une poney-slave parfaite, peu importe ce qu'il lui en coûtait.
Un moment plus tard, il ramena la pouliche à l'écurie, pour la bouchonner. L'elfe était entièrement nue, à l'exception de ses piercings.
Elle se tenait debout, jambes écartées, mains derrière la tête, tandis que le Maître l'astiquait.
L'elfe était parfaitement capable de se nettoyer, mais le conducteur avait appris l'importance de récurer et d'entretenir sa pouliche.
C'était essentiel pour améliorer la relation entre le dresseur et l'esclave, et il aimait caresser son corps nu.
Les compliments aussi étaient importants: "Tu t'es très bien débrouillée aujourd'hui!"
"Merci, Maître," répondit-elle. Elle hésitait, puis se lança: "Maître, puis-je me permettre une question?"
"Dis toujours!" Absorbé à lui frotter l'entrejambe avec le chiffon de toilette, il ne prêtait que peu d'attention à sa requête.
"Maître... était-ce... votre première fois?"
Le Maître s'arrêta, se redressa et dévisagea l'elfe. Elle réalisa que la question l'avait pris au dépourvu.
Mal à l'aise, elle déglutit difficilement tandis que le Maître la dévisageait, pensif.
"Tu me demandes si tu viens de me prendre ma virginité?"
La magnifique esclave sexuelle a baissé les yeux: "Oui, mon Seigneur" a-t-elle balbutié.
"Parle-moi de la curiosité, salope!"
"La curiosité est inappropriée et interdite aux esclaves, Maître. S'il vous plaît, j'implore votre pardon!"
"Non."
"Alors, je sollicite ma punition, mon Seigneur." Elle commençait à s'agenouiller, mais un geste du Maître l'arrêta.
"Ferme les yeux" ordonna son Maître.
Elle obéit et il gifla sévèrement son sein gauche. La masse pulpeuse tressauta sous le choc et la douleur irradia dans tout son corps.
Elle gémit et se recula, mais reprit instantanément sa position, bombant fièrement le torse, défiant la punition.
"Un!" a-t-elle récité.
Le Maître a frappé son sein droit, puis s'est mis à gifler alternativement les seins de l'esclave à intervalles irréguliers.
À chaque coup elle comptait, à voix haute, le nombre de frappes. Lorsque le compte atteignit vingt-quatre, il cessa.
Il l'enlaça et elle l'embrassa à pleine bouche, longuement, amoureusement: "Merci, Maître!"
Ses seins étaient devenus rouges et enflammés, et la douleur était presque insupportable, même pour une elfe.
Sans un mot, le Maître reprit sa tâche, continuant de frotter le corps de son esclave.
L'elfe gardait les yeux fermés, il ne lui avait pas donné l'autorisation de les rouvrir, mais elle était ravie.
S'il ne venait pas de perdre sa virginité, si ce n'était pas sa première fois, il lui aurait dit tout de suite.
"Tu n'attendais que çà, tu l'espérais, n'est-ce pas?"
"S'il vous plaît, Maître?"
"Depuis combien de temps attends-tu que je t'utilise comme ma femelle?" précisa le Maître.
L'elfe eut un sourire amusé: "Maître, je vous attends depuis le jour de votre naissance!"
L'elfe précisa: "J'ai assisté votre maman. J'étais sa sage-femme!"
Le Maître fit une pause. Son esprit avait du mal à se faire à cette idée!
Il avait grandi avec l'elfe comme nounou, puis comme compagne de jeux, il savait exactement qui elle était et depuis combien de temps elle était dans la famille.
Pourtant, l'incohérence de posséder une elfe vieille de plusieurs siècles dans une famille humaine pouvait encore l'égarer.
Il a choisi le sarcasme pour diminuer son trouble:
"Merci beaucoup. Ce n'est pas très romantique comme image! La jeune fille que je viens de baiser était déjà une adulte le jour de ma naissance."
L'elfe eut un sourire en se remémorant ces jours lointains: "Il n'y a pas que ça, Maître!"
Elle le taquinait: "Et puis je vous ai torché, j'ai changé vos couches, et j'ai joué avec votre petit kiki, pour le décalotter!"
Elle le sentait décontenancé, alors elle profitait de son avantage:
"J'ai fait la même chose pour votre papa et votre grand-papa, et j'ai eu leurs virginités à votre âge!"
Le jeune Maître gémit: "Arrête, tu m'angoisses! Tu n'es pas une femme, tu es un héritage de famille!"
"Assieds-toi, que je puisse te coiffer!"
"Bien, Maître."
Alors que le Maître coiffait la chevelure luxuriante de l'esclave, il se demanda si elle avait apprécié cette brève relation?
Et avec son père? Et avec le grand-père? Oserait-il la questionner un jour?

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