Coline (8): Doit Assumer Les Conséquences De Ses Actes

Je vis maintenant sur Paris depuis quelques mois. J’habite un studio à quelques pas de mes cours et je commence à me faire de plus en plus d’amis. J’aime ma nouvelle vie mais je redescends chez moi le plus régulièrement possible, pour voir ma famille, mes amis, Christophe (qui est rarement libre) mais surtout ma belle et pétillante Alice.
 
Maintenant que mon cercle de copains s’est agrandit, mes sorties sont plus variées. J’ai de moins en moins envie de bouger pour le week-end alors que ma copine se débrouille pour monter régulièrement, Christophe fait surtout des allers-retours sur ces jours de congés pour passer une journée à baiser, mais nous échangeons souvent des messages coquins qui se terminent régulièrement par du phone-sex.
 
Ce week-end, Alice vient me rejoindre sur la capitale. Nous passons la journée du samedi à visiter le Louvre, on y reste des heures à tel point qu’on se dépêche de rentrer chez moi pour se préparer pour la soirée avec mes nouveaux amis. Je rentre dans la salle de bain la première, il vaut mieux ne pas y aller ensemble si on veut pas être trop en retard.
 
Une fois que je suis lavée, maquillée et pouponner, je sors de la salle de bain complètement nue et lisse pour donner des envies à ma copine. Elle me regarde avec un air énervée, elle tend mon téléphone portable vers moi et me crie:
« Tu peux m’expliquer????? »
Je n’arrive pas à lire l’écran mais je sais très bien qu’elle me montre les messages avec Christophe. Honteuse, j’aimerai pouvoir me cacher dans un trou de souris.
 
Pour me mettre encore plus mal à l’aise, elle se met à lire:
« « Merci pour cette nuit », « On remet ça quand? », tiens en voila un que j’adore: « Ta grosse queue me manque » et en plus sa réponse est: « Cochonne, salope »… alors??? »
Alice devient rouge de rage et moi de regrets et remords. Son regard est tellement noir que je ne sais quoi lui répondre.
 
Après quelques instants sans un bruit qui me semble durer des heures, elle brise le silence:
« Alors???? Tu réponds pas? Tu as honte ou quoi? Apparemment dans ses bras tu as honte de rien pourtant! »
Pétrifiée, je ne sais quoi dire, Alice s’énerve encore plus et gueule:
« Putain Coline, dis-moi un truc, merde! »
Je trouve rien d’autre à lui répondre que:
« Je ne sais pas quoi dire! »
 
Elle baisse la tête, je sais pas si elle s’énerve encore plus ou essaye de calmer.

Elle relève la tête, prend quelques grandes inspirations et me dit d’une voix plus posée:
« Tu peux déjà me dire que tu es désolée, ça me semble être la moindre des choses. Encore faut-il que tu le sois vraiment! »
Ca tourne à toute vitesse dans ma tête, je sais pas comment me sortir de cette situation mais je veux pas la perdre. Je me mets à marmonner des excuses quand elle m’interrompt:
« En fait, j’ai pas envie d’entendre tes excuses, je me sens trop trahie! »
 
Je sens mes larmes monter vers mes yeux, il faut que je réagisse car c’est avec elle que j’ai des projets. D’une voix pleine de sanglots, je réponds enfin:
« Je suis désolée mon amour, j’ai fait une grosse bêtise mais c’est toi que j’aime Alice. »
« Pour toi l’amour c’est coucher à côté? T’es conne ou quoi? Si tu m’aimais vraiment, tu te taperais pas un mec dans mon dos! »
« Non, je te jure que c’est toi que j’aime, j’en ai rien à foutre de lui. C’est toi que j’aime et uniquement toi… »
 
Après un moment de réflexion elle enchaine:
« Trop tard ma grande, il fallait pas me trahir et encore moi avec l’homme qu’on a partagé. »
Je me jette à ses pieds et lui dis:
« On l’a fait qu’une fois après notre trio! S’il te plait calme toi et ne dis pas ça. »
J’ai l’impression qu’elle me regarde avec mépris avant de rajouter:
« En plus d’être infidèle, tu es une menteuse! »
Elle fait défiler les messages de Christophe sur mon téléphone tout en lançant:
« Autant de message pour un seul coup, en plus tu me prends pour une conne! »
 
Elle continue de lire nos échanges et tout d’un coup devient encore plus énervée qu’avant. Elle me repousse avec le pied et se met à crier:
« Parce qu’en plus, tu te le tapais déjà avant notre trio! En fait il a raison, tu es vraiment une salope doublée d’une connasse! »
Elle part vers le lit, att ses affaires qu’elle rentre en boule de dans sa petite valise. 
 
Je vais vers elle, je le prends dans mes bras mais elle me rejette alors j’essaye de lui expliquer que j’avais besoin de savoir si je faisais pas une erreur en me mettant en couple avec une femme.
Ca fait tout l’effet inverse et se retourne vers moi encore plus énervée et me lance:
« Une erreur? C’est toi l’erreur, ma seule erreur a été de tomber amoureuse de toi. Je ne veux plus jamais te voir ni t’entendre. Je rentre chez moi et ne me contact plus jamais, c’est la dernière chose que je te demande. »
 
J’essaye de la retenir, je la supplie de rester pour qu’on parle mais elle me répond pas et finit de ramasser toute ses affaires. Avant de claquer la porte, elle me dit d’une voix remplie de rage:
« Lâche moi connasse! Sois plutôt désolée parce que c’est fini entre nous par ta faute.  Fais ce que tu veux avec ton enculé de Christophe et oublie moi! »
Puis elle disparait.
 
Je me jette sur mon téléphone pour l’appeler mais après quelques sonneries je tombe sur le répondeur. Je lui laisse un message pour m’excuser et la supplier de revenir. Dès que je raccroche, je la rappelle mais elle décroche pas et l’appel suivant je tombe directement sur son répondeur alors je lui fais des textos auquel elle répond pas non plus.
 
Je peux pas croire que ma relation avec Alice est finie, je passe la nuit entière à pleurer et essayer de la joindre mais sans succès. La semaine qui suit n’est pas plus glorieuse, je n’ai pas plus de nouvelle de la femme que j’aime. Je suis anéanti et je ne sais pas vers qui me tourner. Je peux pas avouer à ma mère que je me tape un de ses anciens amants, mon frère va me jeter la pierre et mon père n’est pas assez ouvert d’esprit. J’ai presque plus de contact avec mes anciennes copines qui sont toutes loin et les nouvelles pensent qu’Alice est une simple amie.
 
Je sais très bien que c’est pas vers lui que je devrai me tourner mais j’appelle Christophe. Ironiquement c’est le seul qui peut me comprendre et me faire penser, même si ce n’est qu’un court instant, à autre chose que ma rupture. Je prépare un sms pour lui demander de venir me voir. Malheureusement il me répond qu’en ce moment il ne peut pas faire d’allers retours.

 
Je vais plus en cours, je passe mon temps à pleurer et faire des messages à Alice et Christophe mais je me sens rejeté par les deux. Je tourne en rond dans mon appartement à broyer du noir et fondre en larmes à cause de ma connerie. Alice répond enfin à un des mes appels:
« Mon amour excuse moi, tu as raison je suis vraiment une conne mais… »
Elle m’interrompt et me dit:
« Coline, arrête tes conneries. Toi et moi c’est définitivement fini alors passe à autre chose et cesse de m’harceler! »
Je continue de m’excuser mais rien à faire et elle finit par raccrocher.
 
Je crois que je suis au bord du gouffre, heureusement quelques heures plus tard je reçois un message de Christophe qui m’annonce réussir à se libérer pour venir me voir pendant le week end. Sa venue me permet de tenir le reste de la semaine et de moins pleurer que les jours précédents. Par contre le temps me semble interminable jusqu’à son arrivée. Comme j’ai besoin de chaleur humaine, je passe mon temps à lui envoyer des messages cochons.
 
Un soir alors qu’il est tranquillement chez lui, je lui envoie un message:
« Tu sais qu’elle est la première chose que je vais faire à ton arrivée? »
« Tu vas m’embrasser. »
« Oui mais pas seulement, je vais aussi entièrement te déshabiller pour caresser ta peau. »
« Et après? »
« Après, mes lèvres prendront le relais pour passer sur chaque partie de ton corps mais je garderai le meilleur pour la fin. »
 
Pendant un moment je reçois pas de réponse puis mon téléphone bip enfin:
« Continue, tu m’excites. »
« Ensuite je caresserai tes couilles avec mes mains avant de les remonter doucement vers ta tige. Je la masserai un bon moment pour bien la faire grandir. »
Je reçois une photo de sa grosse queue bien raide avec comme commentaire:
« C’est bon, maintenant? »
« Maintenant je lèche ton gland du bout de la langue. Je titille aussi ton urètre et après t’avoir décalotté, je passe ma langue tout autour.
 »
« Et? »
 
« Je descends sur ton frein pour ne pas le rendre jaloux avant de t’avaler pour te faire coulisser entre mes lèvres bien serrées. »
Je reçois une petite vidéo de son entrejambe ou je vois uniquement sa main qui branle sa belle bite. Il me chauffe à fond alors je réponds:
« Je te prends de plus en plus en bouche, jusqu’à ce que tu viennes taper ma glotte alors que ma langue tournoie autour de ta grosse tige. »
 
Il me répond:
« Tu portes quoi? »
Je me déshabille entièrement, je retourne m’allonger sur le lit et je fais une photo de mon corps nu. J’en fais une autre avec ma main sur mon mont de Vénus, une suivante avec mes doigts sur mon clito, encore une en ayant mon index et mon majeur en moi et une dernière de mes doigts bien humide.
 
Je lui envoie la première sans aucun commentaire et reçois comme réponse:
« Parfait alors grimpe sur moi en 69 que je bouffe ta petite chatte. »
Je lui réponds par la deuxième photo et lui m’envoie une de tout son costume 3 pièces. L’excitation monte d’un cran comme nos messages. J’envoie le cliché ou je m’occupe de mon petit bouton avec:
« J’imagine que c’est ta langue. »
« Tu peux y laisser tes doigts car ma langue te pénètre. »
 
J’expédie la photo où je me doigte en écrivant:
« Un peu comme ça? »
« Viens sur moi, j’en peux plus, j’ai trop envie! »
« Je recrache ta grosse que, pendant que tu retires tes doigts de ma chatte je donne quelques derniers gouts de langue. »
J’envoie la photo avec les traces de mouilles en ajoutant:
« J’imagine que tes doigts sont dans cette état alors je te chevauche et pendant que je m’emballe sur toi je fais rentrer tes doigts dans ma bouche pour les lécher. »
 
Je me caresse furieusement en imaginant être assise sur le corps de Christophe. Je me doigte en pensant que c’est sa bite qui me ramone et que je peux la faire aller et venir au rythme que je souhaite. Je sens une boule de chaleur naitre dans mon ventre quand mon téléphone bip de nouveau. C’est une nouvelle vidéo de lui qui se masturbe sauf que je vois dégouliner de son méat un peu de mouille. Je suis au comble de l’excitation.
 
Ma main gauche s’excite de plus en plus sur et dans mon entrejambe alors que la droite tape:
« Je prends appuies sur ton torse pour monter et descendre, furieusement, le long de grosse tige. Je m’explose la chatte sur ta queue et j’adore ça. »
Je reçois comme réponse:
« Tu vas me faire jouir! »
« Toi aussi. »
 
Je continue de me branler furieusement pendant 2 minutes sans avoir plus aucun message quand je reçois une video de Christophe qui se caresse énergiquement. Puis je vois une première giclée être expulser et sortir du cadre de l’écran. La deuxième est tout aussi puissante et la troisième vient cacher une partie de l’écran. Sans réfléchir je lèche mon téléphone et j’ai l’impression de sentir son goût dans ma bouche. Je vois encore un peu sa bite frétiller puis la video se finit.
 
Je me la passe et repasse en regardant ou en léchant l’écran en imaginant que c’est le sexe de mon amant, jusqu’à me faire jouir. Je prends une photo de ma main gauche luisante mais aussi de mon mont de Vénus qui est luisant et je lui envoie avec comme commentaire:
« Maintenant que tu as allumé l’incendie, tu vas devoir passer le week end à l’éteindre. »
Sa réponse est claire, nette et précise:
« Cochonne! » 
Je m’endors rapidement et pour la première fois depuis ma rupture je passe une nuit correcte.
 
Ce samedi, je me réveille assez tôt. Christophe doit arriver vers 10 heures et j’ai une folle envie de sa bite. Après un café bien fort je file dans la salle de bain. Sous la douche je me rase intégralement, ça fait un moment que je ne l’avais pas fait. Une fois propre, je me maquille et me coiffe joliment puis je vais dans ma chambre pour choisir mes dessous. 
 
Quand il sonne enfin à ma porte, je vais lui ouvrir en string de dentelle rouge et avec le soutien-gorge assorti qui fait que mes seins semblent encore plus gros. Comme ça on ne va pas perdre de temps. Je lui ouvre et lui saute au cou, ma bouche se colle à la sienne et nos langues s’entremêlent. Avec l’échange de salive une multitude de saveur se dépose sur mes lèvres.
 
Il lâche son sac, ferme la porte, met ses deux sur mes fesses uniquement séparé par une ficelle et m’entraine dans le coin de la chambre. Il me jette sur le lit et immédiatement je retire la dentelle qui m’empêche d’être complètement nue. Christophe enlève sa chemise, avec l’excitation il s’emmêle. Je m’approche de lui, défait sa ceinture avant d’ouvrir son pantalon. Ma main plonge dans son caleçon et ressort sa queue déjà bien dure, il est tout aussi excité que moi.
 
Je veux goûter à ce beau morceau de chair qui m’a terriblement manqué. Son mat, dur comme un roc, se dresse fièrement devant moi. Je résiste pas plus longtemps et pose mes lèvres sur sa bite pour l’embrasser. Puis ma bouche descend sur ses couilles que je cajole l’une après l’autre avant de remonter vers son gland. J’embrasse tendrement son champignon avant de l’avaler. C’est tellement bon de faire coulisser sa queue brulante dans ma bouche!
 
Je le suce, avec passion, pendant un bon moment mais m’arrête car j’ai pas envie qu’il décharge déjà dans ma bouche même si j’adore l’avaler. Je le retire d’entre mes lèvres et m’allonge sur le lit les cuisses bien ouverte et lui ordonne:
« Viens nettoyer ma chatte! »
Christophe s’accroupie entre mes jambes et pose sa langue sur mon périnée et la remonte jusqu’à mon petit bouton.
 
Il recommence l’opération plusieurs fois et au passage me baise avec sa langue par quelques allers retours. Par contre il s’occupe pas du tout de mon clito, c’est la première fois qu’il me fait un cuni de cette façon. Mon plaisir est intense, je sens que je dégouline dans sa bouche et je me laisse aller jusqu’à obtenir un merveilleux orgasme qui irradie tout mon corps. 
 
Christophe retire sa tête d’entre mes cuisses, pour reprendre sa respiration. Je pose mes doigts autour de ma vulve et j’écarte bien lèvre intime pour le chauffer avec l’entrée de ma grotte déjà bien ouverte. Je fixe sa bite bien raide et lui dis:
« Mets la moi bien au fond, dépêches toi je veux te sentir en moi! »
J’en reviens pas de parler comme une affamée de la bite mais sa réponse est parfaite:
« Cochonne! Tu sais m’exciter! Tu vas déguster ma cocotte! »
 
Il empoigne sa tige, présente son gland à l’entrée de ma chatte et me pénètre d’un coup sec. Il s’arrête seulement quand ses couilles sont contre mes fesses. Il me pilonne directement comme un sauvage, je suis tellement trempée que je prends immédiatement beaucoup de plaisir. Je gémis de plus en plus fort pour l’encourager à continuer. Sa main droite empoigne un de mes seins pour le malaxer alors que l’autre me fesse régulièrement. Il sait vraiment comme me donner beaucoup de plaisir.
 
Quand mes muscles se desserrent autour de sa grosse queue, il me met sur le côté et me pénètre délicatement en cuillère. Puis il me ramone encore plus vigoureusement qu’avant. J’ai l’impression que c’est encore meilleure que toutes les dernières fois! Est ce que je suis trop en manque? Surexcitée? Ou je suis devenu totalement accroc à sa bite? L’heure n’est pas au question alors je le motive avec un:
« Baise moi plus fort! Je suis ta pute. »
 
Il ne se fait pas prier et me pilonne presque avec violence. Sa main du dessous glisse sous mon corps et vient me malaxer le seins gauche alors que l’autre se pose sur mon entrejambe pour titiller mon clito. C’est tellement bon que je ne tarde pas à jouir une troisième fois alors que lui a toujours pas défailli. Je lance une de mes mains en arrière et la pose sur sa fesse. je m’approche de sa raie puis de son petit trou. Je sais pas pourquoi mais j’ai envie de lui mettre un doigt. Il rejette violemment ma main en me lançant un méchant:
« Pas touche. »
 
Il se retire de ma moule en feu et me soulève pour nous mettre debout. Il plaque mon dos contre le mur et soulevé ma jambe gauche pour venir s’enfoncer en moi. C’est la première fois que je teste cette position et j’adore ça, encore plus quand il me dit entre deux halètements:
« T’aimes trop la bite, toi. Tu es devenue dépendante à ma grosse queue. » 
Je lui réponds simplement des « Oui » de plus en plus aiguës.
 
Je dégouline autant de l’intérieur que de l’extérieur, Christophe aussi est en sueur. Ma tête tape contre le mur au rythme de ses coups de rein mais la douleur est rien à côté de la puissance du plaisir qu’il est en train de me donner. Je le regarde fixement, on dirait un animal sauvage. J’ai envie de l’encourager de lui dire de me baiser comme une chienne mais les seuls mots qui sortes sont:
« Ah! Ah! Aaaaaaaaah! »
 
Sûrement fatigué par cette position, il se retire de moi et me couche sur le dos sur le lit. Ma chatte souillée de mouille, ne reste pas seule longtemps. Il s’allonge sur moi et me ramone comme un sauvage, comme s’il avait pas baisé depuis des années. Je profite de sa grosse bite en moi, Dieu que c’est bon! Comme toutes les positions que nous avons fait, je jouis. Le plaisir est limite trop fort alors je ferme les yeux.
 
Christophe pose son visage dans mon cou et l’embrasse. Alice me faisait exactement la même chose pendant que nous faisions l’amour. J’imagine que c’est elle qui est sur moi et me baise. J’imagine que c’est celle qui m’a fait aimer les femmes qui me donne tout ce bonheur. J’imagine ses lèvres pulpeuses sur ma peau et sa petite poitrine bien ferme contre la mienne.
 
J’att son visage pour l’embrasser goulument et quand j’ouvre les yeux, je me reprends tous les derniers événements dans la gueule en voyant que c’est Christophe sur moi. J’imaginais que je faisais tendrement l’amour mais en fait c’est la cause de notre rupture qui me baise violemment. Alors qu’il me ramone vigoureusement j’éclate en sanglot.
 
Il se rend compte de rien et continue d’aller et venir en moi, je lui demande d’arrêter. Il me regarde et remarque enfin que je pleure, il me demande inquiet:
« Je t’ai fait mal? »
« Oui… mais pas physiquement! On peut pas continuer! Il faut que tu partes. »
Il se retire enfin de mon sexe et me regarde avec des yeux ronds et interrogateur alors que sa bite se tient toujours droite et recouverte de ma mouille.
 
Comme il ne dit rien, je crie:
« Vas t’en. Je t’ai dit de partir. »
Il s’approche de moi et dit:
« Viens on finit ensuite on parle. »
Je me recroqueville au fond de mon lit et lui lance:
« Non, casse toi de chez moi et tout de suite. Je veux plus jamais te revoir. »
 
Je ne l’ai jamais vu aussi énervé, mais il a raison de l’être. Il me dit en criant:
«  Tu me supplies de venir te baiser, je me casse le cul pour avoir un week end de libre, je prends le train pour venir te voir et pendant qu’on baise tu me jettes. Mais tu es vraiment folle ma pauvre fille. »
Je lui demande de se calmer et lui raconte ma rupture avec Alice.
 
Une fois que j’ai fini mon histoire, il me dit calmement:
« Donc t’as rompu avec ta meuf et tu voulais juste quelqu’un pour te remonter le morale au lit. En faite je suis le larbin de service! »
« T’es bien content de pouvoir te taper une fille qui a la moitié de ton âge! »
Le ton monte progressivement pendant sa réponse:
«  Tu crois que tu es unique Coline? Tu crois sérieusement que tu es la seule meuf que je me tape? Mais t’es juste bonne à baiser… et encore vu que tu refuses que je gicle dans ta chatte, tu refuses la sodomie… »
 
Il se calme avant d’enchainer:
« Tu te rends compte que tu me jettes comme une merde alors que c’est toi qui trompe ta copine et en plus avec un ex de ta mère! »
La vérité est trop violente à supporter, je hurle:
« Dégage de chez moi, pauvre con! »
« C’est toi la connasse. Tu me vires pas, c’est moi qui me tire. Par contre c’est toi qui va le regretter. »
 
De nerfs je lui balance toutes ses affaires dessus, même d’autres objets. J’ouvre en grand la porte de l’appartement et je crie sans arrêt:
« Dégage pauvre merde! »
Ce n’est quand claquant la porte que je me rends compte que je suis à poil. Je me jette dans mon lit et fonds en larme. En seulement quelques jours j’ai perdu les deux personnes qui me faisaient le plus de bien dans ma vie.
 
Les jours suivants tout me semble terriblement noir. J’échange plus du tout avec Christophe et je suis même étonnée à quel point je l’oublie rapidement. Par contre je me résigne pas à perdre définitivement Alice, alors malgré sa demande je continue de lui écrire des messages et l’appeler mais en vain. Un jour, je reçois un message d’elle qui me dit:
« Fais moi signe la prochaine fois que tu rentres, il faut qu’on parle. »
Je souris de nouveau…
 

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