Le Bon Traitement

Je suis docteur en médecine générale… ou doctoresse si vous préférez. Fraîchement diplômée, je viens de commencer mon premier job comme urgentiste au centre hospitalier universitaire. La nuit dernière, alors que j’étais de garde, le “dispatch” m’a confié un homme se plaignant de douleurs au niveau de la verge…
Les urgences sont très calmes et je décide d’aller voir mon patient après que l’infirmière l’ait équipé d’une blouse d’hôpital, installé dans une chambre, sans oublier de lui prélever ses urines pour analyses…
L’homme qui se tient assis sur le lit dans la lumière douce de la pièce est un séduisant quadragénaire dont le visage un peu défait s’illumine instantanément en me voyant arriver. Je m’approche, je me présente et je commence à le questionner sur ses malheurs… Visiblement sous le charme, l’homme me déshabille discrètement du regard tout en m’expliquant, un peu gêné, que sa verge lui fait terriblement mal depuis la veille.
Je poursuis mon diagnostic et le fait se coucher sur le dos pour l’examiner. En tant que médecin, je suis formée à considérer mes patients de manière égale et avec une certaine distance, mais là, la perspective d’ausculter le sexe d’un aussi bel homme me fait déjà tourner la tête…
Avec mon plus beau sourire, je lui demande de relever sa blouse sur son torse et de dévoiler ses parties intimes à mon regard avisé. Le spectacle dépasse mes espérances. Un corps viril, des muscles finement dessinés et là, entre ses jambes, un sexe massif dont j’ose à peine imaginer la taille en érection.
Pour vérifier visuellement une éventuelle infection, je lui demande de décalotter son pénis… Un médecin évite en général de réaliser lui-même ce geste plutôt suggestif, même si, dans le cas présent, j’aurais volontiers ignoré la règle et décalotter moi-même sa belle queue de mes petites mains!
Un peu gêné, l’homme s’exécute en m’interrogeant: “Vous voyez un problème ?” Perdue dans mes pensées lubriques, j’observe longuement son gros gland rosâtre et fini par répondre: “Non rassurez-vous… tout est parfait…”.


J’att un gant en latex sur le plateau derrière moi en poursuivant: “Je vais pratiquer un toucher rectal pour contrôler si votre prostate est normale… C’est un examen de routine, ne vous inquiétez pas… Repliez et écartez légèrement vos jambes…”.
Un léger sourire aux lèvres, j’enfile le gant, att un tube de vaseline et enduit méticuleusement mon index sous son regard inquiet: “Détendez-vous… Je vous promet d’être douce…” Bien décidée à profiter de la situation, j’att délicatement son sexe d’une main, le soulève pour découvrir sons anus puis j’enfonce lentement mon index plein de vaseline entre ses belles fesses musclées…
Mon ventre papillonne tellement la situation est torride. Visiblement troublé, l’homme s’efforce tant bien que mal de maîtriser sa respiration. Sa prostate est parfaitement normale au toucher et, là où mes confrères mettraient normalement fin à la palpation, je décide de poursuivre en massant innocemment sa prostate: “Est-ce que c’est douloureux là ?”.
L’homme me répond d’une voix étranglée: “Non, pas du tout… mais c’est très sensible…”. Je poursuis de plus belle alors que son sexe enfle lentement entre mes doigts jusqu’à atteindre une taille purement impressionnante.
Sa respiration se fait de plus en plus rauque… Il lutte visiblement pour ne pas jouir, mais c’est sans compter sur ma détermination et mes connaissances anatomiques. J’appuie avec insistance sur la zone la plus sensible de sa prostate tout en serrant doucement son pénis entre mes doigts.
L’homme se redresse sur ses coudes en gémissants et envoie un longue giclée de sperme qui part dans les airs et vient s’écraser sur son vente. Je maintiens mon emprise alors que le liquide épais et visqueux continue de sortir par petits jets de son pénis.
Après un long silence, rouge de honte, l’homme reprend sa respiration et s’excuse en bredouillant: “Docteur, je suis vraiment désolé… C’est tellement sensible… je n’ai pas pu me retenir…”. Je me redresse et lui répond de ma voix la plus douce: “Ce n’est rien.
C’est une réaction très naturelle”… Puis, je trempe le bout de mes doigts dans le liquide blanchâtre qui souille son vendre et ajoute: “Et votre sperme me semble excellent…”.
Je me garde bien de lui dire que j’ai adoré le faire jouir de force et que j’en ai la chatte toute trempée !
Je termine ma petite consultation en lui tendant une serviette pour s’essuyer: “Pour le moment tout me semble normal. Nous devons encore écarter une infection interne. Je reviendrai vous voir après avoir reçu les résultats de vos analyses”.
Plus tard dans la nuit, je traverse les corridors déserts des urgences ses résultats à la main. Mon patient n’a rien. Aucune infection et aucune maladie sexuelle. J’entre dans la chambre, referme la porte derrière moi et allume le voyant “ne pas déranger”.
Vous imaginez sans doute la suite… Je lui ai annoncé la bonne nouvelle en dégrafant ma blouse et en lui dévoilant mon corps nu dans la lumière douce de la veilleuse. Puis, j’ai grimpé sur le lit, je me suis installée à califourchon sur lui et, en guise de traitement, j’ai enfourné sa belle queue dans ma chatte déjà gorgée de mouille.
Je l’ai chevauché de longues minutes en ondulant lascivement sur son énorme sexe pendant qu’il massait avidement mes seins de ses grandes mains. Au moment de jouir, il m’a rendu la politesse en enfilant à son tour un doigt dans mon anus perlé de sueur, me procurant un orgasme d’une incroyable intensité…
Nous avons baisé ainsi une bonne partie de la nuit avant que je signe finalement son bon de sortie, sans oublier de lui laisser mon téléphone, pour un petit examen de suivi et un deuxième traitement préventif !
Bons baisers, Corine.

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