Le Mâle Pas Encore Dominant. Initiation Entre Cousin Et Cousines. 3
Le Mâle pas encore dominant.
Initiation entre cousin et cousines.
-Aaahhh ! Aaarrgg ! Ooouuuiii !!!!!!!!!!
Jouvre les vannes, la queue dressée au ciel par les doigts de ces deux furies, les jets se succèdent et les deux premiers sont si violents que jen reçois plein le visage de lil droit au menton. Effrayées, elles lâchent ma bite qui bouge dans tous les sens et les éclaboussent elles aussi dune bonne dose de sperme. Tante Martine ricane avant de leur avouer :
-Ah. Je ne vous avais pas prévenues quil ny a pas que la taille de sa queue qui est exceptionnelle, désolée !
Suite :
Et elle se penche à nouveau sur moi pour me nettoyer le visage dune langue gourmande.
-Mais quest ce que tu fais maman ? Cest dégueulasse
Se léchant les babines, elle se redresse et rétorque à Apolline
-Tu ne sais pas ce qui est bon. Bien maintenant il va être un peu plus résistant pour la suite. Et la suite cest faire une fellation. Qui veut commencer ?
Sans attendre de réponse, elle me nettoie la bite avec sa langue et ses lèvres qui ont tôt fait de remettre en forme ma jeune queue dont lérection avait à peine faiblie, me retrouvant vite au garde-à-vous.
-Julie, cest à ton tour, tu as vu comme je fais !
Julie après un peu dhésitation se saisit de ma verge pour la redresser au devant de sa bouche ouverte et referme ses lèvres sur mon gland. Sa langue étale sa salive sur mon membre et lentement, elle engloutit ma bite le plus loin possible.
-Eh doucement Julie! Il faut ménager son instrument, en goûter chaque centimètre, en exciter les terminaisons nerveuses, surtout sur le gland ! Pense à ta glace préférée que tu lèches, que tu dégustes pour en extraire son parfum. Lààà, cest beaucoup mieux ! Regarde aussi son visage comme il apprécie ton travail. Bien, maintenant laisse la place à Apolline.
Mais elle y a pris goût et ne veut plus lâcher ma pine, Apolline sénerve et la bouscule pour prendre sa place.
-Eh ! Quest ce que tu fais ? Hurle Lucie.
-Cest mon tour, laisse moi la glace ! Si tu veux je te laisse les boules !
Je ne suis plus quun bâton de glace qui passe de bouche en bouche, pour elles le cousin nexiste plus que par son sexe. Mais lépreuve et trop dure et la cocotte minute va exploser.
-Aaahhh les filles ! Arrêtez ! Je ne peux plus me retenir !
Je ne sais pas si Apolline ma entendu mais elle narrête pas sa succion. Dans un geste réflexe, je pose mes deux mains sur sa tête lui interdisant de se retirer et me vide dans sa bouche. Je ne sais pas si cest son manque dexpérience, la dose trop abondante ou le fait que ma bite est allé trop loin au fond de sa gorge mais elle a du reprendre sa respiration au mauvais moment. Elle recrache par le nez deux filets de foutre en sétouffant. Effrayé, je relâche sa tête, elle tousse et expectorise de longs filets de bave et de foutre mélangés.
-Oh excuse-moi Apolline, je navais pas réalisé
.
Il lui faut un moment avant de reprendre son souffle, la respiration sifflante.
-Espèce dabruti, tu voulais me ou quoi ?
Tante Martine vient calmer sa fille et en profite pour donner une leçon en lui expliquant:
-Tu as du sentir sa queue vibrer et durcir au moment fatidique. Il faut être à lécoute de ton partenaire et toi Claude, Il faudra à lavenir que tu fasses plus attention. La taille exceptionnelle de ton pénis et la puissance de tes éjaculations risquent de poser des problèmes à la plupart de tes partenaires si tu ne te contrôles plus, fais gaffe ! Bien
Maintenant les filles, cest le moment où le plus souvent lhomme est trop épuisé pour un troisième acte et où la femme doit déployer sa science pour en obtenir un peu plus. Lucie, tu vas prendre le relais et en plus de ta bouche, sers-toi de tes mains. Ses bourses et même son anus sont des zones sexuelles sensibles quil faut utiliser pour faire remonter son désir.
Lucie reprend le flambeau, ou plutôt ma bite. Martine me force à métendre et positionne sa fille à califourchon sur mon torse. Jai devant les yeux une fente qui suinte, je lui ai fais de leffet ! Elle colle sa moule sur ma bouche et moi aussi jexplore pour la première fois de ma vie la chatte dune fille du bout de ma langue et de mes lèvres. Jessaie tant bien que mal, de ne pas trop rater mon premier cunni, mon visage enfoui entre ses cuisses que jécarte de mes mains.
Je maide de mes doigts pour explorer sa grotte quand je sens un doigt se faufiler entre mes fesses et prendre le chemin de mon illet plissé et poilu. Lucie masse délicatement mon anus. Ma respiration devient saccadée. Jai les yeux fermés, appréciant toutes les caresses et autres excitations données par les jumelles. Ma queue reprend du service mais Lucie a glissé sa tête sous ma hampe pour me dévorer les boules. Mon gland se perd dans ses cheveux blonds pendant quun doigt pénètre mon conduit à la recherche de ma prostate.
Je ne reste pas inactif et dévore littéralement la chatte dApolline qui semble particulièrement apprécier mes coups de langue vu les grognements de plaisirs quelle pousse tandis que sa sur saffaire sur ma queue.
Apolline apprécie mes efforts sur sa chatte accueillante aux poils soyeux, je caresse avec délicatesse ses seins aux tétons érigés quand soudain son jus emplie ma bouche. Je suis fier de la satisfaire en la faisant jouir aussi rapidement.
Lucie sest rendu compte de lémoi de sa sur et veut elle aussi son du. Je ne suis plus quun instrument à plaisir pour ces garces mais je bois avec plaisir aux deux fontaines blondes plusieurs fois avant de sentir poindre un nouvel orgasme. Des milliers de fourmis sactivent dans ma verge.
Je ne veux pas rééditer lerreur de tout à lheure et les préviens :
-Espèces de petites salopes ! Gare
Je vais cracher !
A ces mots, Lucie colle ses lèvres à ma prune Violette, descend dun cran pour faire disparaître le gland.
Je suis à plat et tante Martine vient à mon secours dans un grand éclat de rire:
-Cest tout pour aujourdhui
Il faut le laisser récupérer si vous voulez quil tienne le coup jusquà la fin des vacances !
Les jumelles ne me lâchent plus. Déjà, il nest plus question que je mette un maillot pour la piscine, jai essayé mais ces deux folle ont tôt fait de me lenlever alors au diable la pudibonderie et le regard des voisins proches
De toute façon, ils doivent être habitués à voir ce qui se passe autour de la piscine.
Le summum de leur perversité a été atteint deux jours après quand Apolline a invité un gars, Paul, qui lui courre après depuis quelques temps et qui avait assez de « couilles » pour accepter de pavaner à poil autour de la piscine.
Elles mont demandé de me planquer le temps quil prenne ses aises autour du bassin.
Comme pour moi, elles lon aguiché complètement nues et il na pas résisté. Il fait presque vingt centimètres de plus que moi, baraqué, très musclé et je comprends que les filles aiment se pavaner à coté dun tel Apollon.
Pendant quil nage, je viens métendre à plat ventre sur une serviette de bain et fait semblant de dormir.
Paul sort de leau, Lucie sapproche de lui et lui empoigne les couilles en les malaxant avec sa main droite
La sensation doit être extraordinaire pour lui et je prends conscience du pouvoir quune femme peut exercer sur un mâle car il se met à bander. Sa sur vient lui prêter main forte et Paul se retrouve très vite en pleine érection mais les filles se mettent à papoter entre elles comme sil était sourd :
-Je suis déçue Lucie, annonce sa jumelle, avec un tel corps jattendais de voir une belle bite mais Là !
-Quest ce que tu croyais ? Lui rétorque Lucie, il est correctement monté ! Tu tes faite une idée complètement déformée par la comparaison avec Claude.
-Mais quest ce que vous racontez les filles ? Jamais une fille ne sest plainte que je sois mal équipé, et qui est ce Claude ?
-Cest notre cousin, lui répond Lucie en me désignant du doigt.
-Quoi ? Cette demi-portion ! Sexclame Paul.
- Retourne-toi Claude. Mordonne Apolline.
Je me retourne donc, le petit jeu des filles a commencé à faire son effet et un début dérection gonfle ma verge.
-Lève-toi et viens te mettre à coté de Paul, sil te plait, déclare Lucie.
Je lui obéis et je dois dire que je fais petit garçon à coté de lui, que je voudrais être baraqué comme lui
-Peuh ! Daccord il a une plus grosse queue que moi mais il narrive même pas à bander ! Lâche-t-il dune façon désobligeante.
A ces mots, chaque jumelle sagenouille et soccupe dune pine. Lucie nobtient rien de plus avec Paul qui regarde continuer de croître ma verge en grognant entre ses dents.
-Putain cest pas vrai
A suivre
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