Journal D'Une Femme Adultère (3)

Suite des aventures adultérines de Véronique, bourgeoise quadragénaire aux formes pleines, qui s'est entichée d'une sorte de faune supérieurement monté, telle Lady Chatterley et son jardinier.

Jeudi
Mon mari est parti aux Etats-Unis pour quinze jours. J'ai donc tout le loisir de satisfaire mes pulsions sexuelles dynamitées par ce gros cochon de Damien, mon amant depuis deux semaines. Il me fait découvrir des trucs insensés et ce n'est pas fini. Je ne m'appartiens plus vraiment. Je pense sans arrêt à sa queue. J'ai beau me dire qu'il faut que je me reprenne car j'ai aussi mon rôle de mère et d'épouse à assumer, rien à faire. J'ai un grand vide au fond du bide qui me tient jusque dans mon lit solitaire. Et justement, cet après-midi, à l'heure où tout le monde est encore au boulot, Damien m'attend dans un hôtel de la périphérie. Je m'y pointe discrètement. J'ai mis une perruque blonde et des lunettes noires, des fois que je croiserais une tête connue. Je demande à la réception si M.X. est bien arrivé, la bouche sèche de honte et la voix tremblotante. On me dit que oui, numéro tant, comme si c'était tout naturel. Tu parles. Ils doivent avoir l'habitude ici de ce genre de rendez-vous diurne. Je fonce sans demander mon reste, je frappe et Damien m'ouvre. Nu. Complètement à poil. Il m'enlace et je fonds aussitôt, vire la perruque et les lunettes, mon pantalon et mon slip, mon top et mon soutif. Je suis moi aussi entièrement à poil. Damien me considère, me tourne et me retourne et me sors :
- Tu as le corps d'une ministre aux cheveux longs dont j'ai oublié le nom et qui passe souvent à la télé.
Je vois de qui il veut parler et je ne sais trop comment je dois le prendre. Mais comme il plonge son nez dans ma touffe, j'oublie l'allusion pour me concentrer sur sa langue. Je le guide :
- Un peu plus haut, sur le clito, là, comme ça, oui, c'est bon, enfonce la maintenant, mmmmhhh...

Je progresse. Je parle en baisant.

Il me lape si bien que je l'implore "de me la mettre". Il m'installe à quatre pattes en travers du lit, face à la penderie où trône un grand miroir. Cochons d'hôteliers ! Cela me fait drôle de me voir à poil dans cette posture, mes gros nichons entre mes bras et lui derrière en train de viser sa cible. Encore plus drôle de me voir en proie au plaisir de la pénétration, bouche ouverte et yeux écarquillés. Nos peaux claquent, mes seins gigotent comme deux outres pleines. Je me lèche les lèvres. Je le regarde dans la glace concentré sur son oeuvre. Je le trouve beau dans l'amour et je commence déjà à jouir. Je me demande si les chambres voisines sont occupées car je me mets à bramer. Mais il se retire et m'impose un changement de position.

Toujours face au miroir, je me retrouve sur lui en train de le chevaucher. Je ne le vois plus mais je me vois. Je me penche vers l'arrière, les bras posés sur le lit et je regarde, fascinée, sa bite entrer et sortir de ma chatte poilue. Qu'elle est longue, qu'elle est grosse, qu'elle me remplit bien ! En la regardant, je comprends mon plaisir. Je comprends pourquoi je ne pense qu'à elle. J'ondule pour mieux la sentir. Il s'agite sous moi, décolle ses fesses du lit et l'orgasme m'atteint, foudroyant. Il gémit et je pense qu'il a joui aussi. Il souffle : "bon dieu, quel cul tu as, impossible de résister quand tu le remues comme ça". On se désunit, on s'embrasse, on somnole, on se douche et on s'en va. La réceptionniste nous jette un regard torve au passage. C'est alors que je m'aperçois que j'ai oublié de remettre ma perruque...

Samedi
Pas d'hôtel aujourd'hui. Trop de monde. On revient à la campagne, au même endroit que l'autre jour. On se prend et se reprend de la même manière, sur le capot et dans le hayon. Mais cette fois, il ne me sodomise pas. Il me dévaste pendant que je suis écartelée, les pieds sur les montants du coffre, et je gueule en jouissant tandis que la bagnole tremble sur ses amortisseurs.
Plus ça va et plus je me lâche, c'est bon signe. En me rhabillant, je lui fais part de la proposition de Maud d'un plan à quatre avec son mari. J'avoue avoir hésité à lui en parler. Pas trop envie de le partager, mon Damien. Mais hier, Maud m'a relancée et m'a reprochée d'être encore un peu coincée. "Tu ne sais pas ce que tu perds", a-t-elle insisté. Bon, j'ai fini par céder en espérant que Damien refuserait. Tu parles ! Après m'avoir demandé comment était Maud, il a accepté avec enthousiasme. Je n'allais pas lui dire que ma copine est une mocheté. Le plan à quatre est donc acté. Reste à prévenir Maud et à lui demander de l'organiser. Je ne vais pas en plus m'en occuper, faut pas charrier, hein ?

Jeudi
Rendez-vous est pris pour après-demain soir. Maud organise tout. Je flippe, je flippe...

Dimanche
Avis à la population : j'ai accompli hier soir mon premier quatuor. J'en suis encore toute chamboulée et mon mari rentre ce soir. J'espère qu'il ne va s'apercevoir de rien. J'ai l'impression que je ne suis plus la même, qu'il va se demander qui est cette femme qui vit chez lui. Mais revenons en arrière.
Je suis arrivée cinq minutes avant Damien chez Maud et son mari Alexandre. C'est moi qui ai fait les présentations. Damien avait fait un effort : il n'était pas en short mais en jean et tee shirt propres. Ses gros biceps et tatouages bien en évidence. Maud lui a fait tout de suite des minauderies qui m'ont prodigieusement agacée. Mais Alex, son mari, est un homme charmant qui a compris la situation et m'a prise en charge avec tact et douceur. J'avais mis une petite robe toute simple, sans soutif, et un string. Maud était quasiment à poil avec sa mini jupe au ras du bonbon et un corsage à moitié déboutonné devant, évidemment sans rien dessous, en haut comme en bas. Damien a eu tout de suite les yeux fixés sur elle. Elle puait le sexe, cette salope. Mais bon, comme dit l'autre, on n'était pas venu pour beurrer des sandwiches.
Encore que.
.. Justement, Maud avait préparé des amuse gueule avec du punch pour nous mettre en train. Je tiens mal l'alcool et après deux verres, je riais toute seule comme une cruche. Je ne faisais même plus attention à Maud et Damien qui se pelotaient et se bécotaient sur le canapé. Alex était tout câlin avec moi et je me suis aperçue un peu tard que mon string gisait sur le tapis.

Après, tout est allé très vite. On s'est retrouvé à quatre sur le lit XXL du couple hôte. A poil, bien entendu. Je ne me suis même pas rendue compte qu'Alex me retirait ma petite robe. Par contre, j'ai vu sa queue qu'il me mettait sur le nez et par réflexe, je l'ai gobée. Occupée, je n'ai pas vu tout de suite que Maud et Damien était en plein 69, elle dessus. Cela m'a fait drôle de voir un couple baiser à quelques centimètres, a fortiori avec mon lover concerné. Quand Alex m'a enfilée par derrière, j'avais une vue plongeante sur Maud en train de quasiment avaler les boules de mon Damien tout en le branlant. Quelle cochonne ! Mais je n'avais encore rien vu puisqu'elle s'est mise à lui lécher le trou du cul. Mais quelle cochonne ! Et l'autre qui gémissait tant elle lui faisait du bien. Une rude leçon. Soyez cochonne avec un homme, il vous le rendra au centuple.

Car après, quelle séance. Il s'est propulsé en elle et s'est mise à l'assaisonner de coups de bite pendant qu'elle lui mettait un doigt dans le cul. Mais quelle cochonne ! Pendant qu'Alex me limait consciencieusement, je voyais les pieds de ma Maud s'agiter en tous sens dans le dos de mon Damien, tantôt tout en l'air, tantôt croisés dans ses reins pendant qu'elle remuait sous lui comme une furie. Je vous dis pas la sono dans la chambre. Heureusement qu'il n'y a pas de voisins immédiats. J'ai pu alors admirer la souplesse de ma copine. Elle mettait ses pieds au ras des oreilles de Damien qui la pliait en deux et la transformait en lasagne avec plusieurs couches de chair.

Cela a dû donner des idées à mon partenaire car il m'a couchée sur le dos et s'est mis lui aussi à me marteler de sa queue mais je ne suis pas aussi souple que Maud et je me suis contentée de bien écarter les jambes.
J'ai un peu oublié le spectacle porno voisin car Alex commençait à me faire vraiment de l'effet. Je lui ai mis aussi un doigt dans le cul (je progresse) et ça a redoublé son énergie au point que j'ai commencé à perdre les pédales. J'ai eu un bref éclair de jouissance et quand j'ai ouvert les yeux, Maud plongeait son regard dans le mien, à quatre pattes, en train de se faire fouailler en levrette par mon poilu. Elle avait détaché ses cheveux blonds qu'elle avait noués au début pour le 69, je présume. Visiblement, enfoncé en elle, Damien se régalait d'autant qu'elle venait chercher sa bite à grands coups de cul. Elle baisait à fond, sans retenue, et ce spectacle de ma copine en pleine extase, jamais je n'aurais imaginé en être le témoin oculaire. Et jamais je n'aurais cru trouver ça parfaitement naturel pendant que je me faisais baiser moi-même.

- C'est bon, tu jouis ? m'a-t-elle demandé dans un souffle entre deux râles, son haleine tiède et haletante contre ma joue.
J'ai fait oui de la tête. J'ai senti sur le nez un postillon de sa salive lorsqu'elle a poussé une exclamation de plaisir. La grosse bite de Damien la faisait exulter, j'entendais le "floc floc" de leur union signalant à quel point Maud mouillait et j'étais heureuse pour elle. Il faut dire que j'étais aussi en extase. Je sentais l'orgasme monter en moi, autant pas l'effet de la bite d'Alex que de l'ambiance torride dans la chambre. Maud allait chercher les couilles de Damien en glissant sa main entre ses jambes. Je prenais grâce à elle une leçon de sexe en direct live. J'ai remué autant que j'ai pu avant qu'Alexandre m'invite à le chevaucher. Du coup, Maud a fait pareil et on s'est retrouvé face à face en train d'échanger nos impressions. C'était surréaliste. 'T'as tes gros nichons qui ballottent" me dit-elle pendant que je cavale sur la bite d'Alexandre. "Tu grimaces quand tu baises", je lui réponds. "Tu l'aimes, la bite de mon mari, hein ?" me dit-elle. "Et celle de mon amant, elle te plait ?" je lui réponds. Et tout à l'avenant si bien qu'on s'esclaffe et Damien glisse : "arrêtez de rigoler, ça va nous faire débander".

Du coup, on a fait une petite pause et on s'est mis à discuter de cul, évidemment. Maud voulait que les mecs me prennent à deux. J'ai demandé des explications et j'ai compris qu'ils voulaient m'enfiler l'un dans le petit trou, l'autre dans le grand. Maud voulait que ce soit son mari qui me sodomise. Damien désirait que ce soit lui. Finalement, ce serait les deux à tour de rôle. Cela s'est plutôt bien passé, c'était une expérience totalement inédite pour moi mais quand ça a été le tour de Maud, elle a joui bien davantage. Son petit cul virevoltait sur la grosse bite de Damien et je n'aurais jamais cru qu'il ait pu entrer en entier en elle aussi facilement. Question d'habitude sans doute. La nature réserve des surprises. Alex a éjaculé le premier, Damien, décidément inépuisable, nous a encore servies à tour de rôle avec une régularité de métronome. C'est vraiment un baiseur extraordinaire. J'ai fini par demander grâce et il s'est polarisé sur Maud qui lui griffait les fesses en l'encourageant à continuer. Alex regardait en s'astiquant la queue, nullement rebuté par la jouissance de sa femme avec mon poilu. Un vrai candauliste, celui-là. Maud a fini par lui tirer son jus en le suçant. Sacrée Maud. Elle m'en aura appris, des choses, dans cette soirée. Je ne la verrais plus tout à fait de la même manière. Et moi, je ne verrai plus mon mari sous le même angle. J'aimerais bien qu'il soit comme Alex.

Un mois plus tard

Il s'en est passé des choses depuis ma nuit chez Maud, bien éloignée du film de Rohmer. Elle m'a piqué mon Damien, cette salope. J'aurais dû m'en douter. Ils baisaient trop bien ensemble. Je l'ai compris quand mon poilu ne prenait plus mes appels au téléphone et quand Maud n'a plus donné signe de vie. J'ai fini par aller la voir et elle m'a tout avoué. "Tu comprends, sa bite est faite pour ma chatte et ma chatte pour sa bite, c'est aussi simple que ça", m'a-t-elle avoué. Un peu court car ça allait aussi très bien entre nous. Mais voilà, Maud est un vrai canon alors que je ne suis qu'une femme ordinaire. Le principe de réalité sexuelle a fonctionné dans notre affaire. Toutefois, j'ai eu ma petite revanche. Damien a fini par se barrer avec un sac à dos sur les routes du sud, laissant Maud en plan. Il est redevenu ce qu'il est, c'est à dire un routard. Du coup, Maud a renoué avec moi pour se faire consoler. Bonne fille, je me suis réconciliée avec elle. Après tout, elle a contribué à ce que je suis aujourd'hui, c'est à dire une libertine. Je suis en train de convaincre mon mari de m'accompagner dans un club échangiste. L'adultère légal, quoi de plus confortable ? Et si en plus il prend plaisir à me voir baiser avec d'autres, il sera devenu candauliste comme Alex. Je sens que je suis entrée dans la quarantaine rugissante...

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!