La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1532)

L’esclave salope au Château (suite de l'épisode précédent N°1531) –

Je commence à embrasser Ses pieds, dans l’espoir de Lui montrer ma gratitude et ma profonde et éternelle reconnaissance... D’un claquement de doigts, le Châtelain me fait relever, et à nouveau Il me caresse délicatement la tête. Sentir la main du Noble me fait tellement de bien, je me sens tellement heureuse, tellement pleine, épanouie, je me sens être ce que je suis, oui être un animal de compagnie récompensé par une simple caresse affective. A genoux, aux pieds du Maitre debout et me domine de toute Sa hauteur. Je pose alors doucement ma tête sur Sa cuisse et enroule mon bras autour de Sa jambe avec ce sentiment profond d’être ainsi protégée, apaisée. Je ne peux expliquer cette sensation qui m’habite et que je ressens à cet instant. Je souhaite sentir le Maitre, sentir Son toucher, sentir Sa présence, le sentir en moi. Ce moment et tellement fort, tellement puissant, de toutes les sensations que j’ai ressenties aux pieds de Monsieur le Marquis depuis mon arrivée, celle-là doit bien être l’une des meilleurs, des plus fortes. Je suis devenue pleinement et à jamais Sa propriété la plus absolue. Et j’en ai même la preuve gravée à jamais en moi par ce tatouage, marque d’appartenance totale. Je suis aussi tellement reconnaissante envers le Maitre d’être resté à côté de moi durant la durée du tatouage...

Nous restons ainsi un long moment sans bouger, le Maitre debout et moi la tête posée sur sa cuisse, lui qui me caresse avec tendresse. Et je sais que maintenant encore plus qu’avant, notre relation sera encore plus forte. J’ai tellement à dire au Châtelain, je souhaite le supplier de me laisser la parole, mais je suis incapable de m’exprimer à nouveau devant tout ce monde, je ne doute pas que le Noble sait que je souhaite m’exprimer et que je pourrais le faire en temps voulu quand nous serons seuls. Pour le moment, j’attends juste le bon vouloir de Monsieur le Marquis pour la suite de cette soirée, avec l’espoir le plus sincère de réussir à Le satisfaire, et à lui apporte du plaisir, le plus de plaisir possible, seule cette perspective de Le satisfaire pleinement et en tout, me rend heureuse et me fait ressentir être à ma place.



Petit à petit, je réalise que la soirée continue. Certains soumis entièrement nus du Maitre sont venus pour servir les invités, d’autres tous aussi dénudés, font le service et se promènent dans la salle avec des plateaux dans les mains. Le Châtelain att ma nouvelle laisse et d’une pression m’exige de Le suivre. C’est heureuse et à ma place que je suis le Noble jusqu’à Sa chambre. Puis, Il me fait prendre place en position d’attente au milieu de la pièce. Là, c’est comme si le temps s’arrêtait, les évènements de cette soirée me reviennent en tête, sans même le réaliser je m’assoie par terre, et j’observe mon tout nouveau tatouage, d’une main je le caresse délicatement, ne réalisant pas encore sa présence. Petit à petit un sourire se forme sur mes lèvres, pendant que je caresse mon tatouage, je suis tellement moi-même, intimement, profondément. C’est Monsieur le Marquis, d’une forte pression sur mes cheveux qui me ramène à la réalité et c’est seulement maintenant que je réalise avoir bougé de position sans l’autorisation du Maitre…

- Mon esclave MDE, visiblement tu es heureuse et la seule chose qui te sauve de la faute que tu viens de faire à bouger de position sans Mon autorisation, c’est l’excitation que je sais que tu ressens face à ton nouveau statut d’esclave MDE. Tout comme à notre première rencontre, je comprends ce surplus d'émotions, alors pour cette fois je passe l’éponge, mais attention, que cela ne se reproduise pas, n’en parlons plus. Maintenant dis-moi, que souhaitais-tu Me dire dans la salle après le tatouage ? Je t’autorise à t’exprimer librement, Ma chienne salope MDE…

J’ai tellement à dire que je ne sais pas par où commencer, je ressens tellement de choses, des sensations les unes plus incroyables que les autres… C’est très émue que je m’exprime :

- Maitre Vénéré. Si Vous saviez combien je suis heureuse d’être devenue une esclave MDE, Votre esclave MDE, de porter enfin Vos Initiales, d’être Votre propriété la plus absolue, de Vous appartenir entièrement et à vie.
Et de m’avoir marquée à vie mon appartenance envers Vous par cet incroyable tatouage absolument magnifique. J’en suis tellement chanceuse de porter Votre fameux blason de Vos Armoiries dans ma peau, là placé juste au-dessus de mon sexe, c’est un tatouage fort en symbole, la plus grande marque visuelle que je suis Votre propriété…. Alors merci pour la confiance que Vous portez en moi, merci pour tous les incroyables moments que j’ai la chance de vivre à Vos pieds. Merci de tout ce que Vous faites pour moi, je suis heureuse, tellement épanouie de Vous avoir rencontré, oui je m’épanouie tellement à Vos pieds, Maitre. Et je souhaite que Vous sachiez, Maitre, que je Vous aime, oui je Vous aime tellement, et que je suis sincèrement heureuse à Vos pieds…

Quand je finis de parler, le Châtelain me relève la tête avec Ses deux mains, et m’embrasse à nouveau, dans un baiser tendre et aimant, séchant de Son doigt ma larme de bonheur qui coule sur ma joue, pour ensuite d’une pression subite sur mes cheveux me forcer à me relever. Une fois que je suis debout, le Noble m’att avec Sa main à mon collier et me fait déplacer, derrière Lui en me tirant pour arriver près de Son lit. Alors, Il me jette dessus, allongée sur le ventre de façon à Lui offrir mon cul et me laisse ainsi durant quelques minutes, allant dans une petite pièce attenante. A Son retour, j’entends le bruit de quelque chose fouettant l’air.

- Mon esclave MDE, j’ai une cravache dans la main et je vais faire rougir ton cul avec. Sache que ce n’est pas une punition, mais juste pour Mon bon plaisir parce que Je le veux, parce que Je veux voir ton cul rougir. Tu vas compter chaque coup à haute voix et clairement, et tu me remercieras, si tu oublies un coup, si tu te trompes dans le compte, ou si tu oublies de me remercier à chaque coup, on recommencera de zéro, autant de fois qu’il faudra, jusqu’à qu’on atteigne le nombre que j'ai décidé.

C’est sur Ses mots que le Maitre me donne un premier coup assez léger sur les fesses.


- 1, merci Maitre

Monsieur le Marquis laisse quelques longues secondes passer avant le prochain coup, Il me caresse les fesses avec la cravache, avant de me frapper de nouveau.

- 2, merci Maitre

Et ainsi de suite, les coups s’enchainent. Au dixième coup, le Châtelain s’arrête pendant quelques minutes. A chaque coup, Il mettait un peu plus de force qu’au précédent. Il me caresse délicatement les fesses de nouveau mais cette fois-ci avec la cravache. A chaque fois que je sens la cravache qui s’approche de moi et qui commence à me toucher, j’ai un léger sursaut, prête à recevoir un nouveau coup, mais c’est juste des caresses qui touchent ma peau. Mon excitation augmente, mon bas-ventre réagit à ce bon traitement et je suis trempée, je sens ma mouille couler sur mes cuisses. Quand enfin je me détends un peu et ne sursaute plus au toucher de la cravache, le Noble me donne cinq nouveaux coups, qui s’enchainent et j’ai à peine compté et remercié le Maitre qu’un nouveau coup arrive. Ces derniers coups sont plus forts que les dix premiers. Et il m’est très dur de continuer à parler pour compter et remercier le Maitre entre chaque coup, pourtant je tiens bon.

Je sens la main de Monsieur le Marquis qui att empoigne mes fesses, qui me les malaxe, les caresse, et je suis encore plus enclin à mouiller, je fais des mouvements avec mon bassin, telle une chienne en chaleur souhaitant se faire prendre, se faire défoncer. L’envie de jouir est bien présente, rien que par le toucher du Maitre, surtout quand ce dernier vient fouiller mon sexe entre deux caresses sur ma coupe arrondie. Alors des gémissements sortent de ma bouche. Le Noble descend de nouveau Sa main vers mon sexe et continue à fouiller mon humidité, mais plus intensément, car cette fois, Il me doigte, et en même temps de Son autre main, il vient me branler le clitoris. Rapidement, il fait des petits cercles masturbatoires et intenses, mettant une forte pression sous Ses doigts en mouvement sur mon petit bouton rose décapuchonné, alors qu’un de Ses doigts fait de vigoureux va-et-vient profond dans mon vagin trempé.
Puis Il finit par retirer Ses mains, juste quand j’étais au bord de l’orgasme qui s’annonçait explosif, mais que j’ai pu retenir à temps… Ensuite, j’entends la ceinture du Maitre se défaire et Son pantalon tomber sur Ses chevilles, puis IL retire Ses chaussures et ledit pantalon et enfin Son caleçon. Le Châtelain me tire les cheveux en arrière en m’enfonce quelque chose dans la bouche pour faire office de bâillon.

- Si tu voyais comme tu me fais bander Ma chienne, Ma putain. Une grosse salope, c’est tout ce que tu es, une grosse et belle salope, Ma pute, Mon esclave, Mon objet de plaisir. Tu vas garder Mon caleçon en bouche qui te sert de bâillon et tu n’as pas intérêt à le retirer de ta bouche de chienne en chaleur…

Sur Ses mots, le Maitre reprend la cravache, et me donne des coups sur le haut des cuisses, sur mon dos, sur mes fesses. Je prends même quelques petits coups sur mon sexe trempé, je suis tellement excitée, tellement en chaleur, mes gémissements sont étouffés par le bâillon, mes supplications aussi.

- Oui Ma chienne, tu souhaites jouir, ça t’excite, hein ! Te faire cravacher par le Maitre, et bientôt tu va te faire prendre par Moi, par Ma grosse queue qui va te baiser, te besogner, qui va te défoncer ton cul de pute, mais pour le moment tu n’as pas intérêt à jouir, la chienne.

Monsieur le Marquis me donne encore quelques coups, avant de lâcher la cravache quand je sens Sa volumineuse hampe dressée et Son gros gland violacé se présenter devant ma raie anale pour venir forcer mon petit trou et d’entrer dans mon cul, d’un seul coup de reins puissant et viril qui me possède entièrement. L’intromission est sans appel et subite. Ensuite une fois le passage , le Noble fait des allers-retours dans mon cul d’abord doucement, prenant le temps d’habi mes parois anales à se dilater, et pendant ce temps, Il fait passer Ses mains en dessous de mon ventre pour venir malaxer mes seins qu’il empoigne ensuite en pinçant mes tétons. Mes gémissements sont de plus en plus fort, de plus en plus puissants, l’envie de jouir et de plus en plus présentes, surtout quand le Châtelain accélère désormais ses coups de boutoir qui génère une saillie animale, bestiale, où Il me possède jusqu’à la garde. Ses couilles venant frapper mes fesses à chaque coup devenant de plus en plus profond… Et pourtant je ne peux pas jouir sans l’autorisation du Maitre. Ces coups de reins se font donc plus forts, plus puissants. D’une main, le Maitre me caresse un sein et de l’autre Il me branle le clitoris alors qu’Il est en train de m’enculer. Après ce qui me parait une éternité délicieuse, le Maitre m’autorise enfin à la jouissance et nous jouissons ensemble, en parfaite et totale osmose, dans un fracas de râles orgasmiques et sonores... Après s’être remis de Sa forte éjaculation au plus profond de mes entrailles, le Maitre se retire de mon cul, me retourne et me donne Sa divine Verge à nettoyer.

- Ma chienne, ce soir tu auras la chance et l’honneur de dormir avec Moi, de partager Mon lit, tu l’as mérité…

C’est après m’avoir mis un plug dans le cul que le Châtelain s’allonge et m’emporte avec lui, ma tête posée sur Son épaule, dans Ses bras, le Noble m’embrasse le front, me berce, et juste avant de m’endormir, j’entends le Maitre me chuchoter dans mon oreille.

- Tu es toute à Moi, Mon esclave MDE, Ma salope…

(A suivre …)

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