Maëlys Et L'Inconnu _ Chapitre 3 : Soumise À Son Contrôle

- « Maintenant tu vas me sucer ! » affirma l’homme avec autorité.

Elle ne répondit pas, observant avec un peu de crainte le large et puissant sexe de son dominant partenaire qui pointait droit vers sa bouche.
Sentant le soudain malaise, il enchaîna avec autorité :
- « Qu’est-ce qu’il y a ? Je ne veux pas croire une seconde que tu n’en meurs pas d’envie petite coquine. »
Maëlys lui répondit timidement :
- « Non ce n’est pas ça. C’est juste que je n’ai jamais sucer quelque chose d’aussi gros » s’exprima-t-elle à voix basse.
- « Ne t’inquiète pas ma belle, tu vas faire ça à ton rythme. » assura-t-il avant d’enchainer avec autorité « Allez ! Tais-toi et suce ! ».
Intimidée, mais aussi excitée par la dernière intervention de l’homme qui lui rappelait qui était le dominant dans cette histoire, la jeune fille reprit position face à cet énorme membre. Elle le saisit des deux mains pour le diriger plus facilement avant que son mystérieux partenaire réaffirme de nouveau son autorité :
- « Non petite salope ! Tu n’as pas besoin de tes mains ! » lui lança-t-il.
Elle s’empressa de les retirer pour les déposer sagement sur ses cuisses. Maëlys fixait du regard ce gros gland rose qui s’élargissait rapidement vers cette épaisse verge au teint clair. Ce phallus était assurément le plus beau qu’elle ait jamais croisé mais elle se demandait encore si elle allait vraiment être à l’aise avec ce monstre dans la bouche. Partagée entre crainte et excitation, elle se motivait une dernière fois :
- « Allez, ça va le faire ! » pensa-t-elle.
La jeune étudiante approcha sa bouche entrouverte du membre de son partenaire. Elle sentit une chaleur agréable lui parvenir alors qu’elle laissait glisser ce gland gonflé entre ses petites lèvres rose bonbon. Ces dernières s’écartèrent de plus en plus pour prendre la forme de l’épais sexe que la jeune fille faisait progresser doucement à l’intérieur de sa bouche…millimètres par millimètres.

Le gland avait désormais entièrement pénétré dans sa bouche et elle continuait à faire avancer l’imposant membre. Le prépuce rentra à son tour et elle sentit la large verge rigide élargir encore plus ses lèvres. Décidant de s’arrêter là, Maëlys constata qu’elle ne devait même pas avoir un quart du pénis de son partenaire dans la bouche. La brunette se dit à cet instant qu’elle n’avait jamais eu quelque chose d’aussi gros à l’intérieur. Elle ressentait sa mâchoire étirée par cet épais calibre et sa langue obligée de rester plaquer tout contre son plancher buccal. La jeune fille laissa la moitié de ce qu’elle venait d’insérer à l’intérieur de sa petite bouche ressortir avant de renouveler l’opération. Elle tentait à chaque aller-retour d’accen la succion et les caresses de sa langue sur la partie inférieure de cet énorme sexe. Maëlys sentait ses lèvres s’élargir et se rétracter au rythme des va-et-vient. Les compliments gémissant de son mystérieux inconnu ne se firent pas attendre bien longtemps :
- « Humm c’est parfait ma belle ! Mais oublie pas, regarde-moi ! » lui lança-t-il.
Concentrée sur ce membre hors normes, elle avait encore oublié cette consigne qui semblait très importante pour son dominant partenaire. La jeune fille corrigea rapidement le tir en regardant ces grands yeux gris qui l’observaient attentivement. C’était très excitant comme situation, soumise à cette position, elle suçait cet imposant sexe et commençait réellement à y prendre du plaisir. Tout était sujet à accen son désir : la sensation de ce gros membre qu’elle faisait coulisser entre ses lèvres, le gout de cet inconnu qui commençait à lui parvenir, le fait qu’elle ne pouvait pas se servir de ses mains, que son regard ne devait pas se détourner de celui de cet homme. Rajoutez à cela les mots crus réguliers de ce dominant personnage à son attention et vous obtenez une petite chatte trempée au bout de quelques minutes de gâterie.
- « Oh bon sang ! Qu’est-ce que tu pompes bien petite salope ! continue comme cela ! » gémit-il, encourageant ainsi la jeune étudiante à ne pas s’arrêter.

La brunette le suçait doucement et sensuellement. A cet instant, elle prenait tellement de plaisir qu’elle ne voulait surtout pas que cela s’arrête. Il ne fallait pas qu’il jouisse tout de suite pensait-elle car cela serait trop frustrant. Par le passé, Hugo avait parfois eu du mal à se retenir de jouir pendant les fellations, mettant ainsi fin aux ébats et gâchant le plaisir de la jeune fille. Ici, elle avait compris qu’elle n’aurait pas le plaisir de sentir ce gros jouet pénétrer sa petite chatte humide. Et, se rappelant la largeur hors normes de ce sexe, ce n’était finalement pas plus mal pensa-t-elle. Mais elle voulait que cela dure encore un peu.
- « Bonne fille ! » lui lança-il alors qu’elle s’appliquait à le sucer toujours avec la même douceur.
Puis il enchaîna :
- « Comme tu as été bien docile ma belle, fais comme tu le sens à partir de maintenant. Je te laisse un petit moment pour que tu t’amuses comme tu as envie avec ma grosse queue. Montre-moi que tu peux être une bonne petite coquine sans que j’aie à te guider. »
Cette consigne n’était pas vraiment dans le deal de départ où lui devait dominer et elle devait se soumettre. Cependant, elle ravit Maëlys que l’excitation avait rendue d’humeur joueuse. Elle retira l’énorme gland d’entre ses lèvres pour s’exprimer mais ne trouva tout simplement rien à dire de bien adapté à la situation.
- « finalement, c’est lui qui avait raison : tais-toi et suce Maëlys » se dit-elle.
Elle renfourna le gros sexe de l’homme dans sa petite bouche et recommença à le sucer. Mais cette fois, étant donné qu’elle pouvait prendre des libertés, elle ajouta à sa pipe une douce masturbation. D’abord avec sa main droite, tout en gardant son regard pointé vers celui de son partenaire qu’elle entendait gémir une nouvelle fois. Puis ces gémissements s’accentuèrent quand elle ajouta sa seconde main qui n’était finalement pas de trop. Elle jeta un rapide coup d’œil devant elle pour se rendre compte qu’entre ses deux mains qui le branlait et sa bouche qui le suçait, elle ne recouvrait même pas la totalité de ce gros calibre.
La jeune fille gardait un rythme lent et doux. Elle sentait entre ses mains ce phallus rester dur comme de la pierre. Au bout de quelques secondes, elle décidait de retirer ce gros membre de l’intérieur de sa bouche où il semblait si bien. Maëlys avait encore envie de le lécher comme elle l’avait fait plus tôt. C’est avec les mains à plat sur la paroi face à elle et sans détourner son regard des grands yeux gris de l’homme qu’elle laissait glisser sa langue humide le long de cette large verge au teint clair, faisant de grands et lents allers-retours. Lorsqu’elle revenait vers le gland, elle tournait autour avec sa langue ce qui faisait frémir l’homme. La brunette avait envie de se biffler de nouveau, rien que pour sentir à quel point cet énorme calibre était dur. Mais aussi pour le provoquer encore un peu plus maintenant qu’elle était libre de faire comme elle le désirait. Elle arrêta donc de balader sa langue pour saisir le sexe de son partenaire à sa base. La jeune fille présenta sa joue droite et fit percuter l’énorme gourdin contre cette dernière, le tout en défiant du regard l’homme qui l’observait d’en haut. Cette fois, dominée par l’envie, elle y avait mis plus de force.
- « Mon Dieu qu’est-ce que ce machin est rigide ! » pensait-elle alors que, étonnée par l’impact, sa bouche décrivait un « O ».
Ce dernier ne réagissait qu’en lui lançant des petits gémissements de plaisir qui confirmait à Maëlys que sa manière de faire lui plaisait. Par la suite, elle continua à le sucer avec douceur et application pendant quelques secondes avant de s’intéresser une nouvelle fois à ces énormes testicules. Son ex petit ami Hugo adorait lorsqu’elle lui suçait en l’aspirant complétement dans sa bouche…elle tenta de faire la même chose ici mais sans succès, elles étaient bien trop volumineuses. Elle se contenta d’aspirer ce qu’elle pouvait en faufilant sa bouche en dessous de ces dernières, sentant ainsi ces grosses boules pesantes sur ses petites lèvres. La jeune fille adorait varier ses caresses buccales en donnant de grand coup de langue sur ces imposantes sphères.
La douceur de cette peau lisse était agréable et l’excitait. De son côté, il gémissait de plus en plus fort.
- « Il va bientôt craquer » se dit-elle.
Elle remonta jusqu’à son gland en faisant glisser sa langue le long de cette grande verge pour enfiler de nouveau ce gros joujou dans sa bouche. Elle aspirait doucement en regardant en l’air, saisit d’une main la verge pour la masturber avec soin et, avec l’autre main, palpait ses testicules remplis.
- « Oh putain ouais » gémit-il
- « Il a l’air de vraiment prendre son pied » pensa-t-elle en s’attendant à recevoir le fruit du plaisir de son partenaire sur elle. Elle espérait d’ailleurs qu’il préviendrait car elle détestait qu’on lui éjacule dans la bouche. Non pas qu’elle n’aimait pas le gout mais la quantité et la texture avait quelque chose d’écœurant. Elle préférait de loin qu’on fasse cela sur son corps ou sur ses seins.
- « Pervers comme il est, il voudra surement jouir sur mon visage. » pensa-t-elle. L’idée ne lui déplaisait pas, elle l’avait déjà fait avec Hugo. Et même si cela demandera beaucoup plus de nettoyage, elle préférait de loin cette version à celle de devoir accueillir du sperme dans la bouche.

Alors qu’elle sentait entre ses lèvres et ses mains ce sexe plus ferme et plus gros que jamais, il l’arrêta :
- « Tu te débrouilles vraiment bien petite coquine. » complimenta-t-il avant d’ajouter « enlève ton soutif et montre-moi ces jolis seins. »
Surprise, Maëlys retira le sexe de sa bouche et se figea. D’un côté elle avait une réponse à sa dernière interrogation, il voudrait surement exploser sur sa poitrine. De l’autre, elle était assez gênée à l’idée de lui dévoiler la partie de son corps qui la complexait le plus. Résignée à jouer la petite soumise jusqu’au bout, elle quitta la position cambrée et se redressa. D’un geste habile, elle dégrafa son soutien-gorge qu’elle retira dans la seconde qui suit, libérant ainsi ses seins de l’emprise du tissu. Légèrement mal à l’aise de se dévoiler ainsi, la jeune fille apprécia malgré tout cette sensation de liberté.
- « Ils sont magnifiques ! » lança la voix de l’homme.
Elle rougit une nouvelle fois alors qu’elle se rendait compte que ses tétons roses pointés, résultat de l’excitation qu’elle ressentait depuis de nombreuses minutes. La jeune fille presque nue attendait patiemment la nouvelle consigne qui mènerait son partenaire à l’extase et mettrait surement fin à cette aventure. Quel fût alors son étonnement quand l’homme reprit la parole :
- « Et si on arrêtait de jouer maintenant ? » questionna-t-il.
- « Euh…commença ça ? répondit-elle étonnée.
- « Depuis tout à l’heure, je te laisse t’amuser gentiment avec ma queue. Tu me suces comme une petite princesse et je dois avouer que tu te débrouilles très bien. La preuve, tu me fais bander comme un taureau ! »
Maëlys lâcha du regard les yeux de l’homme pour fixer son attention sur le gros sexe en érection de ce dernier qui pointait à quelques centimètres de son visage. La vue de ce membre puissant et parfaitement dessiné l’excitait toujours autant. La taille ne l’avait jamais fait fantasmer plus que ça mais cela rajoutait du piquant à tout ce qui se passait depuis le début de la soirée. Elle se disait du coup en l’observant que l’expression « bander comme un taureau » était plus que bien choisit.
- « Mais maintenant je n’ai pas envie de me faire sucer par une princesse, j’ai envie de me faire sucer par une bonne petite salope soumise à ma grosse queue ! » continua alors l’homme.
La jeune fille se demandait alors comment elle pouvait en faire plus. Elle avait déjà en quelques minutes osé plus que lors de ses vingt-deux dernières années. Elle ne protesta pas de peur de se faire de nouveau rembarrer par son dominant partenaire.
- « Tu vas obéir sagement à tout ce que je te demande d’accord ? » lui demanda-t-il.
Partagée entre la peur et l’excitation de ce qu’il aller exiger d’elle, Maëlys hocha la tête. Elle était de toute façon coincée, sachant que l’homme aurait raison d’elle comme depuis le début de cette aventure.
- « Bonne fille ! » réagit-il avant de continuer :
- « Allez recambre moi ce joli petit cul et poses tes deux mains sur la paroi, je ne veux pas les voir ailleurs. » ordonna-t-il.
Maëlys déposa la paume de ses mains de chaque côté du trou afin de prendre appui sur la paroi face à elle, les bras légèrement fléchis. Puis cambra légèrement pour retrouver sa position.
- « Et regarde-moi ! » ajouta l’homme.
Elle leva les yeux une nouvelle fois en direction de ces grands yeux gris qui la contemplait à travers la fente.
- « Humm j’adore ces yeux de biche…et ce maquillage de petite salope sexy…un délice » affirma l’homme.
La jeune fille se demandait encore pourquoi elle adorait qu’il lui parle ainsi. Elle aurait passé des heures à se caresser en écoutant cette voix virile lui balancer toutes sortes de mots crus.
- « Enfonce ma queue dans ta petite bouche » ordonna l’inconnu.
L’étudiante obéit sagement en écartant ses lèvres pour laisser glisser le gros gland de son partenaire à l’intérieur de sa bouche. Une fois le gland entièrement rentré, ce qui était déjà un beau morceau pour la jeune fille, l’homme l’arrêta net :
- « Stop ! » lança-t-il
Maëlys s’arrêta net avec le large sexe en bouche.
- « Cambre un peu plus » ordonna l’homme.
Gardant le gros pénis de son partenaire entre ses lèvres, Maëlys recula ses genoux au sol pour accen fortement sa cambrure. Elle sentait la ficelle de son string lui rentrer encore un peu plus entre les fesses.
- « Parfait ma belle ! Quel joli petit cul tu as ! » complimenta-t-il alors que la jeune fille constatait qu’il regardait ses fesses dans le miroir derrière elle.
Il ajouta :
- « Garde bien cette position petite coquine »
Maëlys pensait qu’en effet, dans cette posture, elle était plus salope que jamais. Finalement c’était peut-être mieux que ce pervers prenne complètement les commandes. Elle n’avait jamais auparavant cambré autant sa silhouette pour un garçon. La brunette était tout excitée, sentant qu’elle mettait presque à découverts son petit trou et sa petite chatte, ces derniers simplement protégés de la vue de son inconnu par le léger tissu blanc qui constituait son string.
- « Suce-moi tout doucement maintenant. » ordonna l’homme.
La jeune femme recommença à sucer avec tendresse, sentant ses lèvres s’élargir afin d’épouser la forme de cette large verge.
- « Ne t’arrêtes pas ! » continua-t-il.
Elle n’en revenait pas à quel point suivre les consignes de cet inconnu au membre hors normes la faisait mouiller. Elle aurait eu très envie de glisser une main entre ses cuisses pour accen son plaisir pendant qu’elle le suçait.
Alors qu’elle était en train de ressortir le sexe de quelques centimètres avant de le rentrer à nouveau, l’inconnu la contraignait à une nouvelle consigne :
- « Plus loin » ordonna l’homme.
Surprise de cette demande difficile à réaliser, elle obéit sagement en enfonçant le sexe un peu plus au fond, sentant que sa petite bouche était complètement remplie de ce gros morceau de chair ferme.
Alors qu’elle retirait le phallus centimètre par centimètre, l’inconnu continuait d’imposer ses exigences :
- « Encore plus profond petite salope ! »
Cette fois, la jeune fille laissa glisser le gros membre bien plus loin à l’intérieur de sa bouche. Lorsqu’elle sentit que le gland épais de son partenaire commençait à frôler sa luette, son visage se crispa. La sensation avait quelque chose de légèrement désagréable. Mais lui à l’inverse semblait adorer ça :
- « C’est exactement ça ! continue ne t’arrête surtout pas tant que je ne te le dis pas ! » lança-t-il.
Elle garda un rythme doux et une amplitude tout aussi profonde. Elle se sentait saliver de plus en plus sur le large membre, facilitant ainsi la glissade de ce dernier vers le fond de sa bouche. Maëlys savait ce qui l’attendait, elle semblait se diriger vers ce qui ressemblait à une gorge profonde. C’était la première fois pour la jeune fille. Elle avait souvent imaginé Hugo lui agrippant la tête et la forçant à avaler son sexe plus en profondeur pendant une fellation. Mais en vain, il n’avait jamais aspiré à ce genre de chose et elle n’avait jamais osé lui parler de cette envie. Ici la contrainte ne serait pas physique mais orale. Au final, ce n’était peut-être pas plus mal vu l’énormité du sexe qu’elle devait avaler. De toute façon, avec l’épaisseur de ce dernier, il serait impossible qu’il se faufile dans sa petite gorge. Elle allait faire du mieux qu’elle le pourrait afin de contenter son partenaire.
Au fur et à mesure des allers-retours, elle s’habituait de mieux en mieux à l’impact du gland de l’homme contre sa luette. Cette impression qu’on abusait de sa petite bouche l’excitait encore plus. Cependant, cela faisait maintenant plusieurs secondes qu’elle le suçait ainsi sans pouvoir s’arrêter. Elle sentait alors la salive qu’elle ne pouvait ravaler de plus en plus abondante à l’intérieur. La jeune étudiante avait aussi l’impression que l’air commençait à lui manquer, ayant de plus en plus de mal à respirer avec ce gros truc au fond de sa bouche.
- « humm » gémit-il alors qu’elle continuait à le sucer en profondeur.
- « Ok c’est bon tu peux la ressortir. » lança-t-il.

Il ne fallut pas longtemps à Maëlys pour exécuter cette consigne. Lorsqu’elle retira de sa bouche l’énorme sexe de l’homme, elle prit une grande et bruyante bouffée d’oxygène qui résonna dans les toilettes. Un peu comme après avoir fait de l’apnée dans une piscine. À cet instant, elle constata qu’un filet de bave reliait sa lèvre inférieure au gland de son partenaire. Rapidement, elle retira sa main de la paroi pour l’essuyer en effleurant sa bouche.
- « Non ! » rugit-il en intimidant la jeune femme.
- « Je t’avais dit de garder tes mains là où elles étaient. » ajouta-t-il.
- « Oui, je suis désolé » s’excusa timidement Maëlys.
- « Tu vas être une bonne petite cochonne et laisser cette salive sur ma queue ou dégouliner sur tes seins. À ton avis, pourquoi je t’ai fait retirer ton soutif ? » repris l’homme.
Elle baissa les yeux et observa sa poitrine à nu. Ses deux petits seins fermes pointaient toujours de désir et elle se demandait avec crainte, mêlée à beaucoup d’excitation, à quel point son inconnu comptait lui en faire baver. Elle regarda de nouveau en l’air avant de répondre à voix haute :
- « d’accord ».
- « Pour la peine, je veux que tu me suces encore plus en profondeur ! » imposa de nouveau l’homme.
À cet instant, la jeune femme voulut protester mais, cette fois, elle réfléchit avant de répondre à son dominant partenaire : l’expérience des dernières minutes lui ayant montré que contester les décisions de ce dernier n’était pas vraiment une bonne idée. Elle se disait néanmoins en regardant l’énorme membre en érection qui se dressait à quelques centimètres de son visage que sa petite bouche ne pourrait en accueillir plus.
- « Je veux que tu aies l’impression que c’est cette grosse queue qui te baise la bouche » reprit-il avant tout de même de concéder :
- « Cependant, tu as le droit de reprendre ton souffle quand tu veux ma belle ».
Elle ne se demandait plus pourquoi le fait qu’il ait envie de « baiser » sa petite bouche avec sa « grosse queue » la faisait autant mouiller. La jeune étudiante avait compris que ses envies de soumission lui faisaient perdre la raison. Déterminée à faire de son mieux, Maëlys renfourna cet énorme membre viril à l’intérieur de sa bouche. Elle sentait de nouveau ses lèvres s’élargir pour épouser la large forme cylindrique de l’épaisse verge de son partenaire. Ces dernières glissaient de plus en plus vers l’avant pour atteindre une distance qu’elles n’avaient jamais réussi à parcourir le long de ce sexe auparavant. Cette fois, l’énorme gland était allé tellement profond qu’il n’avait pas juste frôlé la luette de la jeune fille mais l’avait repoussé complètement vers le fond de sa bouche. Son visage se crispa et, malgré l’envie de fermer les yeux, elle les garda grands ouverts en direction des iris gris de l’homme qui la contemplait. Elle se rendit alors compte qu’elle maîtrisait assez facilement l’envie de vomir qui accompagnait cette sensation. A l’inverse, elle ne contrôlait plus du tout l’accumulation de salive qui provenait du fond de sa bouche et qui devint difficilement gérable au bout de quelques allers-retours. Elle ne maîtrisait pas non plus l’étrange bruit qui s’échappait de son gosier à chaque fois qu’elle l’enfonçait. Alors que la jeune étudiante se demandait comment elle allait gérer toute cette bave lorsqu’elle extrairait l’engin, elle l’inséra pour un ultime va-et-vient avant de reprendre son souffle. Cependant, tout ne se passa pas comme elle l’avait prévu car la dernière pression du gros sexe de son partenaire dans le fond de sa bouche étouffa Maëlys qui eut l’incontrôlable envie de tousser. Elle expulsa d’un coup l’ensemble des centimètres de verge qu’elle avait enfoncé, libérant ainsi toute la salive accumulée qui dégoulina sur le pénis de son partenaire. Les toussotements de la jeune fille retentirent dans les toilettes alors qu’elle sentait les nombreux filets de bave qui reliaient ses lèvres à l’épais membre de l’homme. Cette fois, elle avait retenu la leçon, en bonne petite cochonne, elle ne les essuierait pas.
La jeune fille entendit rigoler l’homme alors qu’elle reprenait son souffle.
- « C’est exactement ça ma belle ! Tu as tout compris…continue maintenant. » lui encouragea-t-il.
Le regard en l’air, Maëlys ravala une bonne partie du puissant phallus qui bandait fort à l’intérieur de sa petite bouche…repoussant tout sur son passage jusqu’à l’entrée de sa gorge. Elle sentait que l’ensemble des filets de sa salive qui reliait, il y a quelques secondes, ses lèvres au sexe de l’inconnu s’étaient désormais déposées sur son menton. L’avantage c’était que plus elle salivait, plus l’énorme sexe glissait aisément vers le fond de sa bouche. Elle continuait à faire des va-et-vient lents et profonds qui semblaient vraiment plaire à son mystérieux inconnu.
- « Oh ouais ! pompe-moi bien petite salope » s’exclama-t-il entre deux gémissements virils.
Si on avait dit à Maëlys, elle, la petite fille coquette et bien élevée ; que jouer la petite cochonne ainsi l’exciterait autant…elle ne l’aurait jamais cru. Mais elle était e de constater que cela lui plaisait. De toute façon sa petite chatte trempée ne laissait planer aucun doute. Elle mourait d’envie de glisser entre ses cuisses une de ses mains que son dominant partenaire lui avait ordonné de garder plaquée contre la paroi.
Alors qu’elle sentait de la bave s’échapper d’entre ses lèvres et commencer à dégouliner le long de son menton, elle continuait de sucer l’énorme calibre en profondeur. Lorsqu’elle le ressortit pour respirer, elle baissa les yeux pour observer l’engin. Il était recouvert de sa salive et elle pouvait compter au moins quatre filets de bave qui reliaient ses lèvres au gros gland juste devant elle. Comme la première fois, elle les laissa pendouiller pendant qu’elle reprenait son souffle avant de laisser glisser de nouveau ses lèvres autour de l’attribut viril de son partenaire.
- « Suce-moi plus vite ma belle ! » ordonna-t-il alors qu’elle le regardait droit dans les yeux sentant son énorme gland épouser le fond de sa bouche.
Étonnamment, c’était exactement la consigne que la jeune fille avait envie d’entendre. Sa gourmandise n’arrêtait pas de grandir alors que la contrainte physique que lui imposait son dominant partenaire était très importante. Elle était là, impuissante, n’ayant le droit d’utiliser ses mains immobilisées sur la paroi. Depuis de nombreuses minutes, elle qui était en temps normal plutôt timide, devait soutenir le regard de l’inconnu. Regarder ainsi en l’air lui bloquait littéralement la nuque puisque l’homme avait exigé d’elle une importante cambrure. Ce que la jeune fille avait l’air de faire à merveille vue le nombre de fois qu’elle apercevait la vision de son partenaire s’échapper vers le miroir derrière elle pour admirer ses petites fesses. L’énorme calibre qu’elle suçait depuis quelques minutes lui en faisait baver, au sens propre comme au sens figuré. Au sens figuré car l’épaisseur de l’imposant membre élargissait ses petites lèvres obligeant sa mâchoire à un sacré effort de souplesse. Et au sens propre puisque depuis que ce pervers lui avait demandé d’être la petite cochonne dont il avait envie, elle sentait sa salive dégouliner le long de son menton. Malgré tout cela, et peu lui importait qu’elle doive subir quelques douleurs le lendemain, Maëlys prenait un plaisir fou à être le jouet sexuel de l’homme. Elle accéléra donc le rythme sans broncher. Les bruits qui s’échappaient du fond de sa gorge résonnèrent plus fréquemment dans la cabine. Elle ressentait le gros gland harceler plus souvent sa luette l’obligeant à déverser encore plus de bave autour du membre de son partenaire. Toute cette salive finit par se répandre peu à peu sur ses seins après avoir dégouliné depuis son menton. Elle ne pouvait pas observer ce spectacle mais elle sentait la chaleur de sa bave se répandre sur ses tétons qui pointaient toujours d’excitation.
- « Oh ouais ! » savourait l’homme avant de s’exclamer :
- « Tu vois que tu peux être une bonne petite salope bien cochonne. »
Maëlys retira le gros pénis du fond de sa bouche et lui lança un petit sourire timide malgré les filets de salive qui entouraient ses lèvres.
- « Et en plus tu as l’air d’aimer ça !» ajouta-t-il immédiatement.
La jeune fille ne répondit pas car elle voulait encore garder une certaine forme de pudeur mais ; en effet, elle adorait ça.
- « Allez continue ! J’ai encore envie d’r de cette petite bouche ! » ordonna-t-il à Maëlys qui s’empressa de continuer à le sucer de nouveau avec rythme et profondeur.
Alors qu’elle sentait l’énorme sexe de son partenaire au fond de sa petite bouche, ses yeux grands ouverts en direction de ceux de son partenaire commençaient à devenir humide. Floutant ainsi sa vision et l’obligeant à battre des cils au moins trois fois par seconde. Le gros gland de l’homme qui martelait sa luette depuis maintenant de nombreuses secondes n’avait donc pas pour seules conséquences la salive, l’impression d’ ou l’envie de vomir. Elle sentait un léger picotement au niveau de son œil droit, signe qu’une larme arrivait. La jeune fille voulait faire une pause afin de reprendre son souffle et essayer de gérer l’arrivée de cette larme qu’elle sentait se former au coin de l’œil. Mais son plan fut contrecarré par l’homme qui s’exclama :
- « Humm Bonne fille ! Ne t’arrête pas c’est trop bon ! »
Maëlys n’eut d’autres choix que de continuer à faire glisser ce membre hors normes jusqu’au bord de sa petite gorge. Son œil droit libéra une larme qu’elle sentit dévaler lentement le long de sa joue. Ce spectacle avait l’air de plaire à son pervers de partenaire qui prit de nouveau la parole.
- « Oh ouais j’adore te voir faire tous ces efforts pour ma grosse queue ! lui lança-t-il en gémissant.
La jeune femme reprit son souffle rapidement et continua sa fellation gourmande. Bientôt, ce fut au tour de son œil gauche d’imiter son voisin en déversant une larme qui glissa le long de sa joue. Malgré tout, Maëlys était sûre de son coup. Le mascara de qualité qu’elle avait choisi pour se faire belle résisterait facilement à l’humidité : il était conçu pour cela. Au moment des préparations, elle s’était doutée que ce qu’elle allait vivre ce soir et la chaleur qu’elle aller ressentir risquait de la rendre un peu moins présentable, elle avait donc pris ses dispositions.
Quelques secondes de gorges profondes plus tard, alors que la salive et les larmes continuaient de jaillir au même rythme que l’excitation de la jeune fille se développait, l’homme l’arrêta.
- « Récupère un peu ma belle ! Reprends ton souffle et redresses-toi ! » lui lança-t-il.
Elle s’arrêta.
- « Tu me fais bander à fond, tu es vraiment trop bonne » complimenta-t-il.
Un petit « merci » sorti de la bouche baveuse de Maëlys qui fixait l’énorme calibre couvert de son écume transparente. Elle baissa encore son regard vers ses seins recouverts de sa bave, cette dernière dégoulinait maintenant sur le sol.
- « Whaou » pensait-elle. Elle n’arrivait toujours pas à comprendre pourquoi être mise dans cet état lui plaisait autant. Il n’y avait plus de doute, elle avait vraiment des tendances sexuelles bizarres. Mais vu l’état de sa petite chatte à l’heure actuelle, elle n’en avait vraiment rien à faire. Elle attendait avec impatience la prochaine demande perverse de son dominant partenaire.

A suivre.

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