La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1295)

Camélia au Château - (suite de l'épisode N°1291) -

… tout en embrassant avec dévotion Ses doigts qu’il me présentait de Sa main tendue vers mon visage… C'est ainsi que je savourais le suprême honneur que m’accordait le Seigneur et Maître Vénéré de me permettre d’embrasser Sa main pour montrer ma reconnaissance infinie envers Sa noble personne et lui montrant, par la même occasion, ma vénération et mon adoration. J’adorais ce moment de plénitude où chacun était, bien sûr à sa place, chacun heureux de donner du plaisir à l’autre, le dominant et la dominée. Je profitais ainsi de ce moment embrassant simplement sa main sans artifice et avec humilité. J'étais totalement comblée et excitée comme la salope que j'étais de pouvoir ainsi être à Ses pieds et de me soumette ainsi à Monsieur le Marquis qui appréciait et profitait tout particulièrement de mes baisers de remerciements sur le bout de Ses doigts.

Je me consacrais sur ce qu'il avait ordonné dans le but de Le satisfaire et de ne surtout pas Le décevoir. Voire la déception sur Son visage serait bien pire pour moi que de subir son courroux. Plus je passais du temps à Ses nobles pieds et plus je me rendais compte de la chance formidable et infinie que j'avais d’être sous le joug d’un Seigneur et Maître aussi exceptionnel que humaniste et qui avait aussi énormément de qualités humaines. Après un bon moment à Lui embrasser Sa noble main, je Le vis la retirant et la rapprochant de son corps. J’attendis immobile et sans émettre le moindre bruit ainsi à quatre pattes la prochaine directive. Le silence commença donc à s’installer dans la pièce et c’est toute excitée par cette situation d’attente que ma cyprine coulait le long de mes cuisses. J'étais en quadrupédie, la tête baissée et le regard rivé au sol. Après cet intense moment de silence, j'entendis alors le Maître Vénéré me dire de sa voix si charismatique et si suave qui m'excitait aussi bien qu’elle me faisait frémir :

- Bien, Ma belle petite chienne, tu as su braver les épreuves que je t'ai imposées sans fauter.

Je peux donc le dire clairement et ave réalisme, le Maître est fier de toi, Ma chienne soumise. Mais attention, cette réalité n'est pas une raison pour en profiter et te relâcher et encore moins pour fauter, sans quoi tu risquerais d’endurer Mon courroux ou bien pire encore pour toi Ma déception… N'oublie jamais quelle est ta place et que la jouissance que je t’ai accordé est un honneur que je te fais et non un droit que tu possèdes. Car, comme tu le sais déjà, ton corps ne t’appartient plus, il m’appartient entièrement et j’en fais ce que bon Me semble… Il va être bientôt temps que la séance se termine et que nous retrouvions, tous les deux, nos occupations respectives... Mais avant que le Seigneur et Maître ne te quitte et finisse cette séance, j'exige que tu viennes me présenter tes hommages et tes remerciements comme tu l’avais fait si bien au Château…

Le Maître reprit son souffle, marqua un silence et m’observa attentivement, puis reprit :

- En effet, Ma salope soumise, j'exige pour cela, que tu nettoies Mes chaussures en cuir avec ta langue et à quatre pattes. Tu te présentes juste avant, là devant Moi à genoux, tête baissée et le regard rivé au sol et tu attends que je claque des doigts. Ce sera le signal pour commencer à lustrer avec application Mes chaussures et je veux qu’elles soient brillantes. Bien assez parlé, à genoux !, me dit Monsieur le Marquis de sa voix claire, calme mais autoritaire

Je me hâtais donc d’obéir à Ses exigences. Je sentis le regard de Monsieur le Marquis dominant, inquisiteur et si puissant me détaillant sous toutes les formes et profitant de ce moment de ce si joli spectacle qui s'offrait devant Lui. J’étais excitée d’être Sa chienne trempée, ma cyprine coulant toujours le long de mes cuisses et de mes jambes. Je ressentais alors un bien-être intérieur total et une puissante excitation patientant et attendant Son claquement de doigts pour avoir l’honneur de lustrer Ses chaussures. En effet, cela faisait plusieurs minutes que j’étais ainsi dans cette position à genoux au pied du Maître Vénéré et plus j’avais toutes les peines du monde à contrôler mon excitation grandissante.


Plus les minutes passaient et plus mon excitation augmentait de nouveau. Je me sentais scrutée, observée dans les moindres détails. J’attendis encore quelques instants puis j’entendis enfin le claquement de doigts du Maître Vénéré qui me sortit alors de mon immobilisme exigé. De la position agenouillée, je me mis donc à quatre pattes et commençais à m’activer avec ma langue alternant de l'une à l'autre pour nettoyer Ses chaussures. Au bout d’un moment, Monsieur le Marquis, jugeant qu’elles étaient suffisamment propres, claqua des doigts pour que j’arrête. Je restais un moment immobile sans bruit attendant ainsi le prochain ordre. Le silence s'installait de nouveau dans la pièce et j’attendis patiente comme devait l'être une bonne soumise bien éduquée. Au bout d’une dizaine de minute, Monsieur le Marquis me releva la tête à la hauteur de Son visage. Et de Sa voix mélodieuse et douce :

- Bien Ma salope de chienne, ça ira comme ça. Il est temps que nous nous quittons, mais avant je veux te rappeler que je suis fier de toi... Notre prochaine rencontre se passera au Château. Celle-ci sera dédié à l'art de la fellation qui te fait encore tant défaut à l’heure actuelle. Sache que quoi que tu fasses, où que tu sois, tu M’appartiens et que ton corps ne t'appartient plus, il est Ma propriété la plus absolue. Tu recevras la date de notre prochaine rencontre en Mon illustre demeure par message… Ne bouge pas, tu te relèveras seulement une fois que je serais parti et que la porte se sera refermée… Tu pourras par la suite vaquer à tes occupations en ayant toujours une pensée pour le Seigneur et Maître Vénéré auquel tu appartiens.
Après avoir fini de parler, j'entendis Monsieur le Marquis tourner les talons et se diriger vers la porte qu’il ouvrit et referma derrière Lui… J’attendis encore quelques instants en position à genoux puis je me relevais et me rhabillais pour aller vaquer à mes occupations... Une semaine après notre sublime rencontre, je reçus (enfin !, car j’étais très impatiente de me retrouver à Ses pieds) un message de Monsieur le Marquis :

- Bonjour Ma chienne, je te donne rendez-vous en Mon Château ce mardi vers 14h.
Tu dois me prévenir si cela n’était pas possible selon tes disponibilités vanilles. Pour rappel, tes sous-vêtements sont superflus et tu dois te présenter entièrement nue sur le perron du Château. A mardi, Ma belle petite chienne. Le Seigneur et Maître.

Je vérifiais sans plus tarder si j’étais disponible à cette date et lui envoyais vite un message lui confirmant ma disponibilité mais aussi que j’avais bien pris connaissance de ses nouvelles exigences que je les suivrais à la lettre… La semaine se passait normalement sans vraiment d’événement notable et plus le temps passait et plus j’avais hâte de me retrouver au mardi. Le jour enfin arriva ! Ce fameux jour, je me levais pleine d'entrain et de joie de vivre, si heureuse de retrouver le Maître Vénéré. Je partis donc en début d'après-midi de Lyon en empruntant le périphérique pour rejoindre le Beaujolais et l'illustre Demeure du Maître Vénéré. Après avoir roulé un bon moment, je me dirigeais vers la route départementale menant vers le Château de Monsieur le Marquis. Une grosse demi-heure après, je pouvais voir à l'horizon le Château... Après quelques minutes, je me retrouvais enfin devant les grilles ancestrales et toujours impeccablement entretenues du Château, grilles qui étaient ouvertes cette fois-ci. Je conduisis prudemment sur la belle allée gravillonnée menant jusqu'au perron du Château. Je stoppais ma voiture au pied des escaliers et commençais donc à me déshabiller. Une fois entièrement dénudée, je gravis les marches jusqu’à le haut du perron. Et après avoir frappé à la lourde porte du Château, je me mis à quatre pattes et attendis ainsi. Après quelques minutes d'attente, la porte s'ouvrit et Walter le Majordome apparut sur le perron, je commençais déjà à sentir mon bas-ventre s’humidifier à la pensée que j’allais revoir le Maître…

(A suivre …)

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