La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1296)

Camélia au Château - (suite de l'épisode précédent N°1295) -

Après quelques minutes d'attente, la porte s'ouvrit et Walter le Majordome apparut sur le perron. Je commençais déjà à sentir mon bas ventre s'humidifier à la pensée que j'allais revoir le Maitre. Je baissais donc la tête instinctivement et regardait le sol comme une soumise devait le faire, puis j’attendais sans bouger dans l'immobilité la plus totale. Le silence commençait à s’installer. Malgré mon petit stress, l'excitation se faisait de plus en plus présente au niveau de mon entrejambes et j’avais bien toutes les peines du monde à me contenir. Je sentais, par la même, le regard vicieux et pervers du Majordome qui en profitait pour me dévisager tout en me détaillant sous toutes les coutures, me scrutant ainsi un long moment sans dire un seul mot. Je peux assurément affirmer que Walter appréciait cette jolie vue qui s’offrait devant lui, vu le temps qu’il prenait. Le regard baissé, j’imaginais aisément son sourire pervers et carnassier ainsi que son regard vicieux qui devait ma dévorer et me déstabilisait même si je faisais tout pour ne pas le monter et essayant de garder ma contenance.

Après ce silence qui me parut assez long, je vis les pieds de Monsieur Walter se rapprocher de moi, toujours en silence. Il commença à m'inspecter passant sa main sur toutes les parties de mon corps, vérifiant ainsi par la même que les directives du Maître Vénéré étaient respectées, sans quoi Celui-ci auraient pu sanctionner. Je sentis ainsi cette main perverse se baladant sur mon dos, inspectant mon corps en allant jusqu’à fouiller mon intimité et ainsi vérifiant la propreté de mes trous, leur souplesse et leur dilatation. Je sentis ainsi mes muscles se contracter sous cette fouille de mon intimité et je pris sur moi pour les détendre et les décontracter afin qu’il me trouve ouverte comme une bonne chienne. Après cette inspection qui me semblait longue et désagréable, le Majordome me passa un collier, avec une laisse accrochée, autour du cou.

Puis il tira sur cette laisse afin de bien s’assurer que le collier était bien fixé comme il le voulait. Walter prit enfin la parole :

- Bien, la chienne, ne perdons pas plus de temps car Monsieur le Marquis déteste attendre. J’espère que tu sais pourquoi tu es venue en ce Château, ce jour. Car, crois-moi bien, ce ne sera pas une après-midi détente mais plutôt pour y être éduquée, à ce qui te fait si cruellement défaut dans ta soumission… Tu vas apprendre à prodiguer du plaisir avec ta bouche de salope qui pour l'instant est juste un trou complètement inutile. Et crois-moi, ce n’est pas une mince affaire. Allons rejoindre Monsieur le Marquis dans Son bureau avant de passer aux choses sérieuses… Je te conseille de t’activer à évoluer à quatre pattes si tu ne veux pas que la cravache vienne cuire ta croupe de chienne. Sois sûre que le Maître sera au courant de toutes tes fautes et manquements et qu'Il pourra sévir, s’Il le juge nécessaire, le moment voulu. Et ne t’avise pas de relever la tête ou bien de ralentir pour regarder les tableaux et les décorations qui ornent les murs de cette illustre demeure sinon tu seras sanctionnée, la chienne… Mais que vois-je ?...Tes cuisses, genoux et mollets sont trempés … Tu n'es décidément qu'une chienne et salope en chaleurs incapable de contrôler son excitation, étant excitée par le simple fait de se présenter en tenue d'Eve devant un Dominant, me dit-il d’un ton pervers et carnassier. Bien allons-y, dit-il en tirant sur la laisse pour me faire avancer comme on le ferait pour une vraie chienne animale...

Je sentis alors une légère pression sur la laisse et le collier. Je me mis donc en mouvement adoptant une allure la plus féline et la plus rapide possible dans le but de satisfaire le Majordome. Une fois arrivée dans le vaste hall d’entrée du Château, j'étais émerveillée par ce lieu chargé d’histoire et par la riche décoration faite de merveilleux tableaux, tentures, tapis, petits meubles anciens et poteries de valeur.
Étant déconcentrée par toutes ces merveilles qui auraient rendu heureux plus d’un conservateur de musée, j’oubliais bien vite les consignes de Walter et je ralentis, de fait, la cadence. La réponse ne tarda pas à venir car le Majordome s'arrêta d'un coup brusquement et me dévisagea d’un regard noir. Je le vis défaire de la ceinture de son pantalon une impressionnante cravache puis la faire siffler dans les airs pour s’entraîner :

- La chienne, première faute déjà en ma présence … Je sens que je vais bien aimer m'occuper de ton cas. Je t’avais déjà donné la directive de ne pas ralentir à contempler les décorations du Château. Pour ne pas avoir respecté cet ordre simple, tu seras donc punie en conséquence en recevant une dizaine de coups de cravache sur ta croupe de salope.

J’allais rouspéter mais je me retins au dernier moment d’ouvrir la bouche … Trop tard :

- Mais puisque ceci n'a pas l'air suffisant car visiblement tu as esquissé un mouvement des lèvres pour parler, tu en recevras cinq de plus... Sache que les soumises ne sont pas autorisées à parler sauf si elles en ont reçu l'ordre d’un Dominant… Pas la peine de parler et de compter, je veux que tu comptes les coups en silence. Inutile de te préciser que si tu émets le moindre mouvement ou bien le moindre son de ta bouche, on recommencera à zéro, jusqu'à ce que tu reçoives les quinze coups de cravache sans que tu émettes le moindre bruit et le moindre mouvement… Va te mettre au milieu de ce hall d’entrée en quadrupédie pour recevoir ta sanction, tête baissée, regard rivé au sol et subis cette sanction avec humilité comme une chienne de Monsieur le Marquis doit savoir le faire avec reconnaissance, me dit-il d'un ton glacial et autoritaire.

Je me dirigeais donc au milieu du vaste hall d’entrée et stoppa net à quatre pattes attendant ainsi dignement et en silence la sanction que j’allais subir. Le premier coup ne tarda pas, il tomba et zébra ma croupe laissant une marque s’imprimer et rougir mon fessier.
Je dois bien avouer que j’étais surprise par la force de ce coup mais je réussis tant bien que mal à retenir un cri. Plus les coups pleuvaient sur ma croupe et plus la douleur devenait forte. Au bout du septième coup, je ne pus m’empêcher de pousser un cri sous la douleur cuisante.

- On recommence à zéro, dit le Majordome d'un ton calme et froid.

Je m'en voulais d'avoir faibli et me promis d’être plus concentrée sur la sanction afin d’éviter que celle-ci s'éternise et de supporter en silence la vive douleur cuisante. Les coups reprirent et je commençais à avoir mes fesses sérieusement rougies et à sentir la douleur me cuire sur toute l’étendue de ma croupe. Je sentis les stries qui se formaient à chaque coup. Au bout d’un moment, qui me parut particulièrement long, la sanction se termina enfin. J’avais le fessier endolori, brûlant et douloureux. Un silence commença à s’installer. J’entendis les pas de Walter résonner sur le carrelage en damiers noir et blanc du hall. Après une ou deux minutes dans un silence absolu, je vis les chaussures du Majordome dans mon angle de vision et je sentis son regard me fixer avec beaucoup d'intensité.

- Eh bien, la chienne, j'attends … N’aurais-tu rien à me dire ? Comment doit-on dire à un Dominant après que celui-ci ait prit de son temps pour la sanctionner et surtout l'éduquer après qu'elle ait fauté ?... Alors je vais t’expliquer comment faire pour remercier un Dominant sans que tu ais reçu l’autorisation de parler. D’abords, tout de suite après une sanction, tu dois te mettre en position prosternée et venir embrasser du bout de tes lèvres les chaussures de celui qui t’a corrigé. Ce geste est symbole de remerciements, de gratitude et de reconnaissance. Mais ce geste fort veut dire aussi que tu souhaites exprimer tes remerciements de vive voix tout en restant prosternée. Ensuite le Dominant décide ou pas si les embrassades de ses pieds lui suffisent ou s’il daigne t’accorder la parole pour t’exprimer de vive voix…

Je n’attendis pas une seconde de plus pour obtempérer et c’est en ladite position que je venais embrasser avec sincérité, reconnaissance et humilité les chaussures du Majordome.
Une fois fait, je l’entendis me dire :

- Vas-y, je te l'autorise à t’exprimer de vive voix, me dit-il d'un ton incroyablement autoritaire.

Je me mis donc à réfléchir à toute vitesse pour trouver les bons mots et je pris donc une profonde inspiration et me mit à Lui dire, le nez à ras le sol :

- Monsieur, je vous prie de bien vouloir accepter mes excuses pour la faute que j'ai commise et je vous remercie de m'avoir administré la sanction due à ma faute amplement méritée. Je sais que cette sanction est utile à mon éducation à bien me comporter
- Bien, cela ira pour cette fois. La faute est pardonnée. Ne le faisons pas plus attendre Monsieur le Marquis. Cela doit déjà faire un bon moment qu'il nous attend dans son bureau alors hâtons-nous de nous y rendre.

Apres quelques minutes à traverser les couloirs feutrés du Château où je dois bien avouer que j’avais toutes les peines du monde à suivre le rythme que m'imposait Walter, je me hâtais donc pour ne pas endurer le courroux du Maître sachant très bien que j'avais déjà fauté précédemment et ne voulant surtout pas aggraver mon cas et encore moins susciter Sa déception. Après quelques minutes, nous arrivions enfin à la hauteur du bureau du Noble, et je sentis l'angoisse me reprendre alors, je respirais un bon coup et me détendis. C'est à ce moment que j'entendis le Majordome frapper à la porte. Quelques secondes plus tard, j'entendis la voix forte de Monsieur le Marquis :

- Entrer !

J'entrais donc tenue en laisse suivant Walter, le regard et la tête baissée. Le Majordome s'arrêtait à quelques mètres du bureau.

- Tu en as mis du temps. As-tu eu un souci avec Ma chienne ? Quelle est la raison de ce retard ?
- Monsieur le Marquis, j’ai du sanctionner Votre chienne de 15 coups de cravache. En effet, je lui avais exigé de s’activer car Vous attendiez Votre chienne mais celle-ci ralentissait et prenait le temps de contempler les tableaux exposés dans votre hall d’entrée. Une sanction s'imposait donc pour apprendre et éduquer Votre chienne à obéir plus rapidement aux ordres et à ne surtout pas désobéir, dit Walter au Châtelain sur un ton rempli d'un très sincère respect
- Bien, mon cher Walter, tu as bien fait. Ma chienne à tout l’air d’être une chienne sans éducation mais je ne doute pas qu'une fois éduquée et dressée, elle deviendra une chienne qui saura donner du plaisir d'un simple claquement de doigts. Bien, tu as déjà les consignes la concernant sur ce que j'attends de toi. Je ne vais pas te faire perdre plus de temps, le donjon n'est pas occupé, tu peux y aller. Tu me feras le compte-rendu de ce qu'il s’est passé, dit Monsieur le Marquis d'un ton aimable, ton qui exprimait une longue complicité et parfaite entente entre les deux hommes
- Bien, Monsieur le Marquis. Il sera fait selon Vos exigences, dit Walter d’un ton respectueux en s’éloignant et tirant sur la laisse pour m'obliger à le suivre...

(A suivre …)

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