Le Gang Des Souleveuses 2/3

Je n’ose répondre et malgré cette situation humiliante, mon pénis se dresse toujours fièrement. Je sens leurs parfums et la chaleur qui se dégagent de leurs corps immense. Gloria qui se trouve derrière moi passe ses mains sous mes aisselles et appliquent une pression telle que je me retrouve sur la pointe des pieds.



— En effet tu es vraiment léger comme une plume ! Voyons voir ce que je peux faire avec ce corps de fillette.



Elle augmente encore la force sous mes bras et mes pieds quittent le sol. Elle continue à me soulever dans un mouvement que seule une force colossale permet d’être aussi lent. Je gigote comme un ver, mais l’étreinte de Gloria est bien trop puissante pour que je m’en échappe. Mes pieds se retrouvent bientôt à plus d’un mètre du sol quand la belle arrive à bout de course. Mon tee-shirt s’est relevé et dévoile ma taille fine et mes côtes apparentes. Mon sexe se trouve à hauteur des yeux des amazones et ne semblent aucunement terrifié par la situation, même si je me sens humilié somme jamais.



— Pose moi par terre grosse brute ou tu vas voir !

— Pardon ! Tu viens de me traiter de grosse ! Tu crois vraiment que je pourrais te manipuler comme ça si je n’avais que de la graisse ! Et tu crois vraiment qu’un gringalet de 45 kg qui n’a que la peau sur les os pourrait m’empêcher de faire ce que je veux avec son corps chétif !



Me rendant compte de mon erreur, je tente de rattr le coup.



— S’il te plait Gloria, je sais que je ne suis pas de taille. Pose moi par terre, tu me fais mal.



La grande brute est trop énervée pour me laisser tranquille, et c’est la que Véronique dont les yeux se trouvent juste devant mon pubis et chez qui j’ai toujours perçu un côté vicieux, pose ses grosses mains autour de ma taille de guêpe.



— Il est si mince ! J’arrive presque à faire le tour de sa taille avec mes mains.

La situation n’a pas l’air de lui déplaire autant que ça ! Son petit zizi est encore tout dur ! Regardez !



Sans que je m’y attende, Véronique passe ses gros doigt sous l’encolure de mon pantalon et de mon slip, et les baisse brutalement jusqu’à mes genoux. Je me retrouve les fesses à l’air, exposant mon pubis imberbe et mon petit sexe dressé à la vue des trois amazones, toujours pendu en l’air par la seules force des gros bras ce cette brute de Gloria, qui a une vue imprenable sur mon petit cul.



— Wow ! Tu as de si jolies petites fesses ! Et tu n’as pas un poil. On dirait un abricot.



Posant sa grande bouche ouverte sur une de mes petites miches, je sens ses dents sur ma peau qui se referme jusqu’à ce que la douleur soit si forte qu’elle me tire des larmes et que je crie. Un cri si aigu que je ne suis même pas sur qu’il vienne de moi. Il suffit cependant à arrêter Gloria de tenter de déchirer mon petit cul comme un fruit trop mûr, laissant quand même un belle marque de morsure.



— C’est quoi ce cri ? Tu es sûr d’être un homme ?



Les trois grâces se mettent à rire face à ma réaction. J’abdique et relâche tous les muscles de mon corps, toujours maintenu en l’air par la seule force des bras de Gloria. Lidia qui est restée passive jusqu’à présent s’approche et se montre très intéressée par ma petite bite.



— C’est la première fois que j’en vois un. Ils sont toujours aussi petits ? Je croyais qu’il y avait plus de poils ?



Véronique qui a l’air de s’y connaître lui fait part de son expérience.



— Non, à 18 ans, la plupart des hommes ont un sexe qui est trois fois plus gros, et ils ont des poils de partout. Mais j’ai l’impression que l’on a plus à faire à un ange qu’à un homme. Et je suis une démon qui aime pervertir ce genre de petit zizi ! Voyons ce dont il est capable.



Véronique place entre son pouce et son index, ma petite bite qui paraît minuscule dans ses gros doigts, et commence à me masturber.
Le contact des mains de l’amazone déclenche comme un coup de tonnerre dans mon bas-ventre et des frissons de plaisir parcourent tout mon petit corps. Toujours levé dans les airs par la puissante Gloria, j’ai une vue imprenable sur le décolleté profond et généreux de Véronique qui masturbe adroitement mon petit sexe.



— Tu vois Lidia, ils adorent ça. D’habitude il faut y mettre toute la mains, mais ce sexe est si petit que deux doigts suffisent. Tu as déjà sucé une bite ?

— Non ! Mais quelques chose me dit que tu l’as déjà fait…

— Oui, je peux faire jouir mon copain en moins de 40 secondes comme ça. Regarde.



Véronique déplace ses 2 doigts sur la base de mon sexe et l’aspire jusqu’à que ses lèvres touchent mon pubis. Elle fait alors jouer sa langue adroitement sur mon pénis, puis commence à faire aller sa tête d’avant en arrière. Mon sexe à n’a pas l’air plus gros qu’une cigarette dans sa bouche pulpeuse. Voyant que mon corps commence à osciller sous ses mouvements, elle pose ses deux grosses mains sur mes petites fesses pour me maintenir, et semble prendre grand plaisir à les pétrir, faisant pénétrer ses énormes doigts parfois profondément dans ma raie. Après à peine 20 secondes de ce traitement, je sens une chaleur diffuse monter de mon bas ventre, similaire à celle que j’ai quand je me masturbe mais beaucoup plus intense. Véronique sentant que je vais jouir, retire mon sexe de sa bouche mais la maintient face à mon gland rougeoyant et continue à me masturber de ses deux doigts. Je jouis comme jamais je n’ai joui, lançant trois giclées de sperme qui atterrissent sur le visage et dans la bouche de Véronique qui a l’air d’adorer ça. Mon corps mou comme une poupée de chiffon frémit de plaisir dans les bras de l’amazone. Véronique tourne son visage maculé de ma semence pour parler à Véronique.



— Tu vois à peine vingt secondes et il crache son jus. Tu veux goutter ?

— Oh oui !

— Et bien finis de le nettoyer ! Il y en a encore quelques gouttes qui perlent.




Gloria me déplace alors face à la géante novice qui engouffre maladroitement mon sexe, en saisissant mes petites fesses comme l’a fait Véronique pour me maintenir. Elle est si excitée qu’elle me manipule brutalement et elle suce si fort que j’ai peur que mes parties ne soient aspirées. Elle rend sa liberté à mon sexe qui est totalement débarrassé de toute trace de jute, et fait tourner le liquide dans sa bouche comme si c’était un grand vin, puis l’avale.



— C’est divin ! C’est toujours aussi bon ?

— Non, d’habitude, c’est beaucoup plus fort et moins sucré. Mais c’est normal, il n’est pas encore tout à fait un homme.

— Je peux jouer avec lui ? Donne le moi !



Gloria me baisse un peu pour que Lidia place un de ses bras derrière mes genoux et son autre main sous mes petites fesses. Quand elle me tient fermement contre elle, Gloria enlève ses mains et me laisse à la merci de la jeune géante. Elle plaque fermement mon pubis nu contre son large sein et j’adore la sensation de cette jeune et ferme poitrine contre mon sexe, comme j’adore la sensation de sa grande main sur mes petites fesses. Me soupesant comme un paquet, elle s’étonne de ma légèreté.



— Mais c’est une plume ! C’est à peine si je sens son poids !



Elle enlève même la main qui est derrière mes genoux pour soutenir tout mon poids dans la paume d’une seules de ses mains. Trottinant tout en me portant, elle fanfaronne, m’exhibant comme un trophée dans le couloir. Poussant mes fesses d’une puissantes impulsions, je me retrouve à plat ventre sur son épaule d’où j’ai une vue spectaculaire sur sa chute de rein et ses fesses rebondies. Elle continue à me promener et se rend compte que mes petites miche sont juste à côté de son visage et voit la trace de morsure de Gloria.



— Regarde ce que tu lui as fait ! On voit toutes tes dents ! C’est fou comme il marque facilement ! Pauvre petit chose.




Elle caresse mon petit cul de sa grande main quand une idée fulgurante jaillit dans son esprit.



— Il n’y pas de raison que tu sois la seule à l’avoir marqué !



Levant sa large et lourde main, elle l’abat si brutalement sur mon petit séant que tout mon corps est secoué. La douleur est cuisante et irradie jusque dans mes pieds. Elle lève alors à nouveau sa main et l’abat tout aussi brutalement sur mes fesses qui sont déjà rouges du coup précédent. La douleur est si forte que j’implore Lidia d’arrêter, en sanglotant.



— Arrête s’il te plait ! Tu me fais très mal.



Comme prise d’un folie dominatrice, la géante est outrée de ma demande et se met à frapper encore plus fort. On ne voit même plus la trace de morsure sur mes fesses tant les coup de la jeune brute les ont rendues rouges cramoisies. Je ne dois mon salut qu’à l’intervention de Gloria qui saisit fermement la main de Lidia avant qu’elle ne frappe encore.



— Calme toi Lidia. Je sais que c’est bon mais si tu continues, tu vas le briser en deux. Il est si faible.



Lidia sort de sa transe et se rend compte qu’elle a perdu le contrôle. Toujours allongé sur la large épaule de la brute, je ne sens rien d’autre que la douleur cuisante qui irradie de mes fesses. Je pleure à grosses larmes, et une flaque commence même à se former à mon aplomb. Véronique s’approche alors.



— Donne le moi, tu en as assez profité.

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