Ancien Collègue ?

Phanie et moi adorons nous faire des weekends au soleil. Petites escapades romantiques pour solidifier un peu plus nos liens d’amour, ils sont aussi un moyen agréable de découvrir de nouvelles régions.
En l’occurrence, la destination de ce weekend end de Juin fût Toulouse, ville que Phanie connait bien, puisqu’elle y a passé quelques années pendant ses études supérieures.
C’est un message sur Facebook qui a déclenché ce voyage. Les anciens collègues de ma chérie organisaient une fête pour le départ de l’un d’entre eux de la ville rose et je décidais que c’était une occasion en or de découvrir cette ville que je ne connaissais pas.
Nous arrivâmes à l’aéroport de Blagnac le vendredi soir et après un dîner dans le vieux Toulouse, nous rentrâmes à l’hôtel.
Phanie rangeait ses affaires dans l’armoire et je la regardai. J’adore découvrir ce qu’elle a emporté pour le weekend end. Elle a la chance de pouvoir presque tout porter avec ses 1m60 de féminité naturelle, ses petits seins et ses si jolies petites fesses en pomme.
J’avoue aimer beaucoup d’articles de sa garde-robe et parmi mes préférés, ses robes très près du corps ou ses petites jupes courtes. Rien sur elle n’est vulgaire, même l’absence régulière de soutien-gorge (souvent à ma demande j’avoue) et parfois de string même si c’est plus rare.
Sur le plan sexuel nous nous entendons vraiment très bien, aussi bien que sur le plan intellectuel et je suis conscient de cette chance. Bien sûr des engueulades viennent ternir de temps en temps cette entente mais ne la remettent pas en cause.
Notre sexualité est riche sans être débridée et les quelques écarts que nous nous sommes accordés tenaient plus de la curiosité ou du jeu que de l’assouvissement de fantasmes. C’est ainsi que nous nous sommes retrouvés dans un sauna libertin sur Paris ou un homme à pénétrer avec ses doigts le sexe et les fesses de mon amour dans le jacuzzi mais sans qu’elle ait voulu aller plus loin.

Egalement elle m’autorise de temps en temps à la caresser dans la voiture au su et à la vue de chauffeurs de bus ou de camion mais là encore même si elle est excitée par la situation, aucune envie de triolisme.
Le plus souvent c’est par ses tenues, courtes ou transparentes, qu’elle fait monter ma température intérieure et mon désir pour elle. Et c’est justement ce que je viens de lui dire en découvrant la garde-robe emportée pour le weekend end.
A peine le temps de nous changer que nous rejoignons pour un verre tardif, 3 des ex collègues de ma moitié non loin de notre hôtel.
A notre arrivée les 3 hommes sont là, accueillant Phanie avec une ovation qui ne laisse pas de doute sur leur entente il y a quelques années. Elle m’avait déjà décrit les nombreuses soirées qu’ils avaient passés tous ensemble, profitant de leur jeunesse. Ce qui n’était à priori pas du tout du goût de son petit ami de l’époque.
Phanie me présente à chacun dans le même temps où elle leur claque une bise ou une accolade chaleureuse. Pierre, Regis et Marc.
Je remarque que l’accolade avec Marc, brun les yeux verts (le type préféré de ma moitié) grand et tout bronzé, est plus tactile que celle des deux autres. Mais c’est surement le fait qu’il soit de loin le plus beau de la bande qui me fait dire cela.
Les verres s’enchainent, les récits abondent et l’accent des garçons en rajoute au comique de certaines anecdotes de travail.
Je crois comprendre que ma chérie n’était pas la dernière à faire la fête et qu’elle faisait tourner la tête de bien des collègues.
Phanie s’est assise spontanément à coté de Marc et souvent lorsqu’elle rit, son petit corps trouve appui sur celui du grand brun, parfois c’est sa main sur son avant-bras lorsqu’elle lui parle. Plus la soirée avance et plus je me doute qu’il était son préféré de la bande.
Le lendemain soir, celui de la fête surprise du collègue, devait être tardif également aussi nous décidons donc de prendre congé.
Et Phanie a bien trop bu déjà. J’adore quand elle est pompette.
Notre hôtel est sur le chemin du retour de Pierre et Marc aussi nous faisons la route ensemble.
Je remarque bien que Phanie m’a physiquement délaissé pour se rapprocher de Marc pendant qu’ils marchent et je me demande à ce moment si c’est une hallucination alcoolisée qui me fait voir la main de Marc très bas sur la hanche de ma tendre lorsqu’ils se disent au revoir.

Cette situation m’excite terriblement et l’idée de savoir que quelque chose de plus qu’amical a pu exister entre eux également.
A peine arrivés dans la chambre je regarde ma douce et lui dit « alors juste collègue ? » en riant. Phanie me connait, elle sait que je ne suis pas jaloux et souvent nos fantasmes (les miens surtout) pendant que nous faisons l’amour intègre un troisième larron.
Elle me répond « oui bien sûr » et se met à rire. Je ne suis pas certain qu’à jeun elle eût été si légère sur le sujet puisque je sais qu’elle était en couple à l’époque. Mais bon je profite de son état et de la prescription des faits pour me faire plus insistant.
« Allez, dis-moi, j’ai remarqué que : un-il est tout à fait ton type, deux-tu es tout à fait son type » « vous semblez très complice » « c’est ton histoire d’avant je n’ai pas à juger ».
Phanie me regarde et en se déshabillant me répond « on a eu une histoire mais qui n’a pas durée » « il était pris et moi aussi ».
« Dis m’en un peu plus quand même » (curiosité malsaine…)
« On a flirté un soir en boite et on a fini chez un copain à nous qui nous a prêté son appart »
Bien entendu il n’y a finalement rien de plus banal mais imaginer ma Phanie transgresser les règles de la fidélité m’excitait au plus haut point. Dans un souci de transparence j’ai décidé de lui dire. Et je lui ai dit également que le fait que je le sente attiré par elle encore m’excitait beaucoup et joignant la parole au geste, pris sa main et la posait sur mon sexe tendu.

Elle écarquilla les yeux et me dit « et bien qu’est-ce qui t’excite autant mon amour ? »
« Cette situation » répondis-je. « Le fait de t’imaginer t’envoyer en l’air avec lui ». Elle m’embrassa et parti se laver les dents.
Lorsque nous nous couchâmes je me rapprochai d’elle et lui demanda « c’est un bon coup ? ». Elle m’embrassa de nouveau. Je commençais à passer mes mains sur son corps que j’aime tant en lui murmurant à l’oreille « pour une fois que je peux mettre un visage sur mon fantasme, tu ne vas pas me couper la chique ». Elle rit et me dit : « dans mon souvenir très bon oui ». « Parce qu’il était doux ou au contraire plutôt brusque ? » « Un peu des deux » me répondit-elle et ajouta « mais c’était il y a 8 ans, tu sais ».
Je continuais à la caresser me rapprochant de son sexe rasé et lui dis « demain si je te demande d’être très sexy, tu accepterais ? » Elle me répondit « tu veux que je baise avec lui ? » et elle rit. « Non pas jusque-là quand même mais qu’il te désire m’exciterait terriblement ».
« On verra » répondit-elle « Fais-moi du bien pour l’instant »
J’acceptais l’invitation et au moment où mes doigts rencontrèrent son sexe tout lisse je sentis immédiatement la preuve de son état d’excitation. « Tu es trempée » lui dis-je. Je titillais son clitoris en embrassant son cou, ses petits seins. Parfois mes doigts quittaient son bouton pour aller se lubrifier entre ses lèvres puis revenir le triturer.
Tandis que je sentais sa respiration plus courte et saccadée, je lui murmurai à l’oreille « ça m’excite tellement d’imaginer ce que vous faisiez » « Il t’a bien baisée donc ? » « Ouiii » souffla-t-elle. « Tu as aimé sa bite ? » « Oh oui » lâcha-t-elle sans réfléchir.
Evidemment la question de mec classique « elle était grosse ? ». Et là elle me répondit « Très ». « Tu aimerais le refaire ? » « Non je suis à toi » dit-elle. « C’est un fantasme chérie, lâche toi »
« Alors oui j’aimerai qu’il me baise, pendant que tu m’embrasses ».
La crudité de son langage eut raison de ses résistances et tout son corps s’arcbouta dans un violent et long orgasme.
C’est ainsi que nous nous endormîmes, moi avec ces images plein la tête.

Le lendemain nous passâmes la journée à flâner, faire les boutiques, du tourisme. J’avais ma guide avec moi et découvrais les endroits qui avaient comptés pour Phanie. Le temps était superbe et le thermomètre frôlait les 27 degrés. Parfait !

Sur le coup des 19h nous rentrâmes à l’hôtel pour prendre une douche et nous préparer. Sans le dire j’avais hâte de voir comment Phanie allait s’habiller pour notre soirée.
Elle sortit plusieurs ensembles et robes et finalement enfila un petit haut bleu léger à bretelles et une jolie jupe genre lambada qui accentuait un peu plus la magnifique cambrure de son dos et le rebond de ses fesses.

Je la vis enfiler un tout petit string noir mais pas de soutien-gorge. « Tu me trouves comment ? » me demanda-t-elle en se retournant. « Très belle, très sexy comme d’habitude »

Nous allâmes retrouver les garçons, Marc arriva en retard et nous partîmes précipitamment pour ne pas arriver après l’invité principal. Ce dernier, Christophe, fût surpris aux larmes de voir ses anciens collègues, certains toulousains mais d’autres comme Phanie venus de loin, pour l’honorer.
La soirée se passait vraiment bien, très bon , très joviale et très arrosée.
Je ne saurai dire si c’était par gêne mais je trouvais que Phanie sans l’éviter, était plus distante de Marc que la veille. Peut-être n’était-elle pas à l’aise avec notre discussion et ses aveux sur l’oreiller.
Toujours est-il que Marc qui à plusieurs reprises tenta un rapprochement mais sans que ma chérie ne lui accorde plus d’attention que cela.
Vers 1h du matin nous allâmes dans un club entre bar et discothèque ou Pierre avait réservé un carré VIP. Le grand jeu ! Bon le carré VIP n’en avait que le nom car il s’agissait en fait plus d’un canapé d’angle ou nous tenions péniblement à 6.
Mais finalement la musique nous incita à nous lever pour aller danser Phanie et moi. Tout en dansant je lui demandais si elle passait une bonne soirée. Elle me répondit que oui. Je lui ai dit que je la trouvais plus distante de Marc qu’hier et que si c’était à cause de notre discussion hier, je m’en excusais. Elle me regarda en souriant. « Profite de ta soirée » lui dis-je. « Si tu t’amuses, je m’amuse ». Je me rapprochais d’elle et la collai à moi en dansant. Notre danse très lascive remontait la jupette de Phanie et j’osais de temps en temps glisser une main furtive dessous pour sentir ses fesses presque nues.
J’imaginais Marc les yeux rivés sur ses petites pommes et j’avoue que j’aimais cela.
Je sentais que Phanie était assez grisée maintenant pour se lâcher un peu plus et j’en profitais pour l’embrasser de façon très chaude. Je sais que nos baisers l’excitent beaucoup et j’avoue que j’en profitais.
Nous sommes retournés nous asseoir et immanquablement nos places étaient prises par les autres en pleine discussion, rires. Tout le monde était déjà bien saoul.
« Ça va les gars je m’assois ou moi ? » cria Phanie tentant de couvrir la musique et se faire entendre. C’est Marc qui répondit en riant « la seule place confortable est sur mes genoux » et ajouta « Laurent, pas d’objection ? » « Absolument pas » dis-je « si Phanie est d’accord bien sûr ».
Cette dernière pour toute réponse rit et finit par s’asseoir sur les genoux du grand brun.
Je buvais et parlais, enfin hurlais, à mon voisin et faisais mine de prendre part à sa conversation, je jetais souvent une œillade vers ma belle assise confortablement sur son collègue.
Ils se parlaient de près et conversaient avec leur voisin en riant souvent. Je voyais les petits seins de Phanie à travers le tissu de son haut et parfois lorsqu’elle ouvrait les jambes pour se pencher vers son voisin, la tache noire de son mini string.
Au bout de quelques temps elle se leva pour se diriger vers les toilettes, en passant elle se pencha pour me donner un langoureux baiser. Elle s’assit sur mes genoux et je lui dis à l’oreille « alors pas trop baladeuses les mains de Marc ? » Elle rit et me répondit « les mains non ça va » puis rit de nouveau. « Quoi ? » lui dis-je. « Je crois qu’il est très très ému ». Ma réaction fût un rire de convenance. Elle venait de me dire qu’elle l’avait senti bander ou je rêvais ?
« Tu as senti qu’il bandait ? » « Oui carrément et c’est pour ça que je me suis levée ».
Surement trop alcoolisé je lui dis « va aux toilettes et si tu en as envie, retourne t’asseoir sur lui » « Il comprendra que son état ne te gêne pas »
Phanie me regarda fixement et me sourit puis m’embrassa avec la même intensité que lorsque nous faisons l’amour. « Tu as raison, il ne faut pas le gêner » dit-elle en riant. « Ça t’excite ? » demanda-t-elle ? « Touche » répondis-je. Discrètement elle posa sa main sur mon pantalon et serra mon sexe tendu. « Ah oui quand même… ! »
« J’aimerai que tu ailles t’asseoir de nouveau sur lui parce que c’est moi qui te le demande » « et j’aimerai aussi que tu enlèves ton string et que tu me montres quand tu reviens ». J’avais dû, à cause la musique, parler fort et j’eus peur qu’on ait pu m’entendre mais vu l’état dans lequel était nos compagnons de soirée je n’avais rien à craindre.
Phanie me regarda, puis s’en alla vers les toilettes. Elle en ressortit quelques minutes après et me sourit en passant devant moi.
Puis elle revint, sans même demander, s’asseoir sur les genoux de Marc. Ce dernier marqua un temps d’arrêt puis la regarda et lui sourit d’une façon très complice.
Je vis les mains de Marc se poser assez sagement sur le coté des cuisses de Phanie mais très discrètement pendant qu’ils discutaient et riaient avec leur voisin je vis sa main gauche caresser le coté de la fesse de ma chérie. Celle-ci ne broncha pas. Rien de grave après tout.
Etait-ce mon état ou voyais-je le bassin de Phanie faire de légers mouvements ? Etait-elle en train de lui redonner vigueur ou étais-je en train de rêver ?
Comme elle lui tournait le dos elle croisait de temps en temps mon regard que je ne soutenais pas de peur de la gêner. Etais-je en train de l’inciter à aller plus loin ? Etait-ce ce que je désirais ? Je ne savais distinguer l’excitation de la jalousie.

J’eus un peu plus tard réponse à ma question. Marc glissa un mot à l’oreille de Phanie. Celle-ci se pencha en avant pour remplir un verre et en revenant sur ses genoux elle le donna à Marc.
Je remarquais que ce dernier avait maintenant posé ses mains sur ses hanches et je vis Phanie fermer les yeux. L’expression de son visage avait changée et son corps semblait moins souple.
Je comprenais sans comprendre, mon imagination était surement plus forte que ma raison mais je ne pouvais m’empêcher de penser que peut être….
Je cherchais désespérément maintenant à croiser le regard de Phanie pour comprendre, être rassuré par elle, je ne sais pas.
Elle me faisait face, tourna la tête vers moi. Ses yeux étaient fermés. Quand elle les ouvrit son regard capta immédiatement le mien. Je haussai les sourcils pour lui demander explication. Je n’entendais plus la musique.
Elle s’assura que personne ne la regardait puis lentement écarta les jambes et d’un geste plein de grâce souleva sa jupe juste au-dessus de ses genoux. C’est sous la lumière bleue que j’aperçus le sexe de Marc, énorme qui pointait et celui de ma chérie qui se frottait dessus.
Le fait que je n’ai rien dit a dû donner le sentiment d’un acquiescement puisque je remarquais que juste après avoir lâché sa jupe, mon amour, en suivant le rythme de la musique comme si elle dansait fait maintenant bouger son bassin ce qui devait avoir pour effet d’une masturbation sur le membre épais et long de son ex amant.
Elle cachait le visage de Marc avec son corps mais je voyais que son voisin continuait à lui parler comme si de rien n’était.
De temps en temps certains mouvements trahissaient son excitation, surement lorsque la tension ou l’envie de jouir était trop forte.
Marc approcha sa bouche de son oreille et murmura quelque chose. Ce faisant il glissa sa main très discrètement sous son petit top et je vis ses doigts prendre possession du sein de ma chérie. Surement conscient d’être peu discret, il revint furtivement sur la cuisse de Phanie.
Puis cette dernière se leva légèrement, me laissant à penser qu’elle viendrait me voir mais se rassit doucement sur lui.
Elle ferma les yeux de nouveau puis les ouvrit et me regarda fixement et je vis clairement dans son regard qu’elle était très proche de l’extase. Je lui fis signe de resoulever sa jupe. Peut-être n’aurai-je pas dû me rendre à ce point complice, mais elle avait l’air de se faire tellement de bien que je voulais garder le contact avec elle, faire que ce moment soit notre moment. Que l’autre ne fut plus qu’un sexe, un objet de plaisir.
Elle la souleva et se dressa légèrement sur ses jambes, juste le temps pour moi de découvrir la hampe énorme se planter en elle, puis s’empala de nouveau jusqu’au fond. Je voyais les couilles de Marc écrasées par le sexe de Phanie.
Elle laissa sa jupe légèrement soulevée pour que je voie les imperceptibles et discrets mouvements de bassin qu’elle imprimait comme pour chercher son plaisir.
Puis ces mouvements prirent plus d’amplitude, signes que je connais bien comme étant chez elle ceux d’une jouissance proche et souffla fort en me regardant fixement.
Elle venait de prendre son pied devant moi.

Elle glissa un mot à Marc, se leva, celui voulu la retenir, elle se pencha pour lui répondre à l’oreille et au comble de son excitation il passa la main sur sa fesse et caressa sa petite chatte.
Elle se pencha sur le voisin pour lui faire la bise et pendant que Marc la doigtait, sous la jupe certes, mais sans ménagement. Elle me donnait l’impression de prendre son temps. Puis pour s’aider à se relever appuya sa main sur le sexe de son amant qui bien que rangé maintenant dans son étoffe était toujours extrêmement raide et volumineux.

Elle l’embrassa sur la joue, lui tourna la tête et alors qu’il avait toujours un doigt planté dans son sexe lui passa sa langue sur la bouche. Il était fou d’excitation.
Phanie lui rendit prestement son baiser et l’espace d’un instant je vis leurs langues se caresser.

Phanie vint vers moi, je dis au revoir au groupe de la main. Sortis du club je dis à Phanie « Tu voulais rester ? » « Oui » me répondit-elle « Mais il ne faut pas. C’est déjà allé très loin. Peut-être trop loin »
« Non » lui dis-je « Tu as été magnifique et tu m’as terriblement excité ». « Tu l’as fait parce que tu avais envie de le faire et parce que ça me plaisait. C’est tout ce qui compte ».
Le chemin du retour fut assez silencieux. Je ne débandais pas de ce dont j’avais été le témoin.
Une fois couchés, je demandais à Phanie la façon dont ça s’était passé. Elle me raconta que lorsqu’elle s’est assise sur lui la première fois il a très vite imprimé des mouvements de bassins discrets mais suffisant pour permettre à son sexe emprisonné de frotter contre sa petite chatte. Ses mains sur les côtés de ses cuisses la tenaient fermement comme pour suggérer l’acte de la pénétration.
« C’est comme ça qu’il t’a donné envie ? » lui demandais-je. « Oui et surtout quand je l’ai senti grossir contre moi » répondit-elle.
« En appuyant sa bite sur mon sexe il m’a murmuré : ça m’a manqué, tes petites fesses m’ont manquées » « Il ne parlait pas de moi mais de nos rapports sexuels » « J’ai trouvé que c’était très honnête et très excitant »
« C’est là que je me suis levée pour venir te voir » « J’avais peur de succomber »
« Et c’est moi qui t’ai encouragée à y retourner. Tu m’en veux ? »
« Non » répondit-elle « j’en avais envie et tu m’as juste donné le coup de pouce qu’il fallait »
« Et quand tu es revenue » lui demandais-je « Comment a-t-il dégainé son engin » ?
Elle me répondit « Je me suis assise sur lui, il m’a dit qu’il avait peur de m’avoir offusquée. Je lui ai répondu que je t’en avais parlé et que j’étais très excitée » il m’a répondu « moi aussi mais tu dois le sentir… » Je lui ai dit en plaisantant « Pas encore assez non »
« Il m’a demandé de lui verser un verre, c’est là que je me suis penchée. Quand je me suis rassise j’ai tout de suite senti son sexe au contact du mien. Ce contact m’a électrisée » « Il m’a dit dans l’oreille : tu n’as pas de culotte…. »
Tandis qu’elle me racontait et sans s’en rendre compte je pense, elle caressait mon sexe tendu à mort.
Je lui demandais de continuer son récit. « ça t’excite vraiment ? » répondit-elle
« Et bien j’essayais de rester discrète mais je ressentais le besoin de me faire du bien sur sa bite »
« Elle a l’air énorme » lui dis-je « Enorme oui » me dit-elle
« J’ai joui très vite même sans bouger beaucoup. Puis j’ai senti qu’il se reculait pour présenter son gland sur mes lèvres. J’en ai eu envie. Très fort. J’avais envie de le sentir en moi et te voir en même temps. Elle était trop longue pour pouvoir entrer en moi sans que je me lève un peu, c’est donc ce que j’ai fait. Quand je me suis rassise, je me suis empalée directement dessus. J’ai connu un nouvel orgasme juste en le coulissant au fond de moi. Je sentais que j’étais de moins en moins discrète ». « Je te le confirme » lui dis-je.
« Excuse-moi j’espère que ce n’était pas trop voyant mais je sentais que j’en voulais encore et également je sentais ses mains qui accrochaient mes fesses. Je sentais aussi ses couilles qui frottaient sur mon clitoris, je devenais folle. Il m’a fallu quelques légers va et vient pour jouir de nouveau ». « Puis je suis venu te voir »
« J’ai vu qu’il te caressait sans retenue quand tu t’es levée »
« Oui, il n’avait pas joui et m’a dit qu’il voulait me baiser, que je ne pouvais pas le laisser comme ça » Elle rit.
« Tu aurais voulu qu’il te baise encore ?» demandais-je connaissant finalement par avance la réponse
« Oh oui j’avais vraiment envie qu’il me prenne fort » répondit-elle
Je la retournai et la pénétrai sans ménagement. « Comme ça ? » lui dis-je
« Plus fort, encore plus fort, baise-moi » me dit-elle
Nous avons très vite joui ensemble. Je me suis allongé, Phanie s’est penchée sur moi, a posé ses lèvres délicates sur les miennes et à susurrer un « Je t’aime » plein de sincérité et d’émotion.

Bien sûr nous ne revirent pas les garçons le lendemain, prétextant une grosse gueule de bois.
Marc, lui, envoie souvent des messages à Phanie…

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