La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1298)

Camélia au Château - (suite de l'épisode précédent N°1297) -

… Le Majordome n'hésitait pas ainsi à distribuer quelques coups de badine, quand il jugeait que cela était opportun...

Je continuais ainsi à m'appliquer à ce que Walter avait exigé de moi, ne souhaitant pas fauter à nouveau pour ne pas être sanctionnée encore une fois. J'appliquais donc les consignes en continuant à sucer ce god-ventouse fixé au mur du mieux que je le pouvais. Je savais que j'étais observée aussi bien par le Majordome ainsi que par Monsieur le Marquis d'Evans qui, Lui, me regardait via les nombreuses caméras installées dans ce donjon. C'est pourquoi je fus très attentive à ce que je faisais et n'ayant pas reçu d’ordre contraire, je continuais car je voulais être irréprochable et ne surtout pas commettre le moindre faux pas sachant que j'avais déjà fauté précédemment en ce jour. Je prenais sur moi pour exécuter les directives de Walter sans me poser de questions et en obéissant directement comme une soumise se devait de le faire. Au bout d’un certain moment, je pense que je commençais à perdre la notion du temps, en effet je ne savais plus depuis combien de temps j’étais entrée dans ce donjon et combien de temps je travaillais à cette fellation d’un sexe masculin factice. Je commençais à sentir une certaine excitation qui commençait à se faire de plus en plus présente et visible, la cyprine coulant le long de mes cuisses malgré la situation humiliante que j'étais en train de vivre.

En effet, la chienne en chaleur et salope que j'étais, ne pouvait s'empêcher de mouiller pleinement dans ces moments de soumission. Cette excitation qui s’accentuait devenait de plus en plus dur à contrôler tant celle-ci augmentait de minutes en minutes. Après un long moment, le Majordome claqua des doigts, je m’arrêtais donc d'un coup subitement, les sens en émoi, fébrile et excitée de savoir quelle allait être la nouvelle directive de Walter. Je perçus un silence de plomb s'installer dans la pièce et je compris donc que le Majordome restait derrière moi silencieux et immobile, jouant avec la patience et l'appréhension de la soumise que j’étais, me demandant bien sûr si j'avais fauté.

J'attendis donc ainsi, patiemment, le bon vouloir de Monsieur Walter, sachant très bien qu'en obéissant à ses directives, j’obéissais et satisfaisais par la même aux exigences du Maître Vénéré et Seigneur. Car la satisfaction de Monsieur le Marquis était pour moi, Sa soumise, le plus beau des cadeaux. Après de nouveau un long moment, Walter vint enfin rompre ce silence en s'adressant à moi d'une voix froide, autoritaire :

- Bien, la chienne comme je viens de constater, et comme tu t'en doutes déjà, ton niveau dans le domaine de la fellation est complément catastrophique. Il est grand temps d’éduquer et de faire de cette cavité buccale ce qu’il faut pour qu'elle devienne une bouche divine et beaucoup plus accueillante pour les bites que l'on voudra bien te présenter et que tu devras sucer quand tu en auras reçu l'exigence en toute circonstance... Saches que pour progresser dans l'art de la fellation, je vais te donner des directives claires pour que tu puisses mieux entraîner ta bouche à sucer correctement. Toutefois avant que tu appliques ces nouvelles exigences, je te rappelle que le Seigneur et Maître Vénéré voit, en temps réel, les images de ton éducation et de ta progression. Donc si tu ne veux pas endurer son courroux ou bien pire encore pour toi subir sa déception, je te conseille de t’appliquer. Si je sens que tu n'y mets pas assez d’entrain ou de motivation avec ta bouche de salope sur le god-ventouse, je me chargerais de réveiller ton envie avec des coups de badine bien dosés et appuyés.

Walter s’arrêta, marqua un vrai silence appuyé et reprit sur le même ton :

- Je t’incite donc à plus que t’appliquer si tu veux épargner à ton corps qui est déjà assez fortement marquée de nouveaux coups de badine. Bien, tu vas recommencer à sucer le gode ventouse mais avec plus d'application c’est à dire en enserrant plus ta bouche sur cet objet, en salivant beaucoup plus et en aspirant par des succions en même temps comme si c’était une véritable verge humaine que tu voudrais faire dresser, durcir et éjaculer.
Et n’hésites pas à utiliser tes mains pour t’aider dans cette tâche si cela peut t'être utile ou nécessaire, car tu n’es pas encore assez expérimentée pour être capable de sucer, les mains derrière le dos, comme une bonne soumise… Ah j'allais oublier, je ne veux pas te voir t'arrêter une seule seconde sans quoi tu recevras sans sommation d’usage plusieurs coups de badine sur ton cul de chienne salope. Bien, tu attendras mon prochain son de claquement de doigts pour te remettre à sucer. Je veux que tu t'habitues à obéir promptement et naturellement au son de chaque claquement de doigts comme toute chienne ayant été éduquée et appartenant à Monsieur le Marquis doit savoir le faire sans aucune réflexion, ni mouvement d'hésitation. Bien, ainsi attend mon bon vouloir pour que tu te remettes à sucer.

J’attendais ainsi immobile et à quatre pattes, me tenant face au mur où était fixé le god-ventouse, la tête baissée et le regard rivé au sol. Je réfléchissais à toute vitesse silencieusement pour essayer d'appliquer au mieux les nouvelles directives de Walter. Je remarquais de nouveau que mon entrejambes était paradoxalement trempé et mouillé comme si j’étais excitée de patienter ainsi dans cette position soumise. Après quelques minutes de patience j'entendis enfin le son distinct d’un claquement de doigts et je me remis instantanément en mouvement. Je m'appliquais donc à nouveau avec beaucoup plus d’intensité cette fois-ci à prendre avec avidité de mes mains et de ma bouche le god-ventouse. J'essayais donc bien que difficilement de faire du mieux que je le pouvais pour espérer pouvoir convenir aux exigences du Majordome.

Je tentais de saliver le plus possible mais aussi de resserrer mes mâchoires tout en aspirant par succions sur le god. Au bout d’un moment, le god-ventouse commençait à se couvrir de ma salive qui coulait et se répandait petit à petit sur le parquet impeccablement ciré. Je continuais ainsi à m'activer n'ayant bien sûr pas reçu d'ordre contraire et voulant éviter de recevoir de nouveaux coups de badine sur mon derrière de chienne soumise.
Je recevais par ci, par là, quelques coups de badine sur mon cul de chienne soumise dès que je faiblissais un peu en suçant moins rapidement, ralentissant la cadence. Je continuais donc à suivre docilement et avec beaucoup de motivation et d'entrain les ordres de Walter. Les minutes passaient et à ma grande surprise, je me rendis compte que le temps ne comptait plus pour moi et que le véritable lâcher prise ressenti commençait à se mettre en place en moi-même et au plus profond de mon esprit. Je ressentis donc par la même un bien-être et une chaleur intérieure qui m'envahit, m’irradiant au plus profond de mon être, de mon esprit et de mon corps.

Même si j’étais à quatre pattes sur le sol à sucer un sexe factice et que la position pouvait être considérée comme humiliante, je n'en ressentais pas moins une excitation croissante. En effet, ma cyprine coulait maintenant avec abondance sur mes cuisses et mollets venant maintenant souiller l’ancestral parquet du donjon. Je fus surprise sur le coup de ne pas avoir eu de remarque, ni de réprimande pour avoir sali ce parquet et bien sûr n'ayant pas reçu d'ordre contraire je continuais à me concentrer sur la tâche qu'avait ordonné. Je restais ainsi silencieuse et continuais à m'affairer avec ma bouche de salope sur ce gode en plastique dur suspendu devant moi. Au bout d'un long moment, je ne saurais dire combien de temps, j'entendis alors soudainement le son du claquement de doigts si distinct et je quittais la position. J'attendais ainsi la tête baissée et le regard rivé au sol. Je patientais simplement comme la soumise que j'étais. Après un bref et court petit instant, j'entendis les bruits de pas de Walter qui résonnait sur le parquet et se rapprochait doucement de moi. J’étais ainsi fébrile et terriblement. Je sentis alors le Majordome à ma hauteur. Je sentis son regard inquisiteur et pervers qui me fixa ainsi de toute sa splendeur, me détaillant sous tous les angles et tous les points de vue. Après quelques instants, Walter me dit d'un ton sec et autoritaire :

- Bien, la chienne, tu peux maintenant arrêter de sucer.
Avant toute chose, tu vas nettoyer les saletés que tu as faites sur le parquet avec ta langue. Je veux que ce sol soit impeccable. Monsieur le Marquis décidera Lui-même si tu mérites une sanction ou non pour avoir souillé Son parquet ancestral qui a été foulé, jadis par le Marquis de Sade, lui-même, sache-le (NDLA : lire les Origines de la Saga). Aller, au travail, nettoie ce beau parquet avec ta langue de chienne...

Je baissais donc la tête et m'activais ainsi avec ma langue énergiquement et avec application les tâches que j'avais faites avec ma cyprine et ma salive. Après un bon moment à lécher ce sol, je commençais à voire les tâches mouillées diminuer et disparaître progressivement. Encore quelques instants et coups de langue à m'affairer et tout avait totalement disparu. Alors, j'attendis obéissante avec patience et en silence docilement, sans le moindre bruit la prochaine directive de Walter…

(A suivre …)

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