Mon Apprentissage D'Esclave Partie 2

De retour chez moi, je reçus un premier sms :
"Pierre,
je vais m'absenter pour une dizaine de jours. Cela te laisse juste le temps de commander ceci et d'apprendre à l'utiliser.Je t'interdis tout rapport sexuel avec une autre personne. Je t'interdis aussi de te masturber sans autorisation expresse de ma part. Je te donnerai d'autres consignes plus tard."
Le sms était accompagné de quatre liens qui renvoyaient sur un sex shop en ligne. Sidéré par le ton autoritaire de Bruno, je commandais immédiatement les quatre objets prescrits par mon Maître et lui répondis ensuite :
"Maître,
je viens de passer la commande. Je la recevrai dans trois jours. J'attends vos ordres.
Humblement,
Pierre".
La réponse tomba au petit matin :
" C'est très bien. Fier de toi. Hâte de t'y voir"
Cette réponse m'excita toute la journée.

Le soir venu, vers 21h00, le téléphone sonna.
- Pierre ?
- Maître, c'est vous ?
- Je serai bref, j'appelle de loin. Le jockstrap, tu le gardes pour notre prochaine rencontre. Le gode, il est à mes dimensions. Je veux que tu t'entraînes à le prendre jusqu'au fond de ta gorge. Au début tu risques d'avoir des réflexes nauséeux. Exerce-toi jusque-là ce que ça passe. Les plugs, c'est pour que tu t'assouplisses. Tu les garderas toute la nuit dès que les recevras, en commençant par le plus petit. Enfin, le lubrifiant… je ne te fais pas de dessin…Je veux que tu m'envoies des photos de tout ça au plus vite. C'est compris ?
- Bien Maître
- Et garde ton téléphone près de toi, je ne veux pas avoir à attendre quand je t'appelle. Tu continues d'aller à la salle ?
- Oui Maître
- C'est bien. Tu dois prendre du muscle. Je te rappelle plus tard"
Il raccrocha.

Les colis arrivèrent le lendemain. En déballant les colis, je fus pris d'un sentiment étrange, tout de stupéfaction, de sidération, d'humiliation et d'excitation mêlés.

Je voulus essayer le jockstrap en cuir. Il me comprimait le sexe et les couilles, empêchant toute érection. Le gode, de belles dimensions, m'effraya. Quant aux trois plugs de taille croissante... Je restais interdit devant ces dispositifs...

Lorsque le téléphone sonna, j'étais encore tout hébété
- Pierre, où sont les photos ? demanda mon Maître d'une voix dure
- Quelles... Oh pardon, je...
- Tu es rentré chez toi depuis quand ?
- Deux heures Maître
- J'attendais des photos. Tu m'as désobéis...
- Pardon Maître, c'est que....
- Tais toi. Je n'aime pas attendre. Tu vas donc insérer immédiatement le plug dans ton petit cul, le gode dans ta petite gueule, et m'envoyer des photos de tout ça.
- Bien Maître,
- Ça suffit. Envoie moi les photos maintenant.
- Bien Maître."

Sous le coup de son autorité, je me mis nu et insérai le plus petit pug à grands renforts de lubrifiants. Une positions acrobatique me permit d'effec un premier selfie qui me parut totalement risible. J' enfournai ensuite le gode dans ma bouche. Le goût bizarre du plastique, la texture étrangement réaliste et ferme de la matière et le gland qui venait chatouiller les amygdales provoquèrent en moi une excitation bizarre mêlée de dégoût. Lorsque le gland frôla ma luette j’eus un haut le coeur.Après un reffort, me déboîtant presque la mâchoire, je parviens à insérer l'engin et fis un deuxième selfie. J' envoyai le tout à mon Maître. Il répondit peu après : " Ok, Pierre. Tu gardes le plug pour la nuit. Dors nu. Dès demain, exerce-toi avec le gode. Je veux pouvoir te baiser par la bouche dès mon retour."
Je répondis immédiatement : "Bien reçu, Maître".
L'érection ne me quittait plus.

Le sommeil tarda, revint, disparut à nouveau. A quatre heures du matin, mon téléphone sonna. C'était mon Maître.
- Pierre ?
- Oui Maître
- Tu as gardé le plug ?
- Bien sûr Maître
- Comment tu te sens ?
- Eh bien.
.. C'est assez gênant...
- C'est douloureux ?
- Non, pas vraiment.... Mais ça me fait ressentir votre absence...
- J'aime entendre ça... Demain, tu vas garder le plug à ton travail. Il se peut que je t'appelle dans la journée à n'importe quel moment... Il faudra que tu puisses me prouver ton obéissance... Et demain soir, tu le retireras avant d'aller à la salle de sport. Compris ?
- Bien sûr, Maître
- C'est bien... A la salle, si Daniel te demande de l'assister, tu l'aides. Par contre, je t'interdis de le suivre. Je sais qu'il a flashé sur ton petit cul... Mais tu m'appartiens. Ok?
- Bien sûr Maître
- On est en phase. Alors envoie-moi une photo de ton cul maintenant. Ensuite, je t'enverrai une photo de moi. Je t'autorise à te branler cette nuit... mais tu gardes le plug. Et tu te filmes.
Tu m’enverras le film. Ah, j'y pense, je veux te voir lécher ton sperme. Compris ?
- Bien Maître
- Bonne nuit Pierre
- Bonne nuit Maître"
Je lui envoyai dans l'instant une photo de mon cul dressé vers le ciel, le plug bien visible. En retour, je reçus une magnifique photo de son sexe dressé, luisant, sublimement désirable. J’enclenchai alors la caméra de mon téléphone, et me frottais le sexe tout en ressentant dans mon anus la pression du plug. J'imaginais que c'était la pointe du sexe de mon Maître qui s'insérait délicatement en moi. Le plaisir monta immédiatement. Je recueillis ma semence dans la main et la léchai avec avidité.
J'envoyai la vidéo à mon Maître puis attendus sa réponse. Rien ne venant, je finis par m'endormir.

Le lendemain, mon Maître accrut encore sa autorité sur moi.

C'était un vendredi. Tôt le matin, mon Maître me rappela par sms de porter le plug toute la journée.
J'eus envie de refuser, en même temps que le désir de lui obéir m'emplissait d'une excitation plaisante. Je m'exécutai donc, d'assez mauvaise grâce et, après m'être lavé, insérai à nouveau le plus petit des trois dans mon orifice.
Puis j'envoyai une photo à mon Maître.
Il me répondit presque aussitôt : "Bon réflexe ;)".

Toute la journée, la présence de ce corps étranger dans mon intimité me rappela la présence forte de mon Maître. Toutefois lorsqu'il me demanda dans la journée de lui envoyer une nouvelle photo, je dus le faire patienter car j'étais en réunion. Dès celle-ci achevée, je me précipitai aux toilettes pour satisfaire mon Maître. Qui ne répondit pas.
Je quittai mon travail assez tôt pour pouvoir me rendre à la salle de sport. Entretemps, je passai chez moi et retirai le plug. Très excité, la tentation de me soulager était forte, mais je me souvins des ordres de mon Maître et, mentalement, lui offris mon abstinence.

Lorsque j'arrivais à la salle de sport, toujours assez fréquentée un vendredi soir, j'y aperçus Daniel à l'échauffement, allongé sur ce même banc où mon Maître m'avait aidé la première fois. Daniel faisait des développés-couchés avec une barre vide. Je m'approchai de lui. Il portait un débardeur assez ample qui laissait voir ses pectorux puissants à l'oeuvre dans ce mouvement. Lorsqu'il m'aperçut, il reposa la barre sur son support et se leva pour me saluer.
- Ça va ? Tu es seul aujourd'hui ?
- Comment ça, seul ?
- Bruno n'est pas avec toi ?
- Euh... non, enfin, il est en déplacement, mais ...
- Ah oui, exact, j'avais oublié ! Alors tu es mon partenaire, ce soir ?
- Oui, si tu veux... Enfin, si je peux t'aider...
- C'est parti!
Et nous passâmes la séance à alterner les exercices, lui chargeant des poids quand je déchargeais, ce qui me laissait le loisir d'admirer son corps - certes moins beau que celui de mon Maître, mais malgré tout de belles proportions.
La séance terminée, Daniel me proposa d'aller boire une bière.
Parvenus dans le café, à une table isolée, il me demanda d'emblée :
- Ça se passe bien avec Bruno ?
- Comment ça
- Allez, je sais tout, il m'a raconté.
On es très potes tu sais...
- Ben , si tu sais tout... qu'est ce que je peux te dire de plus. Pour le moment, c'est un peu tôt pour dire...
Il approcha sa main de la mienne, puis, me regardant droit dans les yeux, la posa fermement et déclara :
- Il a bon goût, mon pote. Tu es charmant... Si tu aimes les corps musclés, le mien pourrait te plaire... Ça te dit ?
Je sentis une érection me gagner. Je rougis, alors que son pied commençait, sous la table, à caresser ma jambe.
- Je suis... je suis embarassé, car mon ... enfin, Bruno m'a un peu parlé de toi et...
- Ah oui? Qu'a-t-il dit ? demanda Daniel en serrant mon poignet
- Que... Que je ne devais pas... Enfin, tu vois... que tu risquais de... Je n'aurais pas dû accepter de venir avec toi dans ce bar...
- Effectivement, c'était une assez mauvaise idée. Si il l'apprend, tu risques de prendre cher....
Et d'un seul coup, il se colla à moi, plaqua sa bouche sur la mienne, sortit éléphone et nous prit en photo.
- Je lui envoie ?
- Non, je t'en prie, ne fais pas cela....
- Alors tu sais ce qu'il te reste à faire... Viens chez moi.
- Non, s'il te plaît, j'ai promis
- Tu as le choix.
Et tout en maintenant mon poignet serré, il s'apprêtait à envoyer la photo.
- Si je te suis, tu effaces la photo ?
- Promis
- Comment je peux en être sûr ?
- Tu ne peux pas en être sûr, tu dois me faire confiance...
(A suivre)

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