Seconde Lune De Miel

Lorsque Michelle entra dans la pharmacie, la clochette au-dessus de la porte tinta joyeusement.
Phil, le jeune homme en blouse blanche derrière le comptoir, leva les yeux sur la splendide jeune femme.
"Bonjour ma chérie, quel bonheur de te voir!" ses yeux brillaient d'excitation et de désir.
"As-tu passé un bon weekend?" Michelle ne répondit pas, se pencha par-dessus le comptoir pour lui tendre ses lèvres.
Ils échangèrent un long baiser langoureux autant que passionné.
"Ce weekend a été morose, aussi long qu'ennuyeux" dit-elle en rompant l'étreinte. "C'est toujours pareil quand Jean est à la maison."
Jean était son mari depuis 2 ans. C'était le directeur de la plus grosse agence bancaire de la ville, il adorait sa femme plus que tout au monde, mais ce n'était pas cela qui le rendait intéressant, c'était son compte bancaire plein à craquer.
Michelle avait fait la connaissance de Jean au cours d'un stage de plusieurs semaines dans cette agence bancaire.
Bien évidemment, la tentatrice n'avait eu aucun mal à faire tomber Jean dans ses filets.
Michelle avait épousé Jean pour son argent, uniquement pour son argent, en pensant qu'avec le temps, elle pourrait aimer cet homme qui avait l'âge d'être son père... qu'elle finirait pas s'habi à lui... un jour... qui sait!?
Mais elle s'était rendu compte de son erreur pendant le voyage de noces. Jean était mou, dans tous les sens du terme.
Elle avait beau s'escrimer avec la main ou la bouche, difficile de le faire bander.
Et quand il était à peu près raide, elle avait à peine le temps de le chevaucher, qu'il s'écoulait 3 petites gouttes de liquide clair et, patatras, le soufflé retombait. Et quand il s'était vidé, impossible de le redémarrer!
Dès son retour de voyage, elle était venu se plaindre à son ami Phil, à la pharmacie, qui lui avait conseillé la petite pilule bleue.
Mais Jean refusait de se droguer. Elle était revenue confier sa déception au jeune homme, espérant un conseil.

.. une astuce.
Et Phil lui avait proposé ses services, l'assurant du parfait état de marche de son appareil génital!
Elle avait essayé, pour voir, comme ça, autant par désœuvrement que par curiosité ou par jeu.
Phil était merveilleusement équipé, et il était remarquable autant par ses dimensions extravagantes que par sa résistance à l'effort.
La gourmande Michelle avait déjà un joli palmarès à son actif, mais Phil sortait du lot. Une véritable bête de sexe!
Bien évidemment, séduite par la performance de Phil, elle était vite devenue sa maîtresse, et elle se soumettait le plus souvent possible aux assauts fougueux de son jeune étalon qui la faisait crier de plaisir.
Ils avaient entamé cette liaison torride quelques semaines après son retour de son voyage de noces, mais la question se situait maintenant au niveau de "aussi souvent que possible"... Bien évidemment, pas aussi souvent que Michelle le souhaitait...
Elle aurait aimé s'endormir le soir, blottie contre son bel amant, se réveiller dans les premiers rayons du soleil matinal devant ce merveilleux sceptre magnifiquement dressé.
Au lieu de cela, elle couchait au côté d'un vieil impuissant, gras et ronfleur, aussi déplaisant qu'un tas de saindoux!
Cette situation avait rendue Michelle irritable, elle faisait vivre un martyre à Jean, et les deux jeunes amants échafaudaient des plans...
"Je pense que j'ai peut-être enfin trouvé quelque chose pour t'aider avec... l'autre!" sourit Phil. "Tu sais, on avait parlé de...?"
Les yeux de Michelle s'écarquillèrent et sa bouche s'ouvrit dans un large sourire: "Tu as trouvé un moyen de le faire!?"
Phil sourit en retour. "Je pense que oui!"
Michelle gémit de bonheur en enlaçant amoureusement son amant: "Oh oui! Oh oui! Dis-m'en plus !?"
Tout au long de la semaine, Michelle ne pouvait rien entreprendre, parce que Jean était absent, en voyage d'affaires.
Elle pensait à ce que Phil et elle avaient imaginés pour Jean, et cette pensée mouillait sa petite culotte.

Elle savait que Phil était aussi excité qu'elle, et elle l'avait souvent au téléphone pour régler les derniers détails.
Ils avaient convenu de commencer le weekend, parce que Jean était libre et que cela leur laissait le temps nécessaire pour mettre en œuvre leur idée machiavélique.
Enfin, le samedi matin arriva. Le vibreur du téléphone de Michelle a fonctionné à 8 heures.
Habituellement, elle aimait faire la grasse matinée, jusqu'à ce que Jean vienne se blottir contre elle en la caressant.
Alors, elle aimait l'humilier en lui disant: "Laisse tomber, chaton, tu sais que tu n'y arriveras pas!"
Mais aujourd'hui, c'était un jour spécial, Phil avait promis que ce serait sa "deuxième lune de miel!"
Elle jeta un coup d'œil au gros lourdaud endormi à côté d'elle. En fait, un coup de canon n'aurait pas pu le réveiller!
Il lui avait rapporté un cadeau de son voyage d'affaires, pour se faire pardonner son absence prolongée.
Une très jolie bague, probablement très coûteuse, mais cela n'avait aucune importance pour le moment.
Ce qui était important se trouvait dans un sachet en papier brun, au fond de son sac à main.
Elle s'en empara et se dirigea vers la cuisine.
"Allez, l'endormi! Réveille-toi! Debout, chaton paresseux!"
Jean protégea ses yeux du soleil matinal lorsque sa femme entra dans la chambre.
"Mais c'est à peine 8 heures du matin! Je croyais que tu aimais faire la grasse matinée!" Jean tentait de l'amadouer.
"D'habitude, oui, mais j'attends une visite ce matin! Tiens, bois ton café. Ça va t'aider à te réveiller!"
Michelle souriait, un sourire qui inquiéta Jean, on aurait dit un fauve s'apprêtant à se jeter sur sa proie.
Elle portait une robe très féminine, très sexy, une robe qu'elle ne pouvait pas porter pour aller à l'église.
Jean la regardait, surpris, Michelle d'habitude si prude, si guindée… Aujourd'hui, Michelle était si radieuse!
Il pensait que cela avait un rapport avec son cadeau, et se promit de lui offrir plus de jolies choses à l'avenir.

Michelle lui tendit le café en lui disant: "Mon ami vient d'arriver, nous t'attendons au salon!"
"Mais qui est-ce?" demanda Jean.
"Dépêche-toi de t'habiller, nous t'attendons, tu verras, il est très amusant!" sourit mystérieusement Michelle.
Michelle ouvrit son coffre à bijoux et se para de colliers, de bracelets et de bagues.
Jean était émerveillé. Il adorait quand sa femme faisait l'effort d'être féminine!
Le café avait un goût âpre, mais Jean le bu quand même, il ne voulait pas prendre le risque de déplaire à Michelle en lui faisant une réflexion désagréable sur son café! Il finit ce café définitivement infect et s'habilla.
En plus, ce café ne remplissait pas son office, il se sentait vaseux, étourdi, il lui semblait qu'un essaim de guêpes avait élu domicile dans son crâne. Titubant, il s'est dirigé vers le salon, pour découvrir qui était cet invité mystère.
Il le reconnut en entrant dans le salon, c'était Phil, le gamin de la pharmacie.
Il ne lui avait jamais accordé la moindre attention, mais savait que c'était un vieil ami de Michelle.
Ils étaient assis côte à côte sur le canapé du salon, et regardaient la énième rediffusion d'un vieux film à la télévision.
Assise, la robe de Michelle remontait haut sur ses cuisses et dévoilait ses longues jambes parfaites.
Son décolleté baillait et découvrait une grande partie de ses globes laiteux.
En plus, elle s'était aspergée d'un parfum capiteux dont les effluves envahissaient la pièce.
Estomaqué par l'étrangeté de la situation, étourdi par ce réveil brutal, désorienté par cette visite matinale, il grommela un vague salut.
Il ne comprenait pas l'intérêt de cette visite si tôt le matin, l'attitude de sa femme, et ce mal de tête...
Étourdi, désemparé, il saisit la chaise la plus proche et s'effondra dessus.
"Chut, pas de bruit, on écoute!" grogna Phil.
"Il est chez moi, il n'a pas à me parler comme ça!" pensait Jean en regardant la télévision.
Quelques instant passèrent.
"C'est l'invité de Michelle, elle aurait dû intervenir! Pourquoi reste-t-elle silencieuse?" cogitait Jean.
Il s'est tourné pour regarder en direction de Phil, et il a reçu le choc de sa vie.
Michelle était blottie amoureusement contre Phil, sa tête appuyée sur l'épaule du jeune homme, et ils se regardaient tendrement, les yeux dans les yeux, mimant du bout des lèvres le geste de s'envoyer des bisous.
C'était déjà tellement inattendu, malsain, mais le pire, l'obscène, c'était que Phil avait la braguette ouverte, et que sa bite encore molle en sortait!
"Mais que se passe-t-il ici?!" Jean essayait de hurler, mais le résultat fut un lamentable sanglot.
"Quoi, chaton?" sourit Michelle. "C'est la bite de Phil qui te dérange?"
Jean essayait de crier, mais aucun son cohérent ne sortait de sa bouche. Il a essayé de se lever, mais n'a pas réussi.
Il ne se sentait pas endolori ou quoi que ce soit, il pouvait tout percevoir, mais il ne pouvait pas bouger, comme pétrifié!
"Tu ne penses pas que c'est mignon?" demanda Michelle avant de se pencher et de lécher délicatement le gland avec la pointe de sa langue. "Elle a tellement bon goût, cette bite! Et puisque Phil m'autorise..." soupira Michelle.
Elle posa sa main sur la tige et commença à le caresser tendrement pendant que Phil la regardait œuvrer en haletant.
La bite de Phil a rapidement commencé à s'ériger. Michelle s'est penchée à nouveau pour picorer de petits baisers sur le gland.
"Oh, c'est tellement mieux qu'avec la tienne, chaton!" elle a dit avec un rire de femelle émoustillée.
Pendant ce temps, Phil ne restait pas inactif, faisant glisser l'épaulette de la robe pour dévoiler un sein capiteux.
Empaumant le lourd mamelon, ses doigts pressaient le téton, arrachant des gémissements de plaisir à la jeune femme.
Jean ne pouvait pas tout voir d'où il était, mais des larmes d'humiliation et de rage commençaient à couler sur son visage, devant ce spectacle indécent auquel se livraient sa femme et son amant!
"Bon sang, je ne peux pas patienter plus. J'ai envie de te baiser!" souffla Phil.
Il baissa son pantalon puis glissa sa main sous la robe de Michelle pour arracher rageusement sa culotte et la jeter parterre.
"Phil! Tu sais que je n'aime pas le désordre! Ne jette pas mes affaires n'importe où!" taquina Michelle.
Elle se leva, ramassa sa culotte et la positionna sur la tête de Jean, s'assurant qu'il pouvait tout voir et que l'entrejambe humide de la culotte était sur son nez.
"Tu vas prendre soin de ma culotte pour moi, n'est-ce pas, chaton?" elle souriait cruellement.
"Tu disais que tu voulais me faire quoi, Phil?"
Phil poussa un grognement bestial, l'empoigna et la poussa contre le mur du salon.
Tandis que Phil l'empalait avec sa bite, Michelle leva une jambe pour poser son pied sur le guéridon, s'offrant lascivement.
Phil la baisait aussi énergiquement qu'il le pouvait, grognant et soufflant tandis que Michelle gémissait de plaisir.
"Putain! T'es bonne comme ça, avec tes grosses fesses!"
Jean restait hébété, troublé autant qu'humilié, ne comprenant pas comment c'était possible.
Il était là, affalé sur la chaise, tandis que sous ses yeux hagards, sa tendre épouse se faisait baiser comme une catin, debout contre le mur, par un jeune étalon! Et, à en juger par les cris qui s'intensifiaient, elle savourait ce moment.
Phil, ralentissait, puis accélérait ses coups de rein, pénétrant au fond de la chatte en fusion, se retenant, voulant prolonger l'instant.
Michelle l'implorait, le suppliait de continuer encore et encore, mais Phil était au bord de la jouissance.
Ils se séparèrent et Phil s'allongea sur le canapé.
"Putain, quel pied! Tu m'as défoncé la chatte! C'est la présence de chaton qui te motives comme ça?" rigolait Michelle.
"Tu prends ton pied, Jean?" Phil regardait Jean en face, le défiant.
"Je suis sûre qu'il a pris son pied, ce vieux chaton libidineux!" renchérit Michelle, voulant le ridiculiser.
Elle était superbe dans sa robe froissée qui tirebouchonnait autour de ses hanches, décoiffée, haletante, les joues rouges, un mamelon dehors avec le téton érigé, tellement chienne que Jean ne l'avait jamais vue ainsi.
"Tu as aimé ça autant que nous, n'est-ce pas, vieux pervers?!" Elle riait en le prenant par la main et en l'entraînant jusqu'à Phil.
"Tu as aimé voir ta petite femme se faire ramoner la chatte par cette grosse bite, n'est-ce pas, chaton?"
En disant cela, elle retirait sa culotte du visage de Jean puis, le saisissant par ses rares cheveux sur la nuque, pressa le visage de Jean sur la bite de Phil mouillée de ses sécrétions.
Michelle frottait le visage de Jean contre la bite encore tendue de Phil.
Elle tendit ses lèvres à Phil, et ils échangèrent un long baiser passionné.
Tout le temps, elle a maintenu le visage de Jean contre la bite de Phil.
Elle fit tomber Jean à genoux entre les jambes de Phil tout en maintenant son visage pressé contre la bite monstrueuse.
Michelle s'adressa à Phil, souriante et perverse: "Il faut bien que ce pauvre chaton ait sa récompense, il nous a si bien motivés!"
"Tiens, chaton, lèche cette bite qui te fait autant envie! Ne sois pas jaloux, Phil veut bien partager! Obéis!"
"Oui, Michelle!"
Jean fut surpris d'entendre le son de sa voix, et plus encore de voir son corps obéir à l'injonction de sa femme.
Comme un pantin maintenu par des fils invisibles, sans qu'elle le force, il lécha soigneusement la bite souillée.
Bien que le goût des sécrétions, sur sa langue, lui soit particulièrement désagréable, il s'acquitta parfaitement de sa tâche.
Michelle ne pris pas la peine de le féliciter et le fit s'allonger sur le sol.
"Allons déjeuner dans un bon restaurant! Toute cette baise m'a donné faim! Tu ne viens pas avec nous, chaton? Non? Bon, alors je t'emprunte ta carte bancaire. Tiens je te laisse ma culotte en échange, je n'en aurais pas besoin!"
Et elle déposa sa culotte souillée sur le visage de son mari.
Après une brève toilette, ils ont quitté la maison en riant aux éclats, laissant le vieil homme étendu sur le sol.
Dès qu'ils furent partis, Jean a essayé de se relever mais ne le put pas.
Son visage était maculé par le foutre de la bite de Phil, mais il ne pouvait pas l'enlever! Par contre, il pouvait le sentir!
Il aimait tellement sa femme! Comment pouvait-elle lui faire une chose pareille?
Elle l'avait abandonné au profit de ce bellâtre, mais il ne pouvait pas lui en vouloir! Il se mit à sangloter .
Elle était tombée sous sa coupe, il l'avait manipulée, c'était Phil le seul responsable de la situation.
Un long temps est passé. Impossible de dire combien, mais au moins plusieurs heures. Enfin, la porte d'entrée s'ouvrit.
Michelle et Phil ont retrouvés Jean exactement à la même place.
"Chaton! J'espère que tu as passé un bon moment en notre absence!" ricana Michelle en faisant un clin d'œil à Phil.
Elle s'accroupit auprès de lui pour lui raconter ses aventures.
"Il faut que je te raconte. Nous avons très bien déjeuné dans un très bon restaurant. La note était salée, tu verras ça! Après, Phil m'a emmené dans un bois qu'il connaît. Il a garé la voiture et il m'a baisée sur le capot! Dans les buissons, il y avait des hommes qui se branlaient en nous regardant. Quand Phil a terminé, il a invité les voyeurs à venir nous rejoindre. Ils se sont branlés et ils ont tous éjaculé sur moi. C'était divin!"
Michelle le secoua: "Hé! Tu m'écoutes!? Je parie que ne regrettes pas d'avoir bu mon café spécial, ce matin, n'est-ce pas?! Car au fond de toi, tu es un pervers libidineux et tu jouis d'être traité comme une larve! Dis-moi oui!"
"Oui, Michelle" répondit Jean. Un sentiment de crainte le saisit, il n'avait jamais voulu dire ça!
"Je le savais! Et je parie que tu aimerais faire plaisir à Phil aussi, n'est-ce pas?! Dis-moi oui!"
"Oui, Michelle" répondit Jean. Il ne parvenait à répondre autre chose.
Michelle riait, féroce: "Maintenant, explique-moi pourquoi tu aimes tant être dominé, et tu auras ta récompense!"
"J'aime être soumis sous ton emprise, être humilié par toi cela m'excite. En même temps, je suis jaloux de Phil et de sa grosse bite. J'aimerais être à sa place et te rendre heureuse, mais je ne le peux pas. Et surtout, j'ai peur de te perdre."
En prononçant ces paroles, Jean était encore bien plus effrayé, car il ne voulait pas avouer cela!
Il essaya de se relever mais il ne le pouvait toujours pas.
"Tu l'as bien compris, chaton. Le café que tu as bu ce matin, c'était une décoction de plante, et à partir de maintenant, tu seras mon cocu soumis, et tu obéiras à tous mes ordres. C'est une bonne chose, n'est-ce pas? Dis-moi oui!"
"Oui, Michelle" dit Jean, les larmes commençant à envahir ses yeux.
"Maintenant" dit Michelle en regardant Jean pensivement: "J'aimerais que tu te mettes à genoux, que tu rampes jusqu'à Phil et que tu lui fasses une pipe longue, lente, profonde et savoureuse. Et ne t'embêtes pas avec un préservatif, tu en profitera mieux à cru!"
Le cœur de Jean commençait à s'emballer! Non! Il n'y avait aucun moyen qu'il accepte de le faire! Mais son corps l'a trahi, il parvint à se redresser et il commença à ramper vers Phil qui l'attendait, souriant. Son estomac faillit se retourner quand il ouvrit la braguette de Phil et sortit la bite de son pantalon. Non! Non! Il essayait de résister, mais son corps n'obéissait plus à sa volonté…
Il ne pouvait pas s'éloigner, ou même garder sa bouche close, elle s'est ouverte toute seule!
Et ensuite, le pire arrivé. Jean a saisit la bite encore molle de Phil dans sa main tremblante et approcha ses lèvres.
Il tira la langue pour lécher délicatement le gland. Immédiatement, il sentit la tige grossir et se redresser dans sa main.
Sa langue léchait en tournant lentement autour du gland violacé, puis sa bouche englouti la hampe… lentement… délibérément.
Lorsque sa bouche fut remplie et qu'il sentit qu'il était sur le point de s', il se recula doucement…
Lentement, doucement, sa langue léchait la hampe sur toute sa longueur.
Son nez, sa bouche étaient envahis par le fumet âcre du mâle en rut, son esprit trouvait ces effluves repoussantes, mais sa bouche n'arrêtait pas de sucer, sa langue de lécher...
Quand seul le gland était dans sa bouche, il le tétait bruyamment, puis replongeait pour lécher la tige jusqu'aux couilles.
Jean fit durer la pipe longtemps. Et Phil était très résistant, parce que Michelle lui avait déjà bien vidé les bourses.
Et puis, Phil a commencé à se tendre et à gémir de plus en plus fort.
Il a posé sa main sur la tête de Jean pour le maintenir, et il a commencé à agiter ses hanches, pompant sa bite dans la bouche de Jean.
Vite. Et dur. De plus en vite en de plus en plus dur, Phil baisait la bouche de Jean, heurtant la gorge à chaque poussée.
"Oui, Jean! Prends ça, tu vas adorer!!" Phil se crispa et Jean sentit le foutre envahir sa bouche!
"Avale, chaton, ne perds pas de temps, c'est meilleur chaud!" rigolait Michelle.
Jean déglutit et avala le sperme de Phil, malgré le fait que le liquide âcre et visqueux le dégouttait au plus haut point.
Quand Phil eut terminé de s'épancher, Michelle commanda: "Nettoie sa bite!"
Jean lécha consciencieusement la bite souillée, lorsqu'elle fut impeccablement propre, Michelle ordonna:
"Maintenant, viens ici et allonge-toi sur le dos!" Jean fit ce qu'elle voulait, le cœur au bord des lèvres.
Michelle se pencha sur Jean pour lui parler d'un ton apaisant:
"Écoute, à cause de toi, maintenant je suis toute excitée! Il faut que je baise encore! Et comme tu ne peux pas t'en occuper, Phil va devoir se sacrifier! Mais Phil a une telle quantité de sperme à éjaculer, je détesterais qu'il en balance partout et que je sois obligée de faire le ménage! Comme j'ai vu que tu aimes beaucoup le sperme de Phil, pourrais-tu... au moment crucial... me faire cette faveur? "
Jean l'implorait du regard, des sanglots rauques sortaient de sa bouche.
Michelle l'a regardé fixement puis elle a souri largement: "Merci, chaton!" Avant d'éclater de rire.
Pendant ce temps, Phil s'était approché de Michelle par-derrière et il avait saisi ses seins à pleine main.
Serrant. Dur. "T'es bonne, penchée comme ça, je vais te prendre en levrette!"
"Plus tard! Laisse-moi ôter mes vêtements, j'aime être baisée nue! Cela plaît à chaton!"
Phil a ri, il a lâché Michelle, et il ont ôté leurs vêtements. Jean ne pouvait pas voir ce qui se passait dans sa position.
Pendant de longues minutes, il ne put entendre que des bruits de baisers et des souffles haletants.
Son imagination essayait d'interpréter les sons qu'il entendait, et il avait l'illusion de les voir se câliner.
Soudain, les deux amants apparurent complètement nus dans son champ de vision.
"Jean pourrait être notre lit. Il est si dodu, il doit être confortable!" s'exclama Phil.
"Oh oui! Bonne idée!" Michelle s'assit sur la poitrine de Jean et écarta les jambes de part et d'autre de sa tête.
Sa chatte était béante et suintante parce qu'elle venait d'être masturbée.
Ses seins lourds étaient pleins de taches de rousseur, et ses tétons étaient saillants.
Phil s'est approché et Michelle a ouvert la bouche pour qu'il y mette sa queue.
De longues minutes passèrent, Michelle assise sur la poitrine de Jean, le sexe de Phil coulissant dans sa bouche.
Les bruits de succion et les gémissements emplissaient la pièce.
Aucun son ne venait de Jean. Tétanisé, il observait la scène qui se déroulait au-dessus de lui.
Son visage était légèrement rouge, comme s'il avait du mal à respirer à cause du poids de Michelle sur sa poitrine.
Soudain, Michelle repoussa Phil en posant ses deux mains sur ses cuisses:
"J'ai besoin de te sentir en moi, Phil" gémit-elle. "Baise-moi! Maintenant! Chaton va tellement aimer ça!"
Elle s'allongea sur Jean, les fesses sur la poitrine et la nuque sur son pubis, puis elle leva les jambes en l'air.
Phil s'agenouilla près de la tête de Jean et glissa sa queue dans la chatte avide de Michelle.
Et il la baisa. Dur. Fort. De grands coups de rein qui secouaient Michelle sur Jean.
Plus vite encore. Michelle hurlait son plaisir à chaque poussée.
Jean, aveuglé par les couilles pendantes de Phil qui lui balayaient le visage, ne pouvait pas admirer la chatte dilatée de sa femme, écartelée par l'énorme bite de Phil, et dont les lèvres boursouflées semblaient s'agripper au monstre qui la fouillait.
Jean gémissait aussi, mais c'était des gémissements de douleur qui intensifiaient l'ardeur des deux amants.
Plus rapide! Plus fort! Plus dur!!!
Jean haletait et gémissait de douleur, le corps pressé et secoué, le souffle coupé!
Les gémissements poignants de Jean finirent par énerver Phil:
"Ferme ta gueule, le cocu! Viens, Michelle. Allons dans ta chambre, il me casse les couilles avec ses jérémiades!"
"Non, nous ne pouvons pas lui faire ça! Le laisser seul, il se sentirait tellement ... abandonné! Non, je vais le calmer."
Les deux amants se relevèrent et Michelle s'accroupit sur le visage de Jean.
Installée tête-bêche au-dessus de son mari, elle ouvrit sa braguette pour voir si la petite nouille retrouvait un peu d'énergie.
Lentement, ses deux mains écartèrent ses fesses sensuelles et elle s'assit sur le visage de Jean.
Tortillant son croupion pour trouver la bonne position, elle colla sa chatte sur la bouche de Jean.
"Sois gentil, chaton, utilise ta langue pour me donner un peu de plaisir. Et toi, Phil, encule-moi !!"
Le monde de Jean était devenu un tourbillon de sensation, les jus de Michelle coulaient dans sa bouche, les couilles pendantes de Phil occultaient sa vision. Obligé de respirer par le nez un air puant, il réussi à ne pas mourir étouffé par la chatte crémeuse de Michelle.
"J'ai juste besoin de te bâillonner un petit peu, chaton!" ce fut la dernière chose qu'il entendit avant son monde ne devienne noir.
Il y avait la chatte de Michelle sur sa bouche! Depuis le temps qu'il en rêvait, qu'il l'espérait!
Ses cris étaient à peine audibles, mais ils faisaient frissonner la chatte de Michelle, qui coulait encore plus.
Il pouvait sentir les coups de boutoir qui défonçaient le cul de Michelle et la faisaient crier de plaisir.
Il participait pleinement au coït des deux amants. Il aurait pu être pleinement heureux s'il avait pu voir l'ignoble chibre ravager le cul de sa femme, s'il avait pu respirer un peu mieux, et si son occiput arrêtait de cogner le sol en rythme.
La bite de Phil ayant élargi le chemin, il accéléra un peu sa cadence, puis un peu plus, puis à plein régime, ses amples mouvements de hanches martyrisaient l'anus de Michelle qui criait de bonheur.
Sans un mot, haletants, gémissants, les deux baisèrent longtemps, et le bruit du crâne de Jean qui heurtait le sol était parfaitement audible. Ils ont baisé farouchement sur son visage. Longtemps. Sauvagement.
"Je vais jouir!" s'exclama Phil.
"Pas encore!" implora Michelle.
Elle se dégagea et s'accroupit à côté de Jean.
Le visage de Jean était rouge, sa respiration était haletante, mais sinon, il semblait aller bien.
"Chaton, tu sembles avoir vécu un moment difficile, je ne comprends pas pourquoi!" s'exclama Michelle.
"Mais ne t'inquiète pas, j'ai le remède, maintenant tu vas avaler ton lait comme un gentil chaton!"
Elle jeta un coup d'œil à Phil qui savait quoi faire. Michelle se coucha sur Jean, le visage tout près du sien, la chatte appuyée sur la petite nouille désespérément flasque.
Phil, agenouillé au-dessus du visage de Jean, commença à se branler.
En quelques instant, il éjaculait sur le visage de Jean qui ouvrait la bouche, soumis à l'ordre de Michelle.
L'effet fut immédiat, dans un réflexe inattendu, le sexe de Jean se dressa.
"Ooh! Il bande! Chaton bande!" Prestement, d'une rotation du bassin, Michelle aligna sa chatte sur le petit sexe de Jean et s'enfonça.
Malheureusement, quelques coups de rein plus tard, 3 petites gouttes de liquide clair et c'était fini.
Pourtant, Michelle semblait ravie, ses mains sur les joues de Jean, elle déposa un bisou sur les lèvres souillées.
"Chaton! Tu as baisé ta femme! Comme un grand garçon!"
Se tournant vers Phil, Michelle demanda: "Que va-t-il se passer quand l'effet de la décoction se sera estompé?"
"Ho! Mais c'est terminé! L'effet ne dure pas plus de 6 à 8 heures, suivant les sujets! Il a bandé tout seul, sans que tu lui ordonnes!"
Pourtant, Jean pleurait à chaudes larmes.
Michelle l'apostropha: "Quoi, chaton? Qu'est-ce que tu as encore!?"
"Je ne veux pas que tu me quittes! Je suis prêt à tout accepter mais je veux que tu restes avec moi!"
Michelle rassura Jean sur ses intentions, lui parlant d'une voix apaisante:
"Phil va emménager ici maintenant, ce sera plus pratique, il pourra me baiser tous les jours. Toi, chaton, tu dormiras dans la chambre d'amis, je dormirais dans la chambre conjugale avec Phil. Dès lundi, Phil ira t'acheter une cage de chasteté afin que ton petit oiseau ne t'embête plus. Maintenant, viens te coucher!"
Michelle accompagna Jean jusqu'à son lit, lui recommandant d'être bien sage:
"Si tu te montres docile, tu auras ta petite récompense, chaton!"
Puis en quittant la chambre: "Phil, viens mon minet, t'occuper de ma petite chatte!"
Comme les deux chambres étaient contigües, et que les portes étaient ouvertes, Jean entendait parfaitement tous les bruits provenant de la chambre conjugale.
Mais plus que les cris de Michelle, c'est le bruit de la tête de lit qui frappait en rythme le mur mitoyen qui berça Jean.
Il s'endormit paisiblement, épuisé mais heureux.

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