Collection Zone Rouge. Poupette. Début De La Saison V (37/43)

Après la fin de la saison IV, poupette me fait passer la suite de ses aventures.
Elles sont intenses.
Nous l’avions quitté au moment ou dans le tunnel creusé par Miguel son mari, elle venait de se faire violenter.
Voilà le début du chapitre V

Après que Tex courroucé s’apercevant que la clef USB dissimulée dans un faux lingot d’or n’était pas parmi les six autres, je me change et décide de rejoindre mon équipe par le tunnel entre ma demeure et le garage ou mes hommes doivent m’attendre.
Dans ce boyau, je suis agressé et même je peux dire violée même si je ne peux voir mon agresseur, ma lampe de portable s’étant éteinte.

Je suis plaqué contre le mur en brique quand le sexe de mon agresseur entre en moi.
Ce oh, c’est lorsque le morceau trouve son chemin en moi.
Moi qui dissertais sur bite ou pas bite, un homme, certainement l’un des miens à choisi pour moi.
Mon mari alité, l’un d’eux aurait-il des vues sur son empire et vais-je être égorgée après s'être déversée en moi !
Qui connaît le passage entre ma maison et le garage autre que mes hommes, mais avant de voir comment les choses vont tourner, la bite qui m’assaille commence à me faire de l’effet.
Quand je faisais la pute, certaines étaient bien plus grosses que celle qui vient d’entrer en moi, mais la situation insolite que je subis déclenche dans mon corps le début d’une jouissance.
Les histoires de femmes violées laissant éclater leur plaisir sous l’assaut des hommes les contraignants sont bien connues, je peux dire que la boule montant en moi en est la preuve.
Vous m’excuserez, je jouis en même temps que mon amant me violentant se déverse en moi par de longs jets de sperme.
Je hurle de plaisir dans ce trou.
Encore deux ou trois coups de queue et l’on me libère.
Un bruit de course vers la porte donnant vers le boyau conduisant vers la station du lac et j’entends la porte claquée derrière celui qui a mon corps défendant vient de me faire jouir.


Je remonte mon jean sentant au passage du sperme encore chaud couler le long de mes jambes.
Mon chemisier est à moitié défait, mes seins me faisant encore mal de les avoir frottés sur les briques du conduit.
Je cherche mon portable que j’allume.
La clarté de la lampe me rappelle que j’ai eu peur de mourir égorgée alors que par chance je suis morte de plaisir.
Moi qui rêvais de bite, celle qui vient de me prendre n’étais pas si mal.
Toutefois, je reprends mon chemin, satisfaite de voir la lumière du jour ayant franchi les deux portes.
Avant d’ouvrir celle de l’atelier, je regarde dans l’œilleton placé intelligemment qui permet de voir si la police n’est pas dans la place.
Je vois le monte-charge s’élever sans voir les pieds de mon agresseur qui aurait pu me donner une indication sur celui à qui j’ai promis de lui couper les couilles.

Je rappelle l’élévateur, je referme les portes métalliques de sécurité et j’arrive dans la salle.
Fred vient vers moi et ouvre me libérant, il a une arme à la main.
Ça fait deux fois que je me fais braquer par une arme, une fois dans mon dos par Cristopher, une fois sur mon ventre par son oncle.

- Patronne, que vous arrive-t-il, dans quel état êtes-vous !
- En venant vous rejoindre, j’ai trébuché sur le sol inégal du tunnel et je suis tombée, je dois être échevelée.
Fred avez-vous vu quelqu’un sortir du monte-charge.
- Non, nous avons entendu qu’il montait s’arrêtait avant de redescendre.
- Êtes-vous seul ?
- Non, mon neveu vient de rentrer comme vous lui avez demandé, il prend sa douche dans nos appartements.
- Nous sommes ici patronne, nous avons entendu vos voix du fond du garage, nous jouions aux cartes en vous attendant avec Johnny belle Gueule.

Tous les trois ont une arme à la main, ça m’interpelle, si l’un d’eux avait des velléités de pouvoir, il aurait pu me flinguer soit au moment ou il me violait, soit en me faisant profiter d’une balle perdue.


- Les gars, retournez jouer, je dois voir la patronne, j’ai quelque chose à lui dire.

Va-t-il me dire que c’est lui mon violeur !

- Pouvez-vous me suivre dans le bureau de l’ancienne direction, elle est entièrement insonorisée.
Nous pourrons parler sans risque d’être écouté par ce pourri de flic.

Je le suis, va-t-il me dire que se rendant chez le sénateur, dans le boyau il m’a violé n’ayant pas de femme, du moins de ce que j’en vois depuis que je le connais.

- Madame Claudia, Miguel m’avait donné quelques consignes pour que je vous mette au courant si après votre mariage il lui arrivait des soucis.
Il savait que l’inspecteur le traquait surtout après que vous lui aviez avoué qu’il essayait de faire pression sur vous pour que vous lui remettiez sa comptabilité.
Dans son coffre, il avait fréquemment besoin de ses trois dernières années.
Je vais fréquemment dans ce que chacun croit être ma famille dans l’Arizona ou je possède un petit ranch.
En réalité, c’est celui des grands-parents de Miguel où il a passé sa jeunesse.
Au début de nos aventures au retour du Vietnam, il a fait aménager une cache ou je vais déposer tout ce que nous souhaitions cacher aux impôts sur nos activités parallèles.
L’inspecteur peut chercher, une équipe d’une société d’informatique que nous avons achetée est venue tout mettre dans une clef USB qui a été cachée dans un faux lingot du même poids exact que les autres.
Vous arriviez de chez le sénateur quand vous êtes tombée, l’inspecteur vous a emmené après l’hôpital, j’espère qu’il ne l’a pas trouvé ?

Il semble oublier le viol subit, si c’est lui bien sûr, prenant mon explication de chute pour argent comptant.
Ils sont trois potentiellement capables de l’avoir fait, mais je sens que Fred est celui qui est le plus amène à m’aider.

- Vous pouvez être tranquille, Fred, il ne l’a pas trouvé, ce n’est pas faute de les avoir tournés et retournés dans tous les sens.

Il savait qu’il était là, vous vous étiez fait doubler quand les gens de la société d’informatique que nous possédons ont fait le travail.
Tex avait anticipé et avait placé un inspecteur formé à l’informatique parmi eux.
- Il sera facile de le démasquer, c’est certainement le dernier des quatre qui ont fait le travail avec le patron.
- Fred trouvez-moi ces noms, je vais m’occuper personnellement de lui, je veux faire voir à l’inspecteur qui dirige maintenant jusqu’au retour de mon mari en pleine forme j’en suis certaine.
Nous n’avons pas consommé notre nuit de noces.
- S’il ne l’a pas trouvée Claudia, ou se trouve-t-elle ?
- Dans une mallette sous le siège d’une vieille Buick conduite par un black qui m’a aidé au petit matin quand j’ai vu que Trevor n’était pas au rendez-vous.
Entre parenthèses, vous devez savoir que Trevor est mort au volant de sa Mustang.
C’était une prise de guerre, hélas sa soif de vitesse c’est fracasser dans un poteau.
Comme vous me dites que tout est calme ici, vous allez revenir avec moi chez le sénateur, je vous remettrais une liasse de billets et vous irez la récupérer en donnant assez d’argent à ce brave garçon qui a sauvé l’organisation cette nuit.

Il ouvre un tiroir et sort un classeur avec des factures, elles doivent être très anodines pour qu’elles soient là à porter du premier venu.

- Voilà la facture avec l’adresse, vous demanderez à Cristopher de vous fournir les noms pour vous mettre en chasse.
Il me fera voir si j’ai bien fait son éducation.
- Vous pouvez en être fière, il a été très efficace cette nuit dans la tâche que je lui avais assignée.
Mais dites-moi, cette photo sur le mur, c’est le ranch de mon mari ?
- Oui, avec sa maman du temps ou elle pouvait encore se déplacer.
- Pourquoi ?
- Quand je l’ai enterré il y a quelques mois, elle ne pesait pas loin de 200 kilos, j’ai dû la mettre dans une brouette avant de la verser dans la tombe que j’avais creusée sur le côté du ranch.

Chaque fois que je m’y rends pour porter des affaires dans la cache, je fleuris sa tombe.
- Elle était seule avec son fils !
- Oui, c’était une jeune femme venue d’Angleterre pour chercher fortune car dans son pays elle vendait son corps pour vivre.
Ça n’a pas été mieux dans l’État d’Arizona où elle a fini par se retrouver.
Vous savez patronne, une pute reste une pute dans l’âme.
Quand une femme a écarté ses cuisses pour de l’argent, elle sera toujours prête à recommencer quand le moment s’en fera sentir.
Pardon patronne je ne disais pas ça pour vous, grâce à Miguel, vous vous en êtes sortie.
- La vie est longue Fred, que me réserve l’avenir.
Comment faisait-elle pour vivre si elle était obèse et comment l’est-elle devenue ?
- L’obésité, une maladie dite orpheline, quant à l’argent c’est son fils qui allait en ville chercher des mecs pour la baiser ?
Si vous saviez le nombre de mecs assez malade pour aimer baiser un tas de graisse.
C’est pour ça aussi quand nous avons commencé à prosti des filles qu’il s’est intéressé aux minis puis aux miss quand elles étaient majeures.
Il était amoureux de Claudia Schiffer qu’il avait rencontrée lors d’un cocktail.
J’ai cherché à savoir s’il avait couché avec elle lors de cette soirée, sur ce sujet c’était une tombe.
- Je comprends mieux certaines choses Fred, maman ayant la même obsession au point de m’appeler Claudia, quand je l’ai fait éjaculer, il a dû faire un transfert en ayant ma tête blonde dans ses mains.
Retournons par le passage, je pense que l’autre pourri me fait surveiller, je ne suis jamais ressorti de là-bas…

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