Fratrie &Quot;De Wintzt&Quot;

Bonjour à tous…

Je suis Marc, né d’une famille de l’Est de la France, mais d’origine allemande. Les Junkers de la Prusse orientale, où le domaine ducal des « de Wintzt » a si maintes et maintes fois été remodelé que mon arrière-grand-père a préféré rejoindre la France après la débâcle de l’Empire Allemand en 1918.

Nous nous y sommes bien intégrés, tous francophones, l’immense fortune familiale ayant été utilisée pour des industries, créant des emplois et nos origines allemandes n’avaient plus cours, trop respectueux d’instaurer un climat de bonne entente entre nous et nos employés.

Actuellement, mon père est l’héritier, le gérant de cet « empire », marié puis veuf d’une immense fortune américaine et ce monstre de virilité a engendré trois fils…

Matthieu, mon frère ainé, Paul le second, et moi, Marc, né cinq ans après lui…

Dès tout jeune, j’avais compris que les immenses doses de testostérone de mon père avaient été réservées à mes frères… De vrais mâles… hyper virils, poilus très jeunes comme mon père avec un corps de rêve et une bosse dans leur short qui imprégnait déjà leur énorme membre.

Mon père avait dû donner toute sa réserve d’hormones à mes frères lors de leur conception, quant à moi, je restais en retard, et même à l’âge de la majorité, j’étais à peine pubère. Toujours pré ado, admirant mes aînés et vouant une passion sans borne à Paul, qui me le rendait bien.

Très proches tous les deux, lui, hyper protecteur à mon égard, des câlins sans fin, des caresses qu’il me laissait parcourir tout son corps velu, et de sages bisous qui se sont assez vite transformés en baisers torrides, avec nos mains l’un sur l’autre et partout…

Très vite j’ai ressenti…. « Paul… Mon frère, mon homme… »

Cette affection fraternelle s’est très vite transformée en Amour et ensuite en Passion. Paul sera mon Amour, mon homme, le seul… L’unique…. Je le vénérais….



Quelques jours après la fête de mes 18 ans, soirée seul avec Mon Paul, mon père était en voyage d’affaire et Matthieu de sortie avec ses potes jusqu’au lendemain.

J’ai préparé le repas qu’il aimait et que nous avons dégustés l’un contre l’autre, assis sur le canapé, assiettes sur la table basse… Il rentrait du sport, pas encore douché et il exhalait l’odeur du mâle, phéromones et testostérone emplissait la pièce, légère sueur sur son torse velu et short qui comprimait cet immense objet de mes désirs…

Une fois son estomac repu, Paul s’est penché sur moi, a posé ses lèvres sur les miennes, enfonçant sa langue dans ma bouche et pris ma main pour la mettre sur cette énorme barre de chair qui déformait son short d’une manière…. Outrageuse…

- Je peux plus Marc, j’ai attendu impatiemment que tu sois majeur et libre…. Je te veux… Viens dans ma chambre… Je veux t’aimer…

J’attendais ces mots depuis des années… Mon Frère… Mon Homme… Et j’allais enfin être à lui… Appartenir à l’homme que j’aimais tant, que je vénérais…. Je voulais être à lui… sans réserve…

Main dans la main, nous nous sommes dirigés vers sa chambre, et au seuil, il s’est arrêté, m’a pris dans ses bras puissants et m’a déposé sur son lit… Ce lit où nous avions partagé, en simples frères, tant de nuits, dès mon plus jeune âge, je ne supportais pas d’être séparé de lui quand il était là et mes hurlements ne cessaient que lorsque je m’assoupissais auprès de lui…

Sa chambre sentait fort, cette odeur de mâle et cette fragrance emplissait mes narines, la même qu’exsudait son corps, tout contre moi, mon nez dans sa toison fournie et odorante.

Il m’a allongé, ôté mon tee-shirt, enlevé le sien, et pour la première fois, c’est en caleçon que nos corps se sont rapprochés, cette hyper puissance masculine sur moi, chaque centimètre carré de sa peau épousant la mienne, son énorme membre chauffé à blanc, dur comme de l’acier s’incrustait dans mon ventre à m’en faire mal.


Sa barbe drue du matin me piquait partout, à chaque baiser qu’il déversait sur moi, mes mains n’avaient pas assez de doigts pour le parcourir.

- Marc…. Je suis vierge mon Chéri…. Je n’ai jamais encore fait l’amour avec qui que ce soit…

Cette révélation me laissa interloqué… Mon frère, si beau, ne connaissait pas l’amour physique, alors qu’il avait tous les atouts pour ça…

- Je ne pouvais pas, Marc, j’ai essayé, mais à chaque fois, que ce soit avec une fille ou un garçon, j’avais ton image devant moi et mon envie disparaissait.

Pour toute réponse, je l’ai basculé sur le dos, et mes lèvres se sont posées de sa poitrine hyper velue, jusqu’à l’orée de son boxer… Plus je descendais et plus cette odeur de mâle était forte. Son mât dépassait longuement de la ceinture, et j’ai pu enfin embrasser l’objet de mes désirs, que je refoulais depuis tant d’années.

Paul a hurlé quand ma bouche s’est emparée de lui, mes mains sur sa touffe hyper drue et descendant vers son gros sac, noir de poils, et rempli de sa liqueur d’amour… Il appuyait sur ma tête pour que je puisse le prendre le plus possible en moi et en des tremblements convulsifs, son nectar a fusé en moi, en de longs jets qui ne s’arrêtaient pas… J’avais donné du plaisir à Mon Homme et Mon homme connaissait enfin le plaisir….

- Merci mon Amour, mais maintenant, j’ai besoin de plus mon Marc adoré… Je veux te prendre, te posséder, je veux que mon sexe te fouille, entre en toi complètement… Moi aussi j’attends ça depuis des années…. Je ne veux que Toi et je comprends que tu puisses avoir peur…

Effectivement, 1.90, costaud, poilu comme un singe, vigoureux comme un lapin, son sexe n’ayant toujours pas débandé après sa jouissance, et 22 centimètres sur 6/7 de diamètre, ça a de quoi faire peur pour l’innocent que j’étais… Mais c’était Paul, c’était mon frère adulé et j’attendais trop cet instant….

- Je suis à toi mon Chéri et à toi seul… Pour la vie… Si tu le veux.
.
- Je le veux…

Et Paul sera à jamais l’homme de ma vie, jusqu’à ce jour encore…

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