Chantal 10

Chantal 10
De surprise en surprise

Après le repas Chantal n'a qu'une hâte c'est de rejoindre sa chambre et surtout ses doigts sur son sexe enfiévré, parfumé et englué.
Mais après quelques instants de caresses elle s'écroule de fatigue et elle passe une nuit remplie de rêves érotiques, où se mêlent souvenirs et fantasmes, de quoi enrichir une libido qui n'a guère besoin de cela pour être exacerbée.

Et l’aube a déjà disparu. Le soleil qui filtre à travers les volets, réveille la belle Chantal.

C'est le lundi, jour de fermeture de la boulangerie. Son père va passer la matinée à ranger le fournil et sa mère le magasin, donc pas de possibilité de sortir.

Mardi, réouverture de la boulangerie et chaque fois que sa mère sert une baguette elle la revoit tenant en main une tout autre baguette chaude.

La semaine va passer difficilement.
Ça la met dans un état d'excitation pas possible.
Rien que dans la matinée, elle a dû changer deux fois de culotte au point qu'elle décide de ne plus en mettre.

Il faut juste qu'elle s'essuie le sexe de temps en temps pour éviter de mouiller ses cuisses.

Le mercredi matin sa mère lui demande de garder la boulangerie un moment car elle doit aller porter un pain au presbytère.

Chantal se propose de le faire mais sa mère lui dit qu'elle a deux autres courses à faire.

Chantal n'a aucun doute sur le genre de course, celle à la grosse queue noire. Elle en conçoit presque de la jalousie.

Et quand Jean le mitron et aussi son copain de convenance remonte du fournil les derniers pains de la matinée et qu'il se rend compte que la belle est sans culotte, il s'empresse de passer les mains sous la jupe pour lui palper les fesses.
- “Arrête tu vas me mettre de la farine partout “
- “Et alors moi j'aime les escalopes panées “ Tout en lui tripotant la fente.
- “Arrête je suis déjà mouillée”
- “Tu pensais à moi ? “

Chantal est sauvée par le gong, en l'occurrence deux clients, et c'est bien à regret que Jean doit abandonner ses œuvres.



La matinée se passe et Chantal a toujours le feu au ventre. Il est presque midi quand sa mère rentre de sa partie de jambes en l'air ou de bilboquet. Au vu du chignon défait et la robe froissée Chantal se dit que sa mère n'a pas du faire qu'un essai.

La semaine se passe ainsi, difficile entre les nuits courtes peuplées de rêves érotiques de caresses avant de s’endormir sans avoir vraiment satisfait son sexe brûlant de désir, et les journées au magasin avec parfois la main baladeuse de Jean qui ne fait qu’enflammer un peu plus son ventre.

Mon Dieu que ce fut long pour arriver au samedi, jour des confessions, jour béni pour Chantal, où dans la pénombre d’un confessionnal, elle peut raconter ses turpitudes a en faire bander le pauvre curé, mais aujourd’hui c’est son remplaçant l’abbé N’DOUR.

Comme chaque samedi la belle Chantal s’arrange pour être la dernière en confession. Elle s’agenouille dans le confessionnal, se signe et elle se met à raconter ses péchés de chair espérant bien allumer le remplaçant du curé, le baiseur de sa mère.

Chantal débite son baratin elle sait bien ce qui va finir par faire craquer l'abbé, et sinon il lui reste encore à lui faire savoir que c'est sa mère qu'il a baissé l'autre jour.

Tout en confessant ses turpitudes en rajoutant même, elle a le nez fin Chantal, elle sent l'odeur de fauve qui émane de l'autre côté de la grille. C'est l’odeur sauvage et suave du sexe qui lui chatouille les narines, le parfum du mâle en rut.

Alors elle insiste, elle lui dit combien elle a toujours envie d'homme, de bite grosse et dur, ce faisant elle passe ses doigts dans son entre jambes, mouille ses phalanges à sa cyprine puis elle les passe à travers la grille en disant “Sentez mon odeur de femelle en chaleur “.

Alors Chantal sent la bouche de l'abbé se fermer sur ses doigts et téter ses petits doigts.
Elle a gagné il est à sa merci elle va se faire une belle queue noire, tout comme sa maman et qui sait peut être d'autres salopes en ville, qui viennent se confesser dans l'espoir secret de se faire emmancher.


Dans la pénombre du confessionnal Chantal devine que l'abbé est en train de se masturber et puis maintenant le parfum de la bite la fait réagir elle replonge ses doigts dans sa chatte gluante et elle les redonne à sucer en disant “viens me prendre la chatte je n'en peux plus il me faut ta grosse queue noire ! “

Chantal quitte le confessionnal et avant que l'abbé en fasse de même, la petite salope est déjà couchée nue sur le tapis en haut des marches juste devant l'autel, les cuisses écartées dévoilant sa fente baveuse du plaisir à venir.

L'abbé ne prend même pas le temps de fermer la porte de l'église, la soutane vole au milieu des chaises.
Bandant comme une bête en rut il se précipite vers la femelle en chaleur qui n'a fait que l'allumer dans le confessionnal.
Chantal n'a d'yeux que pour cette flamberge couleur d'ébène, courbe comme un sabre dont le gland plus pâle dépasse largement le nombril et ce sabre va la traverser de la chatte jusqu'à la gorge.
Ce gros gourdin va la remplir, la gorger, la gaver.

À y voir de plus près elle est moins grosse que celle de l'évêque, mais elle est noire et ça c'est nouveau.

Chantal sent sa chatte couler sur sa petite rosette et le jus gagne le tapis, mais elle n'en peut plus et elle lui crie “baise moi, donne moi ta queue ! “
Des lors l'abbé se laisse tomber entre la fourche de la femelle qui s'offre à lui.

Il pose son gros champignon au bord de la grotte juteuse, et ne pouvant plus tenir plus longtemps d'un seul coup de rein il enfonce son goupillon au fond du bénitier entraînant avec lui les babines dans le vagin débordant de cyprine, au point qu'elle lui gicle sur les couilles et s'écoule sur le tapis.
L'abbé agite son sabre comme un damné dans le fourreau juteux pilonnant sans vergogne et sans retenue cette salope de paroissienne qui n'est venu que pour se faire défoncer.

Il sent monter la sève alors il se tourne sur le dos entraînant Chantal empalée sur son mandrin
Et maintenant c'est Chantal qui se déchaîne sur le pieu qui l'écartèle ; à chaque fois qu'elle l’enfonce jusqu'à sa matrice la mouille gicle et inonde les couilles crépues de l'ecclésiastique.


La chaleur du fourreau et le jus brûlant finissent par avoir raison de l’abbé.
Les chocs répétés du gland font exploser Chantal qui s’empale entièrement en criant : « ouiiiiiiii ! putain je jouis !!!!! je décharge sur ta bite arrose moi le fond de la chatte , donne moi ton jus !!!!!!!! »

Comme un enragé rugissant comme un fauve l’abbé N’DOUR se déverse à gros bouillons au fond de la grotte de Chantal.
Juste à ce moment les amants entendent une voix derrière eux.

« Monsieur l’abbé je venais vous inviter à passer lundi au couvent pour une matinée spéciale, et vous ma petite Chantal, venez en même temps que l’abbé.

Quand le couple reprend ses esprits, Chantal et l’abbé se séparent, ils n’ont pas rêvé, on leur a bien parlé pendant leur jouissance, puisqu’ils aperçoivent la silhouette de la mère supérieure qui se détache de l’ouverture de la porte.

Tandis que l’abbé récupère sa soutane, Chantal essuie son sexe avec la nappe d’autel et en quittant l’église elle dit à l’abbé à lundi je passe vous prendre.






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