Toilette Intime Par Une Plantureuse Infirmière - 2

— Je vais te laver les cheveux pour commencer. La température te convient ?

— Oui ! C’est parfait.


Je bascule ma tête à l’arrière pour que la géante humidifie mes cheveux avec sa main immense. Elle est si grande que ma tête tient quasiment dans sa paume et ses doigts rejoignent mes deux tempes. Elle caresse mon crâne avec douceur même si sa puissance lui échappe parfois et que je la sens capable de me briser le cou sans forcer. Elle ajoute ensuite le shampoing, le fait mousser puis me rince abondamment. Mon érection n’en finit pas. Tout chez cette femme irradie de sensualité. Ce sentiment de force qu’elle dégage et la facilité avec laquelle elle m’a porté m’excite de plus en plus ! Je me sens si faible, assis totalement nu devant elle. J’ai beau tenter d’imaginer que c’est l’infirmière qui a du poil au menton pour me faire débander, mais la moindre sollicitation de la géante éjecte cette image pour la remplacer par celle de son corps splendide.


— C’est bon. Tes cheveux sont tout propres. Ils sont tout doux en plus. Je ne vais pas pouvoir te doucher, je ne voudrais pas mouiller tes pansements. Je vais te laver au gant.


Et voilà ! Il n’en faut pas plus pour que mon sexe se mette à goutter d’excitation : imaginer cette amazone qui va caresser mon corps de sa main puissante.


Je relève la tête et essuie mes yeux humides. Ma vision encore trouble me laisse croire à un mirage, mais c’est bien la réalité. La belle a trempé tout son buste en me lavant ! La blouse qui moulait déjà tellement ses formes avantageuses pour ne laisser que peu de place à l’imagination est maintenant devenue quasi transparente ! La dentelle de son soutien-gorge est visible, surtout ses vastes et sombres aréoles, ainsi que ses tétons charnus. Mon sexe est luisant de liquide séminal tant je suis excité.


Elle enfile un gant sur sa main droite, le savonne, et commence à frotter mon corps avec.

D’abord mon visage qui disparaît dans sa paume, puis mon cou de cygne si fin que ses doigts peuvent presque en faire le tour, et mes frêles épaules qui ont du mal à résister à la puissance qu’elle applique. Elle semble troublée par mon pénis qui même s’il n’est pas énorme ne désenfle pas. Elle me fait même un peu mal, ma peau rougit sous la caresse râpeuse du gant et mes os craquent parfois. Je me sens obligé de la prévenir.


— Pouvez-vous frotter un peu moins fort s’il vous plaît ?

— Oh Oui ! Pardon. J’ai l’habitude de laver le taureau quand mon père va au salon de l’agriculture ! Tu es bien moins costaud.


A l’évidence, cette solide fille d’éleveur ne maîtrise pas toujours sa force, d’autant plus que son regard a du mal à se détacher de mon petit sexe dressé et luisant.


Sa main descend sur mon buste qu’elle frotte avec plus de douceur. Elle lave ensuite avec beaucoup de délicatesse les pourtours de ma cicatrice, puis descend à hauteur de mon pubis qui commence à peine à se recouvrir de poils. Je me demande si elle va oser aller plus bas quand mon pénis disparaît dans sa grande main. Elle le frotte doucement d’un geste qui se veut purement hygiénique, mais mon cerveau lubrique n’y voit qu’une séance de masturbation ! A peine sa large main couvre mon sexe que je sens déjà un plaisir intense envahir mon bas-ventre. Mon pénis dur comme de la pierre crache quelques gouttes de sperme qui tombent sur le dos du gant. Karine est rouge comme une tomate et sa main s’est figée autour de mon sexe. Je me sens aussi très gêné... mais si soulagé !


— Je suis désolé Madame, je n’ai pas pu me contrôler.

— Ce n’est pas grave.


Nous sommes tous les deux rouges de honte et la belle est obligée de nettoyer à nouveau mon sexe qui ruisselle de sperme. Je me mords les lèvres pour ne laisser apparaître aucun rictus de plaisir. Quand elle estime mon pénis suffisamment propre, elle enlève le gant qu’elle jette au sol et en enfile un nouveau.
Elle s’accroupit alors devant moi pour laver mes jambes. Positionnée de cette manière, j’ai une vue plongeante sur son généreux décolleté et sa poitrine qui m’apparaît comme quasi nue sous le tissu humide. Je pensais que mon récent orgasme allait calmer mon sexe pour quelques minutes, mais non ! La vision de ses deux énormes seins humides déclenche à nouveau une érection que je ne tente même pas de modérer tant c’est contre-productif. Elle regarde mon sexe dressé à nouveau et m’adresse un regard inquiet. Elle saisit mon pied qui ressemble à celui d’une poupée dans ses grandes mains et m’invite à tendre ma jambe.


Sa main gantée caresse mon mollet puis ma petite cuisse qui est si fine que la main de la géante peut presque l’entourer totalement de ses longs doigts. Son sentiment poussé du devoir laisse sa main remonter jusqu’à mon entrejambe où elle effleure mes petits testicules, et je ferme les yeux pour tenter de ne pas montrer le plaisir que je ressens à cet instant. Elle procède ensuite de la même manière sur mon autre jambe.


— Tu vas devoir te mettre sur tes pieds pour que je lave ton dos. Je vais t’aider.


La belle se tient à nouveau debout devant moi et me toise de toute sa hauteur. Elle se baisse légèrement pour passer ses mains sous mes bras et m’aide à me mettre sur mes pieds. Je n’ai même pas à forcer tant elle est puissante. Une fois debout, elle passe un de ses larges bras musclés derrière mon dos pour me plaquer contre elle et soulager ma posture. Je me retrouve le nez entre ses lourdes et fermes mamelles, pendant qu’elle frotte mon dos. Elle ne veut oublier aucune partie de mon corps et je sens sa puissante main saisir chacune de mes petites fesses qui ressemblent à des pommes sans ses larges palmes. Elle s’insinue ensuite entre mes fesses, et nettoie ma rondelle précautionneusement. Mon expérience sexuelle limitée à mes plaisirs solitaires ne m’avait pas préparé à cette sollicitation. Je ressens les prémices d’un orgasme qui se met en place.



Les caresses appuyées de la géante sur mon petit anus font à nouveau déferler des vagues de plaisir dans mon bas-ventre et mon sexe crache à nouveau un peu de semence. Par chance, la belle ne se rend compte de rien, mon visage étant totalement caché dans son opulente poitrine, qui a également étouffé mes râles de plaisir.


— C’est bon. Tu peux te rasseoir.


Soutenu sous les bras par la puissante amazone et béat de plaisir, j’attends que mes petites fesses consciencieusement nettoyées touchent la chaise.


Mon corps humide plaqué sur le buste de l’amazone n’a rendu le tissu que plus transparent et ses énormes tétons se dressent fièrement maintenant. Peut-être est ce dû à mon contact ? La géante s’en rend compte et rougit à nouveau. Comme pour exorciser notre excitation, elle jette un immense drap de bain sur mon corps et me frotte si fermement que j’aurais pu tomber de ma chaise si elle ne me tenait pas fermement entre ses mains. Elle m’emmaillote dans le drap, passe une main sous mes genoux et l’autre dans mon dos, puis soulève mon corps emprisonné dans le tissu, comme un fétu de paille. Elle est si puissante ! Sa force colossale ne cesse de m’exciter. Elle me porte ensuite dans mon lit où elle me dépose délicatement et me libère de la serviette. Je suis à nouveau nu devant elle et mon sexe stimulé par le trajet dans ses bras est encore en pleine forme. Sa gêne a été remplacée par de l’inquiétude et elle se pose des questions sur mon érection qui n’en finit pas.


— Tu es sûr que tout va bien ? Il ne faudrait pas que ce soit un effet secondaire de l’opération ?


Je ne sais quoi lui répondre. Comment lui dire que ça ne peut en être autrement quand on se fait laver et manipuler par la femme la plus bandante de tout l’univers !


— Il vaut mieux surveiller ça. Je vais appeler le médecin de garde.


Elle décroche le sans-fil qu’elle a à la ceinture et appelle.



— Docteur ? Pourriez-vous venir dans la 302 ? Je suis inquiète pour le jeune homme qui a été opéré de l’appendicite.


Je comprends vaguement qu’il arrive immédiatement. Je ne sais plus où me mettre et tente de rendre mon corps chétif encore plus petit qu’il ne l’est, allongé totalement nu dans le lit.


La porte s’ouvre et un vieux docteur d’une bonne soixantaine d’années entre dans ma chambre, suivi d’un troupeau d’étudiants. Je suis rouge comme une écrevisse, mais cette situation aussi humiliante a au moins l’avantage d’annihiler mon érection et de rendre mon sexe aussi minuscule qu’il l’est habituellement.


Maryline toise le groupe. Tout le monde paraît si petit à côté d’elle. Elle est encore toute mouillée et on devine sans trop d’effort son corps splendide et ses gros seins sous le tissu mouillé. Les étudiants et même les étudiantes sont fascinés par ce corps de valkyrie qui s’offre à leurs yeux. Je ne parle même pas du vieux docteur qui ne peut détacher son regard de ses courbes voluptueuses et s’adresse à elle d’un ton libidineux.


— Qu’est-ce qui ne va pas mon petit ?

— Docteur, je suis avec lui depuis au moins une heure et il est en érection permanente ! Ce pourrait il être un effet secondaire de l’opération ?


Le groupe étouffe des rires face à la si touchante naïveté de la pulpeuse et sensuelle géante. Le médecin lui répond par une question sur un ton moqueur, mais bienveillant.


— Mais que lui avez-vous fait depuis une heure ?

— Eh bien, je l’ai déshabillé puis porté dans la douche. Je l’ai lavé au gant entièrement pour ne pas mouiller sa cicatrice, enveloppé dans un drap de bain, puis porté à nouveau dans son lit.

— Je comprends que vous soyez aussi mouillée. Ça explique déjà beaucoup de choses vous ne croyez pas ?


Certains des étudiants regardent leurs pieds et tentent de ne pas rire quand d’autres ne peuvent détacher leur regard du décolleté profond de l’amazone.


— Il ne s’est pas passé autre chose ?

— J’ai voulu être consciencieuse et lui ai nettoyé le sexe. Je crois qu’il a beaucoup apprécié, plus que je ne l’avais imaginé...


Au fur et à mesure que la belle parlait, qu’elle voyait les regards que lui adressait le médecin et les étudiants, et surtout les bosses qui s’étaient formées à l’entrejambe de tous les mâles du groupe, elle comprenait d’elle même qu’elle était la cause de l’épidémie d’érection permanente.


— Je constate que notre venue a soigné comme par miracle le jeune homme.


Maryline se tourna vers moi et constata ma flaccidité retrouvée.


— En effet ! Je ne l’avais jamais vu aussi petit !

— Je pense que j’ai un bon traitement pour les symptômes qui semblent apparaître autour de vous: procurez-vous une blouse sèche et à votre taille.

— Très bien docteur.

— Je pense que le cas est résolu. Laissons ce petit jeune homme se remettre de ses émotions.


Les étudiants quittent alors ma chambre. Maryline m’adresse un dernier regard rempli de tendresse et le vieux médecin cochon place sa main sur sa croupe pour l’inviter à sortir tout en tentant de la séduire grossièrement.


— Suivez-moi mon petit, vous avez bien fait de m’appeler. Comment vous appelez vous ?

— Karine.

— Je vois un très gros potentiel en vous. Vous avez déjà pensé à devenir médecin ?

— Pas vraiment docteur ?

— Je suis prêt à vous mettre à niveau.

— Ce serait vraiment très gentil docteur !


La porte se referme et je me demande si ce que je viens de vivre est réel ? Je me remémore ces derniers instants, manipulé comme une poupée dans les bras de la sculpturale amazone et mon pénis est à nouveau en pleine forme. Ces souvenirs seront une source intarissable de stimulations pour mes futures séances de plaisir solitaire !


FIN

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