Un Bel Été 1

Un bel été 1

La découverte

Cette année là, je faisais mon premier petit boulot d'été.

Je l'ai tant voulu, ce petit boulot, loin de chez moi, près de la mer. Un espace de liberté devant moi tant espéré. J'ai plein d'idées dans ma tête qui se bousculent…des désirs à assouvir.
Mon corps n'est pas habitué au rythme demandé pour ce travail et la fatigue de la semaine se fait sentir. Par rapport à mes copains, plus longilignes, j'ai la chance d'avoir un beau corps galbé, bien proportionné, un visage dépourvu d'acné.

Le vendredi soir, je décide d'aller sur la plage nudiste, pas loin de là. Une furieuse envie de mater quelques belles queues. J'ai une grosse attirance pour les hommes, que j'ai réussi à cacher à mes parents. Mon comportement, mes manières, rien ne transpire de mes attentes sexuelles. Au contraire, je m'applique à préserver cet air viril que les copains voient en moi.
Je n'ai pas d'idée arrêtée sur le genre de mec qui me plait vraiment. Je veux voir des belles queues, tout simplement. Et pourquoi pas plus, ma première expérience sexuelle récente a amplifié mes envies.
Vu l'heure tardive, peu de monde sur la plage. Je décide néanmoins de m'installer et sors ma crème solaire, sans pour autant enlever mon slip, pour l'instant.
Un homme, plus loin sur la plage, vient dans ma direction. Je pense qu'il s'en va, contrairement à moi. Il se rapproche et s'arrête près de moi. Après deux ou trois mots de banalités et de politesse, il s'installe près de moi, prétextant qu'il a encore le temps avant de rentrer. Pour être agréable, il me propose de me mettre de la crème solaire dans le dos.
J'accepte….
Je suis chaud, j'ai envie de queues. S'il pouvait me dire qu'il veut me baiser ou que je le suce, je serais ravi. Je ne sais pas trop comment procéder pour draguer, c'est la première fois en plus que je viens sur cette plage. Lui ou un autre, je crois que je suis mûr ce soir pour dire oui à n'importe quel mec.

Le hasard veut que ce soit lui. En plus, j'ai toujours rêvé de ce genre de mâle.

De forte corpulence, visage avec une barbe de 4/5 jours, cheveux poivre et sel coupés courts pour masquer une calvitie prononcée, les épaules larges, un embonpoint qui lui va bien, des cuisses poilues imposantes et fermes, un beau bronzage doré. Des poils noirs débordent de son teeshirt…hummm, j'adore ce genre d'homme. De plus, ses bras musclés et très poilus finissent par me rendre fou. Un super bel homme viril. Il pourrait être mon père ou plus, ça ne me dérange pas.
Son maillot de bain a agit sur moi comme un aimant. Il remarque que je me suis intéressé au beau paquet qu'il semble avoir entre les jambes. Son maillot est tendu et on devine un bâton en formation et même la forme de son gland gonflé. Il ne s'en cache pas et semble même s'arranger pour que je contemple au mieux son paquet.
Je bande d'excitation et m'allonge vite fait sur ma serviette. Il n'a pas été dupe, ne dit rien, commence à étaler la crème solaire. C'est particulièrement agréable de sentir sa main large masser mes épaules endolories par le travail. Malgré la force qu'il dégage, ses mains sont souples, apaisantes.

" Tu as un corps magnifique
" Merci
" Tu es en vacances ici?
" Non, je viens d'avoir 18 ans et je travaille pas loin. Mon boulot est un peu fatigant.
" J'adore ton corps. Je te sens tendu.

La crème est étalée depuis quelques instants et il continue à me caresser le dos. J'ignore si l'on nous regarde, à vrai dire, je m'en fout un peu. Ici, personne ne me connaît. Sa main est maintenant descendue au creux de mes reins et s'attarde, m'excitant encore plus.
" Tu fais bien ça, ça fait du bien.
Il s'enhardi un peu plus, voyant ma passivité à ses caresses.
"Si tu veux, tu viens chez moi, près du camping et je vais te faire un massage.
Moi qui n'attendait que ça, je suis ravi. Je ne suis pas venu pour rien sur cette plage.


" Je veux bien. J'ai tout mon temps.
Il profite de ma réponse pour passer la main dans mon slip et venir passer un doigt jusqu'à ma rosette. Hummm, j'adore.
Pas de doute, il est là pour le sexe et a vu que moi aussi. Je n'ai pas eu le temps de mater sur la plage, pas eu trop le temps de réfléchir …il me plait bien, doux, décidé, viril. Un mâle comme j'aime.


J'ai envie. Je suis excité de découvrir la suite. Je suis venu sur cette plage exprès, pour l'aventure, pour la drague. Je ne me pose aucune question. Le contact de sa main sur mes reins m'a donné envie. Il me demanderai, là, tout de suite, de le sucer, je le ferai. Une bite d'adulte, en plus, c'est au-delà de mes espérances. J'ai souvent regardé des films avec des adultes matures. Ca ne me dérange pas.

" Tu es très mignon. Tu viens souvent ici?
" Non, c'est la première fois. C'est pas loin de mon boulot. Je pensais voir des nudistes ici.
" Tu aimes les hommes?
" Oui, ça m'intéresse.
" Pour te faire plaisir, je vais te masser tout nu. Tu vas pouvoir me regarder et te faire plaisir.
" Je veux bien. Merci de la proposition.
" Tu me fais bander, mon petit chéri.
" J'ai vu ça. Je te fais de l'effet?
" Hummm….Oui….beaucoup, même. Allez, viens, on sera plus tranquille chez moi.
" Tu es seul chez toi?
" Oui, pas de problème. Tu n'as rien à craindre. On ne sera pas dérangé.

J'ai récupéré mon vélo et nous avons marché un petit moment tout en discutant et se présentant un peu, de la durée de mon petit boulot et encore de mon âge, pour arriver chez lui, près du camping. Durant le trajet, très excité à l'idée qu'il me demande de le sucer, j'ai remarqué qu'il bandait toujours, qu'il devait sûrement avoir une belle queue, comme les hommes matures que j'ai vu dans les revues porno et qui baisent des mecs de tous âges.
Lorsque nous arrivons chez lui, les volets sont baisés aux 3/4, pour la chaleur.
Pour la discrétion, je me sens à l'aise tout de suite. Il me propose à boire et nous discutons un peu de tout. Puis, assez rapidement, il me propose de m'installer sur son lit pour le massage.
Deux matelas sont là, sur le côté, sans doute pour accueillir des invités ou la famille. Il en ajoute un sur le lit, ce qui relève le niveau de façon conséquente.

Pour protéger le lit, il met une serviette de plage.
" Mets toi sur le ventre, Laurent. Mets toi complètement à l'aise, tout nu. Ce sera plus pratique pour te masser.
Comme je sais que, normalement, il va se mettre nu lui aussi, cela ne me dérange pas et j'accepte.
Aussitôt nu, sans complexe, ses larges mains me caressent. Je dirai même qu'il n'attendait que ça.
" Quel corps de rêve tu as, mon petit chéri. Tu as la peau douce, très lisse. Tu es très beau. Hummm
" Merci. Toi aussi, Roland, tu es assez costaud mais bien foutu, musclé.
" Merci, je vois que tu t'es intéressé à mon corps.

Je bande d'excitation et il le remarque. Le contact de ses mains m'a fait monter la sève.

" Tu es en forme, mon petit chéri. Laisse toi aller, c'est naturel. Moi aussi, je bande en te regardant.

Pendant que je m'allonge sur le lit, il se met tout nu lui aussi, devant moi.
Je suis ébloui de voir un homme si poilu. Des poils courts mais denses, même sur le dos. Un homme magnifiquement viril. Grand, massif, bien proportionné. Et le sexe, d'une beauté… splendide.
C'est la première fois que je vois si près de moi le sexe d'un mec mature. De même longueur que la mienne, sa bite est grosse, tendue, à moitié décalottée. Elle est déjà plus grosse que la mienne quand je bande. Sa bite et son gland me paraissent énormes par rapport à mon sexe. Une magnifique paire de couilles lourdes, poilues mais entretenues, complète l'ensemble. Je reste stupéfait et ébloui.

" Tu vois, mon petit chéri, moi aussi, je suis en forme. Ca te fais plaisir? J'ai du désir pour toi.

" Ta queue est trop belle.
" Merci. Quand je t'aurai massé, tu vas pouvoir en profiter, mon petit chéri.

Elle continue de se dresser, de se tendre. La raideur s'installe, découvrant deux énormes couilles pendantes qui semblent gorgées de sperme.
Il jubile de me voir en admiration devant ses bijoux de famille, ouvre un placard pour récupérer son huile de massage et se rapproche.
Sans la moindre gêne, la bite raide, il commence à m'enduire le corps.
" Laisse toi aller Laurent, laisse moi faire …. profite.

Ses mains larges parcourent mes épaules, mon cou, mes reins, caressent mes fesses, frôlent mon petit trou. Mes cuisses, mes pieds, ont droit aussi à un moment de bien être…. .Un vrai bonheur pour mon corps. Je me laisse aller, mes muscles se décontractent…

Pendant qu'il me masse, je pense aux films pornos que j'ai vu, à son corps, à sa bite…. Je brûle de désirs inavoués, je bande.
Il décide de changer de position. Lorsque je me retourne, mon sexe est tendu, en érection complète. Il continue de me masser et frôle quelques secondes mon sexe et mes couilles puis repart sur les cuisses. Heureusement, il aurait fini par me faire jouir et ça, il l'a compris.
Ses mains larges partout sur mon corps ont fini par me rendre dingue. Je suis chaud, je veux sa bite, à sucer ou dans le cul, je veux aller plus loin, j'ai envie.

" Laurent, tu as toi aussi un sexe magnifique.
" Pas aussi gros et beau que le tiens.
" Pour tes 18 ans, il est très beau…… Je vois que mon sexe te fait très envie.
" Il est moitié plus gros que le mien. Tu as de la chance.
" Je vais t'en faire profiter, mon petit chéri.

Son sexe est maintenant tout droit, tout décalotté, relevé, tendu de toutes parts. Tellement décalotté que son gland s'est ouvert, laissant un mince filet de mouille s'en échapper. Des veines parcourent la tige, qui en augmentent la beauté. Je l'imagine, se faisant sucer ou pénétrant le cul d'un mec…quel délice cela doit être.

Voyant mon désir brûlant, il me laisse me mettre sur le côté et rapproche sa bite de mes lèvres.
Délicatement, j'ouvre la bouche et il introduit son gland, sans forcer, puis continue de quelques centimètres.
La saveur est exquise, divine. La bouche pleine, je donne le meilleur de moi-même pour la recevoir, saliver, caresser de ma langue cette offrande de rêve. Cette odeur de mâle qu'il dégage, ce goût de bite, ce filet translucide qui s'en écoule sont excellents. Je m'applique sur son gland pour en savourer le miellat.
De sa main, il caresse ma nuque, pour montrer sa satisfaction. Il voit pourtant que je peine à prendre en bouche son bambou mais ne fait pas de commentaire. Ma bouche est trop petite, ma mâchoire me fait un peu mal. Je ne pensais pas qu'il fallait tant ouvrir la bouche pour sucer. Surtout que Roland est bien doté. Je suis ravi. J'en ai tant vu sucer des queues en regardant des films de cul, c'est mon tour, je le fais, là, en vrai. Pour rien au monde, je ne donnerais ma place à un autre en ce moment.
J'en profite pour passer ma main sur ses couilles…..hummm. Elles pendent, lourdes, grosses, magnifiques, agréables au toucher….un rêve. Je les caresse, elles sont douces malgré les poils qui les habillent.

" Tu vois tout le désir que j'ai pour toi, mon petit chéri. Remets toi sur le ventre, je vais te faire plaisir. Tu as trop envie.

Cette fois ci, il me met un coussin sous le ventre pour me remonter les fesses et vient s'installer entre mes jambes, qu'il écarte. Le contact de ses cuisses puissantes et poilues me font bander encore plus et me chauffe le cul d'une manière inexpliquée.
Ses mains reprennent le massage de mes épaules et mon dos sans s'attarder puis glissent vers mon petit cul. Je ne bouge pas car c'est agréable. Son gros doigt me masse entre les fesses puis ouvre mon anus et le pénètre. Cette introduction agit sur moi comme un déclic et je me cabre pour lui en faciliter l'accès. C'est délicieux et j'émets un petit ronronnement de satisfaction pour lui faire comprendre. J'attendais ce moment et une onde de plaisir m'envahie. Vu la grosseur de son doigt, j'ai l'impression qu'une bite vient de me pénétrer.

Roland a compris que j'étais open, mûr, chaud bouillant pour la suite. Il remet de l'huile ou du gel ( cela me parait plus froid ) et passe à deux doigts. Ce massage érotique et sensuel me détends, augmente mon désir. Ses doigts bougent en moi, je les sens.
" Tu aimes bien, mon petit chéri?
Je ne réponds pas mais viens caresser d'une main sa cuisse poilue.
" Humm….. Il apprécie la caresse et continue.

" Tu as un petit trou délicieux, mon petit chéri, qui demande à être visité. Hummm… Je suis impatient de visiter, mon petit chéri. Moi aussi, j'ai très envie…...

Je joue le jeunot déluré, me laisse faire. Au début, j'avais surtout pensé qu'il m'aurait demandé de le sucer. Sa bite est trop belle, pas trop longue mais épaisse. Je l'aurais bien sucé plus longtemps. Je réalise maintenant qu'il va me baiser et que mon cul risque d'être étroit pour un tel gabarit. Curieusement, j'ai le feu, j'ai envie qu'il m'encule, j'ai envie de sa bite dans mon cul.
Je ne vais pas lui dire que j'ai été dépucelé il y a quelques jours, que j'ai maintenant le feu. Mon petit cul délicat a bien aimé, il en veut encore.

" Roland, c'est trop bon.

Il s'allonge sur moi, m'écrasant légèrement et, tout en m'ouvrant le trou, vient m'embrasser et souffler sur ma nuque, me lécher les oreilles. Ce contact de son corps contre moi m'électrise. Je sens sa bite raide entre mes fesses. J'ai trop envie qu'il me baise. Je remue mon petit cul pour lui signaler mon bonheur de sentir ses doigts me dilater l'œillet.
Il passe à trois doigts et là, vu ses gros doigts, je gémis un peu, ça me fait mal. Il prends son temps et ses gros doigts finissent par me pénétrer, à mon grand étonnement. Je suis ravi que mon cul se dilate à ce point.

" Mon petit chéri, ton petit trou a très envie. ….Je vais lui faire plaisir….Attends, mon petit chéri, je vais remettre du gel…

Il reprend du gel, je comprends qu'il s'en met sur sa queue avant de venir essuyer ses doigts sur mon cul.

Il se rallonge sur moi, en silence et je lui offre mon intimité. Je ne sais plus s'il m'a écarté ou fermé les cuisses, le contact de ses cuisses puissantes me rend dingue. Son sexe raide et humide a pris position et s'apprête à déflorer ma rosette. Instinctivement, mon cul en rut se soulève légèrement pour s'aligner et montrer le chemin. Roland, sentant mon désir brûlant, pousse et s'introduit dans ma rosette dilatée qui accepte avec bonheur son gland baveux. Lorsqu'il continue de forcer le passage, je gémis et comprends que la dilatation de mon cul n'a pas été suffisante. Je me cabre, gémis, je souffre. Roland s'arrête.
Je ne connais rien à l'anatomie mais je sens comme un anneau en moi qui résiste à cet assaut viril, comme un doigt qui ne passe pas dans une bague. Soudain, Roland, continuant tout de même à maintenir la pression, à bout de force, manquant de résistance, mon anneau abandonne, laissant la voie ouverte. Mon corps entier cède et je sens son gland passer cette frontière, glisser en moi.
Je pousse une plainte étouffée en mordant l'oreiller. Des larmes me viennent aux yeux. Mon corps ne sent plus mon cul.
Roland sait qu'il est bien monté et me comprends. Il a du sentir son gland passer la rondelle.

" Le plus dur est fait, mon petit chéri. Laisse toi aller, mon petit chéri.
Je continue de gémir. Ce mec mature qui m'ouvre le cul avec sa grosse bite, c'est trop bon, ça fait mal, je ne me contrôle plus. Je le veux en moi.
" Heinnnnn
" Je te fais mal, mon petit chéri?
" Heinnnnn.
" Détends toi, mon petit chéri, elle est rentrée.

Je ne sais pas quoi répondre. J'ai mal mais trop envie qu'il continue. J'embrasse sa main devant ma bouche qui est là pour mes gémissements.
Je mets ma main pour constater. Sa queue est énorme par rapport à mon petit cul, incroyablement dure. A ma grande surprise, la moitié de sa queue est déjà en moi. Son gland a disparu et m'a pénétré.
Il se retire puis, sans attendre, je sens son gland me pénétrer à nouveau et forcer le chemin.
Sans s'inquiéter de mes gémissements, il recommence deux fois puis s'affale sur moi et fini de me pénétrer. Je gémis et suis sans force, vaincu mais heureux. Cette fois ci, j'ai trop bien senti toute sa queue glisser en moi. Sa grosse queue vient de m'enculer.
Je réalise que j'ai sa bite complètement dans le cul. Un immense bonheur me traverse de savoir qu'une telle bite a pu rentrer, au-delà de mes espérances. Je découvre un bonheur irréel, celui de se faire enculer par un mâle qui me plait.

" Tu aimes bien, mon petit chéri?
" Elle est trop grosse, Roland, j'ai mal.
" Détends toi, mon petit chéri, ça va passer. Tu as un petit cul merveilleux. Je vais bien t'honorer. J'avais trop envie de te prendre. Tu as vu comment tu m'a fait bander. J'adore ton petit cul.

Il me redonne un petit coup et je sens ses couilles contre moi. Je me décontracte, je l'ai toute entière. Je lui ouvre mon cul pour l'accueillir. Quel bonheur.
Il me laisse passer une main pour contrôler. Ses merveilleuses couilles sont là, contre mon cul. Je reste stupéfait de l'ouverture de mon cul lorsque je touche la base de sa bite.

" Mon petit chéri, tu en avais trop envie. C'est bon, une bonne bite dans le cul, tu aimes? Tu es très gourmand, mon petit chéri.

Je lui embrasse son bras poilu puis tourne la tête vers lui pour le regarder. Il se contorsionne lui aussi et m'embrasse, laisse couler sa salive sur mes joues, cherche mes lèvres. J'adore ce moment.
Il commence à me coulisser. La douleur a fait place au plaisir et je suis super heureux de l'avoir dans le cul. Je ne sens plus ma rondelle, explosée, mais une sensation d'avoir tout son désir bien dur enfoncé en moi.
Je lui tends mon cul pour mieux le recevoir.
Il prend moins de précaution et pèse presque de tout son poids sur moi pour m'enculer.

" On dirai que tu aimes, mon petit chéri. Tu la sens bien? J'adore quand tu bouges ton petit cul. J'adore ton désir.
Je ne réponds pas mais bouge mon petit cul pour lui montrer mon bonheur.
Son corps massif collé contre moi, ou plutôt sur moi, il me baise. Sa superbe bite est en moi, raide, prête à jouir. Un moment dont j'ai tant rêvé, à chaque fois que j'ai regardé des films pornos.
Je gémis à chaque coup de queue qu'il m'expédie bien à fond, je sens qu'il m'ouvre, me pénètre, me visite, me possède complètement. Ses couilles claquent contre mon cul. C'est presque irréel.

Je ressens le même bonheur que l'autre jour, puissance X. Cette fois ci, je me libère, j'exulte. Je profite vraiment de mes envies. Je réalise un rêve, là, dans son lit, tranquille, à me faire baiser par Roland, qui m'a enculé avec force et douceur.

C'est trop bon, c'est trop trop bon
" OUUUIIIIIII….. C'est BON….OUUUIIIII….HEINNNNN……OUIIIIIIII
Je lui lèche les mains, les bras, embrasse tout ce qui est à ma portée de lèvres.
Je veux qu'il me baise, je suis à lui……
Je réponds à ses baisers. Ses bras puissants m'enlacent. Il sait qu'il me fait plaisir. Je sais qu'il se fait plaisir lui aussi.
Sa respiration, son souffle chaud dans mon coup me rendent fou. Le contact de ses poils raides contre moi sont un bonheur. J'ai toujours adoré les mecs poilus.

" C'est bon, mon petit chéri? Tu aimes?
" OUUUUIIIIII
" Tu es serré, mon petit chéri, tu vas me faire jouir. Je peux jouir en toi, mon petit chéri?
" Roland, baise moi complètement, je suis d'accord.
" Tu es adorable, mon petit chéri, je vais tout te donner.

Pendant plusieurs minutes, il me baise comme une bête, accélère, comme moi lorsque je me branle avant de jouir. J'admire la prouesse, je profite de ses coups de bite énergiques qui me démontent le cul, de son gourdin qui a fini par me dilater au-delà de mon imagination. J'imagine son gland qui s'apprête à dégorger en moi plusieurs giclées de sperme.
Dans un grognement de mâle reproducteur, il jouit en moi, se libère, laisse sa queue m'inonder de sperme. Je jouis, ivre de tant de plaisir. Mon corps a explosé en vol, mon imagination fait que je sens ses giclées chaudes de semence se répandre en moi. J'ai tout donné, je suis à bout. Lui aussi, il m'a tout donné.

Haletant, le sexe encore en moi, il me bascule avec lui sur le côté.

" Ah, c'est trop bon, j'avais trop envie de te baiser. Tu me laisse juter en toi, c'est encore meilleur.

Nous restons quelques minutes ainsi. Il savoure sa victoire.
Lorsqu'il se retire, mon cul reste ouvert….je ne sens plus ma rondelle…. seulement un filet de sperme qui s'échappe.

" Tu as bien aimé, Laurent?
Usé, lessivé, je lui souris, lui embrasse la main….il sait que j'ai adoré.

Un peu étourdi par cet enculage de rêve, je le laisse me caresser, profiter de mon corps.
Je regarde, encore admiratif, cette bite qui m'a fait découvrir un monde nouveau. Comme elle est belle. Je la touche, caresse ses couilles puis la prends en bouche quelques instants.
Roland sourit
" Je vois que tu as bien aimé.
" Merci, c'était trop bon.
Je reste un peu contre lui et lui caresse ses poils raides et bien fournis sur sa poitrine. Je n'avais pas eu le temps avant. Il cherche ma bouche et j'y réponds favorablement. Un grand moment de tendresse et de complicité nous uni.
Mon cul peine à se refermer et le sperme de Roland se répand sur la serviette.
Il constate que j'ai jouis moi aussi, laissant des traces de mon sperme sur la serviette.

" Mais, dis donc, mon petit chéri, on dirai que tu as vraiment apprécié
" C'était trop bon, j'ai pas pu me retenir.
" Merci, mon chéri.
Une fois debout, il me prends dans ses bras puissants, me caresse, m'embrasse. Ses mains s'attardent sur mes fesses et un doigt vient contrôler mon cul complètement dilaté.

" Alors, mon petit chéri, content de m'avoir rencontré?
" Oui, c'était trop bon. Tu m'as trop bien baisé. J'avais envie.
" Tu vois, les mecs de mon âge, on sait y faire. J'ai l'impression de t'avoir dépucelé. T'as un beau petit cul serré et un corps magnifique…Hummm
" Je n'ai pas fait attention à ton âge. J'avais envie. Heureusement que t'es allé doucement, avec ta grosse queue. Elle est trop belle.
" J'avais trop peur que tu la trouve trop grosse, que tu ne veuilles pas te faire enculer.
" Roland, tu sais que je l'ai sentie passer, tu m'a bien ouvert le cul. Je voudrais bien que tu me rebaises ces jours ci. C'était trop bon.
En effet, j'ai bien aimé. Je saute sur l'occasion pour qu'il me rebaise dès que possible. Je suis là pour un peu plus de deux mois. Mon cul est pour lui.

" Si tu veux, Laurent, tu reviens demain. Moi aussi, j'ai énormément aimé et j'ai envie de te reprendre. Tu as vu comme je bandais avant de te prendre.
" Je veux bien revenir demain. Oui, j'ai vu, t'étais bien tendu. Heureusement que t'as su y faire.
" C'est dommage que j'ai jouis assez vite. J'aurais bien aimé t'astiquer plus longtemps.
" Roland, c'était excellent.

" Tu aimerais te faire baiser à volonté? Qu'un mec te démonte le cul?
" J'aimerais bien, mais ça, c'est dans les films.
" Non, non, il y a des mecs endurants qui baisent bien.
" T'en connais? T'en as déjà vu baiser longtemps?
" T'as envie que je t'en présente un?
" Tu sais, moi, ici, je connais personne. A part la plage nudiste, je sais pas trop ou aller draguer.
" Mon petit chéri, j'ai tellement aimé avec toi, j'ai envie que tu prennes du plaisir au maximum. Je connais un copain qui aimerai bien te baiser. En plus, ça m'excite de voir un petit jeune se faire baiser.
" Merci Roland de vouloir me faire plaisir. Je veux bien avec ton copain. Tu me baisera avant, tu fais ça trop bien. C'était trop bon quand j'ai jouis.
" Mon petit chéri, je vais demander au copain de venir demain, s'il est dispo. Tu verra, il honorera ton petit cul encore mieux que moi. Si tu es d'accord.
" HUUMMM, Merci Roland, c'est ok pour moi.
" Allez, viens avec moi dans la salle de bains, que je te savonne….j'adore caresser et toucher ton corps.
" Je m'en suis rendu compte. J'adore moi aussi sentir tes mains sur moi.
" Merci, mon petit chéri.

Comme je suis en vélo, Roland me propose de me ramener à mon petit studio, près de mon boulot. Par discrétion, il me dépose un peu avant d'arriver.

Avant de descendre de sa voiture, il caresse ma cuisse gauche…
" A demain, Laurent.
Je lui caresse la cuisse moi aussi
" A demain, Roland.

Et je continue le reste du chemin en vélo, discrètement.

J'ai le cul encore ouvert, qui me chauffe un peu vu la dilatation qu'il a eu mais je suis heureux. J'ai peur d'avoir une tâche au cul sur mon bermuda et je me tâte.
Je suis encore émerveillé d'avoie eu une si belle queue " à me visiter" , comme l'a si bien dit Roland. Quelle belle soirée.

Demain matin, je dois me lever tôt….le boulot.
J'ai hâte quand même d'être à demain, surtout en fin d'aprem.


Caramel
caramel35@orange.fr


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