Maria Ne Dit Jamais Non

C’était un plaisir pour moi tous les matins de me réveiller et de savoir que j’allais passer une bonne journée jouissif en compagnie de Maria et Manu.
Arrivée sur le sable, avec mon pote nous la fîmes mettre nue. Nous savions qu’elle était très excité de se montrer à poil devant nos yeux. Alors que nous restions habillés. Maria se mettait sans se faire prier dans son plus simple élément.
- Maintenant tu vas nous sucer. Osa lancer Manu.
Elle s’efforça de prendre une moue contrariée, avant de s’allonger sur sa serviette, puis se ravisa.
- Qu’est-ce que tu fous ? C’est bien toi qui m’a dit hier soir que tu aimerais bien sucer la queue de Alain ?
- Oui, mais c’était hier, à l’abris des murs de ta chambre.
- Là-même où tu m’as fait jouir avec ta bouche.
- Oui, si cela t’enchante de le dire.
- Et comment que cela m’enchante ! J’ai passé un bon moment inoubliable ma cousine.
Sans faire trop attention à ce que son cousin débitait, Maria regardait autour d’elle. Un pli marquait son front. Constatant son embarras je vins à son secours, en lui demandant ce qu’elle avait, coupant court au récit du cousin :
- Je suis prise d’une grosse envie de faire pipi.
Manu haussa les épaules, avant de lâcher :
- T’as qu’à faire ici. Dans le sable.
- Non… je reviens de suite. Cria Maria.
Sans tarder, elle courut à toutes jambes vers un arbre tout proche où nous nous trouvions. Nous la vîmes s’accroupir derrière celui-ci. À son retour après s’être soulagée, elle s’agenouilla pour s’emparer de nos sexe. Un dans chaque main.
Je sentis très vite mon plaisir monter. C’était mille fois mieux de se faire masturber par une fille que de le faire soi-même. Maria savait branler, la coquine. Je me disais que Manu avait beaucoup de chance de la posséder. Je souhaitais avoir la même chance que lui, lors de mon séjour chez tante Christiane. Une cousine aussi attentive à mon plaisir.

Surtout que ce séjour approchait à grands pas, et cela pour mon plus grand désarroi. J’aurais donné beaucoup pour ne pas m’y rentre, à ce séjour, mais cela dépendait pas de moi.
Donc, en expérimentée, Maria s’arrêta toujours à temps pour ne pas que je jouisse, et étranglait le bout rouge refoulant par cette action la montée du sperme.
- Cousine… t’es une sacrée cochonne. Fit Manu d’une voix entrecoupée.
Mais là, toujours en pareil cas, une drôle d’idée vint germer dans mon cerveau. Je m’empressais à la soumettre à Manu. Qui la trouva à son goût.
-Qu’est-ce que vous comploter tous les deux, fit Maria en nous entendons marmonner.
-Tu veux le savoir, répliqua Manu.
- J’aimerai bien ? Oui, lança-t-elle.
- D’accord mais d’abords laisse toi faire.
Et ce fut avec les moyens du bords qu’elle se retrouva attacher. Les mains entre les cuisses. Un bras passait derrière, l’autre devant. Comme je l’avais vu dans un des livres à mon frère. Ses doigts se joignaient sur sa chatte. Elle mouillait la salope, comme d‘habitude. Pour bien lui faire sentir sa totale impuissance, nous lui tirâmes les oreilles, allant jusqu’à lui donner des gifles en l’insultant.
Elle n’était plus qu’un objet abandonné à notre merci. En lui pelotâmes le nichon. Lui tordant les bouts pour l’exciter. Elle était incapable de dissimuler que cela n‘était pas pour lui déplaire. Manu se mit à genoux devant le visage de sa cousine.
- Tu vas me lécher la queue, comme tu la fais dans ma chambre.
-Mais on pourrait nous voir ? Répliqua-t-elle.
-Et alors qu’est-ce que cela peut faire. Lança-t-il en promenant sa verge sur la surface de la langue de sa cousine.
Il l’obligea à dessiner un rond avec ses lèvres. Comme un anus entrouvert, dont il y enfonça sa queue.
- Putain cousine, comme c‘est bon !
Je vis sa pine coulisser dans la bouche de sa cousine. Une bouche qui n’était plus qu’un trou dans lequel on se soulage.
- Serre les lèvres.
Creuse les joues. Je sens que tu te relâche !
Je m'étais pour ma part positionner pour pouvoir lui administrer de petites claques sur différents points de son postérieur pour en faire un peu rougir la peau. La bouche pleine, elle n'avait protesté que faiblement, mais s'était brusquement arrêtée. Le traitement, à l'évidence, ne lui déplaisait pas.
Je libérais ses mains, sachant très bien qu’elle ne tenterait rien. Je lui pris le poignet et la guidais. Tout en faisant aller et venir sa main sur ma queue, elle guettait mes réactions à travers ses cils. De la main droite sur son poignet, je lui imposais un mouvement régulier et bien lié qui faisait balancer ses couilles.
- Putain, oui, continue, souple… souple et un peu plus vite, je t’en prie. La suppliais-je.
Je me pâmais sous ses caresses. Elle qui accéléra ses mouvements, faisant durcir davantage ma queue sous ses doigts crispés, alors que mes couilles sautaient contre sa paume.
- C’est ça, tu commences à prendre la main… c’est bien, tu sais y faire.
Je lui dénudais la chatte. Par un réflexe de pudeur, mais sans cesser pour autant de me masturber elle serra les cuisses. En vain sa touffe fournie poissée de sueur et de mouille laissait voir ses chairs intimes. Entre ses grandes lèvres rebondies, ses nymphes d’une rose intense, aux bords très découpés, dépassaient largement.
- Tu sais qu’elle me plaît ta chatte, Maria. Montre moi la mieux que ça !
Elle se laissa faire et ouvrit ses cuisses agitées de tremblements nerveux. Je passais mes mains à la saignée des genoux, et soulevais ses cuisses écartées. Ce qui s’étala devant mes yeux était divin.
- Ah, j’ai envie de la lécher. Délirais-je. Tu as le trou du cul comme pour chier.
J’ai approché ma main de ses fesses. Je lui caressais l’nus de doigt. Puis, après y avoir étalé la mouille qui débordait du vagin, je fis pénétrer mon majeur, en l’gitant très vite, d’avant en arrière. J’ai plaqué mon visage sur ses seins et me mis à la téter.
À la mordiller en grognant sans cesser de la masturber. Elle haleta :
- Cochon, c’est bon…
Elle fit des sauts de carpe sur la couverture. Confiant je plongeais ma tête entre ses jambes. J’étais dans la place. Je dirigeai mon regard au plus près du lieu où les cuisses se rejoignaient. La toison était vraiment abondante. Puis vint à mon regard les grosses lèvres de couleur sombre. Offert par la proximité, je retrouvais avec joie la puissante essence délivrée par le sexe. Corsée par la sueur. J’amenai mon nez au plus près. L’audace de la situation me fit oublier que c‘était un endroit jugé par certaines personne non propre à a consommation.
J‘ouvrais tout de même la bouche pour laisser sortir ma langue, pour qu’elle aille la rencontre des poils. Maria pompait toujours son cousin qui lui, me regardait fouillait la foufoune de sa cousine, et cela alors que j’aventurais ma langue jusqu’au clitoris. Effleurant tout la longueur de la fente. L’absence de réaction eut raison sur mon audace, à me faire lécher et sucer le sexe offert. Tout en me posant la question à savoir si elle ressentait la même sensation que moi quand on me sucer la queue !
Alors qu’elle me branlait toujours, je fus rattrapé par un orgasme d’une intensité inédite et d’une durée inégalée qui me propulsa au septième ciels.
Je vis Maria battre des cils, alors que Manu laissa échapper un cri. Il attendit que sa verge soit à demi-molle pour se retirer. Chacun à notre façon, nous avions pris notre pied ce jour là. Après nous être habillés nous prîmes le chemin du quartier, avec pour ma part le gout de la chatte de Maria en bouche.

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