Le Stage De Remise À Niveau (2)

Effarée mais bel et bien coincée, je me résous à me déshabiller devant mes élèves. Mais je reste en sous-vêtement, fais-je admettre. Il faut dire que je suis déjà en string et que je vais donc offrir mon cul à la vue de tout le monde. Et je me mets à faire mon cours au tableau. Une certaine agitation gagne la salle mais j’essaie de faire comme si de rien n’était. Au bout d’un moment, j’entends distinctement des bruits de zip et de bouton-pression qui claquent. Je continue et entreprend de passer dans les rangs afin de distribuer une feuille d’exercice. Plusieurs pantalons sont à terre. Je retourne sur l’estrade et peut ainsi voir plusieurs jeunes se masturber d’une main sous la table, l’autre tentant d’écrire sur une feuille. Je retourne dans les rangs quelques minutes plus tard et m’arrête à la table de Yanis. Je penche mon buste pour lire sa copie mais un regard machinal me fait apercevoir son slip tendu à l’extrême. Ma poitrine étant assez lourde et mon soutif assez souple, mes seins ont tendance à se balancer dès que je me penche pour lire, ce qui a le don de faire s’agiter le slip de Yanis. N’y tenant sans doute plus, il me prend un sein, s’appliquant à l’englober et le soupeser.

- Vous êtes fou. Arrêtez !
- Non, non, continuez votre cours et laissez-vous faire !

Sa caresse se fait plus précise et il sent bien que j’apprécie. Il le sort de son logement pendant que j’essaie à grand-peine de lui expliquer la méthode pour la résolution du problème. Il dégrafe ensuite complètement mon soutif et fait complètement tomber mes seins.

- Vous êtes content ? Je vous fais kiffer ?

En guise de réponse, il me met la main au cul, ce qui me fait tressaillir. Pendant qu’il me caresse, il m’invite à diriger une main en direction de sa grosse bosse. Je résiste un peu, pour la forme, puis me laisse faire. Après en avoir fait plusieurs fois le tour, en alternant caresses et savantes pressions, je me ravise juste au moment de faire jaillir son sexe, lâchant un truc du genre « n’allons pas trop vite en besogne, soyons un peu plus patient, etc… ».

Et je continue mon tour, encore un peu émue. Clément n’a plus de slip et se masturbe ouvertement, sans même s’arrêter lorsque j’arrive à sa hauteur (bien que cela soit difficile, j’essaie tout de même de mon concentrer sur sa copie). Après m’avoir caressé le dos et le ventre, Théo, lui, essaie de glisser ses doigts dans mon intimité ; je l’arrête avant qu’il n’ait franchi la zone interdite. La pointe de mes tétons trahit néanmoins mon état d’excitation, ce que la petite Inès a bien compris. Elle entreprend donc de me palper les seins, lesquelles se balancent au-dessus de sa copie. Une main entre les cuisses, elle me glisse à l’oreille : « vous me faites kiffer grave ».
Heureusement que l’heure de cours arrive bientôt à son terme car je ne sais plus trop où j’en suis ! Nous nous rhabillons tous. Avant de quitter la salle je demande ce que les jeunes ont prévu cette nuit. Ils m’expliquent que normalement Inès passe la nuit avec deux d’entre eux, en changeant chaque fois, et qu’aujourd’hui c’est « le tour » de Théo et Simon. Yanis et Clément m’offrent alors de les rejoindre à 23h30 précises dans la chambre du dernier. Je les renvoie balader d’un ton cassant en leur disant qu’ils pourront toujours se branler ou, mieux, se tailler des pipes entre hommes…
Un peu après l’heure dite, je ne peux néanmoins m’empêcher d’aller voir ce qui se passe à la chambre 53. En plaquant mon oreille à la porte, j’entends bien la petite pousser de petits cris me donnant envie d’en savoir un peu plus. Je m’agenouille et regarde dans le trou de la serrure. Il n’y a qu’une petite lampe de poche allumée permettant juste de deviner un corps allongé sur le dos, par terre, en train de se faire prendre sèchement. Je ne distingue pas sa tête mais j’imagine qu’elle doit être également occupée. Cette fois je ne m’attarde pas et rentre illico dans ma chambre. Je reste un long moment à fantasmer sur ce que j’aurais pu faire avec mes deux petits mecs, mais pour ce soir il n’y aura que les plaisirs solitaires !
Le lendemain après-midi, au cours de maths, tout recommence comme hier.
Mais je me suis décidée à attaquer. Je me débarrasse de mes vêtements, ne gardant que le string et ma paire de tongs. Inès s’est également mise seins nus, de jolis petits seins bien ronds, bien fermes et au bout joliment bronzé ; quant aux mecs, ils tous retirés le bas. Je débute le cours assise à mon bureau puis me lève au bout d’un moment pour entamer une démonstration au tableau. J’appelle alors Yanis :

- Tenez, venez donc me faire la démonstration du calcul de la dérivée d’une fonction à partir de son taux d’accroissement. Vous avez l’air d’être un expert en la matière ! (rire général)

Yanis s’exécute, la queue à l’air et le visage un peu rosi. Je lui donne la craie et, pendant qu’il écrit, porte la main à sa queue, laquelle ne met pas longtemps à se redresser. Je lui dis de continuer à écrire et de faire comme si je n’étais pas là. Pendant ce temps, je le masturbe lentement en accentuant petit à petit la pression. La peau de son sexe glisse bien, laissant facilement apparaître et disparaître un gland humide. Ses couilles, épaisses, sont plus ovales que rondes et bien détachées du reste du membre. Je constate qu’Inès est en train d’en faire de même avec Clément et Simon, lesquels la tripotent de concert. Ils disent qu’ils vont se contenter de faire comme la prof ! Un petit regard au tableau, où je constate que la démonstration patine quelque peu, et je décide de m’agenouiller sur l’estrade, devant le sexe tendu de Yanis. Je profite de la descente pour le frotter sur mes seins en jouant avec les aréoles et les tétons. Puis je le porte à mes lèvres, décrivant toute sa longueur avec elles, jusqu’à ses couilles, puis en remontant jusqu’au gland. Le pauvre essaie vainement de se concentrer sur le tableau cependant qu’Inès, maintenant passée sous la table, s’applique à en faire de même sur Clément et Simon.
Lorsque je prends le sexe de Yanis en bouche, je sens qu’il ne va pas tenir très longtemps. Une dizaine d’amples va-et-vient de ma tête plus loin, ses jambes flageolent annonçant qu’il va éjaculer.
Sa décharge saccadée, épaisse et brûlante, me remplit atteignant plusieurs fois le fond de ma gorge, ce qui me force à me concentrer pour ne pas vomir. Il ponctue le tout d’un beuglement assez caractéristique tenant plus du bison que d’autre chose. Comme je le tiens fermement par les fesses, je m’applique à tout avaler puis à tout nettoyer et aspirer, ne laissant juste échapper de mes lèvres qu’un infime filet vite essuyé. Mes sens revenus, je vois qu’Inès n’a pas perdu de temps : elle semble avoir également à peu près « tout pris » des offrandes de Clément et Simon, mais il est vrai qu’elle a quelque expérience sur le sujet…

- Encore un peu court, mon petit Yanis. Pourtant, je croyais que vous aviez de l’entraînement ! Voyons maintenant vos capacités en langue, dis-je en m’asseyant sur le bureau et en entraînant mon jeune élève vers mes cuisses, que j’écarte dans la foulée.

Je l’aide à faire glisser mon string, qui se retrouve bientôt pendu à l’un de mes pieds, puis attire sa tête vers mon intimité. J’ai vraiment la chatte en feu et je n’attends qu’une chose : qu’une langue experte lui fasse subir les derniers outrages. Ce que Yanis fait effectivement très bien, naviguant avec maestria à l’intérieur de ma corolle tout en me pressant avec force le bouton. Au bout d’un moment, Théo indique qu’il est lui aussi expert en langue ; je l’invite donc à me montrer tout ça. Il s’affaire à mes seins, suçant l’un puis l’autre, mordillant les tétons qui ont doublé de longueur. Puis il me force à m’allonger afin de me présenter sa queue, épilée et toutes veines dehors. Il la dirige et la tape sur ma bouche, la frotte sur mon visage, me fait lécher et gober ses couilles. Mon sexe, lui, est totalement sous l’emprise de Yanis et j’avoue que j’aimerais qu’il entre maintenant en moi ! Je prends totalement le sexe de Théo en bouche ; ses va-et-vient se font rapidement violents tandis que Yanis se lève et cogne à l’entrée de mon vagin. Il n’a pas le temps d’aller plus avant que le surveillant débarque en nous avertissant que les autres groupes vont bientôt rentrer (heureusement qu’il est de mèche, celui-là !).
Juste le temps de nous essuyer et de nous rhabiller à la va-vite et nous échappons une nouvelle fois au scandale…

(à suivre)

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