Médecin Remplaçant Partie 8: Dîner D'Initiation (1/2)

— Merci docteur, j’ai adoré ce dessert, mais je risque d’avoir encore faim. Resterez-vous dîner?

Encore sous le coup de l’émotion, je ne parviens pas à articuler un mot devant la proposition de cette femme stupéfiante. Je la regarde, détaillant avec désir chaque parcelle de son corps nu en proie à l’envie de lui faire l’amour malgré mes obligations professionnelles.
— Elle se lève et se dirige vers la gigantesque salle de bains attenante à sa chambre. De mon côté, je ramasse mes affaires étalées sur le sol et me rhabille en vitesse avant de redescendre dans le salon. Je m’enfonce dans le canapé, admirant la vue sur le lac depuis la baie vitrée. A ce moment, une femme d’une soixantaine d’années sort de la cuisine, ma chemise à la main.
Elle me tend la chemise propre et repassée, n’osant pas me regarder dans les yeux.
— Merci beaucoup, dis-je en saisissant le vêtement. Et, désolé pour le… dérangement.
Sans sourciller, la servante me répondit, toujours sans lever le regard.
— Je ne vois pas ce dont vous parlez, Monsieur. Désirez-vous boire quelque chose ?
— Euh, non, je vais y aller, merci.
A ces mots, la femme semble soudain paniquée. Ses yeux cherchent dans tous les sens et elle peine à articuler les quelques mots qui suivent.
— Vous, partez, comment ? C’est à dire que… Madame est au courant ? ajoute-t-elle en jetant un regard vers la salle de bain.
— Non, pourquoi ?
— Eh bien, à vrai dire, Madame est du genre, autoritaire, et elle me disputerait de savoir que vous soyez parti sans lui dire au revoir et que je ne vous ai pas retenu. S’il vous plait, restez boire quelque chose, me supplia-t-elle presque.
J’accepte donc un Coca que Martine m’apporte au bout de quelques minutes pendant lesquelles je médite sur les paroles de la servante. Madame Corbois serait donc à ce point totalitaire qu’elle en terrorise toute sa maisonnée ? En y repensant, je n’ai pas vraiment eu le dessus dans notre étreinte de tout à l’heure, et je me suis laissé guider par cette femme du début à la fin.

Finalement, Madame Corbois fait son retour dans le salon. Elle a opté pour un petit chemisier blanc très décolleté dévoilant sa gorge blanche parée d’un magnifique collier de perles d’un blanc nacré, et une petite jupe de tailleur noire surmontée d’une large ceinture à la boucle sombre. Ses cheveux sont attachés en un chignon désordonné qu’elle a dû s’empresser de faire avant la douche pour éviter que ses cheveux ne soient mouillés.
Bien, avez-vous pensé à ma proposition, dit-elle.
— Oui, je suis navré, mais il est déjà 15 heures et je dois retourner au cabinet pour organiser mon planning de la semaine prochaine.
— Mais, n’aviez-vous pas une secrétaire, lorsque je suis venue ? Je me souviens d’une charmante blonde à lunettes.
— Oui, Alexia, c’est justement pour cela que je dois rentrer, pour organiser avec elle mon planning.
— Écoutez-moi, jeune homme, si vous avez une secrétaire, ce n’est pas pour faire le travail à sa place. Dites-lui que vous avez un empêchement et que vous ne pouvez malheureusement pas la rejoindre, et qu’elle peut vous envoyer par mail le planning qu’elle aura défini.
Elle s’assied alors à côté de moi sur son canapé, croisant ses jambes devant elle et cambrant le dos pour m’offrir une vue plongeante dans son décolleté. Puis elle déboutonne les premiers boutons de ma chemise et glisse sa main dans l’ouverture, caressant du bout de ses ongles parfaitement manucurés mes pectoraux saillants. Elle approche sa bouche pulpeuse de mon oreille gauche, en mordille le lobe pendant quelques secondes, avant de me susurrer :
— Allez, restez un peu, mon beau docteur, vous m’avez ouvert l’appétit et je brûle d’envie de vous sentir à nouveau en moi.
Ses paroles déclenchent en moi des frissons inévitables, et je sens le sang affluer entre mes jambes. Je tente de me concentrer pour lutter contre l’envie de l’embrasser et rassemble mes forces pour lui répondre.
— Je suis navré, il faut vraiment que j’y aille, j’ai une semaine compliquée à venir et je ne peux pas la laisser faire seule, et puis, je suis fatigué, j’ai eu une dure semaine.

Mais visiblement, mon corps trahit mes paroles, et l’érection qui se dresse entre mes jambes semble ignorer la prétendue fatigue que je prône. Cela n’échappe pas à Madame Corbois qui me fais la remarque et intensifie ses caresses.
— Allez, appelez-la. Je vois bien que lui n’est pas fatigué et a les mêmes désirs que moi.
Je finis par céder.
— D’accord, je veux bien appeler et lui demander si elle peut s’organiser sans moi. Mais je ne vous promet rien !
Je sors mon téléphone portable et compose le numéro du cabinet. Alexia décroche presque immédiatement.
— Cabinet du Dr Paule, bonjour.
— Alexia, c’est moi, Nemanja.
— Ah, où étais tu ? Tu étais censé finir tes visites il y a plus de deux heures ! Tout se passe bien ?
— Oui justement, j’ai eu un petit imprévu et je voulais te demander…
Je m’arrête de parler surpris par ce qui est en train de se passer. Alors que j’appelais ma secrétaire, Madame Corbois a abandonné ses caresses sur mon torse pour défaire la boucle de la ceinture de mon pantalon, qu’elle a fait glisser sur mes genoux avant de libérer mon sexe rendu énorme d’excitation de l’étroitesse de mon caleçon. Elle s’applique désormais à en lubrifier le manche de sa bouche avide. Voyant que je me suis arrêté en pleine phrase, elle tourne vers moi ses yeux marrons clair ce qui provoque une contraction involontaire de ma verge qui s’enfonce plus profondément encore dans sa gorge. Elle m’intime alors de reprendre ma conversation en descendant s’occuper de mes couilles pendantes.
— Nemanja…Allô ? Allô ? dit Alexia au bout du fil.
— Pardon… j’étais distrait. Je voulais te demander si… mmmm… tu pouvais t’occuper du planning sans moi ? J’ai peur d’être pris pendant encore longtemps.
— Eh bien, c’est à dire que c’est compliqué, je ne connais pas tes indisponibilités, et puis, il faut caler le débriefing avec le Dr Paule.
— D’accord, et bien, je vais rentrer alors… ohhhh mmmmm oui comme ça…
— Pardon ? Tu me disais que tu rentrais, c’est bien ça.

Madame Corbois, visiblement mécontente de ma réponse a abandonné mes bourses pour remonter le long de mon chibre jusqu’à mon frein qu’elle titille de sa langue habile. L’effet escompté est immédiat, et une goutte brillante de pré-sperme fait son apparition au niveau de mon méat.
— Oh putain oui… Ecoutes Alexia, je…. Mmmm…. Je ne vais vraiment pas pouvoir… oh ! Venir… un appel de dernière minute… Une urgence, vraiment, je suis désolé.
Ravie, Madame Corbois délaisse de nouveau mon sexe pour venir titiller mon anus, toujours dilaté par le traitement qu’elle lui a fait subir quelques minutes plus tôt. Je suis totalement débordé par la situation et j’écourte la conversation avec Alexia de peur de me trahir.
— Pour Madame Paule, je vous laisse organiser la date et je veux bien prendre un doigt… pardon, prendre le temps de…de mmmm
— De ? Tout va bien, Nemanja ? me demande-t-elle.
— Oui oui, pardon, je, je suis un peu occupé en ce moment, et… nous verrons lundi, d’accord ? Bon week-end.
Je raccroche finalement et me tourne vers mon amante de l’après-midi qui a de nouveau en bouche mes testicules, qu’elle malaxe avec sa langue, un filet de bave pendant au coin de sa bouche. En entendant mes paroles, elle a effectivement glissé un doigt dans mon anus devenu avide de ce genre d’expériences et masse avec insistance ma prostate. Elle me regarde toujours avec des yeux dans lesquels on peut lire son envie de sexe et son plaisir à me manipuler ainsi et à faire de moi l’objet de son désir, totalement soumis à sa volonté. Tentant de lutter contre son emprise, j’essaye d’articuler.
— Oh, oui, continues ! Vas-y, salope ! Je vais te faire avaler mes couilles !
Obéissante, elle enfonce davantage mes bourses dans sa bouche chaude et humide et accentue les mouvements de son doigt dans mon fondement. Comme tout à l’heure, je sens la jouissance monter en moi. J’att son chignon d’une main et repousse violement sa tête en arrière.
— Viens là, salope, je vais te recouvrir de foutre !
Alors, sans la voir venir, je reçois une énorme claque en pleine figure, qui me fais redescendre sur terre.
Madame Corbois se relève et se tient face à moi, me dominant de toute sa hauteur et me dévisageant d’un regard sévère.
— Non, pas maintenant. Tu vas me faire jouir avant, plusieurs fois, et tu ne jouiras que lorsque je te l’aurais ordonné, c’est compris ?
Abasourdi, je réponds par l’affirmative, d’un mouvement de tête.
— On dit, oui Madame.
— Oui Madame.
Alors, elle remonte son tailleur, écarta d’une main son string, et s’empale sur mon chibre tendu. Je laisse échapper un cri de douleur car malgré son excitation, son sexe n’est pas totalement trempée et le mien n’est pas non plus le plus lubrifié. Elle aussi laisse échapper une grimace mais la douleur semble lui plaire car elle jouit instantanément, sa chatte s’inondant subitement de cyprine brûlante, et ses parois vaginales se contractant contre mon pénis. Alors, ne pouvant résister, j’empoigne fermement ses deux seins laiteux à travers son chemisier, cède dans une râle animal et déverse en elle ma semence en vagues de plaisir qui provoquent un deuxième orgasme chez ma bourgeoise.
— Noooon ! pas là !!! Je n’ai pas de stérilet…. Mmmm. Oh putain oui c’est bon… c’est chaud…

Lorsque nos émotions respectives redescendent, Madame Corbois me punit d’une seconde claque, certes plus douce que la précédente, mais tout aussi surprenante et humiliante.
— Je suis déçue, dit-elle. Vous ne m’avez pas obéi correctement. Savez-vous ce qu’est la soumission, Docteur ?
— Je…euh…oui, je crois. Répond-je, troublé.
— Bien, et pratiquez-vous cela ?
— Non, enfin, pas encore, c’est à dire que… je n’ai jamais essayé.
— Et cela vous intéresserait-il ?
Je suis quelque peu pris au dépourvu, n’ayant jamais songé à cela. A vrai dire, j’ai toujours aimé les relations déséquilibrés mais ce n’était jamais dans un seul sens, et je me retrouvais tantôt dominant, tantôt dominé. Cependant, quelque chose dans cette femme titillait ma curiosité et me donnait envie de tenter l’expérience, ce pourquoi j’accepte sa proposition.
— Bien, mon mari est un petit homme replet incapable de me satisfaire, et nos relations sexuelles sont réduites à un missionnaire expéditif moins d’une fois par semaine se terminant dans un râle de bovin, aussi, j’ai toujours expérimenté des aventures libertines à son insu, et me suis découvert un penchant pour la domination soft. Malheureusement, mon dernier soumis m’a quitté il y a peu. J’aimerais que vous le remplaciez. Je sens que vous n’êtes pas d’un tempérament aussi docile que lui aussi je vous permettrait quelques incartades, et je vous laisserait de temps en temps me prendre librement. Qu’en pensez-vous ?
— Je… Je serais ravi d’essayer. Mais je ne suis pas certaine d’apprécier.
— Vous serez libre de cesser cette relation à tout instant. Bien, maintenant, je dois vous punir, puis nous irons dîner afin que je vous explique les conditions de notre relation.
— Me punir, pourquoi ?
Je reçus une nouvelle claque. Ma joue devenait de plus en plus brûlante.
— D’abord, je vous interdit de prendre la parole sans autorisation. Je vais tout de même vous répondre. Je dois vous punir pour plusieurs raisons : premièrement, vous m’avez tutoyé et insulté sans autorisation. C’est interdit. Ensuite, vous avez joui sans mon autorisation, qui plus est sans protection et dans mon vagin alors que je n’ai pas de contraception. Vous pourriez m’avoir mise enceinte, ce qui, je vous le concède, m’excite au plus haut point. Mais c’était néanmoins un grand manquement à votre condition de soumis qui m’oblige à vous punir. Venez, suivez-moi. Je sais ce que vous allez avoir comme punition.
Madame Corbois me guide dans sa chambre et me fais asseoir sur le lit, tandis qu’elle fouille dans la commode de son bureau pour en sortir un étrange objet. C’est une sorte de gode en acier inoxydable mais qui possède à un bout un étrange appendice de forme courbe se terminant par un anneau. Ma patiente me demande de me déshabiller et de me mettre à 4 pattes sur son lit. Obéissant, je m’exécute et lui offre une vue splendide sur mes fesses. Lorsque je la vois enduire l’objet du lubrifiant se trouvant dans sa table de nuit, je comprends qu’il s’agit en réalité d’une sorte de plug anal. Visiblement, c’est jour de première, pour mon pauvre petit anus encore vierge. Bien décidée à me punir, Madame Corbois se porte à ma hauteur, et enfonce progressivement l’objet dans mon fondement. Son contact est dur et froid, mais plutôt agréable en réalité, et je me surprends à émettre un soupir de plaisir. Le reste du plug est en fait un bras qui vient vers l’avant et porte à son extrémité un anneau qu’elle vient serrer autour de ma verge à demi molle. Elle ferme le tout avec la clef d’un cadenas qu’elle cache dans une boule de geisha avant d’insérer ladite boule avec sa compatriote dans son vagin humide. Elle m’allonge ensuite sur le lit et viens se placer à califourchon sur moi. Le contact de ses lèvres humides sur mon sexe provoque instantanément une érection et ma verge vient naturellement s’insérer en elle. Chaque mouvement de la bourgeoise sur moi fait entrer un peu plus le plug dans mon fondement et me provoque des fourmillements dans le ventre. A l’intérieur, je sens les boules de geisha qui ondulent autour de mon sexe et viennent se frotter contre les parois de son vagin. En quelques minutes, Madame Corbois exulte dans un soupir de satisfaction. Elle se retire finalement de moi et caresse ma verge tendue de ses doigts longs et fins. Avec l’anneau métallique serré autour de sa base empêchant le sang de refluer, mon sexe est tendu et gonflé comme jamais, et les veines qui le parcourent sont gonflées de sang. Mon gland est dur comme du bois et tire vers le violet, et je commence à ressentir comme des picotements le long de ma verge.
— Bien. Allons diner. Je meurs de faim.



Merci d'être aussi nombreux à me lire à chaque épisode, et merci de vos commentaires, qui sont toujours bienveillants et pertinents, cela me fait chaud au coeur!!


Encore une fois, merci à tous et merci à HDS de nous fournir cette plateforme d'expression libre et gratuite!

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