Mon Apprentissage D'Esclave / Partie 5

Je me réveille avant mon Maître. Mon dos me brûle encore de ses coups de fouet. Les pieds de mon Maître reposent sur mes fesses endolories. Je n'ose pas bouger de peur de le réveiller. Il se passe ainsi un long moment d'attente.
Puis mon Maître s'éveille. Constatant ma présence, il me caresse doucement avec ses pieds tout en me parlant :
« C'est une bonne première journée, non ? Tu vas aller me préparer un thé, puis tu apporteras ça dans le salon. Nous devons commencer à organiser ta présence ici. Reste nu, ça te va bien. »
Vêtu d'un pantalon de jogging et d’un T-shirt près du corps, mon Maître s'est assis dans le canapé du salon et feuillette un magazine de photos. Je pose le plateau à côté de lui puis attends, debout. Il continue de feuilleter sa revue, puis, négligemment, m'indique de rapprocher un pouf et de m’agenouiller à ses pieds sur le pouf. Puis, tout en buvant son thé :
- J’ai beaucoup apprécié nos échanges cet après-midi. Mais il va falloir maintenant que tu apprennes à me servir comme il se doit. D'ici ce soir, je veux que tu repasses mes chemises pour la semaine. Tu rangeras le linge que tu as lavé ce matin. Enfin, tu vas aussi préparer une liste de menus pour chaque soir et me soumettre ta proposition. Demain matin, tu me réveilles à 6h45 avec un petit déjeuner comme celui de ce matin. Avant, tu auras préparé mes vêtements. Je te laisserai un double de clés. Demain soir, je rentre à 20h00. J’attends que le repas soit prêt et servi chaud. Tu me serviras et tu pourras manger les restes dans la cuisine. A partir de demain, ta tenue de service sera le jockstrap et un débardeur.
Mardi et jeudi, nous irons au sport ensemble. Prévois des repas rapides à faire après le sport.
Samedi matin, ce sera jour de courses et de ménage. Nous en reparlerons ici là.
Tu resteras ici toute la semaine jusqu’à dimanche prochain. Ce sera ta période d'essai. A tout moment tu pourras partir ou je pourrai te virer.

Si tu décides de partir, c'est définitif. Et si je te croise par la suite, en ville où ailleurs, je te dérouille.
A l'issue de cette période d'essai, tu ne reviens pas ici pendant une semaine. Temps de réflexion pour toi comme pour moi. Au bout d'une semaine, tu me confirmeras par SMS si tu veux entrer à mon service et je te confirmerai mon accord. Sache que si tu entres à mon service, c’est pour toujours, que tu m'appartiens, que tu es ma chose et que je dispose de toi comme je l’entends. Est-ce clair ?
- Oui Maître
- Parmi les choses à acheter, il faut que tu ailles dans un magasin de sport acheter une cravache que tu garderas toujours à côté de toi. Cela me permettra de te corriger rapidement à chaque écart
- Bien Maître
- As-tu des questions ?
- Pourrais-je passer un appel ce soir ?
- Non. Demain, tu disposeras de ton temps dans la journée.
- Bien Maître
- Maintenant, mets toi au travail. Je veux dîner à 20h00. Avant cela, quand tu auras fini de repasser mes chemises, tu me montreras le résultat. Je ne veux pas un faux-pli
- Bien Maître
- Ah, j’oubliais. Important. Considère la séance d'aujourd’hui comme une séance de dressage. Nous recommencerons souvent. Mais si tu te comportes mal, il y aura aussi des séances de punition. Tu sentiras la différence. Enfin, nous aurons des séances de plaisir, ce qui n'exclut pas certaines souffrances… le tout est que tu apprennes à me servir et à l'apprécier.
- Bien. Compris, Maître
- Parfait. Alors au travail.
Je termine ma journée comme je l'avais commencée : par des tâches ménagères. Je m’acquitte de ces tâches de mon mieux, autant pour plaire à mon Maître que par crainte d'une punition. Le repassage achevé, il vient contrôler le résultat et me fait reprendre trois chemises dont les manches ne sont pas impeccables, en commentant simplement : « trois coups de cravache. Prévois un carnet de punition »
- Bien Maître »
Après le dîner, il m'autorise à regarder la télévision assis à ses pieds, sur mon pouf.
Il finit par s'allonger sur le canapé et m'invite à le rejoindre. Nous passons ainsi la fin de la soirée, mon Maître allongé dans mon dos, me caresse distraitement, tandis que je sens son sexe tendre le jersey de son pantalon et pointer vers mes fesses. Je bande horriblement, dans le vide, pour rien, et mon Maître essuie de temps en temps le liquide qui pend de ma bite, et me tend son doigt à sucer.
Le film terminé, nous allons nous coucher. A sa demande, je vais chercher un plug et le lubrifiant. Je mets à quatre pattes, tends ma croupe vers lui, et le voilà qui introduit l’objet dans mon orifice à grands renforts de gel. L'objet presse ma prostate, je gémis malgré moi, alors mon Maître me claque brutalement le cul, m’ordonne de me taire et de me retirer dans mon réduit. J'ai évidemment interdiction de me masturber.
- J'inspecterai tes draps demain matin. Si je vois une seule tache, je rajoute 5 coups de cravache.
- A vos ordres, Maître
Cela fait près de deux heures que je recherche le sommeil, tout occupé à fantasmer sur l'emprise croissante de mon Maître, quand je l’entends m'appeler. Je me lève et m'approche de sa chambre. La lumière est allumée. J’entre. Il me lance un tube de gel et me dit :
- Je n’arrive pas à dormir. Décalage horaire. Branle-moi.
- Bien Maître
Je m'allonge entre ses jambes, son sexe à demi-dressé m'attire terriblement. Tout d'abord, lentement, du bout des doigts, je commence par effleurer ses couilles avec désir et respect, je caresse la peau légèrement granuleuses, je ressens sous la pulpe de mes doigts les poils épars qui parsèment ces deux belles bourses bien remplies, j’en éprouve la douceur autant que la fermeté puis, comme mon Maître esquisse un mouvement pour se rapprocher de ma main, j'accentue mon massage. Sa tige se dresse, son gland majestueux, violacé, se découvre à moi et s'humecte. J’enduits mes mains de gel. Ma main droite caresse la base de son sexe très doucement, tandis que de la main gauche, j'effleure tendrement la point de son gland, la face antérieure, le frein, et reviens doucement, du bout des doigts.
Je me concentre sur la douceur de mes gestes, et je sens aux frémissements qui parcourent le bas-ventre de mon Maître que des ondes de plaisir le parcourent. Il insère son pied gauche dans mes fesses, presse le plug qui darde contre ma prostate, mon plaisir augmente, alors je me concentre sur mes gestes, de peur de jouir avant lui, et j'accentue la pression de ma main droite.
Les mouvements de son bassin s'amplifient, je mets mes mains en fourreau, je suis l'étui dans lequel glisse son calibre, la chambre où coulisse son piston, de plus en plus fort, alors l'étreinte de mes mains sur sa bite se resserre, j'en ressens chaque veine, chaque palpitation, la chaleur intense qui la parcourt tandis qu'elle glisse entre mes mains.
Et son pied continue d’appuyer, mon sexe frotte contre sa jambe droite, ses mouvements de bassin s'amplifient, ses fesses se contractent par vagues, il va et vient entre mes mains, à son rythme, de plus en plus vite, de plus en plus fort…. Et c’est soudain l'envoi, un jet de sperme qui jaillit, tel d’une fontaine et atterrit sur mon visage, cependant que moi-même, emporté par l'excitation – et à ma grande honte – j'éjacule sur sa jambe.
- Tu t'y prends très bien, me dit il doucement, mais tu dois apprendre à te contrôler. Ça te fera cinq coups de cravache supplémentaires, comme convenu. Pour punition, je t'interdis de nettoyer ton visage. Lèche tes salissures, puis va te coucher.
- Bien Maître
Je me glisse à ses pieds, lèche le sperme qui s'est écoulé sur sa jambe, puis retourne me coucher dans mon réduit. Une traînée de son sperme glisse encore sur ma joue, je m'endors avec son odeur en moi.
La sonnerie du réveil me tire d'un profond sommeil. Il est 5h45, mon premier jour de semaine sous le joug de mon Maître commence.
(A suivre)




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