J'Ai Recommencé

Il s’est passé plus de six mois depuis ma séance photo avec Claude, ma première expérience nue. Il m’a bien envoyé les photos sur mon email. Il en avait sélectionné une bonne centaine. Il me les a envoyées en quatre fois. Le début était sage, mais les dernières me montraient nue, exhibée et mon intimité se montrait sans retenue.

J’ai fait une sélection que j’ai offerte à mon mari. J’avais pris soin d’enlever les clichés avec la maquilleuse et ceux, où j’étais liée et offerte. Ce qu’il a vu l’a comblé et déjà il était trop étonné, et heureux que j’aie osé franchir le pas. Les photos de moi totalement nue, épilée et ne protégeant rien de moi des regards l’ont beaucoup excité. Sur ce point j’avais réussi.

Ce qui ne quittait pas mon esprit était ces images de moi impudique et ce souvenir du plaisir sans aucun remords. Bien sûr que je voulais poursuivre l’expérience. Le plus simple était de rappeler Claude et d’en parler avec lui.

Nous nous sommes vus un samedi après-midi dans son studio photo chez lui. Je lui ai expliqué que j’avais apprécié son travail et que je m’interrogeais d’avoir une autre expérience. D’accord, c’est très hypocrite, mais je n’allais quand même pas me mettre en position de faiblesse et avouer que j’étais prête à aller plus loin que la première fois.

— Je vais te montrer des travaux plus intimes, ceux que je ne publierai pas et que peu voient. Tu te rendras compte que tu es loin d’être allée au bout de ce que nous pouvons imaginer.
— Merci pour ta confiance.
— Merci à toi, car la fois passée pour ta première tu m’as fait confiance et tu as osé te laisser aller.
— Explique-moi ce à quoi tu penses.
— Déjà, il faut que tu sois consciente que tout ce que tu vas voir a été réalisé avec de pures amatrices. Cela t’explique pourquoi elles ne seront jamais publiées. Il y en a de tous les âges et je crois que pour toutes, cela, a été un bon moment.




Devant l’écran large du Mac de Claude, je voyais défiler les clichés de femmes belles ou pas, mais qui offraient leur nudité sans retenue.

— Celles-ci sont de cet été, ici avec Maud. Petite quarantaine, elle a progressivement accepté le nu puis les caresses d’un homme, son mari.
— Elle lui fait carrément une fellation ?
— Oui et regarde, là elle est allée jusqu’à la double pénétration. Oui, avant que tu demandes, c’est moi, à la demande de son mari.
— Eh bien, je comprends qu’elle n’a pas envie que cela soit vu de tous.
— Là c’est Céline, quarante-neuf ans qui voulait un peu, comme toi, se faire plaisir. Elle est allée jusqu’à me demander d’être photographiée avec plusieurs hommes. Cela a demandé de la préparation, mais tu le vois ils sont trois avec elle. C’était du sexe pur, pas génial esthétiquement à faire.


Nous avons regardé pendant plus d’une heure des séries de shootings. Je dois confier que j’ai reconnu une copine d’école de commerce. Elle avait un peu grossi, mais elle avait toujours ce charme de brune. Elle s’exposait nue sous sa jupe et sa veste de tailleur. Ce qui m’a surprise a été de la voir épilée avec un joli Rosebud entre ses fesses. Pour une Directrice commerciale, c’est intéressant.

Il y avait plein d’idées dans ces séances. Ce que j’avais en tête était une séance dans un lieu abandonné, le contraste entre une peau claire et propre avec un bâtiment ou lieu laissé à l’abandon.

Je n’imaginais pas qu’autant de femmes posent, aiment se défier et tentent des expériences aussi fortes. Cela me rassurait et me confortait. Claude me proposa quelque chose de différent, mais bien dans l’esprit. Il avait un ami qui possédait une cave. Il me montra des photos du lieu, c’était une cave parisienne ancienne avec des pierres et de la terre battue au sol. Cela pouvait être dans l’esprit de ce que je recherchais. Rendez-vous fut pris pour le lundi soir et aller la visiter.


Lundi 19 h 30, nous étions dans la cave avec son ami. Il était sculpteur et avait le même âge, me semble-t-il, vers quarante-cinq ans. Il était accueillant et nous sommes descendus tous les trois dans cette grande cave. Beaucoup de salles et un lieu humide et désert. Le lieu était très ancien et il servait régulièrement d’endroit pour des fêtes, expositions ou cocktails.

Claude m’en avait parlé comme d’une idée qu’il avait eue en en parlant avec son ami Louis qui exposait régulièrement ses travaux.

— Qu’en penses-tu Véronique ? Nous sommes en plein Paris et pourtant dans ce 12e arrondissement, il y a des lieux incroyables comme celui-là.
— Effectivement c’est surprenant.
— Tu vois ce que j’imagine est de te shooter nue puis d’entamer un scénario avec deux hommes qui te dirigent.
— Je n’avais pas imaginé ça, mais tu m’en diras plus bientôt.
— Pour évaluer le lieu et voir si cela te convient, Louis va nous mettre la lumière au max et je vais faire quelques clichés de toi pour tester.
— Et je suppose que tu aimerais que je me déshabille un peu ?
— Ce serait bien.


La présence de Louis était un petit piment supplémentaire à la situation, car je ne faisais pas de doute, il allait rester avec nous et profiter du moment. Il alla allumer la totalité des lumières, ce qui me fit penser que ce n’était pas une première. Claude prit son appareil et j’ai commencé à me dévêtir. Comme j’arrivais du boulot, j’étais en jupe, collant, chemisier, bref le classique. J’avais pris soin la veille dimanche de m’épiler parfaitement et d’être la plus désirable possible.

— Véronique, fais-moi plaisir, retire ta culotte et reste nue sous ton collant. En haut, garde seulement ta veste sans rien dessous. Talons, collant sans démarcation et topless sous ta veste, j’adore cette tenue. La fois passée, tu as eu une série ainsi vêtue et j’ai bien aimé.
— Cliché.
Claude, je m’attendais à mieux.
— Vu le lieu, tu seras surprise du résultat. Le contraste entre ta peau claire, les vêtements sobres et cette cave poussiéreuse et ancienne va être détonant. Ce n’est pas un cliché, crois-moi.


Je me suis exécutée, j’ai retiré mon collant, retiré ma culotte, remis le collant et je ne portais plus rien sous la veste. J’étais ainsi en talons, collant sans rien dessous et mes seins libres sous la veste. Épilée, le collant sans démarcation offrait, je pense, un joli spectacle.

Claude a commencé à me guider. Comme la fois précédente, je me suis laissé faire et j’ai respecté ses consignes. D’abord en collant, chaussures et topless sous ma veste. C’est celle-ci qui a disparu en premier. La fraîcheur du lieu, sans être glaciale, me faisait me montrer, les seins provocants.

Simplement vêtue de mon collant et de mes chaussures je me suis fait photographier dans diverses situations, marchant dans les salles, me penchant en avant, accroupie sur le sol et bien d’autres encore. Quasi nue, je reprenais un malin plaisir à me montrer. Mes cinquante et un ans me plaisaient et semblaient également plaire aux deux voyeurs devant moi, même si l’un était photographe.

J’ai retiré mon collant et pour la seconde fois je me montrai nue à un autre que mon mari. Je marchais, me penchais, montrais mon intimité en ouvrant mes jambes.

— Je veux que tu te loves contre Louis, lui habillé et toi nue.
— Dis-moi directement ce que tu as imaginé, nous gagnerons du temps.
— Je veux que tu te soumettes à Louis dans ce lieu décalé. Oui, nous allons franchir une étape, tu vas t’offrir à lui et accepter ce qu’il te demandera.
— Tu veux qu’il me baise devant toi ?
— Oui, il va te pénétrer et te sodomiser.
— Et si je refuse ?
— Tu ne refuseras pas, déjà parce que tu en as follement envie et ensuite parce que quand tu découvriras Louis, tu seras subjuguée.



Louis s’est dévêtu et j’ai pu découvrir un très beau sexe. Jamais je n’avais vu cela, même si heureusement, il n’était pas énorme au point de risquer de me faire mal. Je me suis lovée contre lui, me caressant afin de voir ce sexe, de plus en plus excitée. Je n’ai pas eu très longtemps avant de le laisser me pénétrer. Ce salopard de Claude, oui j’avais envie. Après m’être dénudée et exhibée devant ces deux mecs, j’avais envie de faire l’amour.

Il m’a pénétrée et a abusé de moi en me baisant à tous les rythmes et dans toutes les positions. Je prenais du plaisir, j’aimais ce sexe en moi, celui d’un inconnu il y a encore deux heures. Après une bonne demi-heure, c’est moi qui lui ai dit de me préparer et de me pénétrer pour me sodomiser. Oui, ce superbe sexe m’avait comblé le bas-ventre, mais j’avais envie de plus.

Pour le libérer, s’il en était besoin je me suis introduit un puis deux doigts dans l’anus. Je commençais à le détendre et pendant ce temps j’avais le sexe de Louis dans ma bouche. Je lui ai demandé de s’allonger sur le dos.

Je me suis assise sur son sexe, mes fesses ne me brûlaient pas et au contraire, j’éprouvais un incroyable plaisir. Je décidais ainsi du rythme et de la profondeur progressive avec laquelle il allait entrer de moi.

Délicieux ! Et ce cochon de Claude ne photographiait plus, il filmait. Je m’empalai le sexe de Louis entre les fesses et j’allais de plus en plus profondément. Claude ne devait rien perdre de mon visage, les yeux fermés et des râles de plaisir de plus en plus intenses. J’ai fini par crier et Louis a joui dans ma bouche, j’ai été obligée de tout garder, Claude le voulait.

— Tu avais raison, j’ai eu beaucoup de plaisir.
— Les photos seront belles, le décalage entre le lieu, vieux et sale, et ton joli corps seront géniales. Le film lui aussi va rendre. Que comptes-tu en faire ? Comme ce genre de séances, pour le modèle et moi.
— Je suis curieuse de voir le résultat, car pour la sodomie, j’ai été particulièrement impudique.
— Non, au contraire, très sensuelle et ton plaisir était magnifique.
— Je compte sur toi pour m’envoyer discrètement le résultat. Appelle-moi pour me dire ce que tu penses de la séance.
— Une prochaine bientôt ?
— Laisse-moi le temps de décanter et de voir le résultat.


Après une telle deuxième expérience, mon choix est fait. Mon prochain défi : m’exhiber sur scène devant des inconnus.

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