Mon Premier Mec

Comment j’ai appris à aimer le sexe entre hommes.
J’ai beau aimé les femmes, être attirée par elles, il n’y a eu qu’un seul homme qui m’a fait aimer le sexe entre mec. Un seul, le seul avec qui j’ai pris plaisir à baiser ou plutôt à me faire baiser. Il s’appelait Jean Yves.
Je me souviens de la première fois, ce fut un délice, une révélation. Sa force, sa tendresse, ses baisers, sa langue et sa délicieuse queue dont j’ai abusé.
Nous avions fait connaissance sur un site de rencontre très libertin, après quelques échanges nous avions convenu d’un rendez-vous chez lui. Il habitait une maison sur Toulon. J’étais nerveux à l’idée de ce rendez-vous mais l’envie me tenaillait, forte, implacable. Je m’y suis rendu. Il m’a fait rentrer chez lui et, n’obéissant qu’à mes envies, mes désirs, j’ai posé ma main sur son pantalon, à la hauteur de son sexe, enflé, pour le caresser du bout des doigts. Je l’ai embrassé en même temps, nos langues jouant entre elle, l’excitation montait. Je me suis mis à genou, devant lui, j’ai défait sa ceinture et baissé short et boxer en même temps. Elle a jailli devant moi, bien dure et dressée. Je ne me suis pas posé de question, je l’ai prise en bouche. Je l’ai sucé longuement, adorant cette sensation, sentir la douceur de sa queue dans ma bouche. Il m’a fait lever et m’a entraîné dans sa chambre pour me déshabiller et me faire allonger sur son lit. Il s’est déshabillé, a saisi mes cuisses pour les écarter et j’ai senti sa langue glisser entre mes fesses. Ce fut divin, je n’avais pas connu cela avant. Ses doigts, sa langue se glissèrent dans mon trou, mes doigts se crispèrent sur les draps, témoin du début d’une joute sexuelle. Mes mains se posèrent ensuite sur sa tête, je ne voulais plus qu’il délaisse mon trou, j’appuyais sur sa tête, j’aurai voulu que sa langue se glisse au plus profond de mon intimité, langue chaude et vivante. Ma bouche laissait s’échapper des gémissements de plus en plus fort, ce mec savait y faire.

A regret, j’ai senti sa langue quitter mon trou mais pour y être remplacé par ses doigts, deux puis trois, pour m’ouvrir en douceur. Il se mit tête bêche avec moi et je pus reprendre sa queue avec plaisir en bouche. Il me fallait le sucer, j’avais faim de cette belle queue, tandis que lui me rendait la pareille tout en me doigtant divinement, m’amenant plusieurs fois au bord de la jouissance tout en s’arrêtant avant l’instant fatidique. Après un long moment de doigté, il me mit en levrette, le cul bien tendu et relevé vers lui. Il a recommencé ses séances de doigtées et de lèche avec sa langue, c’était magique. J’ai senti alors le gel sur mon trou, il a pris un préservatif pour l’enfiler sur sa belle queue et il s’est alors positionné derrière moi. Sa queue, bien placée contre mon orifice a alors appuyé sur ce dernier. Si les premiers instants, je ne le cache pas, furent laborieux et quelques peu douloureux, il put s’enfoncer avec sa délicatesse coutumière que je pus apprendre par la suite. Ce fut lent, douloureux, merveilleux. Le plaisir d’être possédé fut plus fort que la douleur et il se mit à faire des va et vient dans mon cul, long, lent, puissant, doux. Ses claques sur mes fesses furent autant d’encouragement pour moi. Son rythme s’accéléra, je me mis à feuler, à gémir, à crier mon plaisir. Ce mec était un virtuose avec sa queue. J’encaissai ses coups de queues avec délices et j’en redemandai encore. Mes fesses allaient à la rencontre de ses vigoureux coups de reins.
Après un long moment en levrette, il me fit allonger et basculer sur le côté, il releva une de mes jambes et se réintroduit si facilement que j’ai eu l’impression d’avoir aspiré sa queue avec mon cul. De son autre main il me fit tourner la tête pour un long baiser langoureux. Cela me rendait complètement dingue de lui. Après ce baiser et tout en me donnant de vigoureux va et vient, il se mit à me caresser la poitrine avec sa main, pinçant mes tétons qui n’en demandaient pas tant. J’aimais cette sensation d’appartenir à ce mec, d’être pris.
A ce moment-là, plus rien ne comptait que sa queue dans mon cul. Je collais mes fesses contre lui, lui indiquant que je voulais qu’il puisse aller au plus profond de moi. Je lui dis que j’étais bien, qu’il me baisait trop bien. Il m’a baisé avec plus de vigueur, pour mon plus grand plaisir. Tout en me labourant les reins, il ne cessait de me répéter : « tu es à moi, tu es à moi »….. C’était mon mec à ce moment précis, cela ne faisait aucun doute. Jamais, je n’avais jamais connu un tel plaisir avec le sexe. Il s’est retiré de moi, m’a allongé sur le dos, calé mes jambes sur ses épaules et m’a repris. Je le sentais au plus profond de moi. Sa queue, au plus profond de moi, il m’a dit : « regarde moi ». J’ai ouvert les yeux et il m’a regardé droit dans les yeux, m’a embrassé et il s’est remis à me pilonner le cul. J’étais aux anges, les yeux révulsés. J’ai joui. J’ai joui du cul pour la première fois. Je l’ai embrassé. A son oreille, je lui ai dit : « ne t’arrêtes pas, c’est trop bon. Baise moi, défonce moi ». Il a redoublé de vigueur. Je lui appartenais, c’était trop bon. J’ai accompagné ses va et viens en moi. Il m’a glissé à l’oreille que j’étais à lui. Je lui offrais mon corps, mon cul. Il m’a fait jouir une seconde fois…… C’était dingue. Il s’est alors retiré, a enlevé sa capote puis, sans me demander, a mis sa queue devant mon visage et il a joui en 4 ou 5 jets, puissants et chauds. J’ai adoré ce moment, recevoir son nectar sur mon visage.
Il s’est allongé à mes côtés, me caressant doucement et m’a dit qu’il avait pris un pied d’enfer avec moi. C’était un beau compliment et je lui ai dit que j’avais adoré d’avoir pu me faire baiser par lui.
Nous avons discuté puis, j’ai dû partir. J’avais encore l’odeur de son sperme sur moi. Il allait falloir cacher cela ou dire la vérité à ma compagne de l’époque. Avant de le quitter, il m’a simplement dit :  «A bientôt ».
Je suis revenu une semaine plus tard !

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