La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1302)

Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1301) -

Sophie descendit de la couche pour venir s'agenouiller à côté de Marion...

- Je ne suis pas Dominant depuis fort longtemps, étant en formation avec Maître Jean, comme pour l’orfèvrerie. De plus, je ne vous connais pas. Je sais que pour certains Dominant cela ne compte pas mais pour moi si. J’aime, certes qu’on me donne du plaisir, mais j’aime aussi savoir ce qui excite ma ou en l'occurrence mes partenaires, ça décuple mon plaisir charnel. Alors dites-moi ce qui est que vous aimez et qu’est-ce qui vous excitent.

Marion et Sophie expliquèrent ce qu’elles aimaient et aussi ce qui les excitaient, mais ce n'était pas facile à dire car en tant que soumises, elles devaient bien se l’avouer, certaines punitions ou sanctions leur procuraient du plaisir, pas qu’elles soient spécialement masochistes, mais elles reconnaissaient qu'une légère ou modéré douleur pouvait accen l’excitation et elles pouvaient même trouver du plaisir dans certaines conditions humiliantes…

Après avoir expliqué cela, Sophie ajouta :

- Bien entendu, faites comme vous voulez, mais j’ai remarqué que depuis le début, vous nous appelez par nos prénoms alors si vous voulez, nous sommes habituées aux appellations plus appropriées à la Domination /soumission telles que ‘chienne’, ‘salope’, ‘catin’ et tant d'autres.
- Votre Maître vous nomme-t-il ainsi ?
- Oui, mais si vous le permettez, vous avez commis une petite erreur de langage. Vous avez dit ‘Votre Maître’ et Sachez que le Seigneur d'Evans n'est pas et ne sera jamais notre Maître, Il est Le Maître, oui le Maître qui nous soumet. Nous somme Ses soumises et Lui appartenons, nous nous ne possédons rien et encore moins un Maître, répondit Marion d’un ton convaincu.
- Pardonnez- moi, belles petites chiennes. Je ne voulais pas vous offenser mais comme je vous l’ai dit, je ne suis pas Dominant depuis longtemps.

Et Calista appelle parfois Maître Jean : "mon Maître".
- Chacun a ses règles mais elle fait une énorme erreur de langage sans même en avoir conscience. Et en ce qui nous concerne, le Seigneur d'Evans est le Maître qui nous soumet.
- Je tacherais de ne pas l'oublier et éviter de commettre une telle erreur devant Lui. Donc, chienne Sophie, tu aimes les fessées si j’ai bien compris ? Alors tu vas venir te coucher en travers de mes genoux quant à toi salope Marion, tu vas te tenir face à moi, assise dos à cette armoire, et tu te branleras ta chatte de salope mais attention, et cela vaut pour vous deux, interdiction formelle de jouir sans mon autorisation ou en vous donnant vous-même du plaisir.
- Bien Messire, répondirent-elles.

Sophie se coucha donc sur les genoux de Messire Eloi et il lui fessa la croupe en regardant Marion qui se branlait gémissant de plaisir. Les belles fesses arrondies de Sophie qui, à l’origine étant d’une blancheur parfaite, étaient devenue suffisamment rouge à son goût et il cessa ses claques pour les remplacer par des douces caresses sans oublier d’aller fouiller de ses longs doigts la chatte béante et trempée de la chienne. Déjà bien excitée par les fessées puis encore plus par les caresses et les doigts d’Eloi dans son sexe, Sophie, naturellement coula littéralement de cyprine, ce qui excita en retour Messire Eloi… Ensuite, il s'adossa à la tête de lit sur des coussins moelleux, et ordonna à Marion de venir à califourchon s'empaler sur sa queue, car il bandait fièrement de nouveau car le spectacle des fessées, caresses et fouillage sur Sophie ainsi celui de Marion se branlant, avaient fait se dresser sa virile verge droite comme un I. Eloi exigea alors de Sophie de se mettre près de lui, il l’embrassa goulument tout en malaxant, pétrissant sa poitrine aux magnifiques seins, ce qui eut pour effet de faire durcir et s'ériger ses tétons qu’il pinça, vrilla, suça et mordilla. Pendant que Marion joueuse comme elle était, ayant temporairement le contrôle, prenait un malin plaisir à d’abord frotter sa fente de salope contre cette queue en de lents ou rapides va-et-vient sans pénétration, ce qui fit ériger en plus la verge frottée contre son clito si sensible et réceptif.
Et cela avait le don de l'exciter au plus haut point.

Sentant donc son excitation monter d’un cran, Marion obtempéra finalement à s’empaler totalement mais elle fit entrer en elle cette grosse bite, épaisse et longue, centimètre par centimètre, ce qui était pour sa chatte trempée une douce et délicieuse . Mais aussi pour Messire Eloi qui voulait posséder cette antre chaude et humide sur sa hampe dressée. Marion arrivant enfin à la prendre jusqu’à la garde, en ressortit presque tout aussi lentement appréciant le frottement sur ses parois intimes et dilatées puis commença des allers et venues chevauchant de plus en plus rapidement étant accroupie en appui sur ses pieds de chaque côté d’Eloi qui se régalait de voir les seins de la chienne balloter au rythme des allers et venues. Elle le chevauchait pas trop vite tout de même voulant faire durer le plaisir et le doux supplice de Messire Eloi et le sien aussi par la même occasion. Jusqu'à ce que n’y tenant plus par une érection extrême, il hurla presque :

- Plus vite salope, accélère la chienne.

C’était le moment, Marion se déchaîna sur cette queue dure et raide le plus vite possible dont elle était capable et cela durera un petit moment. Et elle crut craquer et jouir quand elle entendit dans un râle de mâle en rut.

- Vas-y la belle chienne, jouit, je le veux.

Marion laissa éclater son plaisir dans un orgasme hors norme, voire atomique ou tout aussi puissant, tous ses membres vibrèrent, tremblèrent de décharges électriques remontant sur toute son échine dans des cris jouissifs à n’en plus finir… Alors qu’Eloi lâcha son sperme, cette fois abondant dans de longs râles orgasmiques... Après avoir repris leurs esprits, il la prit dans ses bras et ordonna à Sophie de le nettoyer avec sa langue et ensuite de nettoyer Marion. Quand cela fut fait, Eloi en prit une de chaque côté, toutes les deux bien blotties contre lui. Et tous les trois bien fatigués de leurs orgasmes s'endormirent rapidement quelques heures.
Mais durant la nuit, Eloi se réveilla plusieurs fois et baisa une des chiennes soumises qu’il réveillait selon ses envies, pour se rendormir et réveilla l’autre un moment plus tard. Ainsi Eloi les prit toutes les deux en levrette, en position du missionnaire ou dans d’autres et multiples positions diverses. Parfois les deux étaient réveillées à la fois pour des ébats sexuels torrides ou tendres qui durèrent ainsi jusqu’au petit matin …

La préparation du mariage de Ronan et Clémence.

Clémence et Ronan préparaient leur mariage qui devait avoir lieu quelques semaines plus tard. Ce jour-là Clémence était chez elle au manoir de Maison Dieu. Sa mère arriva dans sa chambre :

- Ma fille j’ai quelque chose pour toi, ce sera ton cadeau de mariage. Tu porteras la robe que j’ai moi-même portée quand j’ai épousé ton père.
- Mais mère, je ne peux l’accepter, c’est trop…
- J’ai toujours dit qu’elle serait portée par la première de mes filles qui se marierait, et en l’occurrence c’est toi.
- Merci est si peu pour exprimer ma joie.

Éléonore lui montra alors la robe qu'elle avait portée à son propre mariage. Elle n’était pas totalement blanche, brodée de fils d’or et d’argent avec des reflets dorés et rose mauve.

- Ho mère, elle est magnifique, j’ai hâte d'être le jour du mariage, que Ronan puisse la voir.
- Essaye-là que je vois s’il y a lieu de la raccourcir ou de la resserrer, fine comme tu es, on ne va sûrement pas l’élargir.

La robe lui allait parfaitement, Eléonore fit venir Alix et Louis-Etienne pour avoir leur avis. Ils trouvèrent leur sœur magnifique en robe de mariée.

- Tu es sublime ma chère sœur.
- Merci mon frère. Louis-Étienne attends je dois te demander quelque chose.
- Je sais et j’accepte avec plaisir, ce sera un honneur pour moi de te conduire à l’autel lors de ton mariage.

Elle sauta au cou de son frère.

- Merci de Louis-Etienne c'est si important pour moi que ce soit toi.

- Papa n'étant plus là, il est normal que je le remplace, c’est la tradition.

Puis Alix prit sa sœur dans ses bras.

- Je suis si heureuse pour toi, je sais que tu seras très heureuse avec Ronan

Un peu plus tard Alix et Clémence étaient dans leur chambre commune, quand elles étaient toutes les deux au manoir, elles aimaient partager la même chambre, comme dans leur enfance. Clémence était silencieuse et pensive.

- Qu'as-tu Clémence, tu es bien soucieuse depuis tout à l’heure ?
- C’est que je m’interroge depuis que tu m’as dit que je serais heureuse avec Ronan. Oui je serai heureuse mais lui pourrais-je le rendre heureux et le satisfaire ?
- Comme toujours, tu te tracasses pour rien. Bien sûr qu’il sera heureux et en plus tu deviendras Grande Duchesse et porteras le Noble nom de la Famille d'Evans.
- Mais justement Alix, Ronan il est l'ainé, ça veut dire que c’est lui qui remplacera notre oncle et ensuite notre fils. Si jamais je ne pouvais pas donner un héritier à notre Grand-Duché ou si je n’ai que des filles ?
- Clémence, tu es en parfaite santé, quant au fait d’avoir un fils, Ronan sait très bien que seul Dieu en décide et que ni lui, ni toi n'y êtes pour quelque chose. Et puis, si vraiment ça n'allait pas il y a toujours Enguerrand, dit-elle en rougissant.
- Oui je sais, mais je ne peux m'empêcher d'y penser.

Étrangement Ronan lui aussi se posait des questions quant à son avenir et se confiait à son frère qui tentait de le rassurer sur son rôle de mari et de père de famille.

- Je sais, enfin je pense, que je suis un bon Maître, mais de là à être un bon mari et un bon père.
- Ronan, nous avons eu un bon père qui est aussi un grand Maître, pourquoi toi tu n’y arriverais pas ?
- Tu as raison, mais j’ai peur de la décevoir, son bonheur est si important pour moi.
- Tu la connais bien, tu sais ce qu’elle aime ça doit te suffire pour la combler sur tous les plans...

(A suivre …)

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