Un Bel Été 2

Un bel été 2

Le beau copain de Roland

Le lendemain, je suis impatient de retourner chez Roland, mon beau sénior poilu qui m'a proposé hier un massage et qui s'est terminé par un enculage de rêve. Je me suis levé tôt pour le boulot mais j'ai fais une petite sieste après, comme me l'a recommandé le patron.
Me voilà libre jusqu'à lundi matin. Je suis enchanté, absolument ravi, je vais pouvoir en profiter….du moins, je vais essayer.

Je suis heureux de retrouver Roland, qui, avec sa queue large et épaisse, m'a enculé avec douceur, me faisant découvrir le plaisir homo, allant au-delà de mes rêves. J'ai gémis, crié, jouis sous ses assauts tellement c'était bon. Son âge m'importe peu, j'ai envie de sa queue, de son corps. J'ai envie de me faire baiser, j'ai le feu au cul. Voilà plusieurs mois que mon corps entier avait envie sans pouvoir réaliser ce besoin sexuel. Le hasard a voulu que ce soit Roland qui épanouisse mon corps, le féconde. J'en veux encore, jusqu'à l'extase. Il a une grosse queue, il est doux, embrasse super bien, que demander de plus. Et on a fait l'amour dans son lit, pas à la sauvette, dans la nature. J'ai profité de mon deuxième enculage à la perfection, sans stress, épanoui, sans crainte de l'environnement, du temps, en toute confiance.

En me saluant, il m'embrasse, ses mains se posant directement sur moi. Il est torse nu, exposant ses poils de mâle, sa poitrine musclée, ses cuisses puissantes. Il sait que ça me chauffe, que je vais fondre devant sa carrure virile. Son short, déjà tendu à l'entrejambe, attire mon attention. Il est beaucoup plus direct qu'hier soir. Il sait que je suis revenu pour me faire baiser, parce que j'ai bien aimé son enculage. Je sais moi aussi que ma visite lui fait plaisir, qu'il va bien s'occuper de mon cul. Il ne se pose plus la question de savoir si je vais accepter de me faire enculer, vu sa grosse bite. Il sait que je n'attends que ça.



" Restes contre moi, Laurent, que je caresse ton corps. Je t'attendais. HUMMMM…Tu as de l'avance, envie de profiter de tout ton temps disponible. J'ai bien aimé que tu m'offres ton petit cul hier soir. J'ai envie encore de jouir dans ton petit cul. J'en ai rêvé toute la nuit.

" Roland, c'était trop bon avec toi, hier soir. J'avais envie que tu me baises complètement. Quand tu m'as jouis dans le cul, j'ai jouis moi aussi.

Sans pudeur, sans crainte de m'effaroucher, il me caresse partout. Je bande et ça lui fait plaisir. Son beau corps viril et musclé me fait craquer. Moins pudique moi aussi, je passe ma main dans ses poils raides en broussaille, caresse ses tétons et son ventre. Il apprécie mon initiative. Je me lâche et passe sur ses bras musclés, poilus eux aussi, des muscles durs, puissants. Je tâte son sexe…il est dur, imposant….HUMMM… Quel homme viril.

" Laurent, tu es impatient, ne t'inquiètes pas, tu vas avoir ta dose… me répond t'il en riant.
Je caresse sa nuque de taureau et l'embrasse sur la joue. Ses yeux brillent de bonheur.

Je ne lui dis pas que, rentré hier soir, j'ai beaucoup pété ( c'est sans doute normal, je suppose) et ce matin, j'avais un peu mal au cul (normal sans doute aussi, là, je comprends mieux pourquoi). Je me suis massé et préparé le petit trou pour ce soir, ça devrait aller.

L'occasion pour moi de découvrir de nouvelles expériences ne se renouvellera pas lorsque j'aurai regagné le domicile de mes parents. Je profite à fond, sans tabou, de cette fenêtre de liberté.
Mon enculage d'hier m'a donné encore plus envie et a confirmé mes désirs sexuels. Un peu surprenant mais les hommes plus âgés que moi m'attirent davantage que ceux de mon âge. Avec Roland, pas de problème.

Il me déshabille et me contemple, caresse mon sexe, me chauffe ( comme s'il y avait besoin ) m'embrasse à pleine bouche. Sa langue m'envahie, nos salives se mêlent, à la limite de m', nos bras se serrent.

Il est chaud, son corps transpire d'envie de me baiser.

" Laurent, j'ai envie de te toi.
" Moi aussi, j'ai trop envie, Roland.

Il se met nu à son tour, pour mon plus grand bonheur. Son sexe me parait encore plus magnifique qu'hier. Il sait que je l'admire et, d'une main ferme, fini de le décalotter.
L'instant est magique. Je suis en admiration devant cette queue qui m'a si bien pénétré hier. J'ai hâte qu'il recommence à me procurer ce bonheur intense.
Il sait que ça m'excite. Son sexe est pourtant de longueur normale ( d'après la doc que j'ai pu lire sur le sujet ) mais gros, épais, vigoureux. Hier, lorsque je l'ai touché, entré dans mon cul, dur, énorme, comment a-t-il pu me dilater à ce point mon œillet? Maintenant, je sais au moins une chose, ça rentre.
Il sourit, ravi de son effet sur moi.

"Laurent, j'ai une bonne surprise pour toi aujourd'hui.
Je repense à sa proposition d'hier, baiser avec un copain à lui. Je n'ai pas zappé l'info, bien au contraire.
" Ton copain est dispo?
" Oui, il a accepté aussitôt. Il a très envie. Tu vas voir, il va bien s'occuper de ton petit cul.
" Roland, je suis pas sûr de tenir le coup, je débute.
" Ne t'inquiètes pas. Mon copain et moi, on n'a jamais violé personne. Il baise très bien et il va te respecter. Je le connais bien.
En réalité, j'ai hâte de me faire baiser. Deux mecs pour mon cul, le rêve.

" David va bientôt arriver. On va bien s'occuper de toi.
" Il a quel âge ?
" Il est plus jeune que moi. Il est très vigoureux et adore baiser des petits jeunes comme toi. Il va t'adorer. Et toi aussi, je n'ai aucun doute là-dessus.

La conversation est interrompue par la sonnerie. Je suis nu et un peu gêné. Roland me passe une serviette et va ouvrir, lui aussi avec une serviette vite mise autour de lui ( on ne sait jamais).
La porte refermée, Roland salue son copain très chaleureusement et me présente.


" Laurent, je te présente David.

Grand, au moins une tête de plus que moi, environ 35/40ans, d'allure très virile, genre légionnaire ou rugbyman, solidement bâti, cheveux bruns rasés sur le côté, un visage pas ment doux mais très mâle, buriné par le soleil, un beau bouc taillé. Il ne prononce pas un mot mais je vois ses yeux se délecter de la vision de mon corps. Son teeshirt moule un corps épais et sculpté, entretenu, ferme, des épaules et des pectoraux de gladiateurs, des bras bronzés tatoués, musclés et solides. Il a intercepté mon regard sur son bermuda kaki camouflage, déformé au niveau de la braguette, signe d'une promesse à venir.
Il me serre fermement la main puis se ravise en me déposant une bise sur la joue, répandant sur moi un parfum très mâle. Il en profite pour me frotter amicalement le dos et les reins. Ses mains larges et calleuses me disent que c'est un mec manuel ou bricoleur.

" HUMMM, Bonsoir Laurent, beau prénom… moi, c'est David. ….tu es magnifique Laurent. Tu me donnes déjà chaud. Si tu es OK, je pense qu'on va s'entendre. Ca va aller?

Je comprends qu'il me demande mon accord pour qu'il me baise. Je trouve cela très élégant de sa part. Surtout qu'il a déjà imprimé sur moi une forte envie. Je dirais même…je l'ai senti déjà en moi, mon sexe a raidi en le voyant. Sa voix est chaude, profonde, très masculine. A l'extérieur, sans la présentation de Roland, j'aurais flippé d'une demande sexuelle de sa part et j'aurais encore moins osé l'aborder.

" Il n'y a pas de problème, David.
D'une main, il me caresse la nuque, heureux de la réponse, et semble vouloir marquer son territoire, d'une manière innée, naturelle.

" Roland, Merci beaucoup de m'avoir invité. Tu t'es fait plaisir, mon salaud.
" Il a bien aimé ce que je lui ai fais, et moi aussi. Laurent a un petit cul délicieux qui devrait te plaire. Il est d'accord pour nous deux.
" HUMMMM….( en se frottant la braguette) Il me rend dingue.
Putain, je bande comme un cerf.

Puis, s'adressant à moi

" Laurent, tu aimes quoi?
Pris de court par cette question et manquant singulièrement d'expériences, je réponds au plus simple.
" J'aime bien me faire prendre.
" Pas de problème, j'adore baiser des petits culs. T'as déjà baisé avec deux mecs en même temps?
" Non, mais, avec vous deux, j'ai envie, je veux bien.
" Merci. Laurent, ne t'inquiètes pas, t'es bien tombé avec nous, on n'est pas violents, on est juste là pour se faire plaisir. Tu vas voir, tu vas aimer.

" Mon salaud, t'as dû lui exploser le cul avec ta grosse bite….(s'adressant à Roland)

" Ca fait longtemps que tu te fais baiser?
" J'étais chez mes parents, je pouvais pas. Là, c'est plus facile pour moi.
" Tu t'es fait dépuceler il y a longtemps?
" Non, il y a seulement quelques jours.
" Oh, Putain, j'aurai bien voulu te dépuceler. Tu vas voir, avec moi, ça va encore être meilleur.
Ses yeux brillent d'excitation, la fièvre monte en lui.
" J'ai bien vu que t'étais serré, intervient Roland. ravi lui aussi de l'info.
" Oui, mais t'as vu comment t'es monté avec ta bite épaisse, lui réponds David. Mon salaud, tu l'as dépucelé une seconde fois.
L'ambiance est détendue…Ils sont près de moi, me frottent le dos.

" Au début, Roland, je pensais que tu m'aurais demandé de te sucer, c'est tout. Je l'ai sentie passer quand tu m'as enculé. J'étais en confiance avec toi, je t'ai laissé faire, j'avais envie. J'ai trouvé ça trop…trop bon.

Roland rit, heureux, satisfait du résultat. David le félicite, tout aussi heureux pour son copain.

" Tu lui as bien logé ta grosse bite dans le cul, mon salaud. Il en redemande. Moi aussi, je vais lui en donner.
David, encore curieux;
" Et le mec, l'autre jour, il t'a bien fait ça? T'as aimé?
" Oui, j'ai bien aimé, ça m'a donné envie mais j'ai trouvé ça trop rapide.
" Nous aussi, on a envie. On va prendre notre temps, Laurent. Viens avec moi, que je te découvre.

Il va s'asseoir sur le bras du canapé, assis légèrement en hauteur et ouvre ses bras pour m'accueillir. Je le vois passer en mode "plaisir". Je suis entre ses jambes et il me hume, frottant son front, son nez sur mon corps, vient sucer mes tétons, délicatement, pendant qu'il enlève ma serviette, sans précipitation, et découvre mon sexe tendu.
" Hummm, Quelle belle érection, Laurent. Je te plais tant que ça. Hummm. Tu as très envie.

Il continue, en silence, profite de mon corps et en découvre l'intimité, les contours. Ses mains palpent mes fesses rebondies, me visitent agréablement, caressent mon sexe.
N'y tenant plus, mes mains vont s'aventurer sur sa nuque, sa tête, passent même sous son tee shit pour essayer de lui frotter le dos. Comme il sent bon…. Son odeur m'envoûte, mêlant le cuir et des senteurs boisées, musquées.
Roland, sans parole lui aussi, profite de ce moment de sérénité. J'ai fermé les yeux, je reconnais ses mains larges et douces, sa façon de faire. Il a enlevé sa serviette et je sens son gros sexe dur, son gland humide en attente pas loin de mon petit trou. Il s'éloigne quelques instants puis revient. D'une main assurée, il me doigte le cul pour y mettre du gel.

Le temps est suspendu, humm, un bonheur. Pendant que David, prenant tout son temps, me lèche et me mordille mes petits tétons qui ont durci et enflé, Roland continue son exploration en mettant un doigt de plus. Mon cul semble avoir compris le message d'hier et se prête mieux à la manœuvre lorsqu'il me fourre son troisième gros doigt. Je gémis néanmoins à l'introduction de ses trois gros doigts qui me fouillent, me dilatent l'œillet..Pour lui faire plaisir, je remue mon petit cul, pour faciliter l'introduction de ses gros doigts.
David me regarde gémir et me tortiller sous l'effet de cette préparation et semble ravi. Il connaît la suite de ce qui m'attend.

" Tu remue du cul comme une petite salope, Laurent. Tu es en manque complètement….me dit David. Tu m'excites.

Roland reprends le contrôle de ce moment magique, m'invite à le suivre, me parlant d'une voix calme, chaude et douce.

" Viens, Laurent, suis nous.
Il se dirige vers la chambre, la queue archi raide, grosse et veineuse, droite et relevée, le gland ouvert, baveux de mouille, ses magnifiques couilles se balançant. Il m'invite à m'asseoir dans un petit fauteuil qui se trouve là.

" Fais toi plaisir, mon petit Laurent.
Sans attendre, j'ouvre ma bouche et saisi délicatement ce gland décalotté, suintant le liquide pré séminal.
Ce goût salé et cette odeur de mâle sont un rêve. Hier, j'ai énormément apprécié. Enthousiaste, je m'applique et continue à savourer l'extrémité du bambou veineux. Je suis heureux de sucer cette merveilleuse bite, de sentir ce corps raide m'envahir la bouche, à la limite de ne plus pouvoir respirer.
Plusieurs minutes de bonheur passent….J'ouvre plus grand ma bouche par rapport à hier, je sens que je progresse. Roland s'aventure à m'en proposer d'avantage, apprécie.

" Putain, t'as vu comment t'es gaulé, Roland….intervient David. Et il l'a prise dans le cul! Moi aussi, je vais lui élargir la rondelle.
Il me laisse quand même profiter. Il voit tout l'application que j'y mets, savourant ce délice.

Tout en nous regardant, David enlève le haut et découvre tous ses tatouages, sur une peau lisse, bronzée, musclée. On sent le mâle en pleine forme, qui en impose, sûr de lui, la peau hâlée par le soleil.

Voyant ma perturbation, Roland retire son sexe de ma bouche et m'invite à m'allonger sur le lit.
"Tu as bien aimé sucer ma queue, mon chéri?
" Oui, Roland, c'est trop bon. Elle est trop belle.

Il me fait m'allonger, avec un coussin sous le ventre, la tête vers le bas du lit, puis vient sur moi, la queue bandée à bloc, salivée. Il met du gel sur sa bite et m'en remet sur le trou.

David nous regarde en frottant la braguette de son bermuda et en se pinçant un téton. Il ne perd rien de la scène.
Une fois bien calé derrière moi, Roland me tient fermement dans ses bras. Son corps lourd pèse un peu sur moi et je sens son gland contre mon œillet.
Il me lèche les oreilles et attend un petit bisou de ma part, que je lui donne avec plaisir puis, sans formalité, il force et rentre, sans s'arrêter, son énorme queue raide dans mon cul.

Tel une petite chatte, je miaule, mords dans une serviette qui se trouve là et me raidit sans pouvoir me dégager. Je me cabre, croyant faire cesser la manœuvre, ce qui, au contraire, facilite et augmente la pénétration. L'introduction virile se poursuit, son manche de pioche rentre en moi, pénétrant mon intimité sans complaisance, allant droit au but. Les derniers centimètres qui rentrent et glissent sont un véritable délice. Sans méfiance, confiant, mon petit cul vient de se faire empaler par cette grosse bite de mâle.
La bouche grande ouverte, la rondelle explosée, je viens de me faire enculer.

" T'as bien senti ma queue ?
" Ouiiii, heiiinnn…elle est grosse, Roland. J'ai mal.
" J'avais trop envie de te la mettre. Aujourd'hui, je t'ai bien dépucelé. Tu m'a trop excité tout de suite avec ton dépucelage.
Je tente de mettre ma main à mon cul.
" T'inquiètes pas, je te l'ai mise bien à fond.

David, devant moi, sourit.
" C'est bon, une bonne bite de mâle dans le cul. Il a bien aimé, Roland. Tu l'as super bien enculé. J'adore entendre un petit mec couiner à l'enculage. C'est qu'il la sent bien lui élargir la rondelle.

Lorsque Roland redonne un petit coup de reins, je sens ses couilles contre moi et, malgré des petits gémissements, je suis heureux. Je sais que je l'ai complètement dans le cul.
Il se retire totalement pour me ré enculer aussitôt. La sensation de sentir sa grosse bite raide m'ouvrir l'œillet me donne un plaisir incomparable. Au deuxième coup de cet exercice, je lui tends mon cul et lui fait part de mon bonheur:

" OUUUiiiiiii, Hummm, Hummm…. C'est trop bon, Roland.

Il est aux anges et me lèche les oreilles, le cou, m'embrasse, me coulisse, se délecte de mes plaintes érotiques . Le temps ne compte pas, nous sommes à l'unissons du plaisir…. et s'affale sur moi…

" Ton petit cul est trop bon, mon chéri. J'arrête un peu. Je veux pas juter maintenant.

David, chaud bouillant, en lève son ceinturon et commence à enlever son bermuda.
" Putain, la petite salope, il prend bien la queue. Roland, je vais lui défoncer le cul.

Il découvre une queue splendide, arquée vers le ciel, moins épaisse que celle de Roland, des petites couilles rasées mais, sans contestation possible, une queue plus longue de quatre ou cinq centimètres. Je n'ai pas encore la notion des longueurs de bites, je dirais 20cm sûr.
Il sait qu'il m'a impressionné, que sa bite est vraiment belle. Il s'approche.
Il se positionne face à moi, à mon niveau, appuie sur sa tige dressée et me l'offre à goûter. Voilà pourquoi Roland m'a fait mettre dans ce sens dans le lit.

Roland, voyeur lui aussi, m'encourage à saisir ce fruit délicieux.
" Fais toi plaisir, elle est pour toi. Il va te la mettre dans ton petit cul après.
Ca, je l'ai bien compris. J'en suis tout excité de savoir qu'il va me mettre une longueur pareille dans le cul. Et en plus, ce mec me rend dingue tellement il me plait.

David, sans doute en habitué de la baise, me saisit la tête et me l'introduit dans la bouche. Il me baise la bouche. Son odeur de mâle se confirme jusque sur sa queue, absolument délicieuse.
Pour tester sans doute mes limites, il me l'envoie soudainement beaucoup plus loin, en forçant. Je sens son gland toucher le fond de ma gorge et manque de vomir ou de m'.
Il se retire, me faisant baver de la salive. Sa queue est luisante, tendue, magnifique.

Il se redresse, ravi, chaud, excité, pendant que Roland me coulisse son gourdin et profite encore de mon cul. David se branle en nous regardant, bavant d'impatience de prendre le relai.
Il regarde son copain Roland, un homme massif et expérimenté, harponner un petit jeune de 18 ans au corps lisse, avide de découvertes, loger sa bite épaisse dans un petit cul délicat qui vient de découvrir le monde homo depuis quelques jours.
Roland, ne voulant sans doute pas laisser David dans cet état, se retire. Il sait que je ne ferai pas objection à ce changement.
Enchanté et ravi, David s'allonge sur moi sans délai et me prend dans ses bras. Sans mettre les mains, sa queue arquée et raide trouve facilement le chemin grâce au gel. Plus grand aussi que Roland, il s'est positionné direct. Je sens son gland chaud et humide faire pression sur ma rosette fortement dilatée et sûrement entrebâillée.
Je suis heureux de savoir David prêt à m'honorer et lui embrasse une main et l'avant bras.

" Tu sens comme elle a envie, ma queue?
Pour lui faire voir que, moi aussi, j'ai envie, je soulève un peu mon petit cul et je sens son gland commencer à glisser en moi. J'ai envie qu'il me baise.

De façon innée, sans la moindre hésitation, sûr de lui, il m'envoie sa pine longue et raide jusqu'aux couilles.
Je me cabre, couine comme une geisha devant cette introduction si virile, absolument délicieuse. J'ai senti toute la longueur de sa queue m'embrocher, glisser en moi. Elle est rentrée, comme dans un couloir, m'a caressé les parois intérieures, sans forcer, attendue, espérée, un véritable bonheur. Oui, le bonheur absolu.
Il pavoise. Il rit de son aisance à me sodomiser.

" AH, Putain, j'avais trop envie…..Le petit cul. J'adore baiser un petit jeune.
" Hummm
" Ca fait toujours ça quand c'est bon. Putain, Roland, tu l'as bien ouvert.
" David, tu l'as bien enculé toi aussi, tu sais ce qui est bon. Fait lui plaisir.

" Alors, Laurent, ton petit cul, il a aimé?
" HUUUMMM, c'est trop bon David.

Je me tortille encore, sous l'effet de son enculage. Je sens sa bite en moi, moins grosse, plus longue, merveilleusement bonne. Je profite encore de ce moment court, intense, que je viens de vivre, qui a déclenché en moi un merveilleux bonheur. Sa queue, je l'ai bien sentie m'enculer, le salaud. Elle est bien rentrée car Roland m'a bien ouvert, sa queue étant un peu plus grosse.

" Hummm….OOUUUiiiiiiiiiiii……C'est bon, David, j'ai bien aimé. J'ai envie.
" Profite, ma petite salope. Je vais t'en donner tant que tu veux…..

Puis, se lâchant subitement:
" PUTAIN, le petit cul qu'il a…. PUUTAAAIIINNNN

Il se lâche alors…
Tout son poids vient peser sur moi pour assouvir ses désirs sexuels et se délecter des coups de reins qu'il m'envoie, sous mes gémissements. Insatiable, sans une parole, il me baise, me pince les tétons, profite de mon corps. Ses va-et-vient sont tantôt doux, lents, amples, super agréables puis fermes, rapides, presque violents. Tous mes sens sont en éveil, le plaisir semble décuplé. Je suis surpris du résultat, allant de découverte en découverte. Je me laisse aller à sa volonté et me met à soulever mon cul pour augmenter encore mon plaisir.
" T'aimes ça, ma salope, elle est bonne ma queue.
" Ouiiiiii

Il hurle son plaisir de me voir ainsi le désirer et me harponne de plus en plus vigoureusement.
Roland se régale de me voir gémir de plaisir, subir les ardeurs de son copain et le plaisir que prends son copain. Leur complicité est évidente.

Après un long moment de baise, essoufflé, repu de ce démarrage si agréable, il propose à Roland de s'approcher afin que je le suce en même temps et me donne des conseils pour déguster son fruit délicieux.
Le moment est exquis, chacun voulant prendre soin de mon plaisir. Je sens monter en moi un plaisir qui pourrait exploser. Se faire enculer et sucer une bite en même temps… je me suis souvent branlé en regardant cela sur des films pornos gays.
Pour la première fois, je me retiens de jouir, je veux faire durer le plaisir.
David, toujours soucieux du plaisir de son copain, propose à Roland de venir s'allonger sur le lit. Avec sa force, il me bascule avec lui sur le côté et Roland vient s'allonger contre moi.
Le contact de ces deux corps contre moi, ajouté au gourdin arrivé entre mes jambes, les cuisses puissantes de mes deux amants sur les miennes, c'en est trop pour moi. Je sens que mes sens vacillent, que c'est trop de bonheur, que je vais jouir.
Ce parfum de mâles, les odeurs de sexe qui se dégagent, cette transpiration virile, leur souffle chaud, me rendent fou. Les bras autour du corps puissant de Roland et un coulissement de la bite de David dans mon cul ont raison de moi, je lâche prise.

Je jouis, je crache violemment plusieurs jets de sperme qui s'étalent sur le ventre de Roland. Un gémissement de dépit s'est échappé de moi. Je suis malheureux d'avoir jouis, d'avoir gâché la fête, d'être arrivé si tôt.

" Dis donc, mon chéri, tu as jouis….me dit Roland, qui a senti les giclées chaudes sur lui.
" Je suis désolé, Roland, je pouvais plus tenir. J'ai pas pu me retenir.
A ma grande surprise, il m'adresse un large sourire, m'embrasse, me félicite.

" C'est si bon que ça avec nous….. David, on a fait juter le petit.
Toujours son sexe en moi, David ne se démonte pas.

" Ton petit cul est trop bon, Laurent. Ce n'est pas grave, c'est que tu apprécies. On va faire une petite pause et, tu vas voir, ça va repartir.
" Je suis désolé, David.
" Laurent, on est là pour prendre du plaisir ensemble. Je suis content que tu ai jouis. Tu n'as pas à être désolé…. Au fait, lequel de nous deux t'a fait jouir?
" Les deux. Je ne sais pas.
David se retire de mon cul mais est déçu de la réponse. Il veut absolument que j'éprouve du plaisir avec lui, je pense. Les deux copains se chamaillent amicalement sur le sujet.
Après un petit nettoyage dans la salle de bains, les ébats involontairement interrompus, les bites moins raides, ils restent câlins avec moi et tentent de me consoler.

"Roland, tu m'offres à boire. Laurent, tu veux boire quoi….demande David, décontracté.

Toujours aussi meneur, David m'explique que, à mon âge, on recharge vite les batteries. Nous sommes nus, moi un peu penaud quand même mais aucun des deux ne me fait le moindre reproche. Roland rit et ne semble pas décontenancé. Je pense qu'à son âge, il en a vu d'autres. Il propose des biscuits, se rince l'œil de nos corps nus, approche de moi et profite de la pause pour me caresser.

" N'en profites pas pour prendre ma place, intervient David, hilare.

Ils sont là, bavards et décontractés, à boire tranquillement tout en me regardant. Ils pensent sans doute au plaisir qu'ils viennent de prendre et celui à venir.
Quinze ou vingt minutes ont passé et la conversation diminue….
Leurs bites recommencent à raidir, les glands se gonflent, les couilles remontent. Je les sens en rut, prêts à me baiser. Cette vue sur les couilles énormes de Roland, ces beaux sexes en train de se redresser agissent sur moi …… ma queue raidit. Il ne faudrait pas grand-chose pour que je sois à genoux et les sucent. Pleins de testostérones, il sont prêts, chacun assis à reprendre des forces. La bite bientôt au garde à vous, le gland bien décalotté, Roland finit précipitamment son verre et devance David:

" Mon petit Laurent, viens t'asseoir sur moi.
David, pris de court, sourit à Roland
" Tu vas encore lui exploser le cul avec ta grosse bite, mon salaud.

Remis de mes émotions et voulant faire plaisir à Roland, je lui propose de remettre un peu de gel, ce qu'il accepte. Pour la position, ayant vu cela dans les films pornos, je sais comment faire. Roland me serre contre lui et m'écarte les jambes, ouvrant mon cul vers sa bite redevenue raide, grosse, veineuse puis me laisse me positionner. L'excitation est revenue, je brûle de désir de m'enfoncer sur ce pieu. Roland est baraqué et je tâtonne pour m'ajuster.

Roland, impatient, me soulève alors, me prend par les cuisses et m'emmène sur le canapé, sur le dos, les jambes en l'air. D'une main assurée, il prend sa bite, se positionne et m'encule, royalement.

"PUUTAAIIINNN, il lui a fourré sa grosse bite dans le cul, le salaud….dit David

J'ai gémis à l'introduction. Son braquemart m'a paru plus gros dans cette position, peut être parce que je l'ai vu au dessus de mon cul. Il m'a ouvert la rosette avec une facilité déconcertante. J'ai trop bien senti son gland m'exploser la rondelle, sa bite large m'empaler, glisser en moi. Le contact de ses grosses couilles est merveilleux. Je sens sa grosse bite en moi, dans mon corps, me fouiller les organes.
Au milieu du salon, je viens de me faire enculer. La vue du corps trapu, balèze et poilu de Roland qui me baise est un régal. Heureusement que je viens de jouir, sinon, là, je lâchais tout.

" Putain, il la prend bien dans le cul. T'as vu comme il aime…fait remarquer David à Roland.
Excité, il continue
" T'es monté comme un âne, il aime ça…Putain.

Il ne m'avait pas encore baisé ainsi. Je suis là, offert à sa grosse pine. Roland se redresse et laisse David, admiratif, regarder ce phallus de rêve coulisser en moi. Il se retire, le laissant admirer toute la beauté de son sexe puis m'encule à nouveau, explosant ma rosette, m'arrachant des gémissements à faire bander un régiment, sous les yeux de David, scotché.

" Nom de Dieu, tu le baises bien Roland, tu lui démontes le cul. Continue, il aime ça.

Il ne s'inquiète pas de mes gémissements, de mon cul qui soufre de se faire ramoner ainsi. Pris dans un tourbillon d'excitation, David exulte, donne des ordres, impatient de reprendre sa place.

" Baises le à fond, jutes lui dans le cul, bourre lui le cul…….Oh, Putain, je vais le baiser, passe le moi……Nom de Dieu, il aime ça, il en veut…….crache lui dans le cul…….Putain, je vais te le graisser….

Roland, pris dans cet engrenage et ce flot de paroles, se déchaine soudain et vient basculer sur moi pour me baiser à fond, les jambes encore plus relevées, mes mains accrochées à son cou. Il m'envoies trois ou quatre coups de bite avant de s'immobiliser, bien à fond. Haletant, vainqueur, il jouit en moi, sous le regard ébloui de David qui m'entends dire
OUUiiiiiiii….HUmmmm
et me voie caresser sa nuque, l'embrasser avec passion pour le bonheur qu'il vient de me procurer.
Roland me roule une pelle extrêmement savoureuse en guise de remerciement puis se retire, la bite baveuse, un grand sourire aux lèvres, et regarde son copain.

" Je crois qu'il a bien aimé. Je l'ai bien graissé. Tu vas pouvoir le baiser à ton tour.

" T'as bien aimé, mon chéri?
" Oui, Roland, j'ai adoré.

David semble émerveillé par la prouesse de son copain, regarde mon cul dilaté, sûrement encore ouvert.
" Putain, tu lui a craché dans le cul, mon salaud!
" Oui, il veut bien.
" Moi aussi, Putain, j'ai trop envie de lui envoyer tout dans le cul.

" Laurent, tu veux bien que je jute aussi dans ton cul ? J'adore ça. J'ai envie de juter dans ton cul.
" Je veux bien David, j'ai envie de toi.

David, nullement inquiet du sperme de Roland qui s'échappe de mon cul, prestement, me retourne en un tour de main et me remet sur le ventre pendant que Roland se dirige vers la salle de bains. Excité, il ne raisonne plus puis, à ma grande surprise, il m'encule avec douceur, me murmure à l'oreille:

" Laurent, j'ai envie de passer la nuit avec toi. Viens chez moi.
J'aime bien David, sa bite dans mon cul, son corps, sa façon de me respecter, son odeur. Lorsque je l'ai vu, j'ai eu tout de suite envie qu'il me baise.

" Je veux bien, David.
Satisfait de la réponse, sans attendre, il se remet alors en mode baiseur et m'administre alors la meilleure volée de coups de bite de la soirée. Je gémis, cries de bonheur. Roland, avec tous ces ébats bruyants, est revenu, encore tout mouillé, regarder son copain, qui l'ignore totalement, voulant satisfaire lui aussi son désir de jouir dans mon cul. Il assiste à la jouissance de David, hagard, se libérant dans un cri bestial, les muscles tendus, le bassin bloqué contre mon petit cul, déchargeant tout son foutre avec un plaisir intense.
Fourbu, éreinté, il reste un bon moment sur moi, savourant son bonheur, voulant absolument tout me mettre au fond des boyaux.

David se relève, un sourire magnifique, la bite ramollie et montre à Roland le sperme que j'ai craché sur le canapé en cuir. A mes gémissements, il a compris que je venais de jouir sous ses assauts. Il ne dit pas qu'il vient de me branler, fou de désir de me faire plaisir.

" Roland, je crois que j'ai fait juter ton petit chéri. ….et il éclate de rire.
" Laurent, tu m'as bien vidé les couilles. T'as un super petit cul. Merci Laurent. Tu parais pas mais t'aimes ça.

Mon cul est enduit du sperme de ces deux mâles, dilaté à l'extrême. Je suis épuisé mais heureux. Je suis tombé sur ces deux hommes, qui correspondent à mes envies, qui ont su me faire découvrir le plaisir.

Roland vient me donner un petit bisou et caresse le ventre de David pour le féliciter.
" Je vois que tu as bien aimé, mon petit Laurent.
Je souris et passe ma main dans ses poils mouillés.
" C'est grâce à toi, Roland. Merci….et je l'embrasse, je lui doit bien ça.

David, devenu plus câlin depuis qu'il sait que je vais passer la nuit avec lui…..
" Je ne t'ai pas fait mal? T'as bien aimé? … Puis il continue
" Laurent, ça fait bien longtemps que j'ai pas eu autant de plaisir. Quand je t'ai vu, j'ai eu envie direct. J'ai cru exploser quand je t'ai jouis dans le cul. J'avais pas baisé depuis le week-end dernier.

" Merci, c'était trop bon. J'ai bien aimé avec toi et Roland aussi, bien sûr.
Puis, David, prenant la parole pour lui et Roland:
" Nous aussi, on a bien aimé. …Roland, je suis super content de ton invitation.

Nous passons à la salle de bains et commençons à reprendre nos esprits. Roland, bienveillant, conseille à David de se tourner vers moi, que je profite au maximum de la vue sur son sexe. C'est magique. David m'invite à venir sous la douche, me frotte, lave mon cul, caresse mon sexe….Ses yeux me dévorent, brillent de bonheur. Il m'essuie, prends soin de moi.

Nous retournons au salon, nus comme des vers, sans complexe et récupérons nos vêtements. David remet seulement son bermuda et se met à côté de moi, une main sur ma cuisse, comme pour me garder pour lui, me chauffer…me laisser admirer son corps splendide, tatoué, dessiné.
Roland laisse bien sûr ses poils apparents, sa magnifique poitrine musclée. Moi aussi, j'ai seulement remis mon short, pour faire comme eux.
L'ambiance est décontractée, les gestes affectueux entre nous, surtout sur moi. L'après midi a été exquise pour eux et surtout pour moi, en ce qui me concerne.

Je suis surpris du temps qui a passé. Roland avait prévu des viennoiseries, elles sont appréciées. Ce soir, il doit aller chez des amis ( pas pour le sexe, nous précise t'il, ce qui déclenche le rire général)

" Roland, je t'emprunte Laurent pour cette nuit. Je vais lui offrir l'hospitalité. Tu n'y vois pas d'inconvénient?

Un large sourire de Roland en dit long sur leur amitié.
Il s'approche de David, lui passe affectueusement la main sur le dos, complice d'un moment agréable qui va se poursuivre. Leurs mains se caressent mutuellement le corps, sans pudeur.
J'ai l'impression que ces deux là ont une amitié plus que proche…va savoir.

" Je savais que vous alliez vous entendre. David, il n'y a aucun problème. Je suis très content pour vous deux.
" PUUTTAAAiiiiin, j'ai envie de baiser.

Nous éclatons de rire tellement ça se voit qu'il a envie de me sauter.
Il se dégage entre eux une amitié certaine, solide, scellée par des gestes doux et affectueux.
Roland m'invite à venir chez lui après mon travail, la semaine prochaine, si j'ai envie d'un bon massage ( Il sait bien sûr que je reviendrai ) ce qui fait rire David à son tour…


Massage, dépucelage, enculage, baisage, dosage….ah, la langue Française….à tout âge, ce n'est pas toujours sage, mais ça soulage…


Caramel
caramel35@orange.fr
* Cette histoire ne date pas de cette semaine. Protégez vous.


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