La Maison Du Plaisir

Il était tard déjà, et les bruits qui se faisaient entendre dans la maison close n’annonçaient rien de positif. Des cris s’échappaient des fenêtres ouvertes et toutes les lumières de la grande baraque étaient allumées. Rien de positif pour les hommes à l’intérieur, pris en étau dans ces cuisses de femmes assoiffées d’un peu de chaleur. Elles payaient très cher pour venir se satisfaire ici, et la maîtresse de maison ne s’en lamentait pas. Ademone Lamartin avait acquis ces dizaines d’hommes au bout de nombreux efforts et ils étaient les plus endurants de la région. Elle les dressait à obéir à la clientèle féminine et à répondre à tous ses fantasmes. Pas de petit préféré parmi ces mâles en uniforme, costume de soubrette ou encore slips très moulant. Elle les chérissait tous au même point, de même qu’elle attendait d’eux une présentation et une conduite impeccables.

Ce soir là, on avait fait une réunion de groupe avant de lancer les hostilités. Ademone avait fait servir un repas leur permettant de tenir toute la nuit, fort en protéines dont ils allaient avoir besoin. Tous torse nus, en slip de cuir, ces hommes aux corpulences très différentes les unes des autres s’étaient jetés sur cette nourriture, prêts à en découdre. Il y avait bien sur les grands, les trapus, ceux au corps musclé, bodybuildé, ceux au corps plus fin, et enfin les plus costauds sur lesquels on pouvait se reposer après un coït intense. Ademone voulait une vraie diversité de corps pour pouvoir bien sûr répondre aux exigences de tous et toutes. Car des femmes mais aussi des hommes à la sexualité dévergondée fréquentaient cet établissement respectable.

Après le repas, Ademone distribua les pilules qui allaient aider ces bêtes à tenir toute la nuit, ou plus. Dès qu’ils les prirent, ils se sentirent pousser des ailes, et chez certains la réaction fut instantanée. Quelques bosses apparurent ça et là, plus proéminentes que d’habitude. Les boxers commençaient à se gonfler rapidement et on pouvait parfois même voir le bout d’un sexe sortir de sa cachette, tandis que les tétons durcissaient à vue d’œil.



L’un des plus jeunes de la bande, Marcus réagissait particulièrement à ce type de pilule et s’en trouva bien contrarié. Son sexe à présent en érection évidente pointait en dehors du slip jaune qu’il portait, le faisant marcher de travers. Son engin étant particulièrement imposant, il était impossible de passer à côté. Prise de pitié, Ademone qui finissait son repas demanda au jeune homme de venir s’asseoir vers elle. Elle lui massa alors gentiment le bout du gland qui continuait de gonfler. Marcus, la bave aux lèvres était fixé par tous. Certains mains commençaient à descendre au niveau de l’entrejambe pour entretenir les bosses. Lorsqu’Ademone démarra une masturbation franche de Marcus, d’autres mains baladeuses ne purent s’empêcher de se tripoter et de tripoter le voisin.

Marcus, lui prenait son pied, la main de sa maîtresse allant et venant sur son sexe de plus en plus gonflé, il sentait les vibrations dans son bas ventre devenir de plus en plus intenses. Elle continua quelques minutes avant d’appeler un des hommes les plus musclés de la bande, Alex. D’un coup de tête équivoque, elle lui montra la bite en érection et il comprit ce qu’il devait faire. Il se leva et se mit à genou devant Marcus qui ne cachait pas son plaisir. Alex prit lentement son sexe en bouche et démarra des vas et viens lents, enroulant sa langue autour du manche épais et sur le point d’exploser. En même temps, Alex se branlait, on voyait ses pectoraux imposants se contracter sous l’effet du plaisir et sa bite gonflée trépider d’impatience tandis qu’il avalait sans broncher les vingt centimètres de son voisin.
Autour de la table, une orgie s’était presque contractée. Chacun commençait à prendre son pied, lentement, se branlant ou bien branlant le voisin de tablée. Le viagra faisait son effet, et les bites devenaient bien dressées, bien grosses. Certaines femmes allaient bien apprécier la nuit qui suivait. Ademone se leva et tapa dans ses mains au moment ou Marcus explosa.
Son liquide blanc vint gicler à la figure d’Alex qui lui nettoya la bite dans les règles de l’art. Le jeune homme se laissa aller à pousser un râle satisfait, tandis que la patronne, ne laissant finir personne d’autre, ordonna la fin du repas et le début officiel des hostilités de la soirée.

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