La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1306)

Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1305) -

- … Oui Maître, c’est clair, je préfère Vous obéir.

La discussion entre Antonin et le Seigneur d’Evans

Comme convenu, Antonin retrouva son ami dans Son salon privé.

- Antonin, depuis ton retour je te sens très préoccupé que se passe-t-il ?
- Je suis tracassé par plusieurs choses, d’abord l’état de Chloris qui ne s’arrange pas, puis ma grand-mère qui malheureusement risque de bientôt nous quitter et tout cela m’inquiète.
- Pour ta grand-mère, la vie est ainsi faite, hélas. Quant à Chloris, elle est robuste et s’en sortira.
- Oui mais cela ne lui ressemble pas.
- Maintenant la question que je vais te poser est un peu délicate, mais que feras-tu du Château de Saint Ymer, si ta grand-mère nous quitte ?
- J’ai ma petite idée. Mais nous n’en sommes heureusement pas encore là et je t’en parlerai le moment venu.

Antonin avait à peine fini sa phrase de Ronan entra précipitamment sans frapper.

- Antonin, vite, c’est Chloris, elle s’est évanouie dans le parc. Messire Léon l’a amené dans votre chambre.

Tous les deux se levèrent d’un bon et accoururent au chevet de Chloris qui avait repris ses esprits.

- Chloris, ma belle, comment te sens-tu, mieux ?
- Ça va, maintenant je vais mieux, dit-elle souriante.

Chloris croisa le regard du Seigneur d’Evans qui comprit tout de suite que ce qu’elle ne disait pas et qui se lisait dans ses magnifiques yeux bruns. Le Seigneur d’Evans se dit «j’avais vu juste». Antonin trop inquiet n’avait pas remarqué le sourire de sa bien-aimée. Le Seigneur pris alors la parole.

- Antonin mon ami, je crois que tu vas devenir tout simplement père !

Antonin se retourna vers son ami puis vers Chloris qui souriait toujours.

- C’est vrai? Tu es sûre ?
- Oui le mire (NDLA : ancien appellation du médecin) me l’a confirmé, nous allons être parents.


- C’est merveilleux, comment veux-tu l’appeler ?
- Antonin, c’est trop tôt, on ne peut pas savoir si ce sera une fille ou un garçon…

Les jours et semaines passèrent et la grossesse fut éprouvante pour Chloris... Quant au mariage d’Alix et Enguerrand, il eut lieu et tout se passa très bien lorsque durant la même soirée Chloris perdit les eaux et accoucha de jumeaux au beau milieu de la nuit. Elle eux exactement un garçon qu’elle prénomma Adrien et d’une fille qu’elle nomma Félicienne... Les jours passaient et les s se portaient bien et la maman reprenait des forces… Un jour, Antonin proposa à son ami :

- Charles, que dirais tu d’une randonner à cheval demain avec une de Tes soumises pour nous divertir ?...
- C’est une excellente idée, laquelle pensais-tu ?
- Pourquoi pas Manon, les autres s’occupent beaucoup de Chloris et des petits.
- Parfait, j’organise cela pour demain.

Le lendemain matin de bonne heure, ils partirent donc tous les trois, Manon chevauchant quelques pas derrière eux. Il faisait un temps radieux et chaud, quand le soleil eut atteint son zénith, le Seigneur d’Evans s’exclama :

- Que dirais-tu Mon ami, de nous arrêter dans cette clairière là-bas, il y a un ruisseau et les chevaux pourront boire et se reposer et nous nous mangerons !
- Excellente idée, en plus j’ai très faim et le coin me paraît des plus agréables.
- Eh bien la chienne, qu’attends-tu ? Passe devant et commence à préparer le temps que nous arrivions...

Manon partit au petit trot, mit pied à terre et commença à installer ce qu’elle avait emporté. Elle déplia la grande couverture et y déposa dessus les couverts et la nourriture. Elle disposa également quelques coussins puis se retira un peu à l’écart et attendit à genoux, tête baissée, près d’un petit rocher. Quand les deux amis furent arrivés le Seigneur d’Evans claqua des doigts et exigea à Manon :

- Occupe-toi des chevaux, fait les boire et manger, ensuite remet-toi où tu étais.

- Bien Maître, dit-elle en se levant pour emmener les chevaux par les rênes.

Quant au Seigneur d’Evans et Antonin, ils s’installèrent confortablement et se régalèrent des mets tout en discutant de choses et d’autres.

- Charles, j’avais une question, pourrait-on utiliser la chapelle du Château pour le baptême des petits ?
- Oui sans problème, je ferai venir le prêtre et nous ferons le baptême d’Adrien et de Félicienne cette fin de semaine, si cela te convient ?
- C’est parfait. Maintenant, je vais m’octroyer un petit plaisir digestif.

Antonin s’approcha de Manon et lui dit.

- Avant de ranger tout cela, je vais profiter de ta bouche de salope...

Antonin s’adossa au petit rocher et Manon dut se positionner en levrette pour pouvoir atteindre la queue dressée d’Antonin assis par terre, offrant ainsi, sans que cela soit fait exprès, au Seigneur d’Evans une vue imprenable sur son cul et sa chatte qui commençaient à s’humidifier fortement. Cette belle vision le fit bien bander. Alors à Son tour, Il s’approcha par derrière et lui mit une légère claque afin qu’elle sache Sa présence et se prépara à ce qui allait probablement se passer. Tandis que ses lèvres et sa langue s’activaient sur la queue dressée d’Antonin, elle léchait cette verge raidie de haut en bas et de bas en haut, l’embrassait, suçait et aspirait ses bourses et donnait des petits coups de langue sur le gland violacé et gorgé de sang. Pendant ce temps, elle sentit les mains douces et habiles du Maître, le Seigneur d’Evans, caresser son cul, son dos, ses jambes et parfois une claque tombait et ainsi Manon mouillait de plus belle. Antonin était sur le point d’éjaculer de toute sa semence et il croisa le regard de son ami semblant dire : « j’avais oublié à quel point elle suçait bien ta chienne ». Au même moment, le Maître baisa la chatte de la salope jusqu’au fond, aussi facilement que dans du beurre tant elle était excitée et trempée. Il fit quelques rapides va-et-vient puis n’y tenant plus, Antonin lâcha son sperme dans la bouche de la belle et au même moment sur un coup de reins du Maître, plus puissant que les autres, elle ouvrit la bouche dans un gémissement de plaisir laissant s’échapper une bonne moitié du sperme d’Antonin.
Le Seigneur d’Evans s’en aperçut et lui fessa son cul de chienne par une série de calques cinglantes accentuant aussi Ses coups de reins et en disant d’un ton froid et saccadé au rythme de Ses claque et assauts :

- Tu as vu ce que tu as fait salope ? Comment oses-tu gâcher et gaspiller le don précieux de sa semence que t’a fait Mon ami ?
- Je Vous présente mes excuses, Maître, je… je ne l’ai pas fait exprès.
- Ne cherche pas à te justifier. J’avais prévu de t’honorer de Ma Noble semence, eh bien tu ne l’auras pas dans ta chatte, mais sur ta figure de salope de chienne et bouche fermée, tu ne mérites pas d’y goûter. Et ce n’est pas à Moi que tu dois présenter des excuses.

Manon présenta ses humbles excuses à Antonin qui lui répondit visiblement mécontent :

- Commence par récupérer le maximum en léchant l’herbe comme la chienne que tu es et à quatre pattes :

Le Seigneur d’Evans reprit.

- Aussi j’avais prévu de t’accorder le droit à la jouissance, et je te le retire, ce sera en partie ta punition alors tâche de te retenir salope...

Le Seigneur d’Evans se retira de la chatte de Manon. Celle-ci se tourna face à Lui à genoux, les mains derrière le dos et Lui présenta son visage relevé, bouche fermée et Il se branla vite fait puis lâcha Sa Noble semence en jets puissants sur les cheveux et le visage de Manon qui même si elle ne pouvait l’avoir dans sa bouche aimait sentir le sperme chaud du Maître sur son corps. Ensuite le Seigneur d’Evans et Antonin décidèrent de se reposer un peu sur la couverture et les coussins pendant que Manon confuse rangeait plats et assiettes après les avoir nettoyés dans l’eau du ruisseau, le Maître lui dit :

- Quand tu auras fini, tu te placeras à côté de nous et tu attendras à genoux qu’on décide de rentrer.

Une fois sa tâche terminée, elle fit ce que le Maître avait exigé, elle n’avait encore rien mangé depuis tôt le matin et bien malgré elle son estomac réclamait.
Manon fit ce qu’elle put pour occuper son esprit à autre chose et tenter d’oublier sa faim, sans grand succès. Au bout d’un moment Manon se permit de demander au Maître :

- Maître Vénéré, je Vous prie de me pardonner mais pourrais-je boire et manger un peu car je n’ai rien pris depuis ce matin et…
- C’est bon, tu peux ronger les os qui restent du poulet et boire au ruisseau.

Manon s’éloigna en silence à quatre pattes et prit ce qui restait de chaire autours des os de poulet et s’abreuva au bord du ruisseau pour étancher sa soif, elle but comme un animal en quadrupédie, la tête juste au-dessus de l’eau. Puis elle revint toujours à quatre pattes et se leva pour ranger prestement la couverture et les coussins et rejoignit les deux amis. Le Seigneur d’Evans lui lança :

- A genoux, tu dois certainement encore avoir soif, alors ouvre grand ta bouche de chienne et ne bouge plus …

Les deux dominants soulagèrent alors leur vessie en urinant ensemble dans la bouche de la salope. Manon essaya d’en avaler le plus possible. Puis ainsi souillée, ils reprirent leur route pour rentrer au Château.

- Antonin c’est à toi qu’elle a manqué de respect en n’avalant pas ta semence, ce sera à toi de choisir sa punition.
- Je ne sais pas encore mais je demanderai à Messire Léon de s’en charger, moi j’ai autre chose à penser et à organiser en ce moment.

Quand ils furent de retour au Château Antonin informa Chloris que le baptême des s aurait lieu le dimanche suivant et qu’il serait célébré, comme elle le souhaitait, dans la chapelle du Château… Les jours passèrent et la date du baptême arriva. Celui-ci se passa sous les meilleurs auspices et tous en gardèrent un très beau souvenir…

(A suivre…)

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