Thomas

J'ai connu Thomas adolescent avec son frère. Son frère cadet était fin et délicat, lui plus fort, un peu gouailleur. Je n'aimais pas son style, mais il se dégageait de lui une certaine assurance.
L'évènement qui marque encore mon attirance pour lui fut une rencontre, il m'emmena sur un chantier et voulu que nous frottions nos corps l'un contre l'autre, ce que nous avions fait plusieurs fois auparavant  ; mais cette fois là il était derrière moi et avait un comportement actif, il ne put me pénétrer, mais je sens encore souffle derrière moi. Puis nous ne nous sommes plus revus. Aujourd'hui, bien que marié puis divorcé et hétérosexuel, ce premier épisode qui date de plusieurs décennies m'a ouvert une voie hors des chemins battus. Pour lui remercier d'avoir été désiré, j'ai eu petit à petit envie de lui faire une fellation.
J'imagine le retrouver, à la porte d'une maison de ville dans un long couloir. Nous nous faisons la bise, puis je le précède en dodelinant mes fesses, puis je me retourne, il me colle contre le mur, nous échangeons un petit baiser sur la bouche  :
-Thomas, j'ai tant attendu ton retour,
Il me roule une pelle, je saute à califourchon sur lui. Lorsque nous avons suffisamment mélangé nos salives, je me laisse tomber et ouvre sa braguette et en sort son sexe moyennement excité. C'est ma première fellation, Je commence par lécher le côté du corps du pénis puis par dessous en remontant puis je titille le gland par petites aspirations sans m'approcher de la couronne. Un petit retour de lèche le prépuce en l'étirant , puis j'avale tout et je fais de mon mieux en m'appuyant sur la couronne du gland et le frein. Commence un long moment de va et vient, ma main lâche son pénis et caresse ses bourses, je le regarde, je pense qu'il a compris mes tendances de soumis, il prend ma tête et imprime la cadence. Puis la maintient lors de l'éjaculation, pour signifier mon accord, j'enroule mes bras autour de ses fesses pour le serrer.


Nous partons nous allonger sur un lit. Nous ôtons nos pantalons, Thomas découvre que je porte une culotte de femme. Oui je l'ai mise pour toi, tu m'as fait sentir des sensations de l'autre sexe.
Nous nous bécotons, mais je lui fait comprendre que je ne souhaite pas être défloré aujourd'hui.

Nous allons nous promener en ville, où Thomas m'offre de la lingerie. Il me conduit chez un tatoueur  : Tu vas être marqué aujourd'hui, car désormais tu m'appartiens. Il fait inscrire au dessus de ma fesse droite, ses initiales suivies de 73 puis d'une petite fleur de lys comme les prostituées sous l'Ancien régime. Puis de nouveau, retour au shopping il m'emmène acheter une jupe courte noire, un chemisier blanc et des escarpins, je lui roule un patin. Une femme a besoin de bijoux, je m'attendais à une bague, mais il décide de me faire percer les oreilles pour porter des boucles qui tombent en petits disques dorés. Nous nous quittons,
-Pourrais-je te revoir  ?
-Ça dépend de toi demain.
La balle est dans mon camp, je vais chercher tout ce qui peut épiler au supermarché en faisant plus confiance au rasoir rose, qu'à celui qui me sert pour le visage. Je rase mon pubis en forme de triangle. J'utilise tout ce qui peut servir de plug anal. Le matin, j'ai juste le temps d'aller acheter un gel lubrifiant. Sa présence sur la table étalera mes intentions.
Il me trouva en tenue féminine, assis(e) suçant le bout de mes lunettes et dévoilant mes dessous et mes cuisses épilées. Nous nous sommes retrouvés nus sur le lit, lui sur le dos et je me suis empalé(e) sur lui. Pourtant quelque chose n'allait pas, mon absence de poitrine, le rythme des oscillations que j'imposais...Thomas se retira et pris les choses en mains, me força à le sucer après le passage dans mon anus et me retourna. Il me fessa, caressa ma poitrine et me prit par les hanches et imposa le mouvement qu'il souhaitait, un liquide chaud se déversait en moi. Je n'avais pas joui, mais j'avais aimé(e) être pris(e), être l'objet de son désir et l'avoir fait jouir.
Il me prit délicatement dans ses bras, me branla ce qu'il avait baptisé mon clito et me câlina. Je compris le sentiment de protection que ressent une femme, j'étais bien sa soixante-treizième conquête.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!