Une Famille En Or (4)

Lundi 25 juin 1990

Je suis en train de bronzer au plan d’eau de Jausiers quand je vois arriver Isa, la fille de service de l’Auberge.

Elle profite des horaires de fermeture de l’Auberge pour venir prendre un bain.
Comme elle passe près de moi, je lui fais signe et elle s’installe à mes côtés.

En papotant, je lui fais part de mon regret:
- J’ose pas bronzer topless, je serais bien la seule ici.
- C’est vrai, ils sont plutôt classiques dans ce village.
- Et si on profitait de la terrasse de l’Auberge, demain?
- Oui, c’est une bonne idée, tu seras plus tranquille, comme ça.

Comme elle est en bikini, je note au passage qu’elle est super bien foutue et le soir je parle de ma petite idée à Bernard:
- Tu sais, on s’était dit qu’on pourrait se trouver des partenaires sexuels ici. Et en voyant Isa au plan d’eau, j’ai pensé: pourquoi pas elle?
- Ah non, pas avec quelqu’un du travail, ça peut devenir une source de problèmes.
Mais sinon, j’aurais été plutôt pour, elle est assez bandante.
- Je me doutais que tu l’avais remarqué. On pourrait tâter un peu le terrain. D’ailleurs, je me suis entendue avec elle pour bronzer sur la terrasse de l’Auberge pendant les heures de fermeture. Je vais me mettre en string, histoire de voir sa réaction.
- Chiche, moi aussi!


Mardi 26 juin 1990

En fin de matinée, je me mets donc directement en string dans un transat sur la terrasse de l’Auberge alors qu’Isa est en bikini normal.

Elle est évidemment un peu surprise quand Ber revient en string lui aussi, un modèle bandeau, mais elle n’a pas l’air trop gênée tout de même.
Quand je me rhabille pour aller au boulot, il reste dans cette tenue pour attaquer du rangement à l’accueil et finalement elle de faire pareil en enfilant juste son tablier de ménage sur son maillot.

Ber me rapporte le soir que Lisette, la cuisinière qui a la cinquantaine passée, n’a rien dit en arrivant dans l’après-midi pour préparer son service du soir, mais elle avait l’air de ne pas trop approuver ça.



Comme elle était encore en train de maugréer dans la cuisine un bon moment plus tard, il a vite mis les choses au point:
- Nous sommes entre adultes.l n’y a pas dans notre règlement intérieur interdisant le port du maillot de bain sur le lieu de travail. Et ces maillots sont en vente libre.
Donc vu la chaleur, attends-toi désormais à me voir comme ça pendant les heures de fermeture à la clientèle. Et pareil pour qui le voudra. Des choses à dire?

Isa a voté pour et Lisette s’est abstenue, donc motion adoptée.


Vendredi 29 juin 1990

Isa s’est vite habituée à nous voir bronzer dans cette tenue, et elle commence aujourd’hui à nous accompagner en enlevant enfin le haut.

Elle a des seins superbes qui tiennent bien droit avec des tétons pointus.
Du coup, elle fait le ménage en monokini sous son tablier.

Par contre, Lisette ne sait pas quelle attitude prendre devant cette nouvelle mode.
Elle se cantonne dans sa cuisine.


Jeudi 28 juin 1990

Ce matin, Isa nous fait la surprise de porter elle aussi un string, un rouge aux ficelles un peu larges. En fait, elle l’avait déjà utilisé à la mer, mais elle n’avait pas encore osé le porter ici.


Samedi 30 juin 1990

Aujourd’hui, étant de repos, il est prévu que je reste déjeuner avec eux.
Pour l’occasion, nous avons réduit la voilure, moi en mettant un string très mini, genre confetti et Ber un cache-sexe qui est juste une poche avec trois ficelles.

Après le déjeuner, depuis mon transat sur la terrasse j’ai une vue directe sur le hall d’entrée. Ber fait de la paperasse au comptoir et regarde le cul d’Isa qui fait le ménage. Quand elle se baisse, le tablier baille sur ses seins qui ballottent et s’ouvre sur ses fesses séparées par le cordon du string.
Heureusement qu’il est derrière le comptoir car je sais qu’il est en train de bander.

Je vais le rejoindre et je jette un coup d’œil à sa bite qui pointe fièrement au dessus de la poche du string qui ne contient plus que les couilles.
Histoire de l’aider, je le branle discrètement sans gestes trop visibles jusqu’à ce qu’il me fasse signe qu’il va venir. Je me baisse alors rapidement derrière la banque et reçois ses giclées dans la bouche. Je me relève et monte à l’étage pour me branler tranquillement sur notre lit car ça m’a vraiment bien excitée.
Quand je redescends, je constate que la bite de Ber a réintégré le string. Isa, toute à son travail, ne s’est rendu compte de rien.

Plus tard dans la soirée, Ber me dit qu’après avoir bien calculé le pour et le contre il a finalement décidé de ne pas essayer d’inclure Isa dans nos jeux sexuels.
Comme elle dort dans une chambre de service juste à côté de la notre, elle entend ment nos ébats. Mais malgré ça elle n’a pas l’air de montrer de l’excitation nos même de l’intérêt.

De plus, en cas de refus ça foutrait un gros malaise au travail.


Lundi 9 juillet 1990

Quand je reviens de faire des courses à Gap, Ber me raconte la blague qu’il vient de faire à la fois à Isa et à la nouvelle commerciale de leur fournisseur en surgelés.

Il savait qu’elle devait faire sa tournée de présentation, mais il n’a pas prévenu Isa de cette visite. Comme elle a pris l’habitude maintenant de faire le ménage en tenue légère, il a veillé à ce qu’elle reste juste en string pendant la pause du midi.

Le timing était bon, car Ber a entendu un quart d’heure plus tard par la porte grande ouverte de l’Auberge un “Oh” de surprise. C’était la représentante qui venait de tomber sur les fesses d’Isa sur la terrasse.

Surprise aussi, Isa s’est justifiée de sa tenue légère en se masquant les seins:
- Oh pardon, je ne savais pas que quelqu’un allait venir, ce sont nos heures de fermeture. Et comme il fait chaud, j’ai l’habitude de me mettre à l’aise…
- C’est moi qui m’excuse de faire irruption. Mais je dois dire que votre tenue, euh, minimaliste m’a un peu surprise. Votre directeur est là?
- Oui, il est à l’intérieur.
Venez, je vous accompagne.

Ber a fait mine de s’affairer dans le local des matériels de sport. Isa l’a appelé:
- Bernard, il y a quelqu’un qui te demande!

Et elle a fait entrer la femme qui s’est retrouvée un peu gênée de se retrouver face à Ber en string lui aussi. Tandis qu’Isa s’éclipsait discrètement vers la cuisine, il lui a proposé de se mettre au comptoir, et ils ont commencé à faire le point de la saison et des nouveautés au catalogue. Puis, comme il était question des améliorations à porter aux livraisons, il lui a proposé de lui montrer la configuration des lieux:
- Bon, voila, on y va? Ça ne vous dérange pas trop que je sois en maillot?
- Euh un peu tout de même. Surtout ce type de maillot…
- Si je peux me permettre une plaisanterie, pour quelqu’un qui vend des surgelés, vous me paraissez un peu frileuse.

La femme a fini par passer outre sa surprise et l’a suivi. Ils ont retrouvé Isa dans la cuisine, et c’est entourée de toute cette quasi-nudité qu’elle a fait la visite.

En l’absence de gestes et d’attitudes équivoques, elle s’est un peu décontractée tout de même. Du coup elle a demandé à Ber:
- Dites, vous faisiez comme ça avec mon prédécesseur?
- Oh, vous savez, il se contentait de téléphoner et d’envoyer les brochures.
- Et vous n’avez pas peur que quelqu’un soit choqué par vos tenues…euh…légères?
- Evidemment, on ne reçoit pas les clients comme ça. Mais quand l’Auberge est fermée, on ne se gêne pas entre nous, puisque personne ne nous voit.
- Oui, mais là, moi je l’ai vu.
- C’est vrai, j’étais plongé dans mon rangement de matériel et que je n’avais pas vu l’heure, et de plus je n’avais pas prévenu Isa de votre venue. J’y veillerai à l’avenir.

Elle doit repasser en fin d’été.


Lundi 27 août 1990

Ce matin, la commerciale des surgelés revient pour présenter les nouveautés.

J’ai décidé de les assister un peu, et quand elle arrive vers 11 heures, je suis dans un transat en train de prendre le soleil en sling.

Isa et Ber sont dans une tenue aussi légère, elle faisant un peu de rangement dans la cuisine, lui mettant de l’ordre au comptoir.

L’ayant vue arriver, Ber sort sur la terrasse.

La femme est un peu étonnée de cet accueil:
- Euh, bonjour, vous ne m’attendiez pas, cette fois encore?
- Oui, bien sûr, je n’ai pas oublié notre rendez-vous. Mais comme vous nous avez déjà vus comme ça, on s’est dit que maintenant nos tenues décontractées ne vous gêneraient plus. Et par la même occasion, je vous présente ma femme.

Elle regarde le sling dont les bretelles passent pile sur mes tétons et dont l’entre-jambes très échancré en haut révèle bien que je n’ai aucun poil par là. Puis le maillot string de Ber et celui d’Isa qui sort à son tour sur la terrasse.

Elle en conclut:
- Oui, bon, c’est vrai que ce n’est pas la première fois. Mais tout de même…

Ber lui propose de prendre place dans les transats près de moi pour examiner les catalogues, et j’en profite pour suggérer à la nana:
- Vous savez, le mieux pour vous sentir moins gênée, c’est de faire comme nous.
- Oh, je n’oserai pas, surtout chez des clients!
- Oubliez ce détail, ça restera entre nous. Allez, lâchez-vous et profitez du soleil!

Comme Ber abonde dans mon sens, elle objecte qu’elle n’a pas de maillot. Je propose donc de lui en prêter un et elle capitule en marmonnant :
- Je le crois pas, ce que vous arrivez à me faire faire…

Elle me suit dans la chambre ou elle se change rapidement. Elle s’appelle Sophie et je choisis de la tutoyer. Elle aurait bien aimé mettre un haut, mais je lui dis que je n’en ai pas. De toute façon, elle n’a pas grand chose au balcon.

Je la ramène dehors et elle s’assoit comme ça, entourée de Ber et Isa qui prennent connaissance des nouveautés du catalogue. Elle est un peu empruntée tout de même au début, mais de parler de travail ça la décontracte enfin.

Je le lui fais remarquer et elle répond:
- Oui, c’est vrai qu’on s’y fait. Mais tout de même, avoue que ton maillot est assez… disons… léger. Même pour un string. Et ces bretelles sur les tétons…
- C’est vrai, mais on s’y fait, non?
- Oui, mais j’avoue que ces minuscules bouts de tissus qui dévoilent presque tout m’ont bien gênée au début.

Elle nous quitte en étant tout de même bien plus à l’aise.

A suivre…

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