La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1313)

Conte d'Halloween au Château - (suite de l'épisode N°1268) -

Comme dans le salon, un petit feu flambait dans l'âtre géant réchauffant agréablement la pièce... L'espace d'un instant, je me suis demandée pourquoi il m'avait amené jusqu'ici. On aurait pu rester dans le petit salon, là où il y avait tout pour me dominer. Ou bien aller dans la chambre s'il voulait me prendre sexuellement sur le lit. Peut-être voulait-il me faire faire le tour du propriétaire ? Dans ce cas, on pouvait passer par la cuisine vite fait, vu que je la connaissais assez bien maintenant, y ayant déjà pris quelques repas... Et là, cela fit ‘tilt’ dans ma tête ou plutôt dans mon ventre qui à la bonne odeur de cuisson me rappela que je n'avais encore rien mangé depuis mon réveil. D'ailleurs à part un frugal repas avalé vite fait hier durant mes recherches en ville, entre l'office du tourisme et la bibliothèque, je n'avais, pour ainsi dire, rien manger ce jour-là non plus. La laisse me sortit brusquement de ma réflexion, tirée fermement en avant par le fantomatique Marquis qui promptement, me fit basculer sur la vaste et longue table en bois épais trônant au centre de la cuisine. Que je ne pus retenir un geignement, surprise par sa brusquerie soudaine. Je fermai les yeux, alors que Monsieur le Marquis plaquai Sa main impérieuse sur ma nuque, m'indiquant par cela à demeurer penchée, le visage contre le bois dur et froids de la table, reins cambrés et fesses bien offertes, la poitrine plaquée contre le plateau de la table, écrasant mes seins. Tandis qu'inconsciemment, j'écartai de moi-même mes cuisses et jambes, sentent mon sexe commencer à mouiller, trembler et se dilater, rien qu'à l'idée et au désir d'être prise, là ainsi par lui et sauvagement, bestialement comme une femelle en chaleur, à la va vite !

Mon trouble excitatif était tel que lorsqu'il fit glisser Sa main tout le long de mon dos, remontant sur toute mon échine, tout mon corps fut secoué de savoureux tremblements.

Le moindre effleurement de Ses doigts sur mon corps me donnait des frissons qui parcouraient délicieusement tout mon être. Sa divine main descendit lentement le long de mon dos, glissant sur les courbes de mes fesses arrondies, jusqu'à atteindre mes lèvres intimes gonflées de désirs et légèrement entrouvertes de ma chatte. Et lorsqu'il vint glisser Ses doigts fureteurs entre mes jambes, puis entre mes lèvres vaginales, jusqu'à mon bouton d'amour durci, tout mon corps se mit alors à vibrer de manière incontrôlable. Le sang pulsait en masse dans mes veines, sentant mes mamelons gonfler et devenir dur comme de la pierre. Alors que Monsieur le Marquis faisait glisser Son index et Son majeur entre mes lèvres gonflées, tout en titillant au passage mon clitoris qu’il masturbait avec un évident savoir-faire pour faire augmenter mon excitation grandissante. Me faisant clapir de petits soupirs de bien-être, qui se transformèrent en gémissements de chienne en chaleurs et en petits râles également vicieux quand changeant de main, tout en continuant à jouer à agacer mon clitoris, Ses doigts mouillés de mon jus intime vinrent s'enfoncer d'un puis deux dans mon cul encore quelque peu sensible.

Monsieur Le Marquis fut ravi que je ne cherchais point à échapper à cela, cherchant juste à m'adapter à ces nouvelles sensations. Il adorait entendre mes petits glapissements et gémissements plaintifs de plaisirs. J'aurais pu atteindre l'orgasme en un rien de temps grâce à ce double doigtage de mes orifices échauffés. Mais il sut quand s'arrêter. Malheureusement pour moi, me frustrant brusquement en retirant Ses doigts, je me sentis subitement en manque...

- Oooh, mon Dieu... Ne vous arrêtez pas maintenant !, je vous en supplie, continuez, ai-je protesté, les yeux mi-clos, rougissants, chauds de désirs, mon clitoris saillant et gonflé à l'apogée d'un orgasme.

Mais je n'avais pas d'ordre à Lui donner, même si ce n'en était pas un, mais bien une supplique. Seulement, j'avais consciemment accepté de devenir la soumise de Monsieur Le Marquis en portant ce collier et de ce fait à présent, il avait plein pouvoir sur moi, comme celui de contrôler mes orgasmes et de décider si je méritais ou non de pouvoir jouir.


- L'orgasme ne t'est accordé que lorsque ton Maître le veut !, entendis-je résonner Sa voix spectrale dans ma tête.

Présentement, il ne me le permit pas, ni ne m'offrit la satisfaction de la conclusion de mon excitation. S'amusant à voir dans quel état cette excitation m'avait mise, en contemplant mon corps tremblant encore de désirs. Si mon ventre gargouillait assurément à présent, ma chatte en chaleur, trempée, avait faim de tout autre chose. Seulement, même si Monsieur le Marquis saurait et allait combler celle-ci ainsi que mes désirs bien au-delà de tout ce que j'aurais pu imaginer. Il décida pour l'instant d'apaiser mon besoin plus vital, ne voulant pas me voir ainsi affamé... Si ce n'est de lui et des plaisirs qu'il avait à m'offrir. Car une soumise en bonne santé est plus à même de servir et satisfaire les besoins et exigences du Maître...

(A suivre...)

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