Adrien, L'Amour Fou

Je t’attends avec impatience. Tu m’as tellement manqué depuis 3 semaines… C’est l’été et tu es parti en vacances avec tes parents. On a juste pu se parler au téléphone, s’échanger des textos. Pas de plan cam. Mais tu es rentré sur Paris hier soir, et dans quelques instants tu passeras chez moi pour une nouvelle rencontre secrète. Mon Adrien…. Mon jeune amant de 18 ans. Moi ton prof de fac de 45 ans… L’amour fou. Fou mais clandestin, tabou… D’abord parce que tes parents ne savent pas que tu es gay… Parce que je suis ton prof et que l’éducation nationale désapprouve… Parce que personne autour de nous ne comprendrait
Quel chemin parcouru cette année. Ça a commencé par cette rencontre accidentelle sur un chat gay. Quelle probabilité ? Etait-ce le destin ? Les jours qui ont suivi ont été tellement embarrassants. Des regards échangés à la fac, embarrassés, pleins de non-dits. Plein de supplication de ne rien dire. La nécessité absolue de ne même pas essayer de se parler, de chatter. Jusqu’à la première fissure. C’est ok si on chatte juste sur la messagerie ? Non, ce n’est pas ok bien sur… Mais on l’a fait quand même. L’attirance était trop forte. Des dialogues secrets et nocturnes. Risqués. Est-ce que je peux te faire confiance ? Des dialogues chastes, histoire de se connaitre, pendant quelques mois.
Une première rencontre, en lieu sûr. Un café, loin de la fac, loin de chez toi, loin de chez moi. Tu as insisté. Je voulais avoir au moins une occasion de pouvoir te regarder dans les yeux. Un après-midi magique. Tu me plais beaucoup. Tu es intelligent, bien élevé, mature. Je te plais aussi… surement. Un baiser échangé…naturellement. Un frisson, une décharge. Une bêtise je n’aurais pas dû. On s’éclipse. Des textos… Beaucoup de textos… On se plait… mais ce n’est pas possible. Je ne peux pas. Tu ne peux pas. Il faut qu’on arrête. Larmes… Pas de menaces, rien de méchant. Mais tellement de tristesse. Des semaines difficiles. Tu es visiblement malheureux.

Je vois ta façon de me regarder dans l’amphi. Je suis visiblement malheureux aussi, distrait, absent. Triste…
Mais je n’y arrive pas. Tu n’y arrives pas. On sait tous les deux que l’on ne peut pas, que l’on ne doit pas. Mais on ne peut pas résister. Tu m’attires tellement, je t’attire tellement. Tu me veux, je te veux.
Tu restes dans l’amphi après les cours une fois.
- Je pense à toi tout le temps
- Moi aussi
- Connecte-toi ce soir
On a fait notre premier plan cam ce soir-là. Chacun dans notre chambre. J’ai découvert ton corps imberbe. Adonis. Parfait. Blond aux yeux bleus. On a partagé nos fantasmes et on s’est masturbés l’un devant l’autre. Je suis ton premier homme.
On a recommencé nos plans cam régulièrement. Jusqu’à ne plus pouvoir faire autrement que de se rencontrer. En vrai. Tes parents te laissent assez libre de tes mouvements heureusement. On a fait l’amour chez moi une première fois un samedi après-midi. Ta première fois. Doucement. Sans capote. Tu as un peu mal mais tu as beaucoup aimé. Comme tous ceux de ton âge, tu as grandi avec le porno. On a vite fait au lit tout ce que tu brulais de découvrir : fellation, sodo, rimming, éjac faciale et avaler.
Depuis plusieurs mois nous sommes amants. En secret. Chez moi. On fait l’amour à chaque fois, et on apprend à se connaitre. Entre nos rencontres, on s’envoie des textos. Amoureux, tendres ou très chauds.
La sonnette à la porte interrompt ma rêverie. Je t’ouvre. Tu tombes dans mes bras. 3 semaines, ce n’est pas long mais tu m’as tellement manqué. Adrien, je t’aime tellement. Nos bouches se collent aussitôt, nos langues se trouvent. Tu me rends fou. Je te veux. Je veux ta peau, nue. Ça me ronge. Nos mains trouvent nos bites. Tu commences à défaire ma ceinture. Tu veux ma queue maintenant, tout de suite. Je te veux nu, tout nu, immédiatement. En alternant les baisers et les caresses brusques, on se déshabille vite dans le couloir et tu marches vite vers la chambre.
J’adore regarder tes petites fesses bouger. Tu te jettes sur le lit, assis, jambes écartées. Je me mets aussitôt à genoux pour te sucer. Je ne veux pas attendre. Je te suce vite. Je veux avaler ton sperme tout de suite. Ça m’a tellement manqué. Tu jouis dans ma bouche et j’avale tout. Oh mon chéri, tu m’as tellement manqué. Je caresse ta joue. Ton visage d’ange. Je souligne tes sourcils avec mon pouce. A ton tour de me sucer, moi debout, toi à genoux, au milieu de la chambre. Pour toi aussi, l’absence a été trop longue. Tu me suces et me branles. En deux minutes, je jouis sur ton visage et tu manges et avales toute ma semence. On tombe sur le lit, dans les bras l’un de l’autre. On se serre fort. On a besoin de ce contact physique.
On est de côté, face à face. On se touche, on se regarde. On s’embrasse sur les lèvres toutes les dix secondes. Tu me dis à quel point je t’ai manqué. Nous avons maintenant l’après-midi pour nous, pour nous réapproprier nos corps mutuellement. Tes jambes, tes bras, ton torse et ton visage sont bien bronzés, et contrastent avec tes fesses blanches.
Après quelques câlins, tes hormones reprennent le dessus. Tu me veux en toi. On prend une douche câline ensemble pour se nettoyer, occasion de se sucer. Une fois séché, tu te mets à quatre pattes sur le lit, et ton regard coquin par-dessus l’épaule m’invite à te faire ce que tu aimes tant : manger ton petit cul. Je lèche et j’embrasse ta petite rosette imberbe. J’écarte bien les fesses et je rentre l’extrémité de ma langue en toi. On se met ensuite en 69 pour que tu me suces tandis que je continue à te rimmer. Mais c’est toi qui interromps le plaisir pour prendre le gel dans la table de nuit. Tu te doigtes et te prépares et je fais de même avec ma queue. En levrette, Adrien. Je glisse doucement en toi. Tu serres les dents. Tu es maintenant habitue à la sodo, mais l’entame est toujours douloureuse. Tu souffles. T’habitues à mes 18 cm, épais. Chut, baby, détends-toi. Je suis maintenant complètement en toi.
Ça m’a tellement manqué. C’est bon, chaud et serré. Mon ange, tu sais à quel point c’est important pour moi d’être en toi, de m’unir ainsi à toi. Et pour toi aussi. Tous ces textos que tu m’as envoyés après notre première fois : « je te veux en moi, encore, tout le temps, toujours. Ça me rend dingue ».
Je descends et mon torse couvre ton dos. Mon bras enroule ton torse, j’embrasse ton oreille et te susurre à quel point je t’aime. Tu m’aimes aussi. Je me redresse et commence mes va et vient, lent. Mes mains caressent tes épaules et ton dos, parfaitement lisses. Je m’agrippe à tes hanches et j’accélère. Tu aimes. Tu bandes. Ma main att ta queue bien raide. Ma bite stimule ta prostate, je connais ton point G. Des gouttes de sperme s’échappent de ta bite. Tu fatigues et descends, tète dans l’oreiller. Je continue à te baiser. Je rentre et sors ma queue. Tu es maintenant bien ouvert.
Je me mets maintenant sur le dos, et c’est toi qui prends ma queue pour te la remettre. J’aime te regarder bouger et prendre le contrôle des opérations. Tu te déhanches, tout à ton plaisir. Les yeux mi-clos, la bouche ouverte. Tu aimes ça. Mon Adrien, mon adonis. Mes mains caressent ton corps imberbe. Tes cuisses, tes flancs, tes tétons. Mes mains saisissent tes petites fesses. Je regarde ta petite bite bouger au grès de tes mouvements. Embrasse-moi. Tu te penches. Je t’aime tellement.
Je me redresse. On fait une pause. Toujours en toi je te regarde fixement dans les yeux. J’aime leur bleu intense. Tu me dis que tu m’aimes. Je te serre dans mes bras, t’embrasse tout en reprenant mes coups de queue. Tu enroules tes jambes autour de moi. Je te fais basculer sur le dos pour te faire l’amour en missionnaire. On ne se quitte plus des yeux. Je me penche pour t’embrasser. Je me redresse parfois pour regarder ma queue glisser en toi. Je saisis tes pieds avec mes mains. Je me penche à nouveau, je m’appuie sur mes bras, de chaque côté. Je t’embrasse, te regarde. On va jouir ensemble Adrien maintenant.
Regarde-moi. Tes mains caressent mon dos et mes fesses. Je sens l’orgasme monter. Je jouis en toi. Tu jouis en même temps sans toucher ta bite. Une mare de sperme recouvre ton ventre. Je souffle. Encore en toi, je descends, j’embrasse ton cou et des cheveux blonds. Tu souris. Je t’aime. On s’endort nus dans les bras l’un de l’autre.
La fin d’après-midi approche. Je suis parti boire un verre d’eau. Quand je reviens dans la chambre, tu es toujours endormi au-dessus des draps, sur le ventre, les mains sous l’oreiller, la tête de cote. J’observe ton corps nu de la tête aux pieds. Je t’aime, je t’adore, je te désire. On a déjà fait l’amour quatre fois cet après-midi. Il va falloir que je te réveille, pour que tu retournes chez tes parents. Mais je savoure encore ces quelques minutes à te regarder. Combien de temps cela va-t-il durer ? Je t’aime, tu m’aimes – tu me l’as dit tellement souvent. Mais combien de temps peut-on s’aimer comme ça en cachette ? Combien de temps un jeune comme toi peut-il aimer un homme comme moi, de plus de 25 ans son ainé, sans aller voir ailleurs ? Je suis perdu, j’ai peur. Quelle issue pour notre amour ? Je n’ai pas d’autre choix pour le moment. Celui de continuer à t’aimer, tous les jours, à chaque fois, comme si c’était le dernier…

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